Jeune femme s'enfonce un sex-toy dans l'anus pour pouvoir se faire enculer facilement par son copain

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Jeune femme s'enfonce un sex-toy dans l'anus pour pouvoir se faire enculer facilement par son copain
Analyste au Mercator Institute for China Studies/Merics
Enseignant-chercheur à Sciences Po, spécialiste de l’européanisation des sociétés de l’Europe du Centre-Est
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Les conversations sur l'augmentation des salaires, pour 1965, se sont ouvertes lundi, entre les représentants des personnels de l'E.D.F-G.D.F. et de la S.N.C.F. et ceux des ministères de tutelle. Elles se sont poursuivies, mardi matin, avec ceux de la R.A.T.P.Tous les syndicalistes estiment " très décevantes " les propositions gouvernementales : elles portent sur la masse des salaires, conception à laquelle ils se sont toujours opposés et dont leurs interlocuteurs n'ont pas voulu sortir. Les porte-parole des travailleurs n'ont pu faire porter l'entretien sur le " rattrapage " qu'ils s'estiment en droit de réclamer pour 1963 et 1964.D'une façon générale, ils considèrent qu'il n'y a pas eu de discussion véritable. Néanmoins, ils ne refuseront pas de participer à d'autres réunions, qui pourraient avoir lieu en présence des ministres. Les cheminots rencontreront de nouveau, lundi prochain, M. Remise, conseiller technique de M. Jacquet.
Bien que les rapports de M. Grégoire sur l'évolution des masses salariales en 1964 par rapport à 1963 n'aient pas été rendus publics, les syndicats ont été informés que ces textes faisaient ressortir une augmentation de 11,95 % aux Charbonnages, 8,55 % à la R.A.T.P., 7,36 % à la S.N.C.F. et 7,30 % à l'E.D.F. (1). Compte tenu de la progression réalisée, selon les engagements officiels, pour combler le retard par rapport au secteur privé, et de diverses autres mesures marginales, il parait admis du côté gouvernemental que l'amélioration n'a été que de 5,78 % pour les mineurs, 5,99 % pour les agents des transports parisiens, de 4,62 % pour les cheminots et de 5,55 % pour les électriciens et les gaziers.
Les pouvoirs publics, limitant le débat à l'année 1965, proposent une augmentation de la masse salariale de 1 % par trimestre, soit 3 % de pouvoir d'achat et 1 % compensant la hausse probable des prix. Un versement provisionnel de 1 % a déjà été perçu le 1er janvier 1965. Il semble que, pour les cheminots tout au moins, on envisage un supplément au titre de la " productivité ". Il n'a pas été précisé de quelle manière un réajustement pourrait intervenir si le coût de la vie augmentait de plus de 1 % en 1965.
De toute façon, les offres gouvernementales portent sur 4 ou 4,5 % de la masse des salaires. Cela implique que le salaire de base ne serait majoré que de la moitié environ.
L'écart est donc très important puisque les syndicats réclament de 5 à 8 %, en limitant leurs demandes " au retard dû pour les deux années précédentes " (les cheminots C.G.T. demandent un acompte immédiat de 200 F).
Les fédérations de l'éclairage C.G.T., C.P.D.T., F.O. et CGC, dans un communiqué commun, réaffirment leur opposition à la méthode fixée par le gouvernement. Les propositions du ministère " présentées comme immuables, déclarent les syndicalistes, ne comportent pas de discussions sur le niveau des salaires de base, compte tenu de la convention de janvier 1960. [...] Elles ne garantissent pas d'augmentation du pouvoir d'achat et bloquent virtuellement la prime de productivité ". Les fédérations réclament " un véritable dialogue avec le ministre ", et vont se concerter sur la conduite à tenir.
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Rédaction Europe1.fr

avec AFP
11h28, le 18 août 2011
La Bourse de Paris s'enfonçait dans le rouge jeudi en fin de matinée, lâchant désormais plus de 3%, dans de faibles volumes de transactions, plombée par le recul des valeurs bancaires et industrielles. A 11h24 à Paris, le CAC 40 perdait 3,41% soit 111,07 points à 3.143,27 points, dans un volume de transactions de 955 millions d'euros.

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