Jeune superwoman seule chez elle

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Elles ne veulent pas que le travail passe avant tout et privilégient leur vie privée, leur famille et leur équilibre. Retour en arrière ou révolution ? Enquête. Par Dorothée Werner et Nathalie Dupuis. > Réagissez sur le forum 
  Prenez une actrice de 23 ans (Léa Seydoux). Que comprend-on en lisant son portrait dans la presse (1) ? Que cette jeune femme moderne, élevée par une mère émancipée, se revendique « très maternelle », rêve de faire quatre enfants et reproche plus à Brigitte Bardot de ne pas s’être occupée de son fils que ses idées politiques. Prenez une chanteuse libérée, collectionneuse d’amants. Elle se marie avec le président de la République, et répète à l’envi « mon mari, mon mari, mon mari » avec un bonheur démonstratif de femme soumise. Sa cote de popularité explose. Prenez encore les enquêtes sur les valeurs des jeunes : celle menée par la Fondation pour l’innovation politique en janvier dernier montrait que la vie de famille, l’amour et la fidélité étaient les seules valeurs sûres des 16-29 ans dans un monde vécu comme hostile. Au point qu’on ne compte plus chez les filles les plus diplômées celles qui choisissent de lâcher leur boulot « à haut potentiel » pour élever tranquillou leur progéniture (2), ou qui se mettent à mi-temps, refusent une promotion ou acceptent un emploi sous-dimensionné pour ne pas passer leur vie au bureau. Prenez enfin le constat consterné du Planning familial qui assiste médusé à une défiance nouvelle des jeunes femmes vis-à-vis de la pilule, dont les ventes baissent année après année (moins deux millions de plaquettes entre 2003 et 2006)... Mais que se passe-t-il ?
     (1) « Libération » du 12 septembre 2008.       (2) ELLE du 11 avril 2005, « Diplômées et mères au foyer, les femmes rentrent-elles à la maison ? ».   
  Amies féministes de la première heure, vous qui avez brûlé gaiement vos soutiens-gorge, vous qui gobiez chaque jour votre pilule comme un passeport vers la liberté, vous qui avez cru à votre épanouissement dans le travail, vous qui vous êtes offert le luxe de divorcer et de recomposer votre famille, de n’être jamais dépendante d’un homme quel qu’en soit le prix à payer, sentezvous le vent tourner ? Que sont vos filles devenues ? Assiste-t-on à un retour en arrière sur le front féministe ou bien à l’invention d’une nouvelle manière de vivre sa féminité ?
Consternée par ce qu’elle appelle la « régression ambiante », la philosophe Elisabeth Badinter penche pour la première hypothèse. Ce n’est pas le cas des jeunes femmes que nous avons interviewées. Certaines évoquent même une révolution douce, comme Elodie, 32 ans : diplômée d’une des cinq plus grandes écoles de France, elle lâche tout après avoir bossé comme une tarée pendant cinq ans, et se vit comme une « pionnière » : « Etre systématiquement cataloguée “bobonne”, c’est parfois dur à assumer. Sans compter le salaire en moins, la dépendance financière vis-à-vis de son conjoint, parfois inquiétante... Sauf qu’au jour le jour, c’est le bonheur ! » Flore Marquis-Diers, présidente de l’association proallaitement Leche League, confirme : « Les femmes sont en train de se réapproprier la maternité. Revendiquer ses droits sur un modèle masculin comme pendant les années 70, c’est fini. Aujourd’hui, les femmes profitent des acquis féministes mais veulent encore plus. Elles luttent maintenant en cohérence avec leurs envies profondes. »
Ou une nouvelle manière de vivre sa féminité ?
  Syndrome Vanessa Paradis, icône générationnelle qui ne jure que par son épanouissement dans le couple et son rôle de « maman » ? La glorification de la maternité, Graal de la jeune femme moderne, est passée par-là. Conjugué à la défiance vis-à-vis du monde du travail, dont témoignent encore nombre de romans cette année (dont « L’open space m’a tuer » d’Alexandre Des Isnards et Thomas Zuber, éd. Hachette Littératures), ce culte de la « Mum » fait des émules, en tout cas chez celles qui peuvent se le permettre.
Quant à la fameuse « libération sexuelle », elle serait devenue une injonction tétanisante, comme en témoignent les sexologues, débordés par des jeunes qui cherchent leur chemin vers une sexualité plus ordinaire après avoir vu des pornos trop tôt. C’est Claire, 28 ans, qui résume le sentiment général : « Catherine Millet, une femme libérée, tu parles ! Se faire baiser dans des partouzes sans jamais jouir, c’est ça la liberté ? Non merci, je préfère coucher toujours avec le même, et que ça soit bien, gentil et doux. » Non seulement les préjugés sur la pilule (qui fait grossir, rend stérile…) reviennent en force, portés par l’angoisse écologique et la peur de la chimie, mais les spécialistes constatent que la virginité des filles est une valeur partagée par les jeunes générations : « L’ordre social se construit encore sur la pureté des femmes, donc de la virginité, constate Isabelle Clair (3), sociologue au CNRS, après une longue enquête sur le terrain. La génération des féministes a tenté de s’en dégager, les jeunes filles y reviennent. On retrouve aujourd’hui une croyance très forte : les femmes qui ont des relations sexuelles sans amour sont des “putes”, pas les garçons. »
Autre combat féministe mis à mal : l’injonction d’allaiter est plus forte que jamais, y compris dans les maternités publiques. Résultat : 64 % des mères donnent le sein aujourd’hui, contre 30 % dans les années 70. A ce stade de la démonstration, doit-on évoquer le retour de la couche lavable, écologiquement correcte ?
  (3) Et auteure des « Jeunes et l’amour dans les cités » (éd. Armand Colin). 
  Une idée sous-tend ce phénomène : Juliette, 26 ans, l’explique clairement : « Regardez la vie des filles d’aujourd’hui. Seules ou en couple, à jongler avec un boulot pourri et des enfants qu’elles n’arrivent pas à voir et l’impression de passer à côté de tout. Ma mère a fait ça toute mon enfance. Elle n’était jamais là, toujours culpabilisée... En plus, elle a galéré pour tout, le boulot, les hommes, le fric, tout ! Et elle est passée à côté de l’enfance de ses enfants. Le bilan ne fait pas envie. Je ne referai pas les mêmes erreurs. Je veux profiter de mes enfants. Je ferai tout pour ne jamais divorcer. »
Rassurons celles qui seraient atterrées par ces propos : 80 % des Françaises travaillent et font plus d’enfants que la moyenne européenne (1,9 par femme) ! Mais, parmi les griefs fréquemment entendus, ceux d’Alice, consultante de 34 ans, qui a préféré prendre un congé parental à une promotion professionnelle : « Pour cette génération de femmes, élever des enfants c’était forcément pénible. Moi, j’aime être avec mes petits, c’est mon plaisir. Est-ce que ça fait de moi une femme soumise, réac, ou seulement déterminée par mon genre sexuel ? »
  Cette ancestrale rivalité entre les mères et les filles ne cache-t-elle pas un vrai retour en arrière ? « Au contraire, s’offusque Flore Marquis-Diers, ces jeunes femmes se réapproprient leur féminité pour être plus heureuses que leurs mères. Elles ne nient pas les acquis du passé et elles sont en colère contre le modèle masculin dominant. Elles n’ont pas envie d’être des hommes comme les autres ! Elles veulent que la société les accepte avec leurs désirs spécifiques. En leur permettant par exemple d’avoir des rythmes et des cycles de vie différents. »
Marie, brillante ingénieure de 33 ans, raconte : « Moi, la superwoman, j’ai pété les plombs après la naissance de ma fille. J’ai dit non à ma carrière, oui à la maman que j’avais envie d’être. Il m’en a fallu des séances de psychanalyse pour comprendre que c’était mon vrai désir, que j’avais fait des études pour faire plaisir à mon père, que je n’aimais pas ma vie d’avant. Mon choix de rester à la maison, qui a sidéré mes parents, c’est une liberté que je m’autorise. » D’autres y verraient un insupportable enfermement... Mais les témoignages pullulent, comme celui de Gaëlle, 38 ans, ex-working-girl qui a préféré fuir le monde de la production télé pour devenir institutrice, histoire d’avoir le même rythme que ses filles...
Isabelle Freyssinges, présidente de l’association Femmes actives et Foyer, enfonce le clou : « On dit que le travail est la condition de l’émancipation des femmes. Mais certaines le paient très cher. L’emploi féminin est souvent peu payé, avec des horaires contraints, des temps partiels, etc. Personne ne dit qu’il faut rester toute sa vie à la maison ! Il s’agit surtout de certaines périodes de la vie où les femmes devraient pouvoir choisir de s’investir dans leur famille, et cela sans être pénalisées au moment de la retraite par exemple, plutôt que de s’épuiser à tout concilier. »
  Ce genre de discours effraie plutôt Joy Sorman (4), romancière de 34 ans et féministe revendiquée : « Que les filles fassent le tri entre les luttes de leurs mères, pourquoi pas ? Dans les années 70, la situation était telle qu’il fallait absolument être radicales. Aujourd’hui, on fait comme on veut, comme on peut. Mais il ne faut pas lâcher l’affaire sur l’égalité des droits, des salaires, et même en étant femme au foyer, pourquoi pas ? Faire le procès des féministes, c’est dégueulasse ! Leurs mères n’étaient peut-être pas à la maison, mais elles ont le droit d’avorter et de prendre la pilule ! »
  Il y a comme un couac entre deux générations. Et peut-être, côté féministe, un défaut de transmission sur la justesse de la cause ? « Notre génération a été très ambivalente sur la transmission, reconnaît Fatima Lalem, longtemps responsable au Planning familial, aujourd’hui adjointe au maire de Paris en charge de l’égalité hommes-femmes. On rêvait que les jeunes reprennent le flambeau, sans avoir su passer le  relais, accepter les critiques, les changements. Pourtant, quand on voit le modèle dominant, il y a de quoi faire ! Pour être une femme accomplie en 2008, il faudrait avoir une sexualité épanouie, réussir professionnellement, faire des enfants, s’en occuper... Le résultat, c’est une immense souffrance des femmes, qui se traduit par cette tentation du repli. Les féministes doivent changer leurs méthodes. Ce n’est plus en comptant le nombre de participantes aux manifs sur l’IVG qu’on avancera, mais en créant des réseaux de femmes, en travaillant sur les représentations collectives, en inventant des solutions concrètes pour concilier enfants et travail... Cette tentation du repli montre à quel point il y a du boulot ! » 
  (4) Auteure de « Du bruit » (éd. Gallimard). 
Charlotte, 44 ans, célibataire, deux enfants de deux pères différents
« Je suis née à Londres et j’ai grandi au Canada. Lorsque je suis arrivée en France, j’ai eu très souvent le sentiment d’être traitée par les hommes comme un joli accessoire. J’ai réalisé trop tard que mon premier mari était un vrai macho. Je me revendique totalement féministe. Et j’ai demandé aux pères de mes fils de me soutenir financièrement pendant les trois ans suivant leurs naissances, afin que je puisse assumer convenablement mon rôle de mère. Il n’était pas question qu’une autre femme élève mon enfant à ma place. J’ai allaité le plus longtemps possible. Je voulais vivre mon “féminisme biologique”, et ça m’a beaucoup plu. La société devrait financer les années pendant lesquelles une femme s’occupe de son enfant, c’est un investissement à long terme, car ça fait des enfants plus épanouis. »
Stéphanie, 34 ans, en couple, un enfant
« Je ne me suis jamais retrouvée dans le féminisme. Il y a des différences fondamentales entre les hommes et les femmes. La maternité en est une essentielle. Je compte être autant mère que femme. J’ai la chance de travailler de chez moi : ainsi mon fils, qui a bientôt 3 ans, n’a jamais été gardé. Il y a un accord entre les rythmes de tout le monde. Je l’ai allaité longtemps, et jusqu’à l’âge de 1 an, je l’ai constamment gardé à mes côtés, le baladant en écharpe contre moi. Pourtant, j’ai une vie active : je suis journaliste et traductrice et je travaille aussi dans le milieu associatif. Mais travailler ne doit pas être synonyme de séparation avec son enfant. Je ne veux pas lui imposer cela. D’ailleurs, je ne l’ai pas inscrit à l’école : j’aime l’idée de le laisser libre dans ses apprentissages. »
Priscille, 29 ans, mariée, sans enfants
« Le combat féministe n’est pas celui de ma génération. Sans doute parce que, contrairement à nos mères et à nos grands-mères, nous avons le choix de travailler, de prendre la pilule, de gérer notre argent, de voter. Je leur suis reconnaissante, mais je n’ai pas l’intention de me plier à une certaine forme de dictature féministe sous le prétexte que d’autres femmes se sont battues pour obtenir ces droits. La pilule, c’est devenu une évidence. Je l’ai prise entre 18 et 24 ans sans me poser de questions. Un jour, il y a cinq ans, j’ai voulu prendre du recul, j’ai arrêté. J’avais envie de me réapproprier mon corps. J’ai rencontré mon mari, je lui ai expliqué mon point de vue. Cela ne nous a jamais posé de problèmes, on se débrouille. Du coup, je suis plus à l’écoute de mon corps, je sais lorsque je suis fertile, et j’aurai des enfants quand je le déciderai. Après avoir travaillé dans une entreprise pendant cinq ans, j’ai monté ma propre boîte : une petite société de maintenance en informatique. Je travaille toujours autant, mais chez moi et pour moi. C’est bien plus motivant ! »
Cécile, 32 ans, mariée, trois enfants
« J’étais assistante de direction. Je travaillais une quarantaine d’heures par semaine, c’était passionnant. Après la naissance de mon fils, j’ai suivi mon directeur qui montait sa propre boîte. Nous n’étions plus que deux ! Mon patron m’en demandant chaque jour davantage, j’en ai bavé. Je n’avais qu’une envie, faire un deuxième enfant... Je suis partie en congé maternité, morte de culpabilité. Malgré le risque financier, j’ai démissionné dans la foulée. J’avais trop souffert d’être tiraillée entre mon plaisir de travailler et mon désir de maternité. Mon mari, compositeur de musique, m’a aidée à prendre cette décision. Le monde du travail ne me manque absolument pas. Mon épanouissement personnel passe entièrement par le “développement” et le bien-être de ma famille. Il n’y a rien de honteux ni de régressif dans le fait d’être une femme au foyer. Je ne suis pas “que” cela. C’est aussi un vrai travail de s’occuper de ses enfants. Et je ne me suis pas coupée d’une vie intellectuelle, culturelle et sociale. Je ne regrette rien. »
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