Jeux de bites

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Jeux de bites
Archivé de: Lettres Gay – Numéro 77
Date de parution originale: Juillet 1996

Date de publication/archivage: 2014-07-08

Auteur: Damien
Titre: Jeux de bites entre potes
Rubrique: À poil, mais sans poils
Note: Le magazine Lettres Gay ayant disparu, nous archivons sur Gai-Éros des textes y ayant été publiés au fil des ans, à titre d'archive, notre but premier étant que la littérature homo-érotique se préserve au fil du temps. Si vous êtes l'auteur de ce texte ou si vous détenez des droits légaux sur ce texte, veuillez communiquer avec nous sans délais.
Ce texte a été lu 23348 fois depuis sa publication (* ou depuis juin 2013 si le texte a été publié antérieurement)


Je me présente, j’ai vingt-six ans, je suis marié, je fais 1m80 pour 69kg, je suis châtain clair et pratiquement imberbe. Je ne suis pas homo mais j’aime voir de beaux corps d’hommes ou de femmes, et surtout me faire voir.

Au cours du week-end où mon épouse était partie en vacances chez ses parents, j’avais envie de revoir des copains que j’avais connus à l’Armée. À mon invitation, il n’y eut que deux réponses affirmatives, celles justement de mes deux meilleurs copains de chambrée. Il y avait Éric, âgé de vingt-six ans comme moi, brun, et Marc, blond, qui lui avait devancé l’appel et avait maintenant vingt-quatre ans. Cela faisait près de quatre ans que nous ne nous étions revus. Après la joie des retrouvailles et nos histoires propres à chacun, j’étais le seul à être marié, mes deux potes étant de fiers célibataires.

J’avais préparé un bon repas et surtout bien arrosé; à l’apéritif nous étions déjà bien amochés! Marc m’a demandé si je ne connaissais pas quelques copines qui pourraient venir en aide à trois beaux mecs. Malheureusement, depuis mon mariage, j’avais rompu toutes relations avec mes anciennes copines. À défaut de filles, j’avais des films pornos. Bien sûr, ils furent d’accord et acceptèrent.

Au début du film, chacun sourit un peu en voyant les images défiler. Éric n’arrêtait pas de faire des commentaires sur le sexe des mecs; «Putain, quelle bite il a, ce mec!» ou «Regarde ses couilles, elles sont rasées!» Tout en faisant ces commentaires, il se touchait la braguette sans se soucier de nous. Nous étions tous les trois excités; les bosses de nos pantalons ne pouvaient pas dire le contraire. On avait beau se connaître par cœur, nous n’avions jamais eu d’aventure ensemble, sauf quelques mises à l’air et autres paluchages pendant notre armée. À un moment, Marc sortit carrément sa bite pour se branler devant le film qui défilait sous nos yeux. Éric a proposé de faire un poker déshabilleur pour pimenter la soirée. Marc n'avait sur lui que son slip. Il commençait à rebander et son gland apparaissait par-dessus l'élastique. On pouvait voir aussi sa touffe de poils blonds qui débordait. Éric était en caleçon à fleurs. Il bandait carrément à la verticale, même assis, l’entrejambe était difforme. Pour ma part, j’avais encore mon jean et je bandais comme les autres. Nous étions tous les trois torse nu.

Éric perdit la partie. Il se leva pour quitter son caleçon, et c’est nu avec une trique du diable qu’il se montra à nous. Il resta un moment debout comme pour exhiber sa trique et son corps. Il tourna sur lui-même comme dans un défilé de mode. Il avait une belle bite d’environ dix-huit centimètres. Elle était ornée d’une forêt de poils noirs drus et épais. Ses fesses étaient belles, musclées et sans poil. En se rasseyant, je vis que ses couilles n’avaient pas de poil et je lui dis:

— Dis donc, toi aussi tu n’as pas de poils aux couilles, tu es comme les acteurs de pornos!

— Eh oui, je me fais raser les boules et le cul car j’aime me les faire sucer, et les femmes n’aiment pas les poils sur les couilles ou dans le cul!

— Ben, mon salaud! et il passa une main sur les couilles de notre copain nu, comme pour en vérifier la douceur.

Éric, lui, était assis les jambes écartées et semblait aimer cet attouchement.

— C’est vrai que c’est lisse et doux, surenchérit-il.

Éric perdit encore la partie suivante et du fait qu’il était déjà nu, il fallut trouver un gage. J’aurais aimé perdre car dans mon jean ma queue me faisait mal. J’étais dans le même état que mes deux copains, nous bandions comme des fous. Marc a proposé qu’Éric exhibe son corps dans toutes les pièces de l’appartement et dans toutes les positions. Dans la cuisine, Éric a posé sa jambe sur la table, a cambré son dos. Nous étions derrière lui et on voyait son trou imberbe. Dans la salle de bains, il prit appui sur le rebord de la baignoire, et on voyait ses grosses couilles imberbes pendantes. Dans la chambre il s’est mis sur le lit et ramena ses jambes sur sa tête comme pour essayer de se sucer. Dans la salle à manger, il est monté sur la table et s’est accroupi. Dans chaque pièce de l’appartement, il devait se branler la bite ou se caresser le cul à notre demande. Inutile de vous dire que nous n’avions pas intérêt à perdre car il se vengerait. Marc avait toujours la trique et de temps en temps il se massait à travers son slip. Moi je me caressais par-dessus le jean. Il faut ajouter quand même que l’alcool nous faisait perdre toute inhibition.

Nous avons repris la partie et ce fut au tour de Marc de perdre. Il quitta donc son slip. Il avait beau être blond mais il avait plus de poils qu'Éric. Ils luisaient, ses couilles et son cul étaient recouverts de poils longs et bouclés. Lui aussi resta un long moment debout devant nous en nous exhibant sa bite et son cul. Il se rassit en ne manquant pas de se faire toucher par Éric. J’étais donc le seul à ne pas être nu. Marc perdit encore la partie d’après, et là Éric dit:

— Mon vieux, tu vas déguster, vengeance, vengeance!

Le gage fut décidé par Éric. Marc devait se branler devant nous mais sans jouir.

— Tiens, ça fera un souvenir pour quand tu ne pourras plus bander!

La main qui le branlait alla sur ses fesses et il passa ses doigts dans son sillon. Il écarta ses globes fessiers et nous avons pu voir que l’intérieur de son cul était poilu. Voyant sa bite aller au gré de ses mouvements du bassin, je tentai d’approcher ma main sur son sexe et ses couilles. Tout ça avait beau être poilu, ce n’en était pas moins doux et soyeux. Les deux mains de Marc étaient sur ses fesses et se caressaient devant l’objectif. Moi je le décalottai doucement. J’étais encouragé par les râles de Marc. Éric aussi se branlait en prenant les photos. Marc me demanda d’arrêter car il sentait monter la jouissance. Éric dit que cela tombait bien car il n’y avait plus de photos!

Nous avons repris la partie. Marc et Éric ne se privaient pas de commentaires sur le fait que j’étais le seul à ne pas être à poil. Je fis exprès donc de perdre cette partie, car même si j’aimais voir, j'aimais aussi me faire voir, et parti comme ça je n’étais pas loin d’exploser dans mon jean. Je me levai donc et je fis face à mes deux invités nus et je déboutonnai mon 501. Le premier bouton, le second... arrivé au quatrième mon jean tomba à mes pieds et c’est tout aussi nu qu’eux que je leur apparus car je ne portais jamais de sous-vêtements.

— Espèce de salaud, de vicelard! T’es à poil sous ton fute! me dit Éric.

— T’as vu sa bite, Éric, elle est grosse, s’exclama Marc.

— Cela valait bien le temps d’attendre. On avait beau s’être déjà vus à poil mais là, quand il bande, c’est autre chose! Marc me demanda combien elle mesurait.

Je déambulai à poil devant eux, à la recherche d’une règle pour mesurer ma queue. Au passage, je me faisais bien reluquer par mes potes. J’avais ma bite à l’horizontale et mes couilles ballottaient au gré de mes mouvements. Eux, en me matant se branlaient mutuellement. Quand je me suis retourné avec la règle en main, Marc me dit de m’allonger sur la table. Éric m’écarta les jambes au maximum. Marc était debout à côté de mon visage et j’avais une vue imprenable sur ses couilles velues et sur sa bite. Il se branlait devant moi en souriant. De temps en temps il relevait sa tige sur le nombril et soulevait ses couilles. Je pouvais voir sa raie. Quand il fut le plus près possible, il lâcha sa bite qui frappa ma joue. Pendant ce temps Éric tenait ma bite à l’horizontale.

— Cela ne va pas. J’ai beau appuyer sur tes poils, ils sont tellement épais que cela m’empêche de voir tes vraies mensurations. Tu ne veux pas que je te fasse une petite coupe intime?

Il ajouta que si c’était pour ma femme que je m’inquiétais, cela lui ferait une surprise pour son retour. Marc continuait de plus belle à me tapoter la joue avec sa tige. Finalement j’acceptai à la condition qu’ils exécutent tous les deux chacun un gage après mon rasage. Je reprends place sur la table avec les fesses un peu plus dans le vide. Je m’appuie sur les coudes pour regarder une dernière fois ma toison pubienne. Éric prend mes poils du pubis et les coupe avec les ciseaux; pendant ce temps Marc caresse les couilles d’Éric. Il lui branle la teub, lui caresse le cul et ses couilles dénudées de poil. Je regarde les touffes de poils tomber par terre, mon pubis apparaît plus nu que nu. Marc regarde le spectacle en se branlant doucement et demande à quoi il peut être utile. Éric lui dit qu’il n’a qu’à m’enduire de crème dépilatoire les couilles et le bas de mes fesses. Il me les masse doucement en faisant rouler mes boules. Pendant ce temps je vois apparaître des parties de peau de mon anatomie que je n’avais jamais revues depuis ma puberté. Inutile de vous dire que nous bandons comme des malades!

Puis il enduit la partie cachée de mes fesses et il badigeonne mon sillon anal. Éric prend la mousse à raser pour me l'appliquer sur le peu de poils qui restent sur le pubis. Je commence à gémir et Marc insiste sur ma raie avec ses doigts. Avec son autre main il écarte carrément mon cul pour voir son travail. À un moment il tente d’introduire un doigt enduit de crème dans mon anus. Le délire. Il me branle carrément le cul en faisant aller et venir son doigt dans mon fion. J'ai rejeté la tête en arrière et je soupire. Je gémis de plus en plus fort. Les commentaires ne manquent pas mais je les entends comme dans un rêve. Éric demande à Marc d’arrêter car le “travail” n’est pas fini et il faut se retenir avant de jouir. Marc arrête et me demande si je n’ai pas d'autres pellicules photos pour immortaliser mon premier rasage.

Pour enlever la crème dépilatoire je dois passer sous la douche. Pour me rincer le cul, Marc donne l’appareil photo à Éric et il prend le pommeau de la douche pour me rincer la raie en écartant bien mes fesses. Il a mis la position du jet de douche à haute pression, l’eau me rentre dans le cul, un vrai lavement! Quand je m’essuie, ils veulent s’assurer de la douceur des endroits rasés, alors les caresses s’accentuent, surtout sur les fesses et les couilles. Je palpe, je touche, je branle et mon cul est de nouveau visité par un doigt furtif. Je m’étonne de la facilité de cette introduction car je ne me suis jamais fait sodomiser. Éric me demande de me rallonger sur la table pour terminer les photos de mon anatomie nue. Il me demande de me branler devant l’objectif. Je suis rejoint par Marc qui fait la même chose que moi. Éric donne la règle à Marc pour mesurer mon sexe dégarni de tout poil et il annonce 20,5cm!

— Quelle bite! Tu vois, c’est encore plus gros quand il n’y a plus de poils!

À un moment, Marc se place entre mes cuisses puis se baisse, il gobe mes petites couilles lisses qui sont devenues aussi dures que des cailloux. Je suis agréablement surpris de le voir me téter. Éric est tout aussi surpris mais ne quitte pas son rôle de photographe. Du fait de l’excitation, je laisse Marc m’embrasser la colonne et je lui caresse les cheveux. Je me décalotte et lui continue de me bécoter en remontant vers mon gland. Ses main sont sur mes fesses et l'un de ses doigts entre dans mon trou, et au même moment sa bouche s'empale sur mon sexe. Son doigt aussi me lime le cul en rythme avec sa bouche, puis un deuxième doigt entre tout aussi facilement. Je ne tarde pas à jouir. Je préviens mon suceur. Marc retire sa bouche mais ses doigts restent dans mon intimité. Il baisse la tête entre mes couilles et me les mordille. J’éjacule abondamment sur son dos en râlant de plaisir.

Après un petit temps de repos, je me ressaisis car il me reste les deux gages à donner à mes deux potes. Je propose alors à Éric qui a les couilles et le cul rasés de se faire badigeonner tout le corps de Nutella et que Marc le lèche. Éric s’allonge à même le sol et je commence à étaler la crème sur son corps. Je m’applique sur son cul, sa bite, sur le gland que je décalotte pour bien garnir son prépuce. Je lui en mets aussi une grosse plâtrée sur la rosette. Mon tartinage le refait bander. Pendant ce temps Marc se lèche les babines à l’idée de s’avaler tout ce chocolat et de sucer cet engin. Une fois bien enduit, je lui dis qu’il peut se lever et je donne le départ pour que Marc commence la toilette de notre ami. Le vicieux commence directement par les couilles qu’il prend en bouche. Éric me caresse le sexe. Marc lèche les côtés de la bite d’Éric avant de la prendre entièrement en bouche.

C’est amusant de voir le contraste de son corps noir de chocolat et sa bite qui ressort blanche! Au moment de nettoyer les fesses, Marc lèche les deux globes fessiers. Quand ils sont redevenus blancs, il me demande de les écarter pour bien lécher la raie. Il aime ça, le salaud! Il fait ça en s’appliquant et même amoureusement. Éric se branle franchement. J’arrive derrière et écarte son cul. Sa raie apparaît et Marc donne des grands coups de langue pour en nettoyer l’intérieur.

Quand Éric revient de la douche, il me demande si j’ai trouvé le dernier gage que je dois à Marc. En attendant ma réponse, il se branle car il veut de nouveau jouir, ce qui arrive en peu de temps. Sa queue retombe rapidement mais les nôtres ont repris de la vigueur. Le gage est trouvé. Malgré notre parole de rester à poil tous les trois pendant le week-end, je décide que Marc doit nous servir d’homme à tout faire pour ces deux jours à venir. Donc, durant cette période, il s’est baladé à poil sur le balcon pour arroser les fleurs. Il est allé chercher le courrier dans le hall d’entrée de l’immeuble à onze heures du matin, tout nu, sans prendre l'ascenseur. Il a fait la vaisselle et, pendant que Éric et moi mangions, il a dû nous sucer sous la table. Il nous a lavés, nous a rincés, nous a essuyés. Nous aussi on l'a branlé, enculé avec toutes sortes d’objets et toujours à poil. Et le week-end s’est terminé par un rasage total de notre ami Marc qui est blond et très velu.

Nous nous sommes quittés et on s’est promis de se revoir pour recommencer ce genre de week-end, mais il faut attendre que nos poils repoussent. Depuis cette aventure, et comme ma femme aime mon sexe et mon cul glabres, je me rase ou me fais raser quotidiennement. Je suis devenu un véritable adepte!



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