Jeune russe malmenée

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Jeune russe malmenée
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A.G.

17/08/2011 à 13:08 , Mis à jour le 15/02/2015 à 23:48









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Une femme de 35 ans a subi pendant plus d'une semaine les sévices infligés par quatre adultes et trois mineurs à Saint-Doulchard, dans le Cher.
Dans cette paisible banlieue de Bourges (Cher), personne ne s'attendrait à trouver une véritable maison de l'horreur. Pourtant, c'est bien ainsi qu'il faut qualifier ce pavillon, situé à Saint-Doulchard, où une femme de 35 ans a été séquestrée dix jours durant par un groupe de sept connaissances, dont trois mineurs. Dix jours d'enfer: la victime a été battue, torturée et même violée, rapporte le «Berry Républicain».
Tout a commencé fin juillet, raconte le quotidien. Une amie de cette femme pense alors qu'elle a une liaison avec son petit ami. Avec le compagnon de la future victime, celle qui est censée être son amie organise un véritable piège, en invitant la jeune femme dans une maison d'un lotissement de Saint-Doulchard. C'est le début d'un calvaire qui durera jusqu'au 11 août. Elle sera retrouvée par les policiers prostrée sur une paillasse, dans une chambre aux volets fermés. Une dénonciation serait à l'origine de l'intervention de la police. Au «Berry Républicain», le commandant Bruno Meunier confie: «En vingt ans, je n'avais jamais vu ça.»
En effet, les souffrances endurées par la victime sont indicibles. Battue -elle avait le visage tuméfié-, elle porte également des tatouages obscènes, réalisés avec une aiguille et de l'encre, et des brûlures de cigarettes. Il a ensuite été révélé que la malheureuse a également été violée à plusieurs reprises par deux hommes, d'après des éléments dévoilés mardi et confirmés par le parquet de Bourges à ParisMatch.com. Deux hommes et deux femmes, âgés de 29 à 33 ans, semblent avoir initié les sévices. Trois adolescents -deux garçons et une fille, âgés de 14 à 16 ans- ont été conviés à participer aux séances de torture. Un bébé a été retrouvé dans la maison nu, manifestement victime d'un manque de soins selon «Le Parisien», ainsi qu'un enfant de 4 ans, qui a probablement assisté aux faits.
La malheureuse victime, intellectuellement limitée d'après le parquet, serait victime d'un syndrome de Stockholm, persuadée que ces horreurs lui ont été infligées pour son bien. Hospitalisée dans un état dégradé, selon le procureur, elle s'est vu prescrire 90 jours d'incapacité totale temporaire. C'est grâce à des vidéos retrouvées sur place que les enquêteurs ont pu commencer à reconstituer l'horrible épreuve subie par la victime. Toutefois, l'instruction en cours doit encore déterminer l'implication précise de chacun des suspects.

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Guerre en Ukraine: comment les Russes perçoivent et s'informent sur le conflit
La guerre en Ukraine est aussi une guerre de communication. Comment les Russes perçoivent cette guerre à leur frontière, alors que le Kremlin a coupé l’accès a plusieurs médias occidentaux et autres médias indépendants. Rencontre avec trois russes qui essayent de contourner le filtre du Kremlin.
Guerre en Ukraine: comment les Russes perçoivent et s'informent sur le conflit
La BBC, Radio Free Europe, la Deutsche Welle,… ces radios, télévisions ou sites internet de médias occidentaux ne sont plus disponibles en Russie depuis ce vendredi.
La guerre armée, sur le terrain, en Ukraine, est couplée une guerre de communication, où censure et propagande opèrent, de part et d’autre, depuis le début de l’invasion russe.
RMC a rencontré trois russes dans la Russie de Vladimir Poutine. Ils sont tous les trois opposés à l’intervention en Ukraine de la Russie. Nick est photographe, il a 38 ans et vit à Moscou. Pour lui l’opération armée de la Russie en Ukraine est "n’est pas seulement une guerre, c’est un crime."
Cette parole est rare. En effet, une telle prise de position peut lui faire perdre son emploi, et il peut être même arrêté s’il manifeste dans la rue. Mais elle est rare aussi parce qu’elle est à contre-courant de quasiment tous les discours médiatiques aujourd’hui en Russie:
Ce vendredi, la Douma, le parlement russe, a adopté une nouvelle loi qui crée un délit pénal pour ceux qui diffuseraient des informations “non-conformes” à celles du gouvernement sur la guerre en Ukraine. La semaine dernière déjà il avait interdit l’utilisation des mots guerre et invasion dans les médias.
Pour Mathieu Jégo, journaliste à BFMTV et ancien correspondant à Moscou, a constaté une mise en scène de l’armée russe, quand elle passe à la télévision : "on la voit distribuer des vivres à la population, reprendre des territoires. Jamais on ne la montre malmenée comme peuvent le montrer les médias ukrainiens."
Cette propagande d’État prend sur certaines parties de la population, notamment les plus âgés, ceux qui ont vécu pendant le régime soviétique. "On a dit a une très grande partie de la population issue de l’union soviétique, toute leur vie, que la seule source d’information était la télévision", estime Nick.
Pour lui "de nombreux Russes ne savent tout simplement pas ce qu’il se passe vraiment en Ukraine."
>>> La Matinale Week-End c'est aussi en podcast
Est-il alors possible de passer à travers ce filtre de la télévision russe? Robert, habitant de Moscou, l’avoue: il n’a plus la télé depuis des années. Il s’informe uniquement en ligne. Mais là encore la censure opère, et s’est accélérée ces derniers temps:
"Jusqu’à peu nous avions encore quelques médias d’opposition en ligne. L’Écho de Moscou ou Dodj par exemple. Aujourd’hui ils ont été censurés. Ils ont même bloqué Facebook en Russie."
Certains tentent de contourner la censure avec par exemple un VPN, un outil qui permet de cacher ses actions en ligne et ainsi éviter les blocages. Mais beaucoup ne savent pas s’en servir. Alexey, un russe francophone, forme ses proches et tente au maximum de se faire le relai d’une autre information:
"J’essaie de dire aux gens qu’il faut montrer à leurs parents les chaînes Youtube, les articles des journaux internationaux, indépendants, pour que les parents connaissent aussi l’autre côté de la situation."
Malgré la censure, chaque soir ou presque, des Russes manifestent contre la guerre dans les grandes villes du pays. 8 000 d’entre eux ont d’ailleurs été interpellés.
C’est le cas d’Alexey, il est descendu jeudi dernier dans les rues de Moscou, a été arrêté puis relâché, il sera jugé d’ici deux semaines et risque 15 jours de prison.
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