Jeune fille tatouée maltraitée

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Jeune fille tatouée maltraitée
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Publié le 26 mars 2018 à 19:35 par La rédaction
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© Gentside. Crédit photographique pour toutes les images de ce site (sauf indication) : © GettyImage.
Une jeune femme inspirée se rend chez le tatoueur pour se faire marquer sur la peau "Pour le vagin" sur son pubis, avec la lettre V en majuscule.
Il faut être déterminée quand on décide de se faire un tatouage, et il faut l'être davantage lorsque vous désirez vous le faire à un endroit délicat, comme le pubis. Bien que le haut du pubis n'est pas la zone la plus sensible, elle reste tout de même une zone délicate. Découvrez comment cette jeune femme réagi.
Certains appelleront ça du courage , d'autres de la bêtise, il n'empêche qu'il ne faut pas avoir peur de la douleur sur une zone aussi originale pour un tatouage !

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Publié le 21/01/2013 à 08h36
• Mis à jour le 19/06/2020 à 13h08


Écrit par



Thomas Millot





Anne-Sophie Faucheur dans le box des accusés à l'ouverture de son procès devant la Cour d'Assises du Nord à Douai (21 Janvier 2013)

© Thomas Millot


La Cour d'Assises du Nord, ce lundi 21 janvier 2013

© Thomas Millot


Anne-Sophie Faucheur, ce lundi, à la Cour d'Assises du Nord à Douai.

© AFP / PHILIPPE HUGUEN


Typhaine Taton

© France 3 NPDC


Me Emmanuel Riglaire, avocat de Nicolas Willot le lundi 21 janvier 2013

© Thomas Millot


La Présidente de la Cour d'Assises du Nord à Douai, Catherine Schnieder.

© AFP


François Taton, le père de Typhaine, à la Cour d'Assises de Douai le 21 janvier

© Thomas Millot


Procès Typhaine
justice


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Jusqu'à vendredi, France 3 Nord Pas-de-Calais vous fait vivre en direct, le procès d'Anne Sophie Faucheur et Nicolas Willot, accusés d'avoir tué en 2009 leur fille et belle-fille Typhaine, 5 ans. 
Pour suivre ce direct, n'hésitez pas à rafraîchir régulièrement votre page en tapant la touche F5 de votre clavier
Le direct de cette première journée de procès est donc terminé pour ce soir. Suivez la suite de l'audience dès la reprise demain matin . Des experts psychiatres sont attendus pour tenter d'analyser les personnalités des accusés.

 
10 ans plus âgée que l'accusée, le témoin n'a pas grandi auprès d'AS. Faucheur. Battue par le père de famille, elle avait été placée dans son enfance. Elle n'a renoué contact avec sa petite soeur qu'après la naissance de Typhaine. 

" Il faut qu’elle soit punie, même si ça ne rendra pas Typhaine, il faut que justice soit faite "

"Elle (AS. Faucheur) est venue à mon mariage au mois d’août 2009, elle dansait . Elle avait l’air bien. Mes invités et moi ne comprenions pas pourquoi elle faisait la fête, alors que sa fille avait disparu", raconte la grande soeur de l'accusée. .

2 mois après avoir déclaré la disparition de Typhaine, Anne-Sophie Faucheur se savait soupçonnée par les enquêteurs. Au mariage de sa grande soeur l'accusée lui avait confié : " je ne vais pas m’accuser d’un truc que je n'ai pas fait "
 
" L'enlèvement ", puis les maltraitances

Après sa séparation d'avec François Taton en décembre 2005, Anne-Sophie Faucheur a récupéré quelques mois plus tard la garde de Caroline, leur fille aînée. François Taton, lui, a gardé Typhaine .

Mais le 22 Janvier 2009, AS. Faucheur est allée chercher Typhaine à la sortie de son école. Aucun jugement n'a jamais été prononcé concernant la garde de leurs deux enfants .

" J’ai fait des recherches sur Internet pour retrouver Typhaine. A ce moment là elle me manque, j’ai envie de la voir . J’ai téléphoné à toutes les écoles de Faches-Thumesnil pour trouver l’école de Typhaine. J’ai appelé pour dire que Mr Taton ne pouvait pas venir la chercher. Nicolas Willot a joué le rôle de Mr Taton au téléphone . Je me suis présentée avec mes papiers avant la sortie de l’école. Presque un enlèvement ".

" Elle ne me reconnaissait pas en tant que maman. Son arrivée n’était pas du tout préparée . J’ai voulu l’inscrire dans la même école que Caroline, mais je n’ai jamais pu avoir les papiers de radiation de l’ancienne école (de Typhaine) ".

"Je suis donc restée avec elle à la maison. Les violences ce n’était pas tout de suite, mais j’étais dure. Je l’avais idéalisée, j’avais idéalisé ces retrouvailles . Je ne me suis pas dit qu’elle pouvait être perturbée, choquée, perdue. À ce moment là, elle réclame sa mamie. Elle est plutôt calme, fermée ".


" Quand Caroline faisait des bêtises, je ne le voyais pas. Mais avec Typhaine, c’était systématique "

Anne-Sophie Faucheur poursuit à la barre, en tentant d'expliquer pourquoi elle est devenue violente avec sa fille de 5 ans :

" Je me suis trop mise la pression, j’attendais beaucoup de chose, alors que je ne pouvais pas exiger beaucoup d’elle qui venait à peine d’arriver. Plus on avançait, plus je m’énervais vite, au moindre détail. Je perdais pied ".

" Les coups ça a commencé en Mars-Avril (2009). C’est moi qui ai commencé . Caroline a été témoin de punitions, mais pas de maltraitances ".

" Nicolas (Willot) m’a déjà dit - tu vas trop loin, il faut la rendre à son père et à sa mamie -. J’ai été très dure avec lui, j'étais violente".

" J’essayais de ne pas trop la sortir parce que j’avais peur que la famille paternelle vienne la récupérer ".
 
Personne, ou presque, n'a vu Typhaine entre janvier et juin 2009

Anne-Sophie Faucheur et Nicolas Willot ont caché l'existence de Typhaine . La mère de l'enfant explique : 

" Je ne voulais pas montrer Typhaine, parce que j’avais honte de la situation par rapport à sa famille paternelle, c’était compliqué.

Non pas que j’avais honte de ma fille, mais j’avais honte de la situation dans laquelle j’étais, ce n’était pas clair, je ne voulais pas être pointée du doigt . C’était un enlèvement, je ne l’avais pas vue pendant longtemps, et personne n’était au courant dans la famille de Nicolas Willot. J’avais honte de moi, de la mère que j’étais ".
 

Mickaël est questionné sur les jours qui ont précédé la disparition masquée de Typhaine (18 juin 2009). Le meilleur ami de l'accusé avait été désigné comme parrain d' Apolline , la fille d'Anne-Sophie Faucheur et de Nicolas Willot, âgée d'un an au moment des faits.

Mickaël raconte le baptême d'Apolline le samedi 13 juin 2009, soit deux ou trois jours après la mort de Typhaine : " Tout le monde était heureux, on faisait la fête . On a poursuivi le lendemain, avec un repas. Ils (Faucheur-Willot) avaient un comportement tout à fait normal ".

Mickaël, ami et confident de Nicolas Willot, n'avait jamais entendu parler de Typhaine .

Bousculé par l'avocat général, N. Willot ne parvient pas à s'expliquer :

" C’était une bêtise de ne pas lui parler de Typhaine . Je ne trouve plus la réponse en moi. Quand les amis venaient à la maison, Typhaine était cachée dans sa chambre et on lui demandait d’être silencieuse ".
 

" Après la disparition de Typhaine ils sont venus (AS. Faucheur et N. Willot) une semaine à la maison, ils fuyaient les journalistes. Mon épouse avait remarqué que Nicolas avait un comportement bizarre " , remarque le frère de l'accusé .

"Pourquoi en sont-ils arrivés à ce point là s’ils n’arrivaient pas à s’occuper de la petite ? On n’arrive pas à comprendre le but " s'interroge le témoin.

"La dernière fois que j'ai vu Typhaine (Avril 2009), je n'ai rien vu d'anormal. Elle allait sur les genoux de Nicolas. Ils avaient un comportement de parents normaux ".

"Après sa garde à vue, Anne-Sophie Faucheur était plus énervée par son audition que par la disparition de sa fille . Ils n'avaient pas le comportement de parents qui avaient perdu quelqu'un. On ne comprenait pas pourquoi ils avaient repris aussi vite une vie normale. Ils parlaient de vacances, de projet de mariage. Cela nous a choqués ".


Les mensonges à la famille

" Anne-Sophie expliquait qu'elle avait récupéré Typhaine parce qu'elle était maltraitée par son père. Ils nous ont menti sur beaucoup de choses " , poursuit le frère de Nicolas Willot .

" Après la disparition, Nicolas voulait faire une liste de cadeaux de Noël pour Typhaine , en pensant qu'on allait la retrouver ".

Interrogé sur ce point par l'avocat général Luc Frémiot, Nicolas Willot se lève et répond : " c'était pour accréditer la thèse du mensonge ".

" Je n'arrive pas à reconnaître mon frère ", conclut le frère aîné de l'accusé.
 
Le père de l'accusé est mis en difficulté par la présidente et l'avocat général, qui soulignent ses contradictions dans ses déclarations peu après la disparition présumée de Typhaine.

Monsieur Willot avait d'abord déclaré ne plus avoir vu sa petite fille depuis plusieurs semaines, avant de se rétracter. Des écoutes téléphoniques de conversations entre Nicolas Willot et son père après la disparition laissent entendre que l'accusé demande à son père de mentir sur la disparition de Typhaine . A la barre ce midi, l'intéressé dit ne plus s'en souvenir. La cour n'insiste pas.

Parlant de son fils, la mère de Nicolas Willot parle d'un " enfant sage et studieux... Je n'arrive pas à comprendre. Il s'est fait dominer, ou je ne sais pas. S'il n'a pas dit la vérité, c'était pour ne pas perdre les deux autres filles " .

A propos d'Anne-Sophie Faucheur : "quand je l'ai rencontrée, je trouvais qu'elle manquait de maturité. Pour moi elle était un peu jeune pour avoir des enfants. Mais quand je suis allée chez eux, elle s’en occupait très bien. Elles avaient ce qu’elles voulaient " , assure l'ex belle-mère d'AS. Faucheur.

L'accusé, lui, déclare à son endroit : " Je me considérais comme quelqu'un de bien, aujourd’hui moins ".
 
Voici les premières images tournées par Patrick Duluc et diffusées dans le JT de France 3 Nord Pas-de-Calais de l'arrivée des deux accusés.
L'audience débute avec la lecture par la présidente de la cour, de l'ordonnance de mise en accusation, un document de 33 pages qui rappelle l'intégralité des faits mis en lumière lors de l'instruction. 


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