Jeune et vilaine et jeune Larissa Gold

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Une vitrine sur l'actualité du monde en développement
A 16 ans, Larissa passe d’employeuse en employeuse depuis qu’elle a l’age de 9 ans . Son rĂ©cit illustre bien la prĂ©caritĂ© des jeunes filles vulnĂ©rables, ainsi que leur manque de pouvoir de nĂ©gociation pour obtenir des conditions de travail et un salaire dĂ©cents.
Larissa raconte : « C’est un animateur qui passait de maison en maison qui m’a expliquĂ© qu’il y avait des rencontres au centre que je pourrais y trouver des conseils. Les causeries m’aident beaucoup. Avant, je pouvais faire trois jours sans douche. C’est agrĂ©able de sentir l’air passer sur moi. ça aussi profitĂ© aux patronnes chez qui je travaillais comme domestique. J’ai compris que je devais faire la vaisselle tout de suite plutĂŽt d’attendre le soir, avec les douches dessus, qu’il ne fallait pas que je traĂźne en chemin lorsqu’on m’envoyait acheter des condiments, que je ne pouvais pas dĂ©penser l’argent pour m’acheter des friandises
Les patronnes aussi me le disaient mais en gueulant. Les journalistes de l’Asmade, elles, elles donnent des conseils, c’est diffĂ©rent. 
PrĂ©sentement, je ne suis plus domestique, je vends des mĂšches et des produits pour cheveux dans une boutique de coiffure. Je gagne 15 000 francs (23 euros) et mĂȘme si j’enlĂšve le manger et le savon, c’est beaucoup mieux qu’avant. Pour les fĂȘtes, je vais pouvoir me natter (acheter des mĂšches). Je suis retournĂ©e chez ma sƓur. Comme j’ai du travail, elle me laisse tranquille. La boutique vient juste d’ouvrir. Pour l’instant, je ne vends pas beaucoup. La patronne me dit de ne pas me dĂ©courager.
L ’Asmade 1 m’a inscrite Ă  l’école du soir, en CP1. Je suis trĂšs contente. Je n’étais jamais allĂ©e Ă  l’école, mais je connais le livre de lecture par cƓur parce que c’est le mĂȘme que celui qu’avaient les enfants de ma sƓur. Quand ils faisaient leurs devoirs le soir dans la cour, je m’approchais et je les entendais lire « Ali est vĂȘtu », « Papa a une moto »... Ça me faisait envie mais ma sƓur ne rĂ©pondait pas quand je lui demandais d’aller Ă  l’école moi aussi. Pour mon petit frĂšre, c’est un de mes grands frĂšres de CĂŽte d’Ivoire qui paye sa scolaritĂ©. Si je sais lire et Ă©crire comme les autres, je vais pouvoir avoir un meilleur travail. Je pourrais noter ce qui s’achĂšte chaque jour, Ă©crire le nom des articles que les clientes demandent et que nous n’avons pas dans la boutique. Je vais pousser jusqu’à ce que je peux.
PrĂ©sentement, j’ai un copain. Je l’ai rencontrĂ© chez une amie qui vend du thĂ©. Ça fait un an qu’on se suit. Il est allĂ© au village de mon papa pour lui dire qu’il voulait m’épouser. Mon papa est d’accord. Les anciens ont dit qu’ils allaient me rappeler pour nous dire quand nous pourrons revenir saluer la famille et nous marier. Ils n’ont toujours pas tĂ©lĂ©phonĂ©. Je ne sais pas combien de temps je vais devoir attendre.
Avant de coucher avec lui, je lui ai demandĂ© qu’on fasse le test VIH . C’est au centre qu’on nous a dit de le faire. J’avais un peu honte et un peu peur qu’on trouve le sida pour le garçon ou moi. Pendant les relations sexuelles, j’ai mal. Je ne sais pas si c’est parce que j’ai Ă©tĂ© excisĂ©e. Une amie m’a expliquĂ© qu’aprĂšs un temps, on ne sent plus la douleur. A lui, je n’ai rien dit.
Je ne fais rien pour ne pas prendre une grossesse. Si je prends une grossesse, c’est bien. J’irais vivre avec mon copain. Mais je prĂ©fĂšrerais qu’on se marie avant. Parfois, il me donne un peu d’argent. Il fait des voyages au Ghana pour acheter lĂ -bas et vendre ici. Si j’ai un enfant, je pense qu’il restera avec moi. On n’a jamais parlĂ© de ça ensemble, mais je lui fais confiance.
J’ai une amie qui suit des hommes au hasard, elle a dĂ©jĂ  fait deux avortements. DerniĂšrement, elle a dĂ» rentrer au village pour accoucher. Elle s’y est prise trop tard, sa grossesse s’est vue. Les gens l’ont empĂȘchĂ© de prendre les tisanes. Ils disaient qu’elle Ă©tait en train d’assassiner un ĂȘtre humain. Il y a aussi des filles qui prennent les grossesses non dĂ©sirĂ©es et qui se font jeter dehors par leurs parents, ou qui commettent la prostitution pour s’amuser et qui ne peuvent plus en sortir.
MĂȘme si tu as un boulot, c’est difficile d’avoir Ă  manger. On ne te paye pas ou on ne te paye pas bien . Mes grands frĂšres travaillent dans les plantations de cafĂ© et de cacao. Ils m’ont dĂ©jĂ  envoyĂ© de l’argent pour m’aider Ă  tenir entre deux patronnes. Mais c’est pour aider mon papa qu’ils sont en CĂŽte d’Ivoire. Si je demande aussi, ce n’est pas bon. Je voudrais avoir mon propre commerce. Je prie Dieu pour avoir une boutique de mĂšches Ă  moi. "
1 Asmade: Association Songui Manégré/Aide au Développement EndogÚne
Source: ONG Equilibres et Populations

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Un jeune Vaudois de trente ans, fraĂźchement converti Ă  l’islam, s’en va rejoindre l’État islamique en Syrie. Trois mois plus tard, l’aventure ne lui ayant probablement pas apportĂ© ce qu’il en attendait, le combattant en herbe rentre au pays, aprĂšs avoir Ă©tĂ© emprisonnĂ© par ses camarades de l’ÉI pour trahison ­ c’est ce qu’il raconte, mais, compte tenu des mĂ©thodes radicales de l’État islamique, on me permettra de douter de cette version des faits.
Quoi qu’il en soit, le pseudo-djihadiste ayant violĂ© l’article 260 du Code pĂ©nal suisse, qui rĂ©prime la participation Ă  une organisation criminelle, ainsi que le Code pĂ©nal militaire, qui interdit le service militaire dans une autre force armĂ©e, il a Ă©tĂ© condamnĂ© par ordonnance pĂ©nale.
VoilĂ  un jeune homme qui a commis deux fautes graves et qui, avant de se repentir d’un choix impliquant un entraĂźnement au combat probablement trop pĂ©nible pour un jeune converti Ă  peine sorti de ses pantoufles, envisageait avec enthousiasme d’aller tuer des inconnus en Syrie pour la plus grande gloire d’Allah ! On aurait pu s’attendre Ă  une sanction sĂ©vĂšre, d’autant que ce cas de retour du djihad, qui est le premier Ă  occuper la justice de notre pays, risque de faire jurisprudence.
Eh bien ! pas du tout. L’apprenti djihadiste s’en tire avec six cents heures de travaux d’intĂ©rĂȘt gĂ©nĂ©ral
 avec sursis ! On ne le retrouvera donc mĂȘme pas derriĂšre les fauteuils roulants de vieillards dĂ©goulinants de reconnaissance, extasiĂ©s devant ce jeune homme si gentil et si poli, ni occupĂ© Ă  quelque autre tĂąche gratifiante.
Il n’y a pas loin de l’article 260 Ă  l’article 261 bis du Code pĂ©nal. Et pourtant, il y a tout l’espace qui sĂ©pare un assassin en puissance de chercheurs qui mettent en doute ou contestent vous-savez-quoi. Ces derniers, qu’ils s’appellent Amaudruz, Berclaz ou Graf, ont droit Ă  des mois de prison ferme, alors qu’ils n’ont jamais touchĂ© ni envisagĂ© de toucher Ă  un seul cheveu de qui que ce soit. Mais, Ă©videmment, et contrairement Ă  l’ex-futur combattant de l’ÉI, ils ne collaborent pas avec les autoritĂ©s et n’affirment pas qu’ils ont coupĂ© tout contact avec leurs amis.
Puisque nous en sommes au chapitre des prisonniers d’opinion, je rappelle qu’il y a en Allemagne et en Autriche des rĂ©visionnistes qui croupissent en prison depuis des annĂ©es: Horst Mahler, Axel Möller, Gerd Ittner ­ qui aurait dĂ» ĂȘtre libĂ©rĂ© le 15 octobre, mais que les Allemands gardent au chaud en vue d’un futur procĂšs, sans jugement donc ­ et Wolfgang Fröhlich.
Décidément, notre société est complÚtement folle.
(Cet article a été publié dans le périodique vaudois Le Pamphlet (Case postale 998, CH-1001 Lausanne), n° 440 de décembre 2014, page 3.)
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CrĂ©Ă© en 2008, le RĂ©seau Jeunes Chercheurs Sciences Sociales et VIH/sida vise Ă  mutualiser les informations et savoir-faire, rompre l’isolement scientifique et appuyer la rĂ©ponse aux appels d’offres, ainsi qu’à promouvoir les Ă©changes scientifiques autour des thĂ©matiques liĂ©es au VIH/sida. Il a Ă©tĂ© et continue d’ĂȘtre le support d’une rĂ©flexion collective sur les implications politiques, Ă©thiques et opĂ©rationnelles des travaux de recherche. Le RĂ©seau est soutenu financiĂšrement par l’Agence Nationale de Recherche sur le Sida et les hĂ©patites virales.



In RĂ©seau des jeunes chercheurEs en sciences sociales sur le VIH/Sida

DiplÎmée en science politique de Sciences Po Bordeaux
Post doctorante à l'UdeM, Faculté de pharmacie
Une interview de Elhadji Mbaye, post doctorant Ă  l’UniversitĂ© de Concordia, Chaire de Recherche sur le VIH/sida et la santĂ© sexuelle, mai 2014, Ă  l’occasion du CongrĂšs annuel de l’Association canadienne francophone pour le savoir (ACFAS).
DiplÎmée en science politique de Sciences Po Bordeaux
Post doctorante à l'UdeM, Faculté de pharmacie
Le sĂ©minaire d’écriture Ă  destination des jeunes chercheur.e.s en sciences sociales sur le VIH/sida a Ă©tĂ© organisĂ© par la Chaire de recherche sur le VIH/sida et la santĂ© sexuelle de l’UniversitĂ© Concordia – en collaboration avec Universities Without Walls , l’UnitĂ© de recherches critiques en santĂ© de l’UniversitĂ© d’Ottawa, et le RĂ©seau jeunes chercheurEs sciences sociales et VIH/sida.
Destiné aux doctorant.e.s et aux postdoctorant.e.s suffisament avancé.e.s dans leur projet de recherche sur le VIH, le séminaire a réuni 11 participants dont 8 du réseau des jeunes chercheurEs en sciences sociales et VIH/sida.
Objectif : Semaine intensive de rĂ©flexion, d’écriture, d’échanges et de collaboration
Le principe : Chaque participant propose un texte, un chapitre de thĂšse, un article en cours de publication, un nouveau projet de recherche ou une demande de subvention pour un projet de recherche sur le VIH. Les textes sont transmis Ă  tous les autres participants. Des binĂŽmes sont formĂ©s de façon alĂ©atoire par l’équipe de coordination. Les Ă©changes sur les textes se font de façon libre, dans un cafĂ©, un bureau, un parc, etc. Certaines aprĂšs-midi et matinĂ©es sont rĂ©servĂ©es Ă  la lecture des textes, d’autres aux discussions.
Les participants se retrouvent toutefois tous les jours à 13h pour le déjeuner.
Une sĂ©ance de travail en commun et de discussion a eu lieu Ă  la fin du sĂ©minaire. AnimĂ©e par Vinh-Kim Nguyen, elle a essentiellement portĂ© sur la publication, les stratĂ©gies, les enjeux, les piĂšges, etc. A la fin de cette discussion l’idĂ©e d’un numĂ©ro spĂ©cial de la revue AIDS (Ă©ditĂ© par Vinh Kim) prend forme et se prĂ©cise. La sortie est attendue pour la rentrĂ©e 2015-2016.
Outre la formule des Ă©changes et l’organisation du sĂ©minaire, l’accueil canadien et la logistique ont Ă©tĂ© chaleureux et confortables. Le libre format laissĂ© aux participants par rapport Ă  leurs textes a cependant lĂ©gĂšrement dĂ©sĂ©quilibrĂ© les Ă©changes, avec des textes longs de 40 pages et d’autres de 5 pages.
Voici quelques témoignages de ce séminaire mémorable :
J’ai participĂ© Ă  l’atelier d’écriture en mai dernier Ă  MontrĂ©al. Cette forme d’atelier est extrĂȘmement enrichissante, pour plusieurs raisons. D’abord, parce que c’est un cadre collectif bienveillant, au sein duquel nos textes sont relus et discutĂ©s par des pairs (d’autres jeunes chercheur-e-s). Ensuite, parce qu’un atelier d’une semaine permet de rĂ©ellement s’immerger dans l’écriture : lire, relire, penser Ă  des dĂ©veloppements ou des corrections
 Avoir le temps le temps est une denrĂ©e prĂ©cieuse dans le monde de la recherche ! Enfin, cet atelier a constituĂ© pour moi une super motivation pour Ă©crire. RĂ©sultat ? J’ai passĂ© l’étĂ© Ă  travailler sur mes futurs articles !
 Cet atelier m’a permis de travailler sur un chapitre de thĂšse que j’ai transformer en article. Les discussions en binĂŽme sur chacun des travaux Ă©taient trĂšs constructives sur la forme, le fond, et les arguments au centre du travail. La variĂ©tĂ© des travaux prĂ©sentĂ©s permet Ă©galement mieux saisir l’apport des diffĂ©rentes perspectives les problĂšmes liĂ©s au VIH/sida. Enfin, ce type d’expĂ©rience permet vĂ©ritablement de renforcer un communautĂ© scientifique qui se connait et qu lit vĂ©ritablement les travaux des uns et des autres.
 Cet atelier a Ă©tĂ© constructif sur TOUS les plans. L’expĂ©rience est Ă  renouveler. C’est grĂące aux retours des uns et des autres, qui ont eu le temps de bien relire mon projet de post doctorat que j’ai rĂ©ussi Ă  l’avoir. Merci Ă  tous les jeunes chercheurEs!
La suite des réactions en vidéo  ici

PS : Un atelier d’écriture du mĂȘme type est en cours de prĂ©paration. Il aura lieu courant mai dĂ©but juin en Bretagne, en pleine campagne. Plus de prĂ©cisions dans les prochains mois
DiplÎmée en science politique de Sciences Po Bordeaux
Post doctorante à l'UdeM, Faculté de pharmacie
AprĂšs une annĂ©e riche en activitĂ©s comme le confirme le bilan de l’annĂ©e 2013/2014, l’AG du rĂ©seau le 05 juillet dernier a abouti sur une nouvelle Ă©quipe de coordination pour l’annĂ©e 2014/2015 et quatre
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