Jeune femme avec les amis de son mari

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Vie Perso


Psycho








Par Cathy, propos recueillis par Catherine Monroy


Publié le
29/02/2016 à 07:00







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Après 20 ans d'un très grand amour, Cathy a perdu son mari. Elle s'est peu à peu rapproché de Bill, qui était son meilleur ami.
La première fois que j'ai rencontré Bill, j'avais 23 ans. C'était dans un petit appartement enfumé à Peterborough, une cité industrielle de l'Est de l'Angleterre. La bière coulait à flot pour fêter l'anniversaire de mon fiancé en ce jour de septembre 1984. Derek tenait à me présenter son "meilleur pote de Liverpool". Bill et lui se connaissaient depuis l'âge de dix ans. Le genre d'ami, à la vie à la mort. Je redoutais un peu ce moment fatidique. Derek n'en démordait pas: "Tu vas voir, tu vas l'adorer!" 

Le moins qu'on puisse dire, c'est que je n'ai pas du tout été conquise par ce jeune avocat, intelligent certes, mais tellement snob et arrogant. Le sentiment de rejet était tout à fait mutuel: "Pas assez bien pour toi", a-t-il soufflé à l'oreille de Derek. Cela commençait mal. 

Et puis au fil des sorties au restaurant, nous avons fini par nous apprivoiser et former un groupe de cinq-six amis inséparables. J'ai découvert que sous le petit air hautain et abrupt de Bill, se dissimulait une forme de timidité. De son côté, il a semblé se convaincre que je pouvais prétendre au trône d'épouse de son meilleur ami. 

L'année suivante, Bill était d'ailleurs le témoin enthousiaste de notre mariage. Je n'oublierai jamais son discours sur son amitié avec Derek et sur la chance que ce dernier avait eu de croiser ma route. Un speech interminable -je n'en pouvais plus- alors que tout le monde ne rêvait que d'une chose: se précipiter sur les boissons et faire la fête. 

Une nuit d'ivresse et deux ans plus tard, j'accouchais de deux adorables jumelles, Elizabeth et Barbara. Le lendemain à la clinique, Bill était là pour contempler nos bébés. Il a pris très vite la place d'"Uncle Bill". Celle d'un membre de la famille que nous voyions six fois par an, quand nous allions à Londres et descendions dans sa maison georgienne de Greenwich, au sud de la City. 

Bill venait de temps à autre nous rendre visite à Hull, le petit village où nous nous étions établis depuis que Derek enseignait la sociologie et l'histoire à York, tandis que je travaillais comme contrôleuse de gestion à l'assistance publique. Loin du stress de sa vie d'avocat pénaliste, entre son cabinet de Londres et celui qu'il possède dans le Yorkshire, il débarquait dans une Jaguar, souvent avec une nouvelle conquête au bras. Ses petites amies étaient jolies et pour la plupart très sympathiques, mais il en changeait tellement fréquemment que ma hantise était de mélanger leurs prénoms. Souvent il se lassait. Parfois c'était elles qui ne supportaient pas ses contraintes professionnelles. Bill me faisait l'effet d'un homme incapable de se stabiliser et finalement pas très heureux. 

20 ans d'un très grand bonheur entourés d'amis, avec Derek et mes filles, jusqu'à cette année noire de 2005. A 44 ans, mon mari a attrapé ce qui ressemblait à un mauvais rhume, mal soigné -il se pensait en acier inoxydable. Il est mort de pneumonie en quelques semaines, sans que la médecine ne puisse rien faire pour lui. C'était juste affreux d'être foudroyé à la force de l'âge. Pour moi, c'était un choc. J'aimais, j'adorais mon mari. Ma vie a complètement basculé. Mes filles de 17 ans et moi étions dévastées. 

Bill s'est montré d'une loyauté à toute épreuve. Nous nous voyions très peu car il naviguait entre Leeds et Londres, et nous vivions près d'York, cependant il m'appelait toutes les deux semaines pour faire le point, pragmatique et régulier. Tout le monde est là quand un drame vous frappe. Avec le temps, c'est naturel, les gens reprennent le cours de leur vie et oublient que vous êtes toujours dans le deuil et que les ennuis continuent. 

Sans être présent physiquement, Bill était toujours là, à mon écoute et à celles de mes filles. Il ne s'est jamais comporté en père de remplacement. Il a fait en sorte de répondre à leurs besoins de manière très généreuse au moindre souci. 

Nos liens d'amitié se sont renforcés quand Elizabeth, l'une des jumelles, qui faisait un master à Londres, s'est trouvée en panne de logement au dernier moment. Comme Bill passait le plus clair de son temps à Leeds, il lui a laissé sa maison pendant un an. C'était très chic de sa part. Pendant ce temps-là, mon autre jumelle, Barbara, travaillait chez un notaire à Leeds, de sorte que nos chemins se sont croisés de plus en plus souvent quand je venais voir Elizabeth à Londres ou quand je voyais Barbara à Leeds. 

Peu à peu, nous nous sommes mis à apprécier la compagnie l'un de l'autre. Bill, qui était l'ami de mon mari, est devenu le mien et je suis devenue sa confidente. Il sortait avec une jeune femme très pétillante, une relation en dents de scie comme toutes les précédentes. Ils ont fini par se séparer. Une de perdue, dix de retrouvées, dit l'adage particulièrement vrai avec Bill. 

Lorsque un couple d'amis m'a invitée à passer l'été à Tenerife, aux Iles Canaries, Bill a laissé entendre qu'il aimerait bien venir avec nous pour se changer les idées. Pourquoi pas? Nous étions de très bons amis. 

Comment le dernier soir des vacances, après avoir éclusé pas mal de bouteilles en regardant le coucher du soleil sombrer dans la mer, nous sommes nous retrouvés au lit, dans les bras l'un de l'autre? Nous étions, je suppose, détendus. Un verre en avait appelé un autre et un geste un autre. J'avais un peu froid, il m'a prêté son pull et en m'enveloppant dedans, il m'a embrassée pour la première fois autrement que sur les joues. Je me suis laissée faire et nous sommes rentrés à l'appartement. Je me souviens d'un moment plutôt agréable pour une première fois. Mais au réveil, outre la gueule de bois, la sensation que j'avais fait une énorme bêtise. 

Pour Bill -il me l'a avoué plus tard- c'était bien pire: même si Derek était décédé depuis cinq ans et que rien n'avait existé entre nous jusqu'à très récemment, il était pétri de culpabilité, il avait couché avec la femme de son meilleur ami. De mon côté c'était plus simple, je n'avais jamais envisagé quoi que ce soit avec Bill, qui dans mon esprit restait avant tout un ami. C'était un simple instant d'égarement. J'espérais juste que notre amitié n'en serait pas altérée. 

Sans nous concerter, nous avons -à l'anglaise- fait comme si ce moment n'avait jamais eu lieu. Pendant près de quatre mois, nous avons repris la relation où nous l'avions laissée avant cette plage des Canaries, comme de vieux amis, sans nous voir, en papotant au téléphone. Mes filles n'étaient plus à Londres ni à Leeds et les occasions de se voir n'étaient plus si nombreuses, cela tombait très bien, finalement. 

Avec le temps, je me suis rendu compte que ce qui m'avait fait fuir, comme dans les deux précédentes relations auxquelles j'avais mis terme, c'était la douleur que j'avais endurée en perdant Derek si brutalement. En refusant d'aimer, j'étais au moins sûre de ne jamais souffrir autant. Je me sentais incapable de revenir vers Bill après l'avoir ignoré ainsi. 

Et puis est arrivée la date de mon anniversaire -je suis née un 24 décembre. Mes meilleurs amis m'ont proposé de fêter mes 50 ans à New York. J'ai suggéré à Bill de se joindre à nous. C'est alors qu'il m'a demandé si j'accepterais pour l'occasion qu'il m'invite à l'hôtel Waldorf Astoria. N'importe qui aurait sauté au plafond. J'ai prétexté que je devais sortir Dylan, mon labrador, pour lui donner une réponse. Une bonne heure à tergiverser. Allais-je continuer à refuser de vivre pour ne pas souffrir? Quel risque prenais-je à accepter? 

Celui de passer un moment formidable. Entre le patinage sur Central Park, les spectacles, les sorties, je me souviens d'un moment féérique. Je n'étais pas au bout de mes surprises quand, au petit déjeuner, à la veille de repartir pour Londres, Bill, avec son petit air frustre en renversant son café au lait, m'a demandé si j'étais prête à "envisager cette relation plus sérieusement"? Devant mon air hébété, il a traduit: "Pas juste être amants occasionnels. Etre ensemble?", avant d'ajouter: " Tu n'es pas obligée de me répondre maintenant, termine ton petit déjeuner." 

Je n'ai rien pu avaler de ce buffet pourtant délicieux. Ayant vu défiler toutes les petites amies de Bill, je savais que si l'histoire devait se casser la figure -ce qui me paraissait hautement probable- cela se passerait de manière élégante. Bill ne me ferait pas souffrir. La chose la plus importante à mes yeux était que j'avais confiance en lui. J'ai accepté de tenter cette expérience. 

J'avais hâte de faire part de ce changement de statut à mes filles, qui m'encourageaient à refaire ma vie et qui plus est, aimaient beaucoup Bill. Je ne m'attendais pas du tout à leur réaction: "Avec Bill? Maman, tu sais à quoi t'attendre!", m'a semoncé la première, horrifiée. "Ça ne va pas durer très longtemps, je ne suis pas inquiète", a rétorqué la seconde. 

L'annonce que je redoutais le plus était celle à ma belle-famille. Bill m'accompagnait souvent quand je rendais visite à ma belle-mère. J'imaginais qu'ils pourraient ressentir cela comme une parfaite trahison, le meilleur ami de leur fils défunt. Au contraire, ils avaient senti peu à peu notre rapprochement et ils pensaient que nous étions ensemble depuis très longtemps. Finalement j'étais la seule à n'avoir rien vu venir. 

J'ai compris peu à peu que la détermination de Bill était bien réelle depuis un an. Une fois que j'ai eu enfin assumé la relation, je suis peu à peu tombée amoureuse de lui. Après un an d'allers et retours, j'ai accepté de quitter ma maison de York pour vivre avec lui à Greenwich. 

Par Cathy, propos recueillis par Catherine Monroy . 

On pourrait se demander ce qu'il reste à explorer quand on connaît un homme depuis 25 ans, qu'on connaît ses défauts, ses petites manies. En fait, tout! Un gouffre immense sépare l'amitié de l'amour. J'ai découvert un homme tendre, sensuel et romantique, des qualités que j'étais loin de pouvoir soupçonner chez lui. Dylan, mon labrador, s'est trouvé un nouveau maître, presque plus attentif que moi. Et alors qu'Elizabeth est sur le point d'accoucher de son premier enfant, il me paraît qu'Uncle Bill pourrait faire un grand oncle merveilleux! 

Par Cathy, propos recueillis par Catherine Monroy . 







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