Joanna fait son premier threesome bien intense

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les sélections et les coups de cœur de la rédaction de PREMIERE, toutes les nouveautés françaises et américaines, et les films qui ont fait l'histoire du cinéma.


le 21/12/2009 à 14:43 par La rédaction

Éjectée un peu trop rapidement de la huitième édition de la Star Academy, Joanna Lagrave est pourtant la première de cette cuvée à sortir un single que nous vous avions proposé d'écouter. Voici mainteanant le clip de A l'école des duplicatas. On l'attendait et il est enfin arrivé le premier clip de Joanna Lagrave. Alors que son single A l'école des duplicatas devait être disponible sur les plates-formes de téléchargement légal le 9 novembre dernier , il ne le sera finalement que le 4 janvier prochain . La chanteuse s'était faite remarquer dans l'émission de TF1 par sa voix puissante et par sa relation amoureuse avec Quentin, qui dure toujours. Pour ce premier titre, Joanna a voulu se la jouer plutôt rock, et s'affirmer en tant que femme prête a s'assumer, limite rebelle. Ses paroles en disent long : " Oublie la bouche fermée le regard qui supplie, la femme au foyer privée de sortie. Quand tu lui marches dessus elle te dit merci en souriant, gênée ". Alors, comment trouvez-vous Joanna dans son premier clip ?
Tous les mois, retrouvez le cinéma comme vous ne l’avez jamais lu avec des descriptifs sur les sorties de films, des reportages et des interviews exclusives.
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Joanna fait des révélations sur l'exclusion d'Abdel de Secret Story 8 au micro d'Europe 1

Joanna fait des révélations sur l'exclusion d'Abdel de "Secret Story 8" au micro d' Europe 1 .
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Brest












I nstallée depuis la mi-août, Joanna Larrour est prothésiste ongulaire et propose d'exercer son savoir-faire au domicile de la clientèle, à Brest et dans les villes environnantes. Une reconversion pour la jeune femme, qui travaillait auparavant dans le commerce et qui a suivi une formation au Ciel (Centre international d'étude des langues) avant de se lancer. Jusqu'à un mo is d'effet Diverses prestations sont au programme. À commencer par la pose de gel et capsules, destinés à allonger et renforcer l'ongle. S'y ajoute la petite touche originale, le nail'art, auquel Joanna Larrour est également formée et qui consiste à poser des vernis, de couleur généralement, associés à divers types de décors. « On peut utiliser des stickers, strass, tampons et paillettes », précise-t-elle. Une prestation pour laquelle il faut disposer d'une heure et demie, voire deux heures, et qui sera facturée entre 55 EUR et 65 EUR, suivant le décor choisi. Mais l'effet est garanti et peut durer jusqu'à un mois, au-delà duquel, pousse de l'ongle oblige, il faudra passer par la case « remplissage », dont s'occupe également Joanna Larrour. Un travail qui consiste à reprendre les différents vernis appliqués précédemment, notamment à la base de l'ongle, afin de préserver l'effet bombé.À noter que, si Joanna Larrour intervient directement au domicile de la clientèle, elle propose également ses services pour des prestations ponctuelles, en salons de coiffure ou d'esthétique. Contact Les ongles de NanaJoanna Larrour tél. 06.14.46.08.63sept jours sur sept.






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© Flash Sport / Trek Rose Trip Sénégal
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Fatigue, douleurs musculaires et articulaires, perte de sensibilité aux extrémités... Malgré la maladie de Lyme, Joanna a passé 4 jours sur le trek Rose Trip Sénégal, pour sa première édition dans le désert du Sine Saloum au Sénégal. Témoignage.
Sur la ligne d'arrivée du trek Rose Trip au Sénégal, il y a cette jeune femme de 27 ans qui s'appelle Joanna. Comme de nombreuses coureuses de cette aventure sportive solidaire, elle est venue ici avec une histoire à défendre, un combat à mener. Joanna était une sportive de compétition, elle était cavalière. Mais à 23 ans, on lui a découvert la maladie de Lyme . Depuis, elle vit avec de nombreuses conséquences, tant de l'installation de la pathologie (détectée tardivement) que du fait des traitements agressifs qu'elle a subi.
Il y a quelques années encore, Joanna avait du mal à se déplacer. Aujourd'hui, elle termine plusieurs jours de marche , 20 kilomètres quotidiens sous la chaleur écrasante du désert du Sine Saloum au Sénégal. Elle a gravi des dunes et affronté sa peur de voir ce corps la trahir de nouveau. Elle raconte son combat et cette aventure, vécue avec la maladie de Lyme.
A 21 ans, Joanna représente sa région aux championnats de France d'équitation. Elle a un rythme intense, "une vie à 200 à l'heure", selon ses mots. De fait, elle est souvent très fatiguée. Les études et le sport à haut niveau sont sûrement à blâmer, estime son médecin lorsqu'elle le consulte, d'autant que sa prise de sang revient normale, tout va bien. "Tu te surmènes", lui répond-on simplement. Mais son état se dégrade, la fatigue augmente, se transforme en épuisement. Des douleurs musculaires apparaissent à peine se lève-t-elle le matin, suivies par des douleurs articulaires, aux genoux, aux hanches, au niveau du bassin , ce qui finit par alerter le médecin.
Au bout de 6 mois de recherches médicales laborieuses, un test revient positif : celui de la maladie de Lyme. Cette dernière avait été écartée au départ, sous prétexte qu'on ne la trouvait pas dans la région où vit Joanna. Mais après réflexion, son cheval a été atteint de piroplasmose, transmise par la morsure de tique , il est donc probable qu'elle ait été contaminée au même moment, estiment les médecins, soit depuis plusieurs années. D'autres examens viennent confirmer la théorie de cette infection.
En plus des douleurs, Joanna souffre d'une perte de sensibilité aux extrémités et de gros trous de mémoire . Elle sait de Lyme que c'est une maladie "très variable" et qu'elle est atteinte d'une forme chronique. "J'avais du mal à marcher, ce n'était pas une vie, alors j'ai pris le très lourd traitement qu'on m'a proposé, une antibiothérapie, malgré l'incertitude quant à son efficacité, car il ne fonctionne pas chez tous les patients". Elle y est réceptive, regagne en mobilité, retrouve de la mémoire, mais vit avec des nausées, une fatigue extrême, "l'impression d'avoir 70 ans", résume-t-elle. Lorsqu'elle arrête le traitement au bout de 6 mois, elle rechute, alors elle reprend, puis rechute. Un an et demi plus tard, son état se stabilise, mais les antibiotiques ont entraîné une immunodépression qui la rend très vulnérable . Elle souffre aussi depuis d'asthme, d'une maladie du foie qui bloque la captation du fer et du syndrome du côlon irritable , comme effets secondaires de ce traitement, détaille-t-elle.
Malgré la maladie, Joanna est bien décidée à reprendre progressivement une activité physique . Elle rêve de courir, mais on lui répond qu'il vaut mieux ne pas y compter. Par esprit de contradiction, Joanna se lance dans cette conquête, elle fait un an de rééducation en salle de sport, puis se met à courir, d'abord 500 mètres, puis 1 kilomètre, 5 kilomètres... Elle affronte à chaque fois les douleurs aux poumons, les douleurs musculaires. Elle participe à plusieurs courses de 5 kilomètres et s'inscrit dans un club d'athlétisme. Elle cherche son prochain défi lorsqu'elle découvre le trek Rose Trip de l'organisation Désertours. Elle s'inscrit pour la première édition au Sénégal, en avril 2022.
Elle part remplie d'espoirs et d'appréhensions : la peur de tomber malade, de voir son corps incapable de suivre le rythme se mêlent au désir de réussir à terminer et à " bien terminer, dans de bonnes conditions" , comme si la maladie n'existait pas et qu'elle était comme n'importe quelle autre coureuse. Sur place, elle constate un premier désagrément, son absence de sensibilité au bout des doigts transforme le laçage de ses chaussures de trek (qui doivent être très serrées) en véritable mission, mais ce n'est qu'un détail qu'elle souligne au passage, le sourire aux lèvres. Les deux années de travail "pour reconstruire ma capacité musculaire au niveau des jambes" ont payé, elle n'a pas souffert à ce niveau-là. De manière générale, Joanna s'astreint à un mode de vie strict pour se prémunir des aléas. Avant de partir et en revenant au bivouac chaque jour, elle a fait des étirements qui lui permettent de se prémunir des courbatures .
Son immunodépression la rend vulnérable et les conditions sur place ne sont pas toujours idéales : le régime alimentaire change, l'eau n'est pas potable, les sanitaires partagés... On le sait, à l'étranger on a vite fait de contracter une tourista , qu'elle risquerait de très mal vivre. Joanna a trois organes fragiles, ses intestins, ses reins et ses poumons, qu'elle veut protéger pour vivre le trek sans encombre. "Alors j'ai fait très attention à tout, j'ai contrôlé ce que je mangeais, en évitant à tout prix la viande par exemple, qui me rend vulnérable en cas d'inflammation, je me suis contentée de certains fruits qui tiennent au corps, comme la banane, je n'ai consommé que des choses neutres, comme du riz" , et tant pis pour les découvertes culinaires.
Sa fragilité osseuse au niveau des hanches n'a pas été de tout repos, malgré des chaussures avec le meilleur amorti possible. "Dans les dunes, il fallait monter en diagonale, mes hanches n'étaient pas à la même hauteur et ça a été très compliqué. Chaque jour c'était un peu plus douloureux", observe-t-elle. Le seul moyen de calmer la douleur et d'éviter de boiter, c'est d'arrêter de marcher. "Mais ce n'était pas envisageable pour moi, alors on serre les dents et on continue", sourit-elle après cet effort. Quand son dos tire trop, du fait notamment du poids du sac, qui pèse environ 5 kilos, elle trouve une solution simple : "je le change de position, je le mets sur mon ventre et j'alterne toutes les heures pour me soulager", motivée par la perspective de la ligne d'arrivée.
L'autre obstacle, ça a été la fatigue, principal symptôme de cette maladie. "Je suis comme une batterie qui se décharge, je pars le matin avec toute ma capacité, mais à 16h, c'est fini, je suis éteinte", illustre-t-elle. Si d'habitude il lui suffit d'aller se coucher, elle fait en sorte de tenir encore un peu chaque jour. Mais pour affronter le lendemain, elle a besoin de dormir tôt, ce n'est pas négociable.
Le trek est pour elle l'occasion d'aller plus loin dans la redécouverte de ses capacités physiques. Mais aussi l'événement idéal pour se réconcilier avec sa condition. Malgré toutes ses atteintes, elle est capable de vivre cette aventure intense. "Je me suis battue contre cette maladie, quand quelque chose n'allait pas, je voulais aller contre, quand j'étais fatiguée, il m'est arrivé de le refuser et de forcer", se souvient-elle. "Maintenant, je ne me bats plus contre mon corps, je fais un binôme avec ma maladie, je réapprends à me connaître".
Au niveau alimentaire, médicamenteux (elle avait tout prévu en cas de pépin), psychologique, physique, le trek lui permet de se rendre compte qu'elle connaît les signaux d'alerte et qu'elle sait y répondre, qu'elle n'est plus envahie par la maladie mais qu'elle cohabite avec . En témoignant, elle aimerait que sa prise de conscience puisse être un message d'espoir envoyé aux malades dont les corps les ont lâchés. Elle aimerait leur dire qu'on peut parfois faire mentir les pronostics et se remettre en marche.
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