Jeune lesbienne de 18 ans

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Jeune lesbienne de 18 ans
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Deux jeunes trÚs belles lesbiennes sont allongées dans leur lit, dans la chambre à coucher. Concept d'amour et de relation.
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Aujourd’hui, jeudi 8 septembre 2022

Silvia Galipeau
LA PRESSE

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Christelle Lebreton, auteure et chercheuse
C'est officiel: trĂšs peu de femmes quĂ©bĂ©coises connues du grand public s'affichent haut et fort en tant que lesbiennes. Pour une Ariane Moffatt, combien de Dany Turcotte, Alex Perron et autres Jasmin Roy? Quel impact pour les jeunes filles d'aujourd'hui? C'est prĂ©cisĂ©ment la question que pose l'auteure et chercheuse Christelle Lebreton, qui publie ces jours-ci un rare ouvrage sur la question: Adolescences lesbiennes, de l'invisibilitĂ© Ă  la reconnaissance , aux Éditions du remue-mĂ©nage. Cinq points pour comprendre un enjeu dont on parle trop peu.
Pour sa thĂšse de doctorat (Ă  l'origine du livre en question), Christelle Lebreton, par ailleurs sociologue et chargĂ©e de cours en travail social et sciences humaines Ă  l'UQAM, a rencontrĂ© 20 participantes de 18 Ă  26 ans. Du nombre, deux se dĂ©finissent comme bisexuelles, toutes les autres comme lesbiennes. «Mais elles n'aiment pas le mot», prĂ©cise l'auteure. À cause de sa «connotation nĂ©gative», parce que «ça a trop longtemps servi Ă  dĂ©nigrer», paraphrase-t-elle, les 18 filles prĂ©fĂšrent simplement dire: «j'aime les filles», ou encore «je suis gaie». Quand sont-elles sorties du placard? La plupart entre 15 et 18 ans (2 sur 3), une poignĂ©e (17 %) aprĂšs 19 ans, et encore moins (14 %) avant 15. En moyenne, ça leur a pris cinq ans, aprĂšs avoir pris conscience de leur homosexualitĂ©, pour se dĂ©voiler. Pourquoi tant de temps? C'est ce que la chercheuse a cherchĂ© Ă  comprendre.
LĂ  repose une des sources du problĂšme, croit-elle. «Nos reprĂ©sentations sociales, les idĂ©es qu'on se fait de l'amour, d'une relation amoureuse, Ă  l'adolescence, sont exclusivement hĂ©tĂ©rosexuelles», dit-elle. Qu'il s'agisse de la littĂ©rature, du cinĂ©ma, ou de la tĂ©lĂ©, les scĂ©narios amoureux sont toujours trĂšs stĂ©rĂ©otypĂ©s. Et c'est ça, l'hĂ©tĂ©rosexisme, dit-elle : quand ces stĂ©rĂ©otypes deviennent nos modĂšles. Cela ressort aussi trĂšs clairement des entretiens rĂ©alisĂ©s avec les jeunes femmes. À la question «de quoi parliez-vous entre filles Ă  l'adolescence?», une seule et unique rĂ©ponse: «des garçons!». Fait troublant: pas une femme interrogĂ©e ne se souvient qu'on ait abordĂ© l'homosexualitĂ© pendant sa scolaritĂ© (Ă  part via les confĂ©rences du Groupe de recherche et d'intervention sociale dans les Ă©coles). «Niet, zĂ©ro parlĂ©, zĂ©ro, zĂ©ro, zĂ©ro», disent-elles. Autre fait troublant: aucune n'a connu de professeur ouvertement homosexuel non plus.
Toutes les femmes interrogĂ©es sont issues de la classe moyenne et ont un niveau de scolaritĂ© «élevé». Cela dit, elles ont presque toutes signalĂ© Ă  la chercheuse que leurs familles Ă©taient «fermĂ©es» Ă  l'homosexualitĂ©. Douze femmes ont mĂȘme dit que le sujet Ă©tait «tabou». «L'oncle homosexuel, on le ridiculise, on dit qu'il est tapette, comme si son homosexualitĂ© lui donnait une moindre valeur», signale Christelle Lebreton. Quant aux femmes, on n'en parle tout simplement pas. Plusieurs ont appris des annĂ©es plus tard que telle tante qui «vivait avec une amie» Ă©tait en fait en couple. «Le problĂšme avec cette invisibilitĂ©, poursuit l'auteure, c'est que si tu t'aperçois que tu es attirĂ©e par les filles, que tu tombes en amour, tu ne sais pas que c'est possible! Quand on ne voit pas de modĂšles, on se dit que c'est mal. Donc comment donner un nom Ă  ce qu'on ressent?» Les filles interrogĂ©es le confirment: «je me sentais seule au monde», « extra-terrestre », «anormale».
À l'adolescence, la construction identitaire tourne beaucoup autour des relations «gars-filles». Le but des jeunes filles, c'est d'ĂȘtre sĂ©duisantes en vue d'«avoir un chum ». Les conversations, on l'a dit, tournent beaucoup autour de ce que Christelle Lebreton qualifie de «romance hĂ©tĂ©rosexuelle». Si plusieurs (une sur trois) vont effectivement «explorer» avec des filles Ă  cet Ăąge, le but avouĂ© est ici de s'entraĂźner pour «pouvoir embrasser les gars aprĂšs». Et partout, la mĂȘme question revient: «as-tu un amoureux?». «MĂȘme mon orthodontiste!», signale une jeune femme.
Faute de modĂšles ou d'options autres, c'est toujours le couple hĂ©tĂ©ro qui demeure la norme. Les filles vont d'ailleurs ĂȘtre nombreuses Ă  avoir des relations avec des garçons, 13 d'entre elles Ă©tant mĂȘme allĂ©es jusqu'au rapport sexuel. «Quand tu finis ton secondaire, c'est un peu la norme», rĂ©sume l'auteure. Non, les relations n'ont pas durĂ©. Et quand elles ont rĂ©alisĂ© qu'elles Ă©taient amoureuses, gĂ©nĂ©ralement d'une meilleure amie, la prise de conscience n'a «jamais» Ă©tĂ© positive, dĂ©nonce la chercheuse. Jamais? Bien au contraire. Plusieurs traversent d'abord une Ă©tape de dĂ©ni, puis une grande dĂ©tresse. Une jeune femme sur trois s'est ici d'abord crue bisexuelle, «parce que c'est plus facile», et «pour Ă©vacuer le sentiment de dĂ©viance». Conclusion? «Oui, la sociĂ©tĂ© est plus ouverte aujourd'hui. On parle de transgenres, c'est vrai, mais toujours pas de lesbianisme! Comme si on n'avait pas besoin d'en parler. Mais les lesbiennes n'ont jamais eu de visibilitĂ© sociale. Alors non, ce n'est pas rĂ©glĂ©!»
Adolescences lesbiennes, de l'invisibilité à la reconnaissance de Christelle Lebreton

Au cƓur du Vieux-MontrĂ©al, le MarchĂ© Saint Laurent est une nouvelle boutique-cafĂ© qui propose de beaux objets et souvenirs du QuĂ©bec.


Les documents de bibliothĂšque renferment de belles histoires ou connaissances, mais aussi, Ă  l’occasion, les petits secrets de certains abonnĂ©s, qui les rendent parfois avec un supplĂ©ment de leur cru, Ă©garĂ© entre les pages ou dans les boĂźtiers. Mots doux, argent, nourriture, prĂ©servatifs : les employĂ©s rĂ©cupĂ©rant les ouvrages, qui font ces trouvailles quotidiennes parfois stupĂ©fiantes (oui, de la drogue aussi), nous confient les perles de ces petits oublis.


La COVID-19 s’est invitĂ©e dans la maison de Nicholas Bourgon au mois de fĂ©vrier. Sournoisement.


Avec de petits pas, on peut faire bien du millage, dit-on.


Il y a prĂšs de 20 ans Ă©mergeait la premiĂšre vague de spas nordiques au QuĂ©bec. Depuis, la province est devenue un chef de file en la matiĂšre. Des Ă©quipes d’ici dont on vient chercher l’expertise de partout en AmĂ©rique du Nord Ɠuvrent Ă  la conception de ces lieux oĂč tout est mis en Ɠuvre dans les moindres dĂ©tails pour notre confort et notre mieux-ĂȘtre.


Ces jours-ci, le photographe François Brunelle est trĂšs occupĂ© Ă  rĂ©pondre aux incessants appels et courriels en provenance de mĂ©dias de partout sur la planĂšte. Et pour cause : la remarquable durĂ©e de son travail des deux derniĂšres dĂ©cennies aura permis d’enrichir la connaissance dans le domaine Ă©mergent de l’épigĂ©nĂ©tique. Et La Presse a eu son petit rĂŽle Ă  jouer dans cette histoire



Bon nombre d’experts se sont penchĂ©s sur cette question qui hante la plupart d’entre nous : comment ĂȘtre heureux ou, du moins, satisfait au quotidien, tout en s’accomplissant ? Voici trois nouveaux livres sur le sujet qui ont attirĂ© notre attention et qui valent le dĂ©tour.


La premiĂšre fois que je suis entrĂ©e dans la maison de mes beaux-parents, j’ai eu le coup de foudre. Pour leur fils d’abord, mais aussi pour l’endroit, qui Ă©tait la grande Ɠuvre de Maurice, mon beau-pĂšre artiste. Il y avait des toiles, des livres, des cossins bizarres et des antiquitĂ©s partout, alors que chez nous, il y avait surtout du IKEA.


La Presse vous propose chaque semaine un tĂ©moignage qui vise à illustrer ce qui se passe rĂ©ellement derriĂšre la porte de la chambre Ă  coucher, dans l’intimitĂ©, loin, bien loin des statistiques et des normes. Aujourd’hui : Marie-Pierre*, 30 ans.


La culture d’acceptation de l’alcool est Ă©branlĂ©e. Alors qu’on a toujours pensĂ© que boire avec modĂ©ration, c’était correct, on nous dit dĂ©sormais qu’on court un risque « élevé » Ă  partir de sept verres par semaine. Ce resserrement des recommandations dĂ©passe les frontiĂšres du Canada. Tour d’horizon (et des intĂ©rĂȘts en jeu).


J’ai eu de la peine en vous lisant.


Une enseignante du primaire demande Ă  ses Ă©lĂšves s’ils ont dĂ©jĂ  Ă©tĂ© victimes d’intimidation sur le web. Une fille de 10 ou 11 ans lĂšve la main. « Il m’a traitĂ©e de  », dit-elle, en grimaçant. Elle n’ose pas prononcer les mots. « Tu peux nous le dire », la rassure sa prof. « D’hostie de pute », finit-elle par ajouter.


Louis-FĂ©lix a quittĂ© la garderie en juin et entrera en tant que Lou Ă  la maternelle dans quelques jours. AppuyĂ©e par sa famille, elle a choisi cet Ă©tĂ© de faire un pas de plus dans l’affirmation de son genre, en s’affichant publiquement comme fille.


(Londres) La mannequin britannique Kate Moss lance jeudi un site de cosmĂ©tiques et accessoires, Cosmoss, tentant Ă  48 ans de se rĂ©inventer en Ă©gĂ©rie du bien-ĂȘtre et rejoignant une sĂ©rie de cĂ©lĂ©britĂ©s ayant bĂąti des empires de commerce Ă©lectronique.


Serena Williams a encore une fois marquĂ© les esprits avec sa tenue spectaculaire lors de son match de lundi soir aux Internationaux des États-Unis.


(Tokyo) Une maison de retraite au Japon « embauche » des bébés pour un travail essentiel : tenir compagnie à des résidents ùgés et les faire sourire. Le salaire ? Des couches et du lait en poudre.

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