Jeune esclave bien étroite

Jeune esclave bien étroite




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Jeune esclave bien étroite
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Je demande à martinet de s’occuper de couvert, de lui boucher le cul avec un plug conséquent et de le mettre au repos pour qu’il soit de nouveau utilisable sous peu…
Tous mes invités partis, je me mets tout de suite à table, c’est pelouse qui va me servir… mes esclaves les plus proches étant inutilisables. carpette s’est assis, mais au bout de son tabouret pour que ses couilles ne touchent pas le bois…
Comme toujours, cuisine, s’est montré un grand cuisinier, il me prépare toujours des plats succulents qui ravissent toujours mes invités. Étonnant alors que lui ne mange que la nourriture réservée à mes esclaves le matin de bonne heure.
— Asperges sauce mousseline…
De belles asperges bien blanches recouvertes de cette sauce… cela me fait bander car je pense à ce soir…
— Courgette farcie avec sa sauce moutarde.
A-t-il établi le menu en fonction de la soirée mensuelle ?
Le dessert je dois le prendre avec Daniel aussi ayant terminé mon assiette je me lève pour me prélasser sur mon canapé.
— martinet, fait venir balais qu’il vienne me faire patienter avant l’arrivée de Daniel. C’est aujourd’hui le jour de la traite de trois d’entre vous, pelouse, pelle et piscine. À la demande du vétérinaire j’y ajoute carpette… installe et fait installer le matériel… pour carpette se sera une traite à la queue et pour les autres : à la prostate et massage de la queue pour pelle, à la prostate uniquement pour les deux autres avec glace sur les couilles pour pelouse et avec glace aux couilles et queue pour piscine…
— Bien Maître.
balais arriva presque immédiatement, je le fis se placer entre mes jambes et comprenant ce que j’attendais de lui, il se mit au travail. martinet revient quelques minutes plus tard accompagné de pelle, pelouse et piscine transportant chacun un matériel pour procéder à la traite…
Trois petits tabourets ne comportant pas de siège, simplement les quatre côtés et un trou vide permettant d’accéder à l’anus, une avancée faisant office de plateau et entre les deux une petite cuvette. Deux anneaux en bas des pieds arrière… Le quatrième ne comportant pas le plateau.
martinet part à la cuisine et revient avec une glacière et de sacs en plastique.
— carpette, approche pour que l’on t’équipe…
carpette, se lève et s’approche en regardant le matériel disposé… il tremble un peu, s’est une première pour lui. Les trois esclaves sont déjà équipés, c’est au tour de carpette d’avoir ses deux poignets et chevilles munis de menottes et chevillières avec des anneaux.
Chacun se dispose à côté de son matériel, à genoux, en position d’attente en attendant que l’on s’occupe d’eux pour leur traite.
Je vais recevoir du monde et ne peut, à mon grand regret me mettre en robe de chambre.
On sonne, martinet se précipite…
— Jeune Maître Daniel, Maître.
— Qu’attends tu fais le entrer.
— Patrick, re bonsoir…
Nous sourions tous les deux.
— Que m’avez-vous préparer ce soir Patrick ?
— C’est le jour de la traite ordinaire pour trois de mes esclaves et une par ordonnance sur carpette… habituellement elle est exécuté par l’un de mes esclaves formé à cela que j’ai appelé laitier… Il se charge également de la commercialisation.
— La jute est commercialisée ?
— Oui je t’expliquerai.
— Ils attendent leur tour ?
— Oui tu vas assister et participer si tu le désires à quatre formes de traite… aussi perverses l’une que les autres car elles permettent de vider les esclaves sans leur donner la possibilité de jouir…
— C’est possible ?
— Oui je vais t’ expliquer.
Je regardai du coin de l’œil carpette qui écoutait attentivement… ce demandant ce qui allait lui arriver. Daniel le regardait aussi et souriait de voir sa contenance…
— Les couilles de carpette ont l’air de se cicatriser…
— Oui finalement, il n’était pas si abimée qu’on aurait pu le croire… ces esclaves toujours en train de simuler pour éviter de servir…
Tout en disant cela Daniel est devant carpette et négligemment soulève les couilles avec le pieds… carpette grimace… mais ne crie pas comme tout à l’heure…
— N’est-ce pas crachat, tu n’avais finalement pas aussi mal que tu le disais…
Je vois carpette, rougir d’indignation devant la réflexion de Daniel qui savait parfaitement que carpette ne simulait pas…
— Tu ne réponds pas esclave…
— Qu’ai-je à répondre Jeune Maître Daniel, je ne suis qu’un esclave.
— Bien répondu…
— Daniel, viens prendre ton dessert devant cette fourchette d’esclave qui vont bientôt cracher leur jus presque sans s’en apercevoir ou du moins sans aucun plaisir et même dans la souffrance.
— Je n’ai jamais assisté à une traite, ni de bovins, ni d’esclaves…
— C’est sensiblement la même chose ou presque…
— Daniel, vient me rejoindre sur le canapé… balais poursuit son œuvre… tranquillement… simplement pour me garder en forme.
— Tu en veux un pour te tenir ta verge au chaud, Daniel ?
— Pourquoi pas… qu’avez-vous à me proposer ?
— martinet va se charger de la traite… cuisine va nous apporter notre dessert et sera libre ensuite… alors si tu veux ?
— Oui, un maître-queue sur ma verge…
— cuisine… notre dessert…
Il entre.
— Banana split avec deux boules de glace à la vanille, à la crème Chantilly…
Le salaud… il joue avec nos pulsions…
— Après notre repas, maintenant occupe-toi de la verge de mon invité… tire lui sa propre crème Chantilly s’il le désire…
cuisine, sans mot dire, se place entre les jambes de Daniel…attend un signe… voyant ce signe, ouvre la braguette avec ses dents… baisse le pantalon… le slip, puis ouvre la bouche dans une nouvelle attente que Daniel prolonge…
— La glace va fondre…
— Vas-y cuisine, tu as l’autorisation… mais je ne veux pas jouir avant la fin de la traite…
— Bien Jeune Maître Daniel.
Nous jouons tous les deux avec la crème Chantilly, nous en faisons tomber sur la figure du suceur de l’autre et nous léchons le visage de notre fellateur. Nous rions de nos jeux… Il est pas mal ce petit Daniel, un peu jeune encore pour le mettre dans mon lit… je ne veux pas le forcer mais si la suggestion vient de lui…
— Si tu veux te mettre à l’aise pour le spectacle n’hésites pas.
— Euh ! Euh !
— Nous sommes que tous les deux… soit pas trop prude…
— Mais il y a eux…
— Eux c’est rien… tu ne te déshabilles pas dans ta chambre ?
— Si mais je suis seul.
— Avec ton lit, ta chaise, ta fenêtre ?
— Oui.
— Alors c’est comme maintenant… eux comme tu dis, ne compte absolument pas ici il sont des objets de plaisirs, du matos à divertissement…
— Oui, ok… cela ne vous gêne pas Patrick.
— Aucunement Daniel. Fais-toi aidé par cuisine, ne te fatigues pas inutilement… Puis-je en faire autant ?
— J’aurai mauvaise grâce à refuser…
Et c’est aidé de cuisine et moi de balais que nous nous retrouvons tous les deux nus devant nos esclaves bien sur nus. J’envoie deux serviettes éponge à la figure de balais, qui les étales sur le canapé. Daniel a fait des progrès depuis la dernière fois où il avait voulu rester seul pour se faire sucer.
— On est pas bien comme cela, le corps au frais et la verge au chaud… ?
— Oui super comme sensation Patrick.
— Maintenant finissons notre glace .
C’est sans un mot, comme souvent lorsque l’on mange une glace, que nous savourons ce succulent dessert.
— Écoute, maintenant avant la mise en pratique quelques informations sur le « milking of male »ou « traite du mâle »…
— Je vous écoute attentivement Patrick.
— Voilà : La traite du mâle est une technique de massage de la prostate qui implique trois organes du système de reproduction masculin : la glande prostatique, les vésicules séminales et les testicules (ou couilles pour les sous-hommes), lesquelles représentent les réservoirs qui contiennent le sperme prêt à être éjaculé. Afin de repérer physiquement ces différents organes, on introduit un doigt (que vous avez préalablement lubrifié) dans l’anus, puis on remonte le long de la paroi rectale jusqu'à sentir une excroissance de la taille d'une noix : il s'agit de la prostate. Au-delà de la prostate se trouve une zone étroite contenant les vésicules séminales.
Durant un acte sexuel classique, les corps caverneux contenant le sperme se contractent à la suite de l’excitation et projettent les spermatozoïdes en jets fins contre la paroi de l'urètre. En même temps, les vésicules séminales expulsent aussi en jets fins leur contenu jaunâtre et gluant dans l'urètre. La violence du choc de ce liquide déclenche l'activité de la prostate. Celle-ci se contracte et projette le contenu de ses petites glandes, également en jets fins, dans l'urètre, où les différentes parties du liquide spermatique se mélangent. L'éjaculation du sperme est accompagnée de contractions rythmiques très fortes des muscles situés à la racine du pénis. Une fois commencé, le processus de l'éjaculation ne peut plus être interrompu. Il y a généralement 4 à 8 contractions musculaires que l'homme ressent d'une manière consciente. C’est l’orgasme masculin !
— Waouh ! Une explication scientifique à mes branlettes quotidienne. Je ne savais pas que tout cela se produisait…
— Tu veux constatez par toi-même l’existence de ces glandes ?
— Oui ce sera très bon pour mon éducation de Dominateur…
— Je fais venir couvert, même s’il a souffert tout à l’heure cela t’évitera de lui ouvrir le cul… il l’est toujours chez lui…
Nous rions de bon cœur pendant que je l’appelle et qu’il se présente à nous…
— couvert tu te mets présentation poubelle, mais rassure toi nous allons rien à jeter c’est simplement pour une démonstration.
Il se positionne, il connaît bien son état, une chose, je le débouchonne, je prends une petite lampe se trouvant près de moi, j’éclaire l’intérieur de son anus… introduit un doigt et
— Tu vois, Daniel, la petite excroissance, c’est la prostate et juste après ses glandes séminales.
— Ah oui c’est l’usine à sperme…
— Oui si l’on peut dire…
— Alors vous allez les faire jouir…
— Eh non voilà jusqu’où nous les Hommes, qui pouvons jouir et avoir un orgasme, poussons notre perversion en faisant juter nos esclaves, les sous-hommes qui eux sont interdit de jouissance et d’orgasme… Cela peut prendre du temps mais jouissif pour les spectateurs et frustrant pour le sujet trait…
— J’ai hâte de voir cela… Ces quatre en position d’attente sont en attente ?
— Oui les trois premier n’ont pas juté depuis un mois et carpette seulement sept jours mais je voulais mesurer ses capacités de mâle et de plus le vétérinaire me l’a demandé par ordonnance…
— Ouiiii !
— Je vais faire pratiquer quatre façons de faire afin que tu sois bien au fait de la chose.
— Super, merci de cette intention à mon égard.
— La traite peut s’effectuer par l'introduction anale de 1 ou 2 doigts dans l’anus. Pendant toute la traite, la queue doit être touchée le moins possible car le risque de le voir jouir et prendre son pied devient trop important.
— Et alors punition sévère…
— Chez certains esclaves mâle, le massage de la prostate ne suffit pas et il faut tout de même masser la queue. Dans ce cas, il faut prodiguer un massage de la queue en évitant de masser le gland.
— C’est ennuyeux…
— martinet installe les trois premiers sur son « tabouret » et mets au frais la queue et les couilles de piscine qui bande déjà et ainsi lui faire prendre son état flasque et commence la traite de pelle, pendant que j’explique ton travail.


(ne fonctionne qu'avec les auteurs qui sont des usagers validés sur l'archive)
Auguste gouvernait l'Empire et moi j'étais esclave à Rome. Mon maître venait de mourir, il m'avait traité comme un fils. J'avais reçu l'éducation d'un jeune citoyen romain, je savais lire, écrire, compter, et j'avais à peine 13 ans qu'il m'honorait de sa confiance au point d'être son secrétaire et de consigner ses pensées. Il me les dictait de son lit où le maintenaient ses souffrances et une semi-paralysie car il ne pouvait plus marcher. Il mourut à 69 ans et comme il était meilleur philosophe que gestionnaire de ses biens, sa fortune fut tellement compromise que son fils dut se résoudre à vendre l'intégralité de ses biens afin de préserver la sienne. Ils se constituaient d'une Domus dans le quartier du Céramique, de thermes encore en construction et d'une douzaine d'esclaves. J'étais l'un d'eux pour mon malheur.

Nous fûmes conduits au marché situé à l'angle sud du Forum et exposés sur une estrade avec nos pieds enduits de craie. La plupart de nous étions nus, seuls portaient une loque sur eux les mal bâtis et les vieillards afin que soient dissimulées leurs tares. Deux fillettes partirent les premières, achetées par une matrone propriétaire d'un lupanar. Elle déboursa 3000 sesterces, mais le rendement à court terme la rendrait vite bénéficiaire. Deux jeunes hommes furent évalués à 2000 sesterces chacun et préemptés par l'empereur dont le représentant légal assiste d'office à chaque vente. Ils seraient probablement employés comme serviteurs dans ses armées. Trois femmes dans la fleur de l'âge furent achetées au même tarif et embarquées sur un vaisseau qui ferait voile vers Massilia. Elles complèteraient la maisonnée d'un riche négociant en parfums qui y ouvrait une succursale. Les autres partirent à vil prix à cause de leur âge avancé ou de vices de constitution. On détectait, à leur haleine, les maladies dont ils souffraient.

Je fus acheté en dernier avec une vieille femme édentée âgée de plus de 50 ans Le maître exigeait 4000 sesterces pour moi seul car j'étais jeune, beau et instruit. J'avais au cou un écriteau qui vantait ces qualités rares car un esclave instruit vaut cher. Il fait fonction de secrétaire et tient la comptabilité. Une transaction s'opéra au terme de laquelle on conclut que mon acheteur aurait en prime la vieille dont nul ne voulait s'encombrer. Elle nettoierait les latrines. Ce fut un affranchi qui m'obtint comme prête-nom d'un sénateur. Je montais dans l'échelle sociale car la Domus d'un patricien est le sommet pour un esclave.

Mon maître avait 31 ans et sa famille était illustre. Le nom des Flavius Domitius se perpétuait depuis deux siècles et ses ancêtres avaient servi dans la République romaine à divers titres prestigieux. Flavius servait maintenant l'Empire avec autant de dévotion que son père en avait eue pour César. Nous étions plus de cent esclaves dans la Domus Domitius située sur le mont Caelius en vis à vis du Colisée, et l'affranchi que je suivis y avait le rôle d'intendant. C'était un homme de 40 ans d'une laideur abominable, mais qui jouissait des privilèges conquis par sa situation. Homme de confiance du sénateur, il régnait sur la maisonnée en maître quand le vrai maître était absent. En effet, Flavius Domitius partait très souvent en voyage pour inspecter, au nom d' Auguste, les territoires ultra-montains.

Il était de séjour à Rome lorsque je fus acheté par lui et voulut sitôt me connaître. Un homme gras, voluptueux, me reçut dans la position allongée qu'affectionnent les patriciens. Des mosaïques luxurieuses représentant de jeunes éphèbes dans des positions équivoques décoraient les murs de la chambre et je gardai les yeux baissés.

— Approche, servus. As-tu un nom ou t'appelle-t-on simplement servus ?

— Tu sais écrire sous la dictée, si j'en crois ton acte de vente. Si je t'ai payé cher, très cher, c'est parce qu'il me faut un secrétaire qui ne me fasse pas répéter. J'ai chassé ton prédécesseur à cause de sa lenteur à transcrire. Ses interruptions continuelles brouillaient le cours de ma pensée. À la vitesse de ma dictée doit correspondre la rapidité de ta plume. Comprends-tu cette nécessité et penses-tu pouvoir y répondre ?

— Je le pense, mon précédent maître exigeait la même chose que toi. Il faisait cependant des pauses pour me laisser prendre de l'encre et lisser le papier papyrus qui a tendance à s'enrouler.

— Tu utiliseras l'encre au plomb, plus rapide que celle au carbone, et du papier de papyrus que je fais importer d'Égypte. Chaque volumen sera scellé et envoyé à Rome par le cursus publicus, c'est à dire les relais de poste, lorsque nous serons en mission. Pour le courrier intra-muros, tablette de cire et poinçon. As-tu des questions ?

— Moi j'en ai une, jeune Énéus. Servais-tu ton ancien maître au lit ?

— Jusqu'à ce qu'il soit parlysé, j'ai pratiqué la fellatio sur son sexe entre ma huitième et ma douzième année. Ensuite il m'en a dispensé.

— Non, il avait un autre servus légèrement plus âgé que moi et il en était satisfait.

— D'où te viennent ces cheveux blonds et tes yeux couleur d'améthyste ?

— Mon père était un centurion gaulois, il m'a eu avec une esclave originaire de Dalmatie. Il nous a vendus elle et moi et nous avons été séparés.

— Tu es vraiment très beau, Énéus. Rejoins-moi dans deux demi-heures. Moetius va te préparer.

Il s'adressa à l' affranchi qui se tenait respectueusement à distance.

— Moetius, exécute mes ordres. Le garçon est vierge, veille à me le ramener intact sinon je te ferai fouetter. Ce servus est uniquement mien, ne t'avise pas d'y toucher.

L'affranchi s'inclina sans répondre. Je le suivis jusqu'à une chambre où un petit bassin de marbre était réservé pour le bain des compagnons de lit du maître. Je me mis nu et y entrai. Deux jeunes esclaves m'y rejoignirent et me firent les ablutions que nécessitait mon programme. Ils avaient le sexe tendu et me frôlaient à chaque instant tandis qu'ils versaient sur moi de l'eau tiède. Ils m'étendirent sur une couche pour me sécher et me parfumèrent les oreilles, les aisselles, le bas du pubis et le sexe. Puis me retournant sur le ventre, ils oignirent du doigt mon anus avec une pommade écarlate, en rendant l'orée érotique.

Jamais je n'avais été pénétré mais je savais qu'un jour ou l'autre cela m'échoirait fatalement. Un esclave est une marchandise. J'en étais parfaitement conscient, comme les deux adolescents près de moi soumis au désir de leur maître et de l'affranchi Moetius depuis sans doute leur plus jeune âge. Ce dernier me regardait méchamment parce qu'il m'aurait voulu pour lui et que l'injonction de Flavius le privait de cette espérance. Quand je fus prêt et sentis bon, l'affranchi à la face immonde me mena chez le sénateur. Il m'attendait vêtu d'une robe de nuit à parements orange et rouges. Comme Moetius demeurait, il eut un geste d'impatience.

— Va-t-en, retourne à tes occupations, je ne veux plus voir ta figure.

L'autre se retira, s'inclinant avec une obséquiosité de façade car il avait la haine en lui. Elle suintait par tous ses pores.

Je fis tomber ma tunique blanche et j'apparus nu devant lui. Je savais mon corps désirable. Des hommes l'avaient souvent touché, promenant leurs mains de ma nuque jusqu'à l'évasement de mes fesses, s'attardant au creux de mes reins pour en évaluer la cambrure. Le jour du marché aux esclaves, il avait été caressé, trituré et marchandé avec âpreté. Les Romains aiment les jeunes garçons à l'aurore de leur puberté. Mon visage encore enfantin était ombragé de longs cils et j'avais la bouche sensuelle d'un jeune éphèbe de 14 ans, ou peut-être en avais-je 15, cela je ne le saurai jamais.

Flavius Domitius écarta les deux pans de sa robe de nuit et me fit approcher d'un geste. Son torse était large et puissant et la trop bonne chère lui avait fait un abdomen proéminent au bas duquel une touffe de poils pubiens auréolait son petit sexe. Son beau visage à la romaine, alourdi entre cou et menton, dégageait une grande noblesse, due à la fermeté des traits et à la force du regard. Il sut cependant l'adoucir quand il me fixa dans les yeux.

— Non, mon maître, je n'ai pas peur, un esclave doit obéir et je t'obéirai, Flavius.

— Alors fais ce que tu sais faire, ensuite je te prendrai mon dû. Ta virginité m'appartient et tu es à moi corps et âme. Tu auras mal, petit esclave, mais même ta douleur m'appartient. Donne-moi du plaisir, Énéus.

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