Jolie fille conquise

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par Pauline Laforgue
Créé le 25/07/2022 à 14:01 , modifié le 25/07/2022 à 14:01


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Un an aprĂšs l’annonce de son divorce avec Thierry Peythieu, Ingrid Chauvin rĂ©vĂ©lait avoir retrouvĂ© l’amour. Et cela semble ravir son fils Tom, qui a eu une dĂ©licate attention Ă  son Ă©gard pour le premier anniversaire avec son compagnon.
Un anniversaire trĂšs spĂ©cial, aussi bien pour Ingrid Chauvin que pour son fils. En 2020, la comĂ©dienne de Demain nous appartient annonçait son divorce avec Thierry Peythieu aprĂšs neuf ans de mariage. Parents d’un petit Tom , mais aussi d’une petite Jade morte il y a huit ans alors qu’elle n’avait que cinq mois, ils ont dĂ©cidĂ© de prendre des chemins diffĂ©rents. Mais un an aprĂšs cette Ă©preuve, "l’impossible est devenu possible" pour Ingrid Chauvin, qui rĂ©vĂ©lait avoir retrouvĂ© l’amour dans les bras de Philippe Warrin , un photographe qu’elle avait rencontrĂ© plusieurs annĂ©es auparavant, et avec qui elle forme dĂ©sormais une jolie famille recomposĂ©e. Un "vrai cadeau de la vie" pour celle qui a "toujours rĂȘvĂ© d’avoir une grande famille" . "Aujourd’hui, nous avons quatre enfants de 5, 14, 22 et 23 ans, qui ont l’impression de se connaĂźtre depuis toujours" , confiait-elle.
ParticuliĂšrement proche de sa belle-fille , Ingrid Chauvin est Ă©galement heureuse que son fils Tom ait trouvĂ© sa place dans ce nouveau foyer, elle qui redoutait que celui-ci ne vive pas bien le divorce de ses parents. Finalement, aprĂšs s’ĂȘtre inquiĂ©tĂ© que sa maman n’ait pas de nouvel amoureux, il se rĂ©jouit qu’elle ait retrouvĂ© l’amour dans les bras d’un homme avec qui le courant semble bien passer. Comme le prouve l’adorable dessin qu’il leur a fait pour cĂ©lĂ©brer le premier anniversaire de leur relation . En story sur son compte Instagram, l’actrice a ainsi dĂ©voilĂ© le chef-d'Ɠuvre de Tom , qui a rempli une feuille de cƓurs rouges dans lesquels on peut lire : " Fifi d'amour et maman chĂ©rie " . À cĂŽtĂ©, on aperçoit les initiales de LĂ©a, Luana et Vasco, que l'on imagine ĂȘtre les enfants de Philippe Warrin. Une fratrie recomposĂ©e par les "enfants d'amour" , qui font le bonheur d'Ingrid Chauvin et de son compagnon.
Lors d’une interview rĂ©alisĂ©e pour le magazine Nous Deux en mai dernier, l’interprĂšte de ChloĂ© Delcourt dans Demain nous appartient sur TF1 a fait des confidences Ă  propos de la "belle surprise" qu’elle avait eue en retrouvant Philippe Warrin, aprĂšs dix-huit ans sans l’avoir vu. L’occasion pour elle de rĂ©vĂ©ler que son fils Tom avait eu un rĂŽle particuliĂšrement important dans sa vie amoureuse. En effet, c’est son fils de 5 ans qui voulait que sa maman se trouve un autre compagnon aprĂšs la sĂ©paration avec son pĂšre. "Mon fils s’en porte bien. C’est mĂȘme lui qui m’a demandĂ© pourquoi je n’avais pas d’amoureux " , a, en effet, racontĂ© l’actrice.

The Concise Oxford Dictionary of Music MICHAEL KENNEDY and JOYCE BOURNE
Updated Aug 24 2016 About encyclopedia.com content Print Topic
Jolie Fille de Perth, La ( The Fair Maid of Perth ) . Opera in 4 acts by Bizet to lib. by St Georges and Adenis, based on Scott's novel (1823). Comp. 1866. Prod. Paris 1867, Manchester and London 1917.
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MICHAEL KENNEDY and JOYCE BOURNE " Jolie Fille de Perth, La
. " The Concise Oxford Dictionary of Music . . Encyclopedia.com. 3 Aug. 2022 < https://www.encyclopedia.com > .
MICHAEL KENNEDY and JOYCE BOURNE "Jolie Fille de Perth, La
." The Concise Oxford Dictionary of Music . . Encyclopedia.com. (August 3, 2022). https://www.encyclopedia.com/arts/dictionaries-thesauruses-pictures-and-press-releases/jolie-fille-de-perth-la
MICHAEL KENNEDY and JOYCE BOURNE "Jolie Fille de Perth, La
." The Concise Oxford Dictionary of Music . . Retrieved August 03, 2022 from Encyclopedia.com: https://www.encyclopedia.com/arts/dictionaries-thesauruses-pictures-and-press-releases/jolie-fille-de-perth-la
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Rien de nouveau au pays du soleil levant Qualifier le film Yukiko Mishima de thriller ou de romance relĂšve quasiment de la publicitĂ© mensongĂšre. Non, ces 123 minutes – sans doute trop longues -, ne sont rien d’autre qu’un drame, japonais en diable, donc lent, mĂ©ditatif et parfois abscons. C’est en recroisant son ancien amant de facultĂ©, que Toko, depuis longtemps femme au foyer, voit soudain renaĂźtre en elle le dĂ©sir de travailler, et de reprendre son mĂ©tier d’architecte. Mais peut-on jamais retrouver la vie qu’on a dĂ©laissĂ©e pendant tant d’annĂ©es ? MalgrĂ© un rĂ©cit Ă©clatĂ© dans le temps, cette histoire Ă  un goĂ»t de dĂ©jĂ -vu mille fois. On s’ennuie
 mais avec distinction. Bon, campons le dĂ©cor. La jolie Toko dispose de tout ce que la sociĂ©tĂ© nippone peut offrir Ă  une trentenaire bien lunĂ©e : un mari ambitieux, capable de subvenir aux besoins de la famille, une petite fille adorable et une belle-mĂšre serviable, tous cohabitant dans une maison moderne, signe de prospĂ©ritĂ© au Japon. De quoi s’épanouir ? Que nenni ! Car voilĂ  un couple de convenance, jamais complĂ©mentaire, jamais complice et viscĂ©ralement dĂ©suni. Le dĂ©clic : la rĂ©apparition d’un ancien amant de jeunesse qui va la pousser Ă  renouer avec sa carriĂšre d’architecte, Ă  poursuivre sa voie lĂ  oĂč elle s’est arrĂȘtĂ©e. A partir de lĂ , commence un long et douloureux parcours de femme et un apprentissage de soi qui ne va pas sans heurts. Quand je vous dis que ça sent le sakĂ© rĂ©chauffĂ©. Restent les sublimes paysages enneigĂ©s d’Hokkaido qui illuminent les ombres d’un rĂ©cit morcelĂ© par des allers- retours dans diffĂ©rents moments de la vie de l’hĂ©roĂŻne qui ont tendance Ă  laisser un peu le spectateur sur le bord du chemin. J’avoue humblement que c’est 1er film de cette rĂ©alisatrice japonaise que je vois. Je reste mi-tempura mi-ramen devant ce film. Kaho est une actrice sublime et en plus, ici, magnifiquement photographiĂ©e. Les deux hommes de sa vie sont campĂ©s par Kazuyuki Asano et Tasuku Emoto qui s’en tirent parfaitement bien. La direction d’acteurs n’est pas en cause, les images sont belles, mais c’est bien du cĂŽtĂ© du scĂ©nario que ça pĂšche. Et une fois de plus, pas de bon film sans scĂ©nario original qui vous transporte dans un univers oĂč l’on est amenĂ© Ă  partager les Ă©motions des personnages. Beaucoup de qualitĂ©s, mais un dĂ©faut rĂ©dhibitoire. DĂ©ception !


J’ai littĂ©ralement Ă©tĂ© impressionnĂ©e par le film (rĂ©alisĂ© par une rĂ©alisatrice japonaise, chose suffisamment rare au Japon pour que ce soit soulignĂ©). ÉlĂ©gant, passionnĂ©, engagé  Une vraie merveille d’ardeur et d’émotion. La rĂ©alisation ne manque pas de fougue et de crĂ©ativitĂ©. La mĂ©taphore filĂ©e de l’architecture est subtilement employĂ©e - symbole de la construction intĂ©rieure qui s’érige. C’est l’affiche sublime du film qui m’a attirĂ©e, j’en ressors plus que conquise.


Toko/Kaho est une Ă©pouse soumise et dĂ©vouĂ©e au sein de la famille de son Ă©poux qu'on voit bourgeoise et traditionnaliste, alors qu'elle savoure ensuite une certaine libertĂ© au travail oĂč la sociĂ©tĂ© et ses employĂ©s sont dĂ©jĂ  dans un mode de vie plus occidentalisĂ©. L'autre point intĂ©ressant du film est de ne pas ĂȘtre tombĂ© dans l'Ă©cueil d'un Ă©poux obtus, bien au contraire, il accepte finalement qu'elle retravaille, il est plutĂŽt comprĂ©hensif mĂȘme si c'est dur d'ĂȘtre "tolĂ©rant". A contrario, l'amant est peu intĂ©ressant, trop mutique, inexpressif on ne sent jamais d'Ă©tincelle avec Toko ce qui est gĂȘnant au vu de l'Ă©volution des relations. Sur d'autres points on se demande pourquoi utiliser la camĂ©ra Ă  l'Ă©paule tremblante pour un personnage qui marche lentement ?! Par contre, on savoure une photogtaphie soignĂ©e, des plans sublimes esthĂ©tiquement travaillĂ©s. La rĂ©alisatrice signe un triangle conjugal intĂ©ressant, une Ă©mancipation fĂ©minine qui se fait dans une douleur logique mais qui manque de passion et de chair. Dommage. Site : Selenie


Toko, "mĂ©nagĂšre" de moins de 35 ans, a tout pour ĂȘtre heureuse auprĂšs de son mari et de sa petite fille, dans une maison douillette et sans crainte des lendemains. Sauf que, Ă©videmment, Ă  trop penser aux autres avant soi-mĂȘme, le risque est grand de ne plus trouver de goĂ»t Ă  l'existence. Yukiko Mishima traite son sujet, tirĂ© d'un roman japonais, avec une grande subtilitĂ© et dĂ©licatesse, sans cĂ©der aux clichĂ©s Ă©ventuels : le mari est en effet attentionnĂ© et capable de comprendre le dĂ©sir d'indĂ©pendance de son Ă©pouse, jusqu'Ă  un certain point, toutefois, car la sociĂ©tĂ© patriarcale n'est pas encore un vestige du passĂ©. The Housewife frĂŽle le thĂšme du triangle amoureux mais ce n'est pas le plus important, mĂȘme si le personnage de l'amant, assez mystĂ©rieux, aurait peut-ĂȘtre mĂ©ritĂ© un dĂ©veloppement plus important. Avec ses grandes qualitĂ©s, le film pĂȘche nĂ©anmoins sous l'aspect de la clartĂ© avec un va et vient sur deux temporalitĂ©s qui dĂ©soriente un peu et n'apporte rien Ă  son efficacitĂ© dramatique. De ce point de vue, avec ce sujet d'une femme piĂ©gĂ©e dans un confort et une sĂ©curitĂ© qui l'aliĂšne, on peut imaginer ce qu'un rĂ©alisateur du calibre de Mikio Naruse aurait fait d'une telle histoire. C'est Ă  dire un film limpide, resserrĂ© et d'une grande fluiditĂ© ce que The Housewife n'est pas vraiment, de par sa construction un tantinet alambiquĂ©e.


C’est avec une certaine impatience que beaucoup de cinĂ©philes attendent les nouveaux films de Naomi Kawase, la seule rĂ©alisatrice japonaise contemporaine ayant acquis une notoriĂ©tĂ© certaine dans notre pays. "The housewife" nous amĂšne Ă  penser que, dorĂ©navant, on guettera Ă©galement la sortie des films de Yukiko Mishima, en espĂ©rant y retrouver la mĂȘme qualitĂ© que dans "The housewife". Voir critique sur https://www.critique-film.fr/critique-the-housewife/


Un beau drame psychologique, avec toute la finesse de ses dialogues ....les japonais savent se poser et poser des questions...La vie d'une femme mariée est chamboulée par une rencontre....Sa vie professionnelle se mélange à ses amours, à son passé, à sa vie de famille...Le spectateur devient témoin de ses doutes.....j'ai aimé la bande musicale, la pertinence des dialogues et la dynamique du film...C'est souvent subtil...C'est souvent touchant, la fin du film étayant le drame que vit cette épouse, tout à fait ordinaire physiquement et moralement....Et c'est d'autant plus subtil, car au fond la vie pose problÚme à tout le monde ....C'est un beau questionnement que propose ce film sans esbrouffe, psychologique et humain...Je conseille


Qu’est-ce que le mariage, si ce n’est l’aboutissement de toute une vie ? Est-ce un rĂȘve partagĂ© ou une finalitĂ© individuelle qui pousse les ĂȘtres Ă  s’aimer, des annĂ©es durant ? Yukiko Mishima vient nous interroger sur la place d’une femme au foyer, qui possĂšde dĂ©jĂ  tout ce qu’il faut pour constituer cette rĂȘverie. Pourtant, une part d’elle la rejette, car cette mĂȘme part se sent Ă©touffĂ©e par ce manque d’ambiguĂŻtĂ© ou un semblant de complicitĂ©. C’est tout un sujet qui peut fĂącher, car l’on s’attaque directement Ă  la veine de la culture nipponne, concernant ce mode de vie en dĂ©calage avec les idĂ©aux occidentaux. Une telle thĂ©matique est la bienvenue et ce sera au dĂ©tour d’obstacles en tout genre que la narration finit par s’emboĂźter avec la gĂ©omĂ©trie de l’espace, tantĂŽt restreinte et froide, pour filer un peu plus vers des perspectives plus chaleureuses. AprĂšs « Bread of Happiness » et « Dear Etranger », la cinĂ©aste poursuit son Ă©tude sur une rĂ©alitĂ© contemporaine, souvent occultĂ©es par les plus beaux discours. Adapter le roman « Red » de Rio Shimamoto coule donc de source, quant Ă  l’engagement qui se dĂ©gage Ă  l’écran, oĂč son hĂ©roĂŻne parvient peu Ă  peu Ă  questionner sa place dans la sphĂšre familiale et au-delĂ . L’émancipation de Toko (Kaho) sera toutefois longue et douloureuse, car un Ă©quilibre aussi confortable qu’un mari rigoureux dans son travail, une fille joyeuse et une belle-mĂšre serviable, appelle un dĂ©sĂ©quilibre inĂ©vitable, lorsque le rĂŽle de mĂšre et d’épouse ne peut cohabiter avec une quĂȘte personnelle de libertĂ©. Toko dĂ©sire tant de choses, mais ce sont dix ans de mariage qui semblent la confiner Ă  errer dans un abri luxueux, mais dont la vie disparaĂźt au lever du jour. Elle rĂȘve de travail, de satisfaction, de mouvement, choses qu’elle obtient Ă  contrecƓur d’un Ă©poux (ShĂŽtarĂŽ Mamiya) cependant Ă  l’écoute. Le rĂ©cit et la personnalitĂ© de la femme s’éclaircissent lorsque l’on dĂ©couvre tout ce qui aura Ă©tĂ© perdu depuis l’échange des alliances, Ă  commencer par des aspirations et des ambitions aussi grandes que des fenĂȘtres dĂ©mesurĂ©es. Cette envie de folie et un chagrin d’amour viendront la malmener, jusqu’à ce que des choix s’imposent. L’irruption d’un ancien amour, Kurata (Satoshi Tsumabuki), fait monter une pression supplĂ©mentaire quant Ă  la condition de Toko, qui jongle Ă  prĂ©sent entre le boulot d’architecte et ses responsabilitĂ©s familiales. Pourtant, ce sera bien dans le cadre de la crĂ©ation qu’elle connaĂźt Ă  nouveau l’épanouissement, mĂȘme auprĂšs de collĂšgues masculins un peu plus fonceurs. Cela permet essentiellement de dĂ©sarmer la figure patriarcale, tout en illustrant la bĂȘtise qui empoisonne le quotidien de femmes qui souhaitent ardemment se placer de l’autre cĂŽtĂ© de la fenĂȘtre. Elles peuvent se tromper ou s’égarer, mais jamais une opportunitĂ© de tenter ou d’essayer quelque chose ne devraient les dĂ©courager de faire l’impasse sur des pulsions primaires, qui ne dĂ©pendent ni d’une autoritĂ© culturelle, ni d’obligations conservatrices. « The Housewife » (Shape of Red) projette un mal-ĂȘtre omniprĂ©sent chez une femme, qui n’a pas encore passĂ© l’ñge d’apprendre et de vivre pleinement de son art. Le rĂ©cit admet ainsi une ligne de fuite Ă©vidente, mais dont la radicalitĂ© peut surprendre. Cela s’accompagne par une mise en scĂšne qui appuie chaque instant d’hĂ©sitation ou de rupture avec ses Ă©motions, qu’il neige ou qu’elle s’enferme, autant Ă  l’intĂ©rieur qu’à l’extĂ©rieur. Les lignes se multiplient pour restreindre sa vision, dĂ©jĂ  trouble, l’empĂȘchant de s’évader, tout comme les couleurs, dont le rouge, qui rappelle l’urgence et le danger, tout cela dans une notion de passion, dont elle cherche dĂ©sespĂ©rĂ©ment Ă  dompter.


Jouant avec le temps et les sentiments, The Housewife est un trÚs beau film qui nous transporte du début à la fin et chamboule nos a priori sur le genre.


Un honnĂȘte film de romance entre une femme dĂ©laissĂ©e et peu considĂ©rĂ©e et son ex amour de 10 ans passĂ©s. Toute la passion et les excĂšs du cinĂ©ma asiatique dans ce drame qui s'il est prenant reste trop bavard et surjouĂ© sur certaines sĂ©quences . Les scĂšnes d'amour sont belles, la fin inattendue pour un film trop lent et par moment soporifique .Pas mal mais vu bien mieux.


Toko a arrĂȘtĂ© de travailler aprĂšs son mariage pour Ă©lever son enfant. CoincĂ©e entre sa belle-mĂšre, son mari et sa petite fille , elle s’étiole Ă  vue d’oeil. Lorsqu’elle croise un ancien amant, avec qui elle avait effectuĂ© un stage une dizaine d’annĂ©es plus tĂŽt dans un cabinet d’architecture, et renoue avec lui une liaison adultĂšre, elle se dĂ©cide Ă  reprendre le travail. Son nouveau poste lui offre de nouvelles perspectives mais l’oblige Ă  remettre en cause son mariage et son statut. "The Housewife" est le curieux titre choisi par les distributeurs français de ce film de la rĂ©alisatrice Yukio Mishima, sorti au Japon, mais aussi aux Etats-Unis et au Royaume-Uni sous le titre "Red". "Red" est en effet le titre du roman publiĂ© en
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