Jeune fille à la tête dure

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Jeune fille à la tête dure

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La jeune fille qui a interpellé Macron dans le Tarn a reçu la visite des gendarmes dans son lycée
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Du haut de ses 18 ans, Laura voulait juste poser une question au président. Pas certaine d'y arriver, elle raconte dans La Dépêche du Midi : "Sa voiture s'est arrêtée à proximité. J'ai grimpé sur la barrière, car je suis petite et j'ai levé le bras. C'est tout", explique-t-elle. La suite, les réseaux sociaux se sont chargés d'en faire l'écho. La vidéo de son échange avec Emmanuel Macron a été vue plusieurs millions de fois. "Vous mettez à la tête de l'État des hommes qui sont accusés de viol et de violences pour les femmes (les ministres Gérald Darmanin et Damien Abad sont tous les deux accusés, le premier étant le seul faisant l’objet d’une enquête pour laquelle le parquet a requis un non-lieu) , pourquoi ?" , avait-elle lancé, lors du bain de foule du chef de l'État, jeudi 9 juin dans le Tarn.
Et sa réponse ne l'a guère convaincu. "Son 'Non, vous ne comprenez pas', me reste en travers de la gorge. Il m'a traitée comme une gamine", se plaint-elle dans le quotidien régional. Vexée, mais fière d'avoir eu le courage d'aller jusqu'au bout, elle assure n'avoir été téléguidée par aucune association ou parti.
L'histoire aurait dû donc s'arrêter là, mais la visite des gendarmes dans son lycée, moins de 24h après, alors qu'elle est en cours, suscite son incompréhension. "Ils m'ont interrogée pendant 10 minutes. J'ai tenu la main du Président jusqu'à ce qu'il me réponde. On ne va pas en faire une histoire. Ce n'était peut-être pas l'endroit pour mon intervention, mais c'était l'occasion" , poursuit-elle dans La Dépêche .
Maladresse ou tentative d'intimidation ? La gendarmerie de Gaillac est formelle : cette altercation "n’était pas l’objet de leur visite". En marge de son échange avec le chef de l'État, Laura avait raconté avoir été victime d'attouchements dans le métro il y a quatre ans, sans avoir porté plainte. Interrogée par Le Parisien, la commandante Laura Barbuto affirme que c'est ce dernier élément qui a motivé la visite des forces de l'ordre au lycée : "On s'inquiétait que [la jeune femme] puisse avoir été victime [d'agression sexuelle] et qu'elle n'ait pas pu porter plainte". 
Mais la jeune fille n'en est pas convaincue. "Ils m’ont demandé si je voulais porter plainte, mais ça a été très bref", raconte-t-elle, avant de poursuivre : "On est rapidement venu à l’échange avec Emmanuel Macron. Ils m’ont demandé ce que j’avais voulu faire, alors je leur ai dit que je souhaitais poser telle question, etc. Puis la gendarme m’a dit : 'Ce n'était pas à faire'". 
La gendarmerie du Tarn a depuis réagi sur les réseaux sociaux et présenté ses excuses. "Notre action visait simplement à prendre en compte cette personne, qui s’était présentée comme victime, pour lui proposer de recueillir une éventuelle plainte, ou à défaut pour lui proposer une aide, un accompagnement ou un relais pour rencontrer les associations locales pour lui porter assistance", est-il écrit sur Twitter. "Nous tenons à nous excuser auprès d’elle si notre démarche d’aller à sa rencontre au lycée pour échanger a été mal perçue et qu’elle considère que nous avons été maladroits", conclut le texte. 
La commandante de gendarmerie de Gaillac précise par ailleurs qu’il n’y a "aucune infraction" dans l’interpellation d’Emmanuel Macron par la lycéenne.

MILLET : Gruchy, 1814 ; Barbizon, 1875
Hauteur (en cm) 17.7 ; Largeur (en cm) 13.7 ; Hauteur avec cadre (en cm) 55 ; Largeur avec cadre (en cm) 42.5 ; Epaisseur (en cm) 2.3
Cachet en bas à droite : Cachet de la vente Millet (Lugt 1460)
On peut rapprocher ce beau dessin du tableau 'Le Nouveau-né' (Moreau-Nélaton, 36) peint par Jean-François Millet en 1846 : la position de la tête de la jeune fille par rapport à son buste, sa coiffure sont identiques dans les deux oeuvres. D'autre part, le modelé par un jeu de valeurs refusant la ligne, le passage des parties éclairées dans le fond liant les deux éléments sont caractéristiques de la 'manière fleurie' de l'artiste et permettent de situer le dessin, en accord avec Robert L. Herbert (1971), entre 1845 et 1848. La régularité du visage et de la coiffure, l'expression mélancolique à la Corrège et jusqu'à la largeur de l'étude que ne contredit pas sa manière vaporeuse, montrent que Millet, dès ce moment, s'attache plus à représenter un type féminin qu' à donner une image précise et individualisée.
propriété de la commune, donation, Dijon, musée des beaux-arts
1969 acquis ; 1976 entrée matérielle
Vente, 1875, Paris, vente atelier Millet, 10-11 mai, 1875, Paris ; Collection privée, Granville Pierre et Kathleen, 1959
Deux volets de la Donation Granville : Jean-François Millet, Vieira da Silva, Dijon : musée des beaux-arts, 1974 (n°2, reprod.)
La Dignité des humbles : Jean-François Millet et le naturalisme en Europe, Tokyo : Bunkamura Museum of Art, Fukuoka : Fukuoka Art Museum, 2003 (n° 29, reprod.)
Lévêque (Jean-Jacques), L'Univers de Millet, Paris, 1975 (reprod. p.43)
Lemoine (Serge), musée des beaux-arts de Dijon : Donation Granville : catalogue des peintures, dessins, estampes et sculptures, tome 1 : oeuvres réalisées avant 1900, Ville de Dijon, 1976 (n°158, reprod.)
Collections des musées de France (Joconde)
© François Jay - musée des beaux-arts de Dijon

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Mortellement atteinte à la tête par des tirs de policier lors d'un contrôle de police, la passagère est décédée dimanche.
JUSTICE - Nouveau développement judiciaire dans l’affaire du refus d’obtempérer. Après le contrôle de police ayant entraîné la mort d’une jeune femme sous les tirs de la police, samedi à Paris, les proches de la passagère tuée a décidé de porter plainte ce mercredi 8 juin.
La famille de Rayana, 21 ans, a décidé de porte plainte contre le conducteur du véhicule, soupçonné d’avoir refusé d’obtempérer et grièvement blessé par les tirs de la police. Une autre plainte contre X visant indirectement les policiers va aussi être déposée, a ajouté Sylvie Noachovitch, l’avocate de la famille, au micro de RTL .
“La famille de Rayana va déposer plainte dès ce jour contre le conducteur du chef d’homicide involontaire, car en refusant d’obtempérer, alors que les passagers le suppliaient de s’arrêter, il a commis une violation délibérée aux règles de prudence et de sécurité et a causé la mort de cette jeune fille”, détaille l’avocate dans la matinale d’Yves Calvi.
Elle précise également les raisons de la seconde plainte déposée contre X et visant indirectement les trois policiers impliqués : “La famille va également déposer plainte contre X pour violence volontaire ayant entraîné la mort sans intention de la donner et pour homicide involontaire également.” Elle ajoute que selon les témoins de la scène, “il n’y avait plus de danger au moment du tir et la légitime défense ne peut donc pas être invoquée par les policiers”.
Refus d’obtempérer à Paris : "la famille de la victime porte plainte contre le conducteur et contre X"… https://t.co/A9yZaenVjI
En effet, après le premier témoignage de l’un des passagers du véhicule, Inès, 21 ans, présente dans la voiture visée par les policiers samedi, a à son tour mis en cause les policiers. Auprès de franceinfo , la jeune femme, amie de la victime décédée, estime que le conducteur était effectivement “en tort”, mais regrette les coups de feu des policiers, qui n’ont pas “su garder la tête froide”.
Après avoir détaillé sa version des faits depuis l’arrière de la voiture, elle se dit “en colère parce que les policiers auraient pu faire autre chose. La personne est en tort, mais ils n’étaient pas obligés de tirer directement”.
Elle détaille également le refus d’obtempérer du conducteur, rencontré un peu plus tôt en soirée et qui avait accepté de les raccompagner chez elles à la sortie d’une soirée dans le quartier de Pigalle.
“Trois policiers à vélo ont toqué à la vitre du conducteur parce qu’il ne portait pas sa ceinture de sécurité. Il n’a pas voulu baisser sa vitre. Il a accéléré et s’est arrêté 30, 40 mètres plus loin à cause de la circulation [...]. Quand on lui dit de s’arrêter, il nous répond qu’il n’a pas le permis. Il est un peu paniqué, un peu stressé et je vois deux policiers se mettre au niveau des vitres devant. Tout est allé très vite. Je n’ai même pas entendu ‘Sortez de la voiture‘ ou ‘Mains en l’air’. Ils ont cassé les vitres en tapant avec leurs armes. La scène était très violente”.
Elle raconte ensuite avoir demandé au conducteur de la laisser partir avec son amie. “On lui a dit ‘Abandonne la voiture, laisse-nous, c’est entre toi et eux, nous, on est des victimes’. On lui a dit ‘Il faut que vraiment tu nous laisses’”, relate encore la jeune femme qui découvrira quelques instants plus tard que son amie est inerte, touchée par les coups de feu.
“Ils ont dû tirer une dizaine de coups de feu, ça a duré longtemps.”, détaille Inès. Selon elle, “ils n’ont juste pas su garder la tête froide. Ils ont perdu le contrôle. Quand on porte un insigne, on est censé garder la tête froide au maximum” avance-t-elle, estimant que les coups de feu auraient pu faire beaucoup plus de victimes: “Il était 10h30 en plein Paris. Il y avait d’autres gens dans la rue, des enfants notamment”.
Ce mardi, après 48 heures de garde à vue, les trois policiers ont été relâchés mais une information judiciaire a cependant été ouverte à leur encontre. “Quand j’ai appris que les policiers ressortaient libres de leur garde à vue, j’étais assez nerveuse quand même. Maintenant, je peux comprendre que toute cette affaire se jouera plus tard. C’est une juge qui décidera [...]. On est là pour Rayana et c’est pour elle qu’on se bat. C’est une victime dans l’histoire. Elle ne méritait pas tout ça”, finit par conclure la jeune femme.
Quant au conducteur, il a été placé mardi en garde à vue, dans le cadre de l’enquête ouverte pour “tentative d’homicide sur personne dépositaire de l’autorité publique”, a annoncé la procureure de Paris.
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