Jeune réceptionniste du Nord fait sa première vidoé hard
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Jeune réceptionniste du Nord fait sa première vidoé hard
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Nouvel horaire pour le rendez-vous quotidien de l’actualité culturelle qui est désormais diffusé à 20h05 sur ARTE Belgique, avec rediffusion en fin de soirée sur La Une. Et deux nouveaux chroniqueurs : Véronique Biefnot et Mohamed Ouachen qui rejoindront l’équipe composée de Cédric Wautier, Jean-Marie Wynants, Soraya, Dominique Cominotto, Juliette Goudot, Nic Balthazar, Barbara Abel.
Eric Russon, entouré de chroniqueurs passionnés, emmène les téléspectateurs à la découverte de tous les domaines artistiques aux quatre coins de la Belgique et nous fait partager ses découvertes et ses enthousiasmes. L’émission pousse la porte de tous les lieux culturels et donne la parole aux artistes et créateurs. Et bien sûr, l’émission quittera occasionnellement le plateau de Flagey pour se rendre au cœur des grands événements (festivals, expos...).
Soirée d’hommage à Manu Bonmariage La Trois 10 nov. 2021 à 11:41 • 1 min
Séquence Cuisine : Beignets de chou-fleur Quel Temps! 03 déc. 2021 à 11:41 • 1 min
Avec pour commencer ce 17 septembre : Jaco Van Dormael : vidéo
Jaco Van Dormael qui se lance dans sa première mise en scène à l’ORW. Une recréation en première mondiale de l’opéra " Stradella " de César Franck. Une œuvre de jeunesse du compositeur alors âgé de 15 ans. Une production qui permettra d’éprouver les nouvelles performances des installations scéniques de l’Opéra récemment rénové.
Vincent Lannoo qui sort son 4 e long métrage " Little Glory ", présenté à Cabourg en juin 2012. Celui-ci met en scène un jeune paumé qui, à la mort de ses parents, décide de s’occuper de sa petite sœur pour pouvoir toucher l'assurance vie du père. Mais l'amour ne s'achète pas...
Du côté des chroniques : Rétrospective Posy Simmonds au Centre belge de la Bande dessinée, Gilbert & George – London Pictures chez Albert Baronian, Au fil du fleuve et Reflets de Meuse au Musée Rops qui fête ses 25 ans.
[Pavé du Lundi]: jeune réceptionniste au bord du burn out/démission, aucune idée de comment aborder la situation.
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Bonjour à tous, et merci à ceux à qui les romans ne font pas peur. Tant de questions, par où commencer ? Je ferais un TL;DR à la fin.
Bon, je travaille dans un hôtel appartenant à une grande chaîne hôtelière et pour faire court, la direction est en train d'utiliser le système de chômage partiel financé par l'état pour surcharger lourdement le service réception de l'hôtel, dont je fais partie.
Avant de continuer, il me semble important de préciser que je suis ignorant au possible sur tout ce qui rapproche de près ou de loin de l'administratif, du code du travail, des procédures officielles dans le milieu professionnel, je fuis ça comme la peste, mais je sais que vous, vous êtes calés, donc pour une fois où je pense avoir besoin de vos lumières en la matière, je fais appel à vous.
L'hôtel a fermé fin mars début avril à cause du COVID, et a ré-ouvert en mi-juin. Il nous a été précisé par mail que les décisions gouvernementales étaient floues et ambiguës concernant les hôteliers, que des dates de réouvertures (imprécises) avaient été évoquées, mais qu'en même temps aucune fermeture n'avait été imposé aux hôteliers. Bref, notre hôtel a ré-ouvert en mi-juin.
L'hôtel comprend un service interne de réception, de restauration, un technicien, une société externe de ménage pour les chambres et les espaces communs, et la direction. Mi-juin, ont été appelés la réception au complet, la direction qui travaillait quand même pendant le confinement et les femmes de chambre qui travaillaient en effectif réduits.
Durant le confinement, à cause de la pandémie ainsi qu'à cause d'un problème n'ayant rien à voir avec le confinement, l'hôtel a perdu beaucoup d'argent à une période où il ne pouvait absolument pas se le permettre. La réouverture a donc été placé sous le signe de la rentabilité extrême, augmenter les ventes dès que possible et surtout, surtout limiter les dépenses. Notamment les salaires.
L'hôtel a donc essayé de rouvrir tout en rappelant le minimum de personnel possible afin de pouvoir utiliser le chômage partiel pour un maximum d'employés et devoir payer les salaires d'un minimum de personnes de leurs propres poches. Evidemment, dans un hôtel d'un certain standing, les résultats n'ont pas tardé à se faire sentir : beaucoup de services proposés par l'hôtel tout simplement fermés par manque de temps ou de possibilités d'assurer des conditions d'hygiène conformes à celle de la pandémie, un sous-effectif qui se fait sentir tant au niveau de la propreté que l'organisation du travail, des réservations etc, des clients mécontents... Bref, la merde quoi !
Petit à petit, la direction a essayé d'améliorer un peu la situation en réembauchant quelques heures le matin les serveurs du restaurant pour assurer le petit-déjeuner, en comptant vraiment les minutes pour qu'il s'en aille dès qu'il n'y avait plus de clients à servir. Puis une personne appelé pour nettoyer un peu les communs et servir les clients au bar etc... Mais clairement, ça ne suffit pas, si l'hôtel pouvait fonctionner de cette manière là, il ne s'encombrerait déjà pas en temps normal de salaires additionnels à payer, or étant en pleine haute saison, post-covid qui plus est, et avec un autre problème extérieur évoqué plus haut, il est évident que réduire les effectifs rend la situation compliquée, voire impossible.
Et pourtant, la direction, qui elle même prétend (peut être à juste titre ? je ne sais pas) être sous le joug de son n+1, n+2 etc, continue d'ajouter des tâches de nettoyage à la réception, en leur demandant de faire un maximum de chiffres au bar, alors que les réservations continuent de s'accumuler avec l'arrivée des juilletistes notamment.
En tant que réceptionniste, une saison haute à laquelle s'ajoute autant de charge de travail m'impose unrythme que je n'arrive tout simplement plus à tenir. Il y a une semaine, une note de service nous a été faite à la demande de la direction pour nous dire de veiller toutes les nuits à effectuer les tâches de ménage des espaces communs. Le temps de travail peut probablement être estimé à 2h que nous n'avons pas du tout de libre durant la nuit qui est déjà bien chargée dans notre hôtel. Cette note de service a vraiment été la goutte d'eau pour notre équipe, une dispute est survenue entre notre "porte parole" et le directeur qui dédramatise complètement la charge de travail que la réception doit assurer, et s'étonne que personne ne prenne le temps de changer le PQ dans les toilettes communes. Sous la menace d'aller voir l'inspection du travail ou de s'en aller, le directeur a fini par accepter l'idée que cette liste n'était qu'une liste de "vérification de propreté" et non pas de tâche à faire quotidiennement.
Durant ce week-end, l'hôtel était complet, comptant plus d'une centaine de personnes pour 2 personnes le matin (un serveur au petit déj et un réceptionniste) et juste le réceptionniste seul le restant de la journée. Le directeur a pris des vacances, l'assistante de direction était en week-end, le technicien aussi. S'ajoute des problèmes divers d'intervention en chambre, une alarme incendie qui sonne, des réservations qui disparaissent alors que l'hôtel est complet ainsi que tous les autres hôtels alentour, et le rythme qu'on trouvait impossible à tenir tourne alors au burn-out.
Je me dois donc d'explorer les options qui sont les miennes, car c'est bien la toute première fois que je suis dans cette situation, et avec un contrat de travail que je connais d'ailleurs très mal. Que faire ? Contacter le n+1 de mon directeur sans passer par lui pour lui indiquer la gravité de la situation, et risquer de me mettre définitivement à dos mon directeur, voire me faire virer ? Nous mettre en grève ? Si oui, comment procéder ? Poser un arrêt maladie ? je dois avouer que donner le travail de trois services à un seul d'entre eux pour des réceptionnistes qui ne sont en rien compensés (au contraire, plus de restaurant, donc croque monsieur dégueulasse surgelés pendant des semaines, service pressing pour uniforme toutes les semaines au lieu d'être quasi quotidien) et qui touchent à peine 10 ou 15% de salaire en plus pendant que tout le reste de l'hôtel reste les doigts de pied en éventail chez eux, ça me fout royalement les boules. Ou faut-il en parler à l'inspection du travail ? Comment s'y prendre ? Je considère aussi juste l'idée de m'en aller, je ressens les conséquences du rythme de travail à un point que j'ai jamais connu auparavant, je me suis nourri 3 fois en 3 jours (les fameux croque monsieur), je dors très mal car le réceptionniste de nuit a du prendre des congés sur demande de la direction, et n'est pas remplacé comme les années précédentes faute de budget, et je fonctionne à un niveau de stress que je ne peux plus gérer au quotidien en plus de mes problèmes personnels. Je ne sais même pas comment fonctionne les préavis de départ, ni ce qui se passe si je pars du jour au lendemain sans prévenir (il y a sûrement des infos sur mon contrat j'imagine), sous quelle conditions j'aurais le droit au chômage (étant en CDI) ce dont j'ai besoin pour poser un arrêt maladie, bref je suis complètement paumé, et je suis preneur de tous conseils, ne laissez aucune place à l'évidence. En en parlant à mon entourage, les possibilités d'un éventuel re-confinement ne présage rien de bon et ne m'encourage pas à quitter mon poste.
Merci à ceux qui ont lu, et encore plus à ceux qui répondront.
TL;DR : L'hôtel dans lequel je travaille utilise le chômage partiel fourni par l'état pour garder 2/3 de ses équipes à la maison et refiler 100% du travail à faire à l'hôtel à un seul service de réception qui ne peut plus gérer la charge de travail. En CDI et sans aucune connaissance administrative, que devrais-je faire : démissionner ? aller voir l'inspection du travail ? poser un arrêt maladie ? faire grève ? autre ? Et quel que soit la décision pour laquelle j'opte, comment m'y prendre ? Encore une fois, je n'y connais rien
J'espère que votre lundi sera meilleur que le mien.
Pas de pitiés. On peut pardonner et discuter avec un chef qui en fait trop parce qu'il est investi, pas à un hypocrite profiteur. Inspection du travail et arrêt maladie ça m'a l'air pas mal comme proposition que tu fais. L'inspection c'est pas dit qu'ils se bougent tout de suite, mais avec l'arrêt maladie au moins tu te mets à l'abri physiquement et mentalement.
Tout ça, exactement. Ne demissionnes pas tant que tu n'as pas de nouveau job. Car en ce moment, une démission ils s'en foutent alors que toi tu serais dans la merde. Inspection du travail et arrêt maladie me semble être un programme adapté.
Le truc c'est qu'apparemment, la loi nous oblige à tous prendre des vacances entre Mai et Octobre je crois, et la période s'annonce chargée peu importe le mois. Je dirais qu'il est lui aussi investi mais qu'il ne se rend pas compte du travail qu'il y a déjà à faire en réception.
Je n'y connais rien, mais 3 choses me viennent en tête:
le directeur qui prend des vacances c'est intolérable. Il est en vacance actuellement? Alors contact son N+1 en lui faisant par de la situation. Étant donné que monsieur (ou madame) est en vacance, il ne peut pas te reprocher d'aller demander de l'aide a la direction disponible.
va voir un médécin et demande un arret de travail, repose toi. Dis toi que pendant que tu es en arret, ca permet à quelqu'un d'autre de travailler un peu.
c'est malheureux à dire, mais je ne recommande pas la démission. Malheureusement on est en période de crise, et les emplois, d'autant plus dans le tourisme, sont en chute libre.
Bon courage, et surtout, n'hésite vraiment pas a contacter le N+1. Un directeur qui quitte le navire en période de crise ne mérite pas de s'en sortir.
Tel que tu le décris, je ne suis pas sûr que cet établissement survive au Covid-19.
Si c'est le cas, pense peut-être à être vigilant si une opportunité s'ouvre ailleurs.
Pas de démission. Surtout si c'est une chaine type Accor / Starwood (vu le management, ça sent le groupe Accor à plein nez, mais passons), c'est ceux qui vont reprendre le plus vite, tu trouvera rien d'autre pendant un looooooong moment.
Tu fais un signalement à l'inspection du travail. Une lettre à la troisième personne décrivant toutes les taches qui retombent sur la reception qui n'entrent pas dans leur périmètre normal, incluant les charges horaires ect et les responsabilités qu'on te demande de prendre. Tu n'es pas night audit, tu n'es pas censé avoir de décisions à prendre.
Pour le N+1 de ton directeur en vacance, tu attend d'avoir un problème que tu ne peux pas résoudre toi-même. Genre un truc qui te ferais prendre une responsabilité pour laquelle tu n'es pas payé (authoriser une dépense, faire appel à un technicien spécialisé, ect) comme ça tu peux jouer le gentil couillon au lieu de celui qui a essayé de poignarder le directeur dans le dos.
Je serais curieux de voir comment la masse va être traitée cet été avec les gens au chômage partiel.
Comment je suis content de m'être barré de ce milieu !
Presque tout le monde ici parle de l'inspection du travail, qui je l'avoue, m'emballe moyen de base parce que j'ai l'impression de m'embarquer dans un truc énorme.
Malheureusement, pour la direction, l'assistante du directeur est "en duty" et donc c'est elle qu'il nous faut contacter en cas de demande urgente.
aller voir un médecin et lui demander un arrêt de travail, au moins le temps de remettre les choses à plat. Il ne faut pas jouer avec sa santé.
est-ce que vous avez un représentant syndical ? un délégué du personnel ? Un CSE (obligatoire au délà de 11 salariés) ? C'est à eux de prendre en charge ce genre de problème. Sinon contacter un syndicat dans ta ville ( CFDT hotellerie par ex.) et discuter avec eux d'une éventuelle grève.
Contacter directement le N+1 ne sert à rien, déjà si ça se trouve il est courant et s'en bat complètement les steaks si c'est pas lui qui est à l'initiative de ce genre de pratique. Si l'hôtel fait partie d'un grand groupe, voir éventuellement directement avec le siège.
Mais avant ça, recueillir le maximum de preuves (la note de service par ex.) et témoignages écrit (ou mail) de tes collègues qui pourront par la suite servir à appuyer tes propos.
Ne pas hésiter aussi à contacter les journaux locaux, c'est les vacances, un p'tit article vite fait sur les conditions de travail horribles des "petites mains", ça fait pleurer dans les chaumières et ça bouche un trou entre deux pubs pour le saucisson.
Pour ce qui est de contacter les journaux, je dirais de ne le faire qu'en accord avec tes collègues.
Je sais que parfois, les salariés ne veulent absolument pas étaler les problèmes de l'entreprise sur la place publique, donc mettez-vous bien d'accord.
Pas entendu parler d'un CSE pour le coup, je ne sais pas bien comment vérifier ça.
Chef de reception ici: tires toi, y a plein de postes à pourvoir en ce moment. On avait commencé pareil en staff très réduit et comme finalement on a autant de monde qu un été normal on est passé en full staff. Si un employeur n est pas capable de jauger ce qu il faut comme équipes ou limiter l activité (ce qu on a fait a un début), il n aura aucune considération pour toi.
C'est des contrats saisonniers qui sont proposés je présume ?
Surtout ne démissionne pas tu n auras le droit a rien en partant.
Fait un signalement anonyme a l inspection du travail concernant vos conditions de travail, regarde avec tes collègues pour signaler ensemble en même temps ca aide toujours, je travail avec eux quotidiennement ils sont très réactifs sur le sujet surtout en ce moment alors n hésite pas c est le moyen le plus rapide et efficace de changer les choses.
Si il y a un délégué du personnel prenez contact avec lui, expliquez lui la situation et exiger qu il fasse rédiger et signifier une sommation de faire a ton employeur concernant vos moyens et obligations grandissantes, le resoect des normes covid tout le tintouin ca coûte rien a faire et c est la piqure de rappel dont ton employeur a besoin
et courage Grand c est chiant .... contraignant et dieu sait que le metier est pas simple .... et reviens vers nous pour nous tenir au jus 👍
Je sais que c'est dur à faire, mais préserve ta santé en premier lieu. Va voir un médecin, et demande lui de t'orienter vers un psychiatre (pas psychologue mais psychiatre, j'insiste là dessus).
J'ai été dans une situation de burn-out l'an dernier et j'ai malheureusement trop attendu avant d'agir, ce qui m'a valu six bon mois d'arrêt maladie. C'est dur, mais ça fait du bien de prendre du temps pour soi.
Je te souhaite un bon courage, et si ça peut t'aider à prendre de la hauteur sur ta charge de travail par rapport au temps imparti Arte diffuse en ce moment même un très bon reportage à ce sujet . Je conseille à tous de le regarder.
Je ne sais même pas comment fonctionne les préavis de départ
Il faut donner une lettre de demission (tu trouvera des exemples en ligne) à ton chef et la lui faire signer, tu arretes de travailler apres la durée de ton préavis de départ
ni ce qui se passe si je pars du jour au lendemain sans prévenir (il y a sûrement des infos sur mon contrat j'imagine)
La règle générale si ils souhaitent te chercher des noises et que ça finit en procès c'est que tu devras payer ton salaire à ton employeur pour la durée de l'abandon de poste (pas forcément le cas en pratique)
sous quelle conditions j'aurais le droit au chômage (étant en CDI
démission = pas de chomage. Si tu veux le chomage, tu as soit une rupture conventionnelle qui est une possibilité (si ils ont besoin de toi ils ne te la donneront pas facilement), soit des arrangements moralement contestables et plus ou moins légaux (on peut en parler en MP si tu veux, c'est pas vraiment une bonne solution)
Pour le chomage, la rupture conventionnelle est la meilleure solution
Dans une boîte où je bossais, une des supports clients gérait ça à coup de dépression/arrêt maladie. Je ne dis pas que c'est l'idéal mais si tu n'es pas en capacité de démissionner le mieux c'est d'aller voir un médecin compréhensif.
Go médecin traitant ou généraliste pour expliquer la situation et demander un arrêt.
J'essaierai de ne pas chercher à aller plus loin dans les démarches à date. Je sors de BO moi même et ce que j'ai constaté c'est que cette situation ne te permet pas de réfléchir correctement. Donc la première et unique étape importante c'est l'arrêt maladie pour se re-po-ser.
Ça dure le temps que ça dure. Perso j'ai mis 3 mois à dormir et jouer à la console avant de me poser pour réfléchir a l'après.
Aussi, j'ai mis beaucoup de temps à me sentir légitime d'aller chez le médecin pour dire que j'allais mal. J'ai perdu du temps à appréhender la "discussion" alors que j'ai été crue immédiatement. Mon conseil : y aller sans tarder.
Dans un contexte où on parle de fraude du chômage partiel, c'était assez ambigu de parler d'abus de la part de ton employeur.
Si je comprends bien c'est plus un problème de charge de travail et le fait que tu trouves injuste qu'il y'ait des gens en chômage partiel alors que toi t'es en plein temps pour gagner à peine un peu plus qu'eux.
C'est exactement ça, comment je peux éditer pour faire disparaître l'ambiguité ?
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