John va au bordel
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John va au bordel
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(Post saison 2) Sherlock est mort et John, contraint par son entourage, s'inscrit sur un site de rencontres. Commence pour lui une relation à distance avec un mystérieux correspondant qui lui rappelle beaucoup Sherlock... (Petit indice : C’est complètement Sherlock.)
Par Lyonsbanner | le 3 novembre 2012 18:02:58 | Catégories : Ernest Adams , Game Design , Univers
Cet article est une traduction de Lyonsbanner .
L' article original est écrit par Ernest Adams publié par Gamasutra (juillet 2000).
L'auteur original n'est en aucun cas reponsable de la précision de cette traduction.
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Attention, spoiler ! Cet article dévoile certains éléments du film Matrix , bien que jusqu'à ce samedi soir, j'étais probablement la seule personne dans le monde occidental qui ne l'avait pas encore vu. Il est donc peu probable que ceci gâchera le plaisir de mes lecteurs.
Nous, les développeurs de jeux vidéo, nous adorons les films sur les ordinateurs, surtout s'ils parlent de réalité virtuelle et autres concepts cools dans le même genre, alors j'ai pensé que je ferais mieux de regarder Matrix . Après tout, je me suis précipité pour aller voir Tron au cinéma quand il est sorti, et ceci s'est avéré être une expérience fascinante. Non ? Vous n'avez pas adoré cette scène où Bruce Boxleitner embrasse passionnément… un programme informatique ? Je vous l'accorde, elle ressemblait à une femme, mais le film explique sans ambiguïté qu'il s'agit d'un morceau de code. Bon, j'admets qu'à l'occasion, j'ai moi-même été tenté, après m'être débarrassé d'un bug particulièrement vicieux dans mon code, de donner à mon moniteur un petit bisou, une petite bise de rien du tout pour célébrer ma victoire. Mais je n'ai jamais vraiment pensé à rouler une pelle à un sous-programme et franchement, j'ai du mal à imaginer ce que Bruce Boxleitner a pu retirer de cette expérience.
Donc, je suis finalement allé voir Matrix . Wow ! Un film où absolument tout se passe à travers un filtre vert ! Cool. Je n'y aurais jamais pensé. Alors, comment est-ce qu'il s'en sort comme film sur les ordinateurs ? Eh bien, pour commencer, je lui donne un 10/10 pour le style. Il y a tout ce qu'il faut : des costumes moulants noirs et brillants, un environnement urbain réaliste, des lunettes de soleil inutiles, le tout chargé de violence gratuite au ralenti. Joli travail de caméra. Dommage que tout soit vert, mais peu importe – les mondes projetés par les ordinateurs sont toujours verts, on dirait (sauf pour Quake qui est marron). Quoi qu'il en soit, mon cool-o-mètre était au maximum du début à la fin.
Quelque éléments de l'intrigue sont un peu faibles – une résurrection invraisemblable, celle de Tank, et une résurrection un peu plus excusable, car Neo est littéralement un deus ex machina — mais dans l'ensemble, c'est intéressant, bien que les allégories bibliques me donnent d'habitude envie de hurler à l'auteur : « Trouve toi ta propre intrigue, espèce de feignasse ! ». Il y avait quelques incohérences aussi, mais avec suffisamment d'effets spéciaux un film peut bien se passer de logique, non ?
Cependant, il y a une chose qui a rompu mon immersion : la prémisse du film. En gros, c'était quelque chose comme « les êtres humains humains sont cultivés par des machines diaboliques afin de récupérer ce que leurs corps produisent – de l'électricité et de la chaleur. »
Je suis désolé, mais c'est tout simplement stupide. Ce n'est pas simplement que ce n'est absolument pas pratique – je suis prêt à faire semblant qu'il est possible d'y arriver en travaillant suffisamment dur. Ce qui est stupide, c'est que c'est complètement inutile. Il y a cette petite chose qu'on appelle la première loi de la thermodynamique , dont je suis certain que toute machine diabolique digne de ce nom la connaît par cœur. Cette loi énonce tout simplement que vous ne pouvez pas extraire plus d'énergie d'un système que vous n'en faites entrer dans ce système. Les machines dépensent nécessairement plus d'énergie afin de maintenir ces humains vivants – sans compter la simulation du monde artificiel – qu'ils n'en récupèrent. Imaginez si, à la place des humains dans les cuves, les machines diaboliques gardaient des rangées de hamsters, chacun dans sa propre roue, le tout relié à un générateur. Ils doivent encore nourrir les hamsters ! Et l'énergie dans la nourriture pour hamster doit être supérieure à l'énergie produite par les hamsters. Ils feraient mieux de brûler cette nourriture dans une centrale électrique à la place.
Petite parenthèse : d'où la nourriture pour hamster tient-elle son énergie ? Du soleil, mais bien sûr dans Matrix , les humains ont bloqué la lumière du soleil, donc les machines ne peuvent pas produire de graines pour nourrir les hamsters. Mais il y a encore le charbon, le pétrole, le gaz, l'uranium, le vent, les marées et l'énergie géothermique à exploiter – n'importe lequel de ces moyens serait plus efficace que d'utiliser des humains ou des hamsters.
Donc, 10/10 pour le style, mais seulement 3/10 pour savoir de quoi ils parlent. Maintenant, je suis sûr que ce n'est pas un point de vue très partagé. Je peux déjà entendre les râleurs dire : « Eh mon gars, t'es un sacré nerd ! Ce film était totalement incroyable et faut vraiment être un gros geek pour pinailler sur la première loi de la thermodynamique dans un film aussi génial. »
Et je plaide coupable. Ma tolérance à l'ignorance scientifique, du moins dans des mondes où la science compte, semble s'amenuiser peu à peu. Par exemple, je suis absolument livide face à la décision du Kansas State School Board d'exclure l'évolution du programme des écoles publiques [NDT : et il n'est pas le seul]. Matrix est un techno-thriller, et à mon avis, il devrait être impeccable sur ce point — du moins sur les éléments qui concernent le cœur de l'intrigue.
Ceci dit, je sais bien que je joue les hypocrites. Sonic est un hérisson irradié avec des chaussures de tennis rouge, bordel. Moi, qui travaille dans l'industrie du jeu vidéo, j'ai vraiment du culot pour exiger des autres médias qu'ils respectent les lois de la nature. Et puis qui est-ce que ça intéresse après tout ?
Eh bien, parlons-en. En fait, en tant que game designer, vous devez être très attentifs à savoir qui ça intéresse et ce que votre public acceptera ou n'acceptera pas. Il y a cette qualité que possèdent les bons jeux et sur laquelle je n'arrive pas à mettre un nom. Ce n'est pas la crédibilité : la plupart des jeux vidéo ne sont absolument pas crédibles. C'est plus que simplement créer une forme d'immersion. Je peux seulement la décrire en creux : quand un jeu ne la possède pas, les joueurs se mettent souvent à engueuler leur écran et à balancer leur manette. C'est cette qualité qui consiste pour un jeu à être fidèle à ses propres règles, à lui-même et au joueur [NDT : on pourrait peut-être parler de cohérence interne ?]. Si vous escroquez le joueur, si vous le trompez, si vous l'arnaquez ou si vous faites quelque chose qui n'a aucun sens (ou pire encore, qui nécessite que le joueur fasse quelque chose qui n'a aucun sens), alors cette qualité vous échappe.
Cette qualité, quelle qu'elle soit, n'est pas la même d'un genre à l'autre. Il y a plusieurs manières d'enfreindre les règles du monde réel dans un jeu vidéo, et les conséquences ne sont pas toujours les mêmes.
Il y a d'abord la physique sous-jacente dans une simulation. Le type qui a dirigé l'équipe de développement 3DO d'EA était titulaire d'un doctorat en physique, et il insistait sur le fait que les jeux 3DO qui simulaient le monde réel – comme John Madden Football , pour prendre un exemple complètement au hasard – devaient avoir une physique réaliste. Donc, l'équipe a travaillé et travaillé pour rendre la physique aussi réaliste que possible. Ceci a eu exactement les conséquences auxquelles on peut s'attendre, et au final, ils ont enlevé toute cette physique réaliste. Après ça, le jeu est devenu bien meilleur.
Il est très courant de tricher avec la physique dans les simulations. Le fait que ça fonctionne ou pas dépend de ce qui vous pousse à le faire. Si vous le faites pour améliorer le gameplay, comme c'était notre cas, alors allez-y et que Dieu vous bénisse. Si vous le faites pour rendre le jeu plus difficile, en créant une situation où un joueur a du mal à
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