Jeux de pieds érotique

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ELLE › Lifestyle › Un jeu de l’oie coquin à télécharger

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Envie de passer une soirée torride ? Voici un jeu de l’oie coquin à télécharger pour faire monter la température …
Vous avez déjà certainement joué au jeu de l’oie, mais probablement pas encore à une version comme celle-ci…
Pour vous faire profiter d’une soirée remplie de tentations, de désir et de complicité, Perrine, auteure du blog Pépites d'Amour , a imaginé un jeu de l’oie coquin!
Imprimez la planche de jeu , munissez-vous d’un dé et deux objets pouvant faire office de pions. Vous avez le choix d’imprimer la liste de toutes les règles ici , ou de bien de découper chacune des petites cartes , que vous ne retournerez que lorsque vous arriverez sur une case, afin de laisser plus de suspens.
Jouez à tour de rôle et découvrez au fur et à mesure du jeu les défis que vous devrez relever. Cela commence de manière douce et complice et le jeu se termine par des actions carrément "hot"…
Pensez-vous que vous arriverez à terminer le jeu sans succomber à la tentation?
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Je suis majeur(e)

À tour de rôle, vous recevez des gages qui utilisent les accessoires coquins dont vous diposez et qui respectent les désirs de chacun. Au fil de la partie les gages érotiques deviennent de plus en plus coquins et vous emmènent tout doucement vers l'orgasme.
C'est l'occasion rêvée pour réaliser votre fantasme sans devoir l'avouer. Pour cela, il vous suffit de choisir votre envie secrète parmi nos centaines de gages et vous la recevrez pendant la partie sans que personne ne sache que vous l'avez demandée.
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Votez pour les prochains gages ainsi que pour vos fantasmes préférés
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Vous aider à pimenter vos soirées coquines en vous proposant des jeux de sexe qui vous permettront d'explorer vos désirs et vos fantasmes en couple ou à plusieurs.
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Accueil » Un petit jeu sans conséquences 1
Introduction
Où Stéphane se présente, présente sa femme Céline, son boulot et ses collègues.
Je savais bien que ce genre de journée avait tout pour me déplaire? mais je n’imaginais toutefois pas que les choses pourraient tourner ainsi.
A bien y réfléchir, tout avait commencé à se compliquer depuis longtemps, depuis que mon boulot a changé… ou peut-être avant encore.
Mais commençons par le commencement.
Je m’appelle Stéphane, 37 ans au moment où cette histoire commence, marié depuis une petite dizaine d’année à une adorable Céline, de cinq ans ma cadette ; j’étais cadre dit « intermédiaire » dans une grosse société en banlieue parisienne. J’avais toujours bien mené ma barque dans cette société où, après 12 ans de bons et loyaux services, je faisais presque partie des meubles.
Je n’y ai jamais été considéré comme spécialement brillant mais, plutôt coopératif et disponible, ma progression avait été à peu près régulière et incontestée.
Mes relations professionnelles étaient longtemps restées anecdotiques et vaguement débonnaires, jusqu’à ce que le patron historique ? que je connaissais personnellement ? se décida à passer la main. A cette occasion, l’essentiel des participations est passé sous contrôle nord-américain et, contexte international aidant, c’est toute la ligne de management (comme on dit) qui a été renouvelée? et plus généralement l’ensemble des méthodes et habitudes s’en sont trouvées bouleversées.
Non pas que je sois spécialement rétif au changement mais il fallait bien reconnaître que la « société de papa » que j’avais connu, et appris à aimer, avait trop brutalement disparu.
Du jour au lendemain, ou quasiment, mon ancien chef a été mis en préretraite, l’essentiel de son action remise en cause et, surtout, il me fallait repartir de zéro après des années de construction patiente d’une relation de confiance.
Les premiers mois ont été vraiment très difficiles pour moi. Mon chef direct était un certain Luca, un type plus jeune que moi, rempli d’assurance (de mon point de vue : beaucoup de présomption !) et de bagout, et dévoré par l’ambition. L’honnêteté m’oblige aujourd’hui à reconnaître qu’il était sans doute compétent pour ce travail mais je ne pouvais pas supporter l’idée qu’un type venu de nulle part, sorti des valises d’un patron anonyme, puisse venir me donner des ordres.
Au fond, je n’ai jamais aimé ce type, aussi et surtout parce qu’il avait une belle gueule et en usait effrontément. Ses manières, son calme, son sourire, son aisance, tout en lui m’agaçait. Peut-être l’a-t-il senti. En tous cas, je crois pouvoir dire que nous avons dès le départ eu des rapports difficiles.
Ils ne se sont d’ailleurs pas améliorés lorsqu’il s’est agi de rentrer dans le vif du sujet. Rapidement, Luca a voulu imprimer sa marque sur le fonctionnement de la division, et cela nous imposait une sérieuse remise en cause, à mes collègues et moi-même.
Comme je l’évoquais tout à l’heure, je n’avais pas ressenti le besoin de nouer des relations particulièrement fortes avec mes collègues de travail. De par mes fonctions successives, je connaissais un peu mieux Eric L. et Philippe R., qui étaient venus manger une ou deux fois à la maison, mais il serait très exagéré de les considérer comme des amis. Tous les autres étaient pour moi des « relations de travail », d’autant plus que les récents bouleversements avaient contribué à une grande vague de départs. De la « vieille garde » nous n’étions plus que quatre ou cinq, dont Eric et Philippe, et un gars assez désagréable prénommé Frank, dont j’aurai l’occasion de reparler par la suite.
Lorsque Luca a cherché à mettre en place ses méthodes, il a assez vite pu s’appuyer sur Eric et Frank, qui étaient apparemment plus réceptifs que moi à ces nouveaux usages. Je pense que c’est à ce moment-là que j’ai, professionnellement, « manqué le train ».
En huit mois de ce traitement, le boulot qui m’avait jusqu’ici passionné s’était presque transformé en calvaire. Je rentrais plus tard qu’avant, mais beaucoup plus morose aussi et, à la longue, cela finissait par peser sur notre couple.
Mais je réalise que je ne vous ai pas encore parlé de mon épouse !
Céline est un joli petit bout de femme, brune aux yeux verts. Physiquement ce n’est pas une « bombe » mais elle a toutefois su conserver « ce qu’il faut, là où il faut », de belles fesses bien rebondies, un adorable petit ventre, de beaux seins fermes et pleins, une bouche coquine et un joli nez mutin.
Même si elle sait être pétillante avec ses amis proches, c’est plutôt une fille discrète et effacée, que j’ai toujours connue « en retrait ». Préférant le plus souvent garder ses lunettes plutôt que des lentilles, elle avait tout l’air de la petite femme bien sage et, la connaissant dans l’intimité, c’est ce qu’elle était ? du moins le croyais-je.
Nous avons eu deux beaux enfants, Rachel et Thomas, qui ne nous ont jamais posé de problèmes.
Céline s’était arrêtée de travailler pendant plus d’un an pour mieux s’en occuper, mais avait quand même été ravie de reprendre par la suite son boulot d’expert-comptable où son calme et sa rigueur faisaient merveille. Contrairement au mien, son poste était sans trop de surprises et lui apportait tout ce qu’elle attendait en termes de gratification professionnelle et sociale, tout en préservant une belle qualité de vie. En fait, elle ne m’a jamais parlé de son travail comme un souci, ce qui était assez rassurant au fond.
Céline s’est montrée très prévenante lorsque le vent a commencé à souffler dans le mauvais sens pour moi. Je lui parlais, bien plus qu’avant, de ce qui m’était arrivé dans la journée et, malheureusement, ce n’était pas très réjouissant. Elle m’a beaucoup soutenu dans cette période.
C’est pourquoi elle avait semblé particulièrement soulagée lorsque je lui ai parlé de cette « journée de détente » organisée par Luca dans sa villa. C’était une manière « informelle et conviviale » de faire connaissance dans un autre cadre que celui du boulot ? le concept aujourd’hui assez répandu de team-building. Etaient conviés tous mes collègues cadres et leurs conjointes, avec au programme : pétanque, buffet, jeux de cartes, etc, dès le samedi après-midi et jusque tard dans la nuit.
Je redoutais particulièrement ce genre de fête, appréhendant par avance de me retrouver à échanger des banalités avec des gens que j’avais déjà du mal à fréquenter en semaine. Céline, elle, trouvait l’idée excellente et a fini par me convaincre que je ne perdrais pas grand chose à participer à cette manifestation.
Chapitre Premier
Où la journée commence mieux que prévu, et où l’agacement peut conduire à des déclarations fâcheuses.
Le jour venu, mes appréhensions avaient repris le dessus. Heureusement, Céline était ravie de cette occasion que nous avions de sortir « en couple » (nous avions pour l’occasion laissé les enfants chez mes beaux-parents) et sa bonne humeur a pu me dérider en cours de route.
La villa de Luca était dans la région de Tours, dans un coin de campagne très tranquille. J’avais tellement rechigné au moment du départ que nous fûmes parmi les derniers à arriver. La journée était superbe et nous sommes parvenus sans encombre jusqu’au point de stationnement indiqué, sous un clair et beau soleil de printemps.
Dès que nous avons franchi le portail, Céline fut frappée par le jardin, magnifiquement entretenu il est vrai. Nous vivions depuis plus de dix ans dans un petit pavillon dans l’Essonne, et le petit carré de pelouse devant la maison mitoyenne ne ravissait pas mon épouse, je le savais. La différence, en l’occurrence, était flagrante.
De mon côté, je ne me suis guère attardé sur le jardin ; je commençais déjà à évaluer le niveau d’ennui dans lequel la journée allait me plonger. Comme je l’appréhendais, peu de mes collègues étaient venus accompagnés. Je savais Eric divorcé, et Patrick célibataire de toujours. Frank semblait être venu seul également. En tout et pour tout, pour mes seize collègues, il n’y avait que cinq femmes. La discussion risquait fort de tourner autour des sujets sans cesse rebattus pendant la semaine.
Alors que nous nous dirigions vers les tables de jardin dressées pour l’occasion, la silhouette sportive de Luca jaillit de derrière un parasol et s’avança souplement dans notre direction. Il était comme métamorphosé : je le croisais tous les jours en costume-cravate, apprêté comme un milord, et il nous apparaissait aujourd’hui, dans un tout autre contexte, en petit polo et pantalon de toile, la coiffure un peu plus relâchée qu’à l’habitude. Il arborait son sourire le plus enjôleur, s’écriant : « Stéphane ! enfin ». Il s’arrêta et me serra vigoureusement la main, me regardant avec un sourire infiniment paisible, comme s’il paraissait sincèrement content de me voir. Puis il tourna la tête vers Céline et, sans rien changer de son attitude, lui tendit tranquillement la main en lui disant : « Mme G? Bienvenue ! ». Un peu décontenancé par cette entrée en matière inattendue, je sus malgré tout faire les présentations :
– Céline? euh? voilà, je te présente Luca, mon chef? Luca : Céline.
– Voyons, Stéphane, s’il te plaît, oublions pour aujourd’hui qui est le chef de qui. Luca, donc, Madame, je suis vraiment ravi de faire votre connaissance.
– Moi aussi… Stéphane m’a beaucoup parlé de vous.
– Ah ! (il eût l’air gêné) j’imagine qu’il n’a pas dû vous faire que des louanges ! Mais nous sommes ici pour apprendre à mieux nous connaître. Je suis vraiment content que tu aies pu venir, Stéphane. Venez donc prendre quelque chose.
Alors qu’il tournait les talons, Céline me jetait un regard empli de malice ; elle me faisait comprendre que j’avais vraiment tout à gagner de cette journée et, ma foi, je reconnaissais que cet accueil était d’excellent augure.
Nous nous sommes rapidement mêlés à la foule des convives. L’ambiance s’est vite détendue et je commençais à percevoir les possibilités offertes par une telle rencontre. Je regardais à présent mes collègues d’un autre oeil et étais surpris de découvrir, derrière les plates considérations auxquelles nous étions confrontés chaque jour, des hommes aussi « intéressants et banals » que moi. Même Luca me devenait sympathique, il se fondait naturellement dans le décor, sans chercher à parader et tout le monde semblait avoir oublié qu’il était notre chef ? et, par ailleurs, l’hôte de ces lieux. Dans ce foisonnement de découvertes, j’étais également étonné de constater que ce diable de Luca était célibataire. Au cours de la rapide visite à l’intérieur de sa villa, je ne trouvais aucun signe de présence féminine et, chose peut-être plus étonnante à mes yeux, aucun signe de la virilité exubérante et tapageuse à laquelle je m’attendais de la part du flamboyant hidalgo que je haïssais au bureau. Alors que j’imaginais une exposition prétentieuse de toiles contemporaines, de mobilier art-déco et une penderie pleine de costumes Hugo Boss soigneusement repassés, Luca nous avait plutôt montré des pièces fonctionnelles, bien rangées, correctement meublées mais sans effet particulier ; la buanderie était, comme chez nous, encombrée d’une imposante corbeille à linge. Tout dans cette maison respirait la simplicité, à l’exact opposé du personnage que j’avais imaginé jusqu’ici.
Je me surpris plusieurs fois en ce début d’après-midi à regarder Luca en me demandant si je ne m’étais pas fourvoyé depuis son arrivée, et si les bouleversements de la société n’avaient pas faussé mon appréciation des choses.
Vers 15h30, Luca proposa l’organisation d’un tournoi de pétanque. Nous étions tout juste vingt-quatre, ce qui permettait de mettre en place huit « triplettes ».
Ces équipes étaient tirées au hasard intégral, et je me retrouvais à faire équipe avec Frank et Luca, Céline étant associée à Eric et Philippe. Originaires du centre de la France tous les deux, ni Céline ni moi n’étions des habitués du jeu provençal. Mais l’objectif n’était pas la performance !
Le jardin était assez grand pour que les quatre matches puissent avoir lieu simultanément, mais également suffisamment petit pour que les parties se télescopent parfois. Au bout de vingt minutes, la chaleur et les pastis aidant, l’ambiance était à la franche rigolade. Céline s’amusait visiblement beaucoup, et semblait par ailleurs très en verve.
Alors que je la regardais, Frank vint me voir et commença à discuter :
– Elle a l’air très sympa, ta femme. Tu as de la chance !
– Oui, oui… (je répondais évasivement, plus concentré sur ma femme que sur mon coéquipier)
– C’est pas facile de tomber sur la bonne…
– Hmm… tu n’es pas marié, toi ?
– Bah, si… enfin, je l’étais, disons.
A la fin des matchs de poule, tout le monde se regroupa sous les parasols pour prendre une nouvelle collation. Eric et Philippe vinrent vers moi avec des drôles de tête.
– Stéphane, ta femme est incroyable !
– Ah, tiens ? Répondis-je.
– C’est une vraie pro de la pétanque ! Répliqua Philippe en souriant. Et puis, elle est vachement sympa.
– J’aurais aimé que ma femme soit comme elle… ajouta Eric, l’air songeur.
Piqué au vif par cette remarque, je ne pus m’empêcher de poursuivre :
– Qu’est-ce-que tu veux dire par là ?
– Ben, tu sais, j’ai divorcé… mon ex-femme était un vrai dragon, hyper jalouse… et en société c’était pas trop la joie…
– Ouais… les femmes, c’est souvent ça…
Cette remarque de Philippe, éternel vieux garçon, était un peu surréaliste. Je pris l’air faussement embarrassé pour répondre :
– Oh, vous savez… Céline n’est pas toujours aussi détendue ! Vous êtes tous les deux divorcés ?
– Eric oui, m
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