Jeune blonde de 18 ans suce pour avoir son permis

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Jeune blonde de 18 ans suce pour avoir son permis
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Le paradis : avant ou après 18 ans ?
Philippe Fuguet est psychanalyste, professeur à l’École des psychologues praticiens :

Article publié le 25 juin 2008
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Pour les jeunes, l’âge de la majorité est souvent synonyme de liberté mais aussi de nouvelles responsabilités. Le passage à l’âge adulte peut donc être accompagné de certaines angoisses et de certaines tensions familiales.

En 1974, la majorité civile était abaissée de 21 à 18 ans. Ce qui n’avait pas manqué de provoquer, à l’époque, une levée de boucliers, comme se souvient Monique : "Ce sont encore des enfants, ils sont incapables de décider, les parents sont dépossédés de leur rôle, c’est le monde à l’envers… Voilà ce que l’on entendait. Mais au fond, presque 35 ans après, je ne sais pas si ça a changé fondamentalement quelque chose."
Étape symbolique décisive, l’âge de la majorité est pourtant une fin affichée et sans retour de l’enfance. Un petit de maternelle, passablement turbulent, interrogé par sa maîtresse, lui répondait gravement que c’était l’âge où les policiers le mettraient en prison. Un âge donc où l’on sait qu’on répond personnellement de ses actes. Et qu’on décide de sa propre vie .
Camille, 8 ans, a déjà prévenu son père, à la suite d’une fessée plutôt méritée : "Quand j’aurai 18 ans, je prendrai mon sac à dos et je partirai de la maison et on me retrouvera plus jamais." Menace destinée à glacer d’effroi un papa d’habitude compréhensif. Mais si, pour les jeunes enfants, la majorité est l’horizon de toutes les espérances, la situation est parfois plus ambiguë pour ceux qui se rapprochent du terme fatidique.
Au contraire de leurs aînés qui aspiraient à croquer la vie et le monde, beaucoup d’ados en restent au stade sucette : l’univers "cocooning" de la famille est une protection difficile à quitter. Pour Floriane, 16 ans et demi, c’est la crise d’angoisse : "Être majeure, c’est déjà vieillir, c’est la pente descendante. Je n’ai pas de honte à dire que je me sens encore enfant, pas envie de construire un avenir sérieux, de m’engager dans du définitif. Ma famille, mon univers me plaisent, tels quels. Au lycée, on nous demande toujours de réfléchir pour faire des choix. Est-ce qu’on peut choisir des choses qu’on ne connaît même pas ?"
Faut-il craindre alors de voir se développer le fameux "syndrome de Peter Pan" décrit par le psychologue Dan Kiley ? (Bon nombre d’adultes veulent rester à tout prix dans le "pays imaginaire" de l’enfance, cherchant l’amusement, la fantaisie débridée et fuyant toute responsabilité.) Qu’est-ce qui fait si peur dans l’idée de bientôt mener une vie d’adulte ? Floriane le dit d’emblée : le refus du temps qui passe et l’impression de ne pas avoir la maîtrise de sa propre vie. Se faire porter par les autres est tellement plus confortable !
À l’opposé, il y a aussi ceux qui voudraient voir le temps défiler un peu plus vite. À 17 ans, Benjamin est un fonceur. Pour lui, 18 ans, c’est l’âge du permis de conduire et la possibilité d’aller en soirée sans problème. Il voit l’avenir plutôt "cool" : "Plus besoin de ruses pour ne pas se faire bloquer à l’entrée des boîtes. Être majeur, c’est être plus tranquille pour trouver un petit boulot, partir en vacances comme on veut. Je trouve que maintenant les jeunes sont au courant de tout, c’est pas comme avant. S’entendre opposer des refus parce qu’on est trop jeune, c’est énervant."
Avec ses parents, les négociations ne sont pas des plus sereines, parce qu’ils ont du mal à admettre son impatience. Il trépigne : "Un an de plus, je ne vois pas ce que ça change. De toute façon, ils seront bien obligés de me laisser faire ce que j’ai envie. Toujours entendre que je ferai telle ou telle chose quand j’aurai 18 ans ! Ils ne savent pas tout ce que je fais sans leur dire !…" La majorité marque une frontière, même si certains, comme Benjamin, la passent parfois en clandestins.
Pour les parents, avant 18 ans, les arguments sont tout trouvés : "Tu feras ce que tu veux quand tu seras majeur." Mais l’affirmation se retourne contre eux dès que le cap est franchi. "Maintenant que j’ai 18 ans, je suis majeur et responsable devant la loi. Vous n’avez plus rien à me dire", rétorque-t-il. Faudrait-il alors ne pas réagir quand on estime que le jeune dépasse les limites ? Si le principe d’autorité : "Tu es sous notre toit, tu suis notre loi", est juste dans l’absolu, les mœurs ne sont plus les mêmes. Tout est dans l’art de la négociation.
La "coloc" entre vieux et jeunes adultes a parfois du mal à s’organiser. Brigitte trouve que ses jumeaux en prennent trop à leur aise : "Ils doivent trouver que l’hôtel et le resto familiaux sont plutôt bons. Les lits ne sont pas faits, le linge s’entasse, les assiettes stagnent dans l’évier et le frigo est pillé régulièrement. Ils oublient de prévenir s’ils passent la nuit dehors ou s’ils amènent des copains. Ce qui m’agace, c’est que leur père trouve ça presque normal. Je suis la râleuse de la maison. Pourtant, il y a un minimum de respect et de règles à suivre qui ne sont pas des contraintes surhumaines."
Voilà le maître mot : respect. Si le jeune veut être entendu dans sa liberté nouvellement acquise, il doit aussi tenir compte d’une certaine liberté retrouvée des parents qui ont "donné" depuis tant d’années, assumant des contraintes parfois usantes. Dire clairement les choses n’est jamais inutile. Avoir des limites et des attentes réciproques, c’est poser sainement les termes du nouveau "contrat parents-enfants", contrat qui recevra bien de temps en temps des coups de canif…
Dans l’ensemble, cependant, les jeunes adultes aiment qu’on s’adresse à leur sens des responsabilités. Fabien, qui fait des études loin de sa famille, apprend à se gérer : "Je jongle avec mon budget et j’essaie de ne pas le dépasser. Les parents ne sont pas au courant de tous mes embêtements, c’est normal à partir d’un certain âge. L’entraide se fait entre copains. C’est plus facile parce qu’on est tous plus ou moins dans la même situation. Chaque fin de mois, je véhicule mes copains, eux me nourrissent en retour."
"L’âge légal de 18 ans est un des passages symboliques vers l’autonomie. Mais il y en a d’autres : la fin de la scolarité, le permis de conduire, l’installation en couple, le métier, le bébé. Les étapes sont nombreuses. Il y a, au fond, peu de jeunes qui souhaitent rester des "Tanguy", seul le manque de projet de vie ou la peur face à la sexualité sont source d’angoisse. Quand la famille fait pression, le désir personnel a du mal à se construire.
L’arrivée de la majorité souligne aussi l’ambivalence des parents, entre fierté et difficulté à lâcher prise. Souvent de la part des pères face à leur fille, d’ailleurs. Ce qui change fondamentalement, c’est le regard du jeune sur la vie de ses parents et sur lui-même. En retour, les parents ne le regardent pas non plus de la même manière. Il y a comme un petit deuil à faire. Les nouvelles solidarités familiales, face aux difficultés de la vie, s’exercent alors autrement. Davantage entre frères et sœurs."
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Stéphanie Gasiglia
Publié le 18/04/2018 à 08:49, mis à jour le 18/04/2018 à 16:07



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