Jolie fille à couette se fait prendre sa jeune chatte
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Jolie fille à couette se fait prendre sa jeune chatte
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Tout ce que vous vouliez savoir sur la sexualité active ou passive (sans jamais oser le demander)
Nul besoin d'avoir des doigts de fée pour se faire plaisir.
SEXUALITÉ - On peut avoir envie de se masturber et ne pas vouloir mettre la main à la pâte. Quelquefois parce qu’on souhaite innover, d’autre parce que nos doigts ne sont pas toujours si efficaces que ça quand il s’agit de se faire du bien.
Pour combler votre besoin de davantage d’options, on a mis au point cette petite liste qui décrit quatre manières de s’envoyer en l’air seule, et sans les mains. Suivez le guide.
Cette technique est vieille comme le monde. Tout ce dont on a besoin, c’est d’un traversin pour les plus old-school, ou d’un coussin plus ou moins dur selon nos préférences. La couette mise en boule peut aussi faire l’affaire. Ensuite, on monte dessus à la manière d’une cavalière qui enfourche son fidèle destrier. On se met à faire des va-et-vient comme si on y était, et on laisse notre esprit vagabonder.
Certaines s’imagineront en compagnie d’un·e partenaire, d’autres simplement qu’elles sont seules, indépendantes et fières alors qu’elle parcourent une étendue déserte, cheveux aux vents. Parfois l’émancipation excite autant qu’un plan à trois.
Il y a des objets du quotidien qui peuvent s’avérer parfaitement adéquats quand on cherche à jouir solo. Le pommeau de douche est résolument l’un d’entre eux. Et c’est même peut-être le meilleur. Facile d’accès et pratique à manipuler - on n’a clairement pas besoin de lire de manuel explicatif -, il peut même nous faire goûter aux plaisirs du chaud/froid, dont les résultats sont plus que concluants.
On vous aurait même conseillé d’aller chercher un glaçon pour amplifier les sensations, mais l’usage des mains reste trop évident. Côté pression aussi, le pommeau fait des merveilles. On peut jouer avec la distance pour l’intensifier, et ainsi provoquer le geyser de plaisir tant attendu.
Dans ce scénario, la seule chose que vous ayez à faire est de vous asseoir, et de laisser la technologie oeuvrer pour votre bien - et celui de votre orgasme. Placez au préalable un vibromasseur de la taille souhaitée sur l’assise, puis installez-vous sur ce qui s’apprête à être le meilleur moment de votre journée, voire de votre semaine.
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Valérie pensait que le plaisir n'était pas fait pour elle.
SEXE- Mariée à un homme depuis des années, Valérie n'a eu son premier orgasme qu'à 35 ans... Dans les bras de sa voisine.
Les propos de cette histoire ont été recueillis par la rédaction de Elle.fr et retranscrits à la première personne.
Les premières lueurs du jour me réveillent doucement. Le corps engourdi, mais étrangement apaisé, je flotte entre le rêve et le sommeil. J'ai mal au crâne, j'ai un peu trop bu la veille. Des images de Marie me reviennent : Marie qui pleure, puis Marie qui sourit ; Marie qui a les yeux qui brillent, Marie qui est jolie ; Marie qui joue avec mes bracelets, Marie qui vient se blottir contre moi... Toutes les deux sur le canapé du salon. Une bouteille vide sur la table basse. Des braises dans la cheminée. Je ne sais plus quelle heure il était quand ça a basculé, ni comment ça s'est passé, ni qui a commencé réellement. Je revois juste nos corps nus, fébriles, ma bouche cherchant la sienne, ses mains serrant les miennes. Marie et moi avons fait l'amour, toute la nuit. Aussi simplement et naturellement que ça. Aussi formidablement que ça.
Pour la première fois de ma vie, j'ai joui. Pourtant, je suis hétéro, je le sais. Et, même là, je n'en doute pas. En revanche, moi qui croyais que les joies du sexe étaient réservées aux autres... Ce matin-là, troublée et heureuse de l'être, j'ai su que je m'étais trompée. Moi aussi, je pouvais.
J'ai grandi dans une famille où le sexe n'était pas tabou : il n'était pas, voilà tout. Mes parents, artisans, bossaient comme des fous pour joindre les deux bouts, et seul le travail avait de la valeur à leurs yeux. Je ne les ai jamais vus se détendre, goûter le bonheur d'être à deux, encore moins s'embrasser. Pas une marque de tendresse entre eux ; pas plus pour nous, leurs enfants. D'ailleurs, ma mère ne nous lavait pas, elle nous briquait. Quand j'ai eu mes règles, elle m'a giflée : chez ses parents, paysans, c'était la tradition, paraît-il. En revanche, pas un mot sur mon corps qui change ou sur la puberté qui me tombe dessus... Ma grand-mère, catholique pratiquante, vivait chez nous. Avec le recul, je pense que c'est sa dureté qui étouffait tout ce qui aurait pu ressembler à du plaisir ou à de la sensualité.
Une première fois, ni bonne ni mauvaise
Au lycée, j'ai eu la chance de vouloir suivre une option qui me contraignait à partir en internat. Loin des miens, j'ai découvert un monde que je ne soupçonnais pas. Mes nouvelles amies se racontaient le soir, sous la couette, comment elles avaient dragué celui-ci, embrassé celui-là... Et elles ne brûlaient pas en enfer pour autant ! Alors j'ai voulu essayer. C'était la boum de fin d'année, j'étais en seconde, lui terminait son CAP, mais il était plus âgé et plus expérimenté que moi. Il m'a invitée à danser et m'a embrassée. Plus précisément, il a enfourné sans aucun préalable sa langue dans ma bouche. Une limace aurait été plus appétissante. J'ai détesté et me suis enfermée dans les toilettes pour le reste de la soirée.
Les mois passent, mon corps se transforme. Tant que je vivais chez mes parents, il se faisait, lui aussi, très discret. Mais l'internat lui fait du bien et me voilà nantie d'une belle poitrine et de fesses rebondies. Les garçons du lycée s'intéressent à moi, ça me met mal à l'aise. Le regard noir de ma grand-mère me l'a fait comprendre : j'ai raison d'avoir honte de mes formes. Mes copines, elles, me chahutent, me poussent à mettre des jupes, à me maquiller. J'envie leur légèreté, leur audace. Alors, quand elles me proposent de me joindre à elles pour fêter notre bac au bord de la mer, je fonce. À l'usure, je convaincs mes parents de me laisser partir. Officiellement, on travaille pour une association qui offre des vacances à des enfants défavorisés. Mais, quand les petits sont couchés, c'est la fête pour les animateurs.
Un soir, je décide qu'il est temps de sauter le pas. Je prends l'un de mes camarades par la main et l'entraîne vers la plage. Pas anxieuse, déterminée : il me paraît inconcevable d'entrer vierge à la fac. Ma première fois n'est ni une bonne ni une mauvaise expérience. Je ne ressens pas un gramme du plaisir promis par mes copines, mais je me dis que ça viendra. Évidemment, de retour au camping, je fais comme elles et clame que j'ai joui à pleins poumons.
Il se préoccupe seulement de son plaisir
Les années de fac, de ce point de vue-là, ne sont pas celles que j'espérais : on ne change pas une équipe qui perd. L'amour, le sexe et moi, ce n'est toujours pas ça. J'ai honte en famille de paraître trop libérée ; honte avec mes amies de paraître trop coincée. Résultat, je ne parle de mes doutes à personne. Est-ce normal de ne pas aimer telle ou telle caresse ? Le jour où j'aurai un orgasme, je le saurai ? Et comment fait-on pour en avoir un ? Mais vous, jouissez-vous vraiment à chaque fois ? Ces questions me taraudent. Faute de pouvoir les poser, j'évacue une partie du problème (la rencontre amoureuse) en me mariant avec le premier venu.
Il s'appelle Sylvain, il est flic, assez beau, et je me convaincs qu'il me plaît. Et que les hommes, les vrais, ne font pas de manières. Lui, visiblement, elles ne l'embarrassent pas. Passé les quelques mois de lune de miel, la sexualité avec Sylvain se réduit à la portion congrue... de son plaisir. Il me pénètre, il jouit. Point. Je le laisse faire, me force parfois un peu, pour avoir la paix. J'ai bien essayé de lui dire que je ne ressentais rien. Invariablement, il évacue : "Pas de ma faute si t'es frigide ! Regarde ta grand-mère, ça doit être de famille..." Je me demande comment j'ai pu supporter ça. Comment deux enfants ont pu naître de cette union boiteuse. Mais mes parents m'avaient inculqué le sens du devoir... À 35 ans, l'épouse et mère que j'étais ne pouvait pas se plaindre.
Et puis Sylvain est muté à l'autre bout de la France. Nous atterrissons dans un bled paumé, à des centaines de kilomètres de mes amies... À quelques mètres de Marie. Comme moi, elle est souvent seule le soir - son mari est commercial, toujours sur les routes. Comme moi, elle est timide et solitaire. Mais, entre elle et moi, le courant passe immédiatement. Le soir où elle frappe à ma porte, c'est parce que, sortie en trombe de chez elle pour faire une course, elle a oublié ses clés à l'intérieur... Évidemment, je lui propose de passer la nuit à la maison, en attendant que son mari rentre.
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