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Vérifié le 15/03/2022 par PasseportSanté
Tout d'abord, il pense savoir que son entourage sait qu'il se masturbe ; ensuite, il éprouve des difficultés à considérer comme valorisantes ses pratiques masturbatoires ainsi que les stimuli qu’il établit et qui sont nécessaires à l’atteinte de l’orgasme ; enfin, il peut percevoir la masturbation comme un « comportement d'incompétent », démontrant qu'il est incapable de conquérir une fille.
Sexual Behavior in the Human Male, Alfred Kinsey
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La masturbation masculine, tout comme féminine, est une pratique sexuelle essentielle à l’épanouissement et au bien-être sexuel. Seul ou en couple, elle permet de se donner du plaisir grâce à une stimulation manuelle du pénis.
Pourquoi et comment bien se masturber quand on est un homme ? Dans cet article, voici toutes les réponses à vos questions.
Selon les études, 90 à 95 % des hommes des sociétés occidentales avouent avoir déjà eu recours à la masturbation.
De nos jours, les hommes n’hésitent plus à faire de telles déclarations du fait de la déculpabilisation religieuse et de l’affranchissement de certaines craintes d’origine médicale.
L’étude Sexual Behavior in the Human Male, communément appelé le Rapport Kinsey, montre que la quasi-totalité des garçons ont entendu parler de la masturbation avant de la pratiquer.
C'est tout l’inverse chez les femmes qui « découvrent beaucoup plus souvent seules la masturbation, sans savoir que d'autres personnes, avant elles, se sont déjà livrées à de telles activités ».
Pour près de 70 % des garçons, la masturbation est la source de leur première éjaculation. Pour les autres, il s’agit soit d’un coït, soit d’une pollution nocturne.
De nombreux individus racontent qu’ils ont atteint leur premier orgasme véritable avant même d’avoir acquis la capacité d’éjaculer.
Chez l’homme, le rapport Kinsley nous apprend que la masturbation est presque exclusivement manuelle. Il existe tout de même certains individus qui utilisent la technique du frottement contre d’autres objets, mais cela resterait rare et expérimental.
Une nouvelle fois, la quasi-totalité des hommes accompagnent la pratique de masturbation par une stimulation mentale marquée par des idées érotiques, parfois scénarisées.
Le rapport fait état d’une pratique qui relève d’une impossibilité anatomique pour l’homme, alors qu’elle est très fréquente chez ces cousins hominoïdes : l’autofellation.
Selon Kinsley, 2 ou 3 hommes sur 1000 auraient pourtant les capacités physiques de pratiquer l'autofellation.
Pour les auteurs Nairne et Hemsley, il n'existe « aucun consensus ni principe sur ce qui est normal. De nos jours, il relève de la responsabilité de chacun de trouver ce qui est important pour lui en termes d'accomplissement sexuel et émotionnel. »
Chez le garçon, la masturbation est souvent une source majeure de culpabilité pour plusieurs raisons :
Il existe de nombreuses indications de la masturbation qui présentent un intérêt indéniable pour la santé de l’individu :
À l’inverse, on ne répertorie que très peu de risques liés à la masturbation qui soient prouvés scientifiquement à ce jour :
La satisfaction de l'adolescent dans l'imaginaire de la masturbation peut parfois se transformer en un piège qui l'empêche d'affronter la réalité.
Françoise Dolto a parfaitement su mettre les mots pour illustrer le phénomène : « Dans le moment difficile où les jeunes sont mal à l'aise dans la réalité des adultes par manque de confiance en soi, leur vie imaginaire les soutient. Le garçon ou la fille sont comme déterminés à exciter en eux la zone qui va leur donner de la force et du courage et qui est la zone génitale qui s'annonce.
Et, c'est là que la masturbation, de remède à leur dépression, devient un piège. Un piège parce qu'ils se déchargent nerveusement de cette façon et qu'ils ne sont plus soutenus à affronter la difficulté de la réalité pour vaincre ces déficiences beaucoup plus imaginaires que réelles. »
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Petit guide de la masturbation pour se faire plaisir
Après la lecture de ce sujet, vous saurez tout sur la masturbation. Et vous saurez aussi comment vous faire grandement plaisir. Parce que se masturber est plus que normal, suivez le guide !
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La masturbation, c’est la stimulation manuelle et solitaire des organes sexuels (pénis pour les garçons et clitoris et vagin pour les filles), dans le but de provoquer une excitation et éventuellement un orgasme. Cette pratique sexuelle existe depuis que l’humain est sur Terre. Se masturber est normal et naturel . Tout le monde ou presque s’est déjà masturbé ou se masturbe encore, jeune ou moins jeune, avec plus ou moins de fréquence.
Un petit point avant d’aller plus loin : non, la masturbation ne rend pas malade , ni obsédé, ni stérile, ni impuissant, ni sourd…et oui, même s’il est encore plus courant et facile pour les garçons de parler de ce sujet, les filles sont toutes aussi concernées… et actives !
Quand on débute sa puberté, le corps se transforme. Les organes sexuels (pénis ou vulve) se développent et la production d’hormones sexuelles (testostérone chez les garçons et estrogènes chez les filles) s’accélère. Sous l’influence de ces hormones, notre cerveau est stimulé plus ou moins en permanence par une excitation latente, que l’on qualifie de désir sexuel . Dans l’attente d’une certaine maturité sexuelle (physique et psychologique) et afin de réguler cette montée du désir, les garçons et les filles peuvent avoir recours une stimulation manuelle de leurs organes génitaux, appelée masturbation, plus pudiquement nommée « caresse », ou plus populairement « branlette » (quelle poésie).
Filles et garçons se masturbent tout simplement pour se faire plaisir. La masturbation fait du bien, elle apaise, elle détend … Elle aide aussi à dormir. Se masturber, c’est s’accorder un moment de bien-être !
Une autre vocation de la masturbation est celle de l’apprentissage et de la découverte de son corps . Les transformations physiques qui interviennent au cours de la puberté sont de grandes interrogations de la part des filles et des garçons qui n’ont pas été préparés à cela. Partir à l’exploration des organes et de leur fonctionnement joue un rôle très important à la préparation de la sexualité.
Les garçons utilisent parfois la masturbation, comme d’un régulateur mécanique de leur éjaculation. En effet, en se masturbant peu avant un rapport sexuel (une à deux heures avant), ils réduisent leur « potentiel d’excitation ». Ils retardent ainsi le moment de leur éjaculation , pour être capable de faire durer le plaisir de leur partenaire. Et les filles aussi font ça. Un orgasme solo avant un rapport sexuel retarde le prochain… (orgasme, pas rapport).
Il n’y a aucune règle pour commencer à se masturber. D’ailleurs, dans le ventre de sa mère, le fœtus semble véritablement s’adonner à des attouchements des organes sexuels , cette pratique paraissant se poursuivre durant toute l’enfance avec le tripotage du zizi par les petits garçons ou de la zézette par la fillette. Des études démontrent que l’âge des premières masturbations coïnciderait avec le démarrage de la puberté, vers 12 ans ; mais que le pic de masturbation interviendrait entre 13 et 16 ans… La masturbation subit des rythmes différents selon l’âge et la vie sexuelle des individus ; d’une fois par an à plusieurs fois par jour, le rythme semblant décliner avec la vie en couple et l’âge.
La masturbation n’est pas systématiquement une pratique solitaire destinée aux « célibataires ». Certes, l’absence de partenaire est souvent propice à la pratique de la masturbation . Mais il arrive souvent que des partenaires réguliers aient recours à cette pratique, pour évacuer un trop plein d’excitation sexuelle entre deux relations (éloignement géographique, rythme et besoins différents des deux partenaires,…) ou simplement pour le plaisir de se faire plaisir . Si vous surprenez votre partenaire en train de se masturber, pas de panique ; cela ne signifie pas que vous ne le satisfaites pas sexuellement ou qu’il ou elle ne vous désire plus.
La masturbation peut également faire partie de la sexualité de couple. Masturber son partenaire ou se masturber devant lui fait aussi partie des jeux érotiques et des préliminaires. Se donner du plaisir sous son regard accroît bien souvent la complicité et excite l’autre qui en plus de ça découvre les gestes que vous aimez.
Il n’y a aucune règle en la matière. Chacun se masturbe à sa guise. En général, on choisit un lieu calme où personne ne viendra nous déranger : lit, douche… Et on part à la recherche des zones les plus sensibles de notre corps : cuisses, seins, vulve, pour les filles et pénis pour les garçons qui ont souvent moins besoin de préliminaires.
La masturbation s’accompagne généralement de pensées érotiques, d’images virtuelles ou réelles associées à des personnes connues ou… pas. Les filles se concentrent plus souvent sur le clitoris , en posant leurs doigts dessus et en faisant des petits mouvements circulaires. Elles jouent aussi avec l’entrée de leur vagin et l’intérieur ; elles peuvent s’introduire un doigt ou un sextoy fait pour ! Les garçons placent leurs mains autour de leur sexe en érection et le caresse dans un mouvement de va-et-vient plus ou moins rapide. Ils stimulent également leurs testicules, zones érogènes.
Pour toujours plus de plaisir, vous pouvez vous amuser à changer de position (pourquoi toujours se masturber allongé ?). Vous pouvez avoir recours à des sextoys (et ça existe pour les hommes ; des sextoys qui simulent un vagin…), utiliser un lubrifiant (à base d’eau de préférence) pour davantage vous exciter.
La masturbation ne traduit aucun comportement pathologique, quelle que soit la fréquence de cette pratique. Ce qui peut poser problème est davantage l’impact d’une masturbation excessive sur la relation avec son partenaire. En effet, la masturbation est légitime et épanouissante quand elle contribue à l’équilibre sexuel d’un homme ou d’une femme. Elle ne doit être « surveillée » qu’à partir du moment où elle joue un rôle soit addictif (quand on ne peut plus s’en passer) ou qu’elle éloigne de son partenaire (lorsqu’on préfère la masturbation aux rapports sexuels « classiques »).
Si vous avez la sensation que c’est votre cas, il devient important pour votre équilibre et votre avenir affectif d’en parler avec un sexologue, afin qu’il vous aide à mieux comprendre les enjeux de ce comportement et qu’il vous accompagne dans le rééquilibrage de vos pratiques.
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