Jeune Fille Erotique

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Lorsqu'il entra dans le café, il la vit immédiatement. Comme la première fois, deux jours auparavant, sa beauté le frappa et son cœur se mit à battre à tout rompre dans sa poitrine. Presque douloureusement. Elle fumait en lisant, comme lorsqu'il l'avait vue le premier soir, assise à la même table. Dans la même position, les épaules couvertes de ce même manteau sombre qui faisait ressortir un peu plus sa longue chevelure d'or. Comme si elle n'avait pas bougé, préférant l'attendre là. Pourtant, ils ne s'étaient même pas parlé. Mais elle l'avait remarqué, il en était sûr. Ca l'avait un peu gêné d'ailleurs, car il aurait préféré continuer à l'observer ainsi en secret de longues heures. Mais il avait du se rendre à l'évidence. Non seulement elle l'avait vu, mais il lui avait même semblé distinguer un petit sourire au coin des lèvres. Invite ou moquerie ? Bien sûr, il était beaucoup plus jeune qu'elle. Peut-être le prenait-elle pour un gamin, un étudiant. Quel âge pouvait-elle avoir d'ailleurs ? Trente-cinq ans au plus. Il avait tenté de deviner au coin de sa bouche ou de ses yeux les premières petites rides qui rendent si folles les femmes et si amoureux les hommes, mais soit elles n'existaient pas, soit il était assis trop loin d'elle.
Son nez fin et à peine retroussé la rajeunissait sans doute un peu. Ses sourcils étaient soigneusement épilés et son maquillage discret mais parfaitement étudié faisait ressortir ses yeux d'un bleu si léger qu'ils paraissaient gris. Elle ne portait aucun bijou, mais son allure à elle seule témoignait de ce qu'il aurait pu appeler une « grande classe », dépourvue toutefois de la moindre trace de snobisme. Une classe réellement naturelle. Elle portait sous son manteau ce qu'il devina être une robe rouge trop sexy pour l'endroit, ce qui expliquait sans doute qu'elle reste si chaudement vêtue.
Au cours des quelques secondes de trop où il resta là sans bouger, planté sur le seuil de l'établissement, comme paralysé par la vision de cette femme trop parfaite, elle eut le temps de deviner ce regard insistant et leva les yeux. Il crut encore une fois deviner ce même petit sourire au coin des lèvres, et rougit de la tête aux pieds, s'avançant d'un pas qui se voulait décidé vers le comptoir. Le café n'était pas grand et lui offrait peu de possibilités de cacher sa gêne. Mais la jeune femme s'était déjà replongée dans son livre. D'un coup d’œil, il vit que ce n'était pas le même que la dernière fois. A la couleur de la couverture, étant trop loin pour lire le titre. Elle lisait vite, ou bien alors elle ne faisait que ça de ses journées. Dans un cas comme dans l'autre, ce n'était pas un point commun entre eux.
Il s'assit sur un tabouret en lui tournant volontairement le dos, comme un défi, mais c'était encore pire. Son épine dorsale était parcourue de picotements désagréables. Son long manteau noir, qu'il venait d'acheter pour paraître un peu plus élégant qu'à l'accoutumée, lui parut électrique. Il avait également acquis une paire de chaussures qui lui faisaient atrocement mal aux pieds, un pantalon anthracite de bonne coupe, et un pull col roulé gris foncé. L'ensemble n'était pas gai, lui avait fait remarquer la vendeuse, mais il avait lui-même les idées plutôt sombres en ce moment. Ses dernières économies y étaient passées. Il se sentait pourtant tout à fait ridicule, et quand le cafetier vint se planter devant lui pour prendre silencieusement sa commande, il bredouilla: « un double express, s'il vous plaît ». Il ne buvait jamais d'alcool, mais il aurait donné cher pour ressentir la chaude morsure d'un verre de scotch avalé cul-sec. Il eut l'impression que le barman aussi souriait en coin. Il avait l'air brave, à l'image de son établissement, propre, discret, chaleureux. Bien plus chaleureux que la majorité des bistrots parisiens que lui-même avait l'habitude de fréquenter. Un invisible juke-box diffusait discrètement des chansons sur un Paname d'hier ou plutôt d'avant-hier. Les murs étaient recouverts de cadres, pratiquement jusqu'au plafond. A croire que le patron n'avait pas aimé la couleur de la peinture.
Il y avait des vues de rues de Paris, mais la plupart représentaient des gens: bougnat d'avant-guerre devant sa devanture estampillée « charbon et alcools », famille de la même époque réunie pour un portrait-souvenir, pêcheur breton souriant à l'avant de son bateau tel une figure de proue... Images perdues de bonheurs oubliés. Pourtant, derrière la tristesse qu'évoquaient parfois ces photographies du temps passé, perçait une certaine sérénité. Il y avait aussi des portraits plus récents, pris dans le bistrot. Des consommateurs anonymes, et puis quelques vedettes des arts et lettres, la plupart disparues. Gabin, Audiard, Blondin... Sur certaines photos, le cafetier apparaissait à leurs côtés. Il était plus jeune, les yeux brillants. Mais cette fois, il n'y avait que quelques consommateurs esseulés, accoudés au zinc, et un couple qui s'embrassait sur une banquette, devant deux bières, à quelques tables de la jeune femme. Cette fois, il fallait qu'il lui parle. Il ne pouvait la laisser lui échapper à nouveau. Deux jours plus tôt, il s'était senti tellement mal à force de la regarder qu'il avait du se réfugier quelques minutes aux toilettes pour tenter de trouver du courage. Quand il était ressorti, elle avait disparu. Il avait couru jusque dans la rue, avait regardé dans toutes les directions, mais elle s'était évanouie. Il s'en était tellement voulu qu'il n'avait pas dormi de la nuit, revoyant sans cesse son visage et se disant qu'il n'aurait certainement pas une seconde chance. Et le lendemain, effectivement, elle n'était pas venue. Il avait arpenté le quartier, se répétant sans trop y croire qu'elle y résidait peut-être, mais il avait dû s'arrêter au bout de deux heures, la tête lui faisant mal à force de dévisager les passants.
En tintant bruyamment sur le zinc, la tasse déposée par le cafetier le ramena à la réalité. Il se sentit soudain résolu, attrapa la soucoupe d'une main et de l'autre un exemplaire du « Parisien » destiné aux clients, descendit du tabouret et alla droit vers la belle. Ses jambes flageolaient un peu et son cœur faisait encore des bonds, mais il ne pouvait plus reculer. Elle ne sourit pas, même du coin des lèvres, et sembla en fait ne même pas se rendre compte de son approche. Il s'assit à la table juste à côté de la sienne, sur la même banquette, à moins d'un mètre. Puis il fit aussitôt mine de se plonger dans la lecture du journal. Il se trouvait déjà bien assez hardi, et se demandait s'il serait jamais capable de lui adresser la parole. Mais il n'eut pas le temps de se poser la question une seconde fois. Venue de sa droite, une voix encore plus suave qu'il ne l'aurait imaginée, lui dit doucement: « ne perdez pas votre temps ». Il tourna la tête vers la jeune femme, qui regardait toujours son livre. Tant et si bien qu'il se demanda un instant s'il n'avait pas rêvé. Mais il la vit cette fois articuler les mêmes mots, en les martelant un peu plus sèchement, tout en restant plongée dans le volume: « ne perdez pas votre temps». - Pardon. Je ne comprends pas...C’est à moi que vous parlez ? Demanda-t-il interloqué, après un long silence. La jeune femme tourna enfin son visage vers lui, et il se noya immédiatement dans ces merveilleux lacs bleutés, tandis qu'elle répétait encore, avec un très léger sourire: « ne perdez pas votre temps ». Il décida de ne pas jouer plus longtemps à l'idiot du village, et se sentit même soulagé, bien que la phrase ainsi répétée ne lui laisse à priori guère de chance d'aller plus loin. - J'ai beaucoup de temps à perdre, dit-il en essayant de sourire lui aussi.
Mais elle s'était déjà replongée dans son livre: « L'ennemi du bien », de John Saul. Il n'en avait jamais entendu parler, mais il se demanda quelle était déjà l'expression à laquelle ce titre faisait référence. - Pas autant que moi, dit-elle après des secondes qui lui parurent une éternité, tant il avait peur d'avoir si vite cassé ce faible lien. - Vous voyez donc que ce n'est pas grave si j'en perds un peu moi aussi, répondit-il.
Le lien était encore bien ténu, et elle pouvait mettre fin à la conversation par son simple mutisme, mais il n'arrivait pas à savoir s'il l'agaçait ou pas. Il se dit que si elle prononçait encore une phrase, une seule, il aurait fait le plus difficile. Mais deux ou trois minutes passèrent sans qu'elle prononça un seul mot et il commença à ne plus y croire. Il se reprit tout de même à espérer quand il remarqua qu'elle n'avait pas tourné une seule page. Pourtant, plus le temps passait, et plus il la sentait tendue. C'était comme s'il avait ressenti une certaine électricité dans l'air, et qu'un éclair allait indubitablement le transpercer de part en part d'une seconde à l'autre. Il ne savait plus quoi faire. Il était persuadé qu'elle allait le traiter comme le premier petit dragueur venu en l'envoyant paître violemment. Mais s'il ne disait rien ? Son cerveau commençait à bouillonner, le rouge lui montant encore une fois aux joues, se trouvant plus ridicule que jamais. Il faillit même se lever et partir, après avoir croisé le regard goguenard du cafetier. La seule chose qui le retint fut la sensation d'avoir les jambes en plomb, et la peur de ne pas pouvoir atteindre la porte sans trébucher. Il sentit qu'il commençait à transpirer, ce qui le mit encore plus mal à l'aise. - Je vous ai vu l'autre soir, dit-elle soudain, le faisant légèrement sursauter. Vous n'arrêtiez pas de me regarder. Elle avait prononcé cette phrase sans aménité. - C'est pour ça que vous êtes partie ? - Je ne suis pas partie... Elle sourit en le regardant à nouveau, faisant renaître en lui les cognements sourds de son cœur contre sa poitrine. - Comment ça ? Vous n'étiez plus là pourtant. - Si, dit-elle Et elle lui montra du doigt un recoin, coincé entre une plante verte et la vitre du café, à l'opposé de l'endroit où ils se trouvaient. Il comprit tout de suite et rougit. Elle avait juste changé de table, et il ne l'avait pas vue. Elle se mit à rire, et il sut alors qu'elle, en revanche, ne l'avait pas quitté des yeux, le voyant sortir en courant dans la rue, la chercher du regard, se lancer à sa poursuite dans une direction prise au hasard. Ses yeux brillaient, et elle le regardait maintenant avec amusement. Peut-être même avec intérêt. Il retrouva un semblant de confiance en lui en un instant, et sourit à son tour, se rappelant que les femmes aiment que l'on ait le sens de l'humour. - Vous avez du me trouver ridicule, pas vrai ? - Non, je me suis juste demandé ce qui vous avait pris... Elle était maintenant tournée vers lui, et avait posé son livre sur la table. - ... Vous savez que vous n'avez même pas payé votre consommation? J'ai même pensé que c'était pour ça que vous étiez parti en courant. - Quoi ? La scène lui revint, et il sentit à nouveau le rouge lui monter aux joues. Il se tourna vers le barman, mais elle lui dit : - Ne vous inquiétez pas, j'ai payé pour vous. - Vraiment ? Mais pourquoi avez-vous fait ça ? Elle hésita : - Je me suis dit que c'était un peu de ma faute, sans doute. - Je vais vous rembourser, bien sûr... - Non, non, dit-elle en secouant gracieusement la main et en souriant encore une fois, ça m'a fait plaisir en fait. J'ai pris votre conduite comme un compliment. Ça a même été ma principale distraction de la semaine. La conversation était lancée maintenant. Il n'était pas encore très à l'aise, mais il sentait ses muscles se dénouer les uns après les autres. - Vous vous ennuyez donc tant que çà...? - Pas vraiment, j'aime beaucoup lire, mais je ne connais personne à Paris... Je viens d'arriver, poursuivit-elle après un moment d'hésitation. Son regard se perdit dans le vague, et ses traits se durcirent soudain, comme si de mauvais souvenirs venaient de remonter brusquement à la surface. Il crût qu'il aurait du mal à retenir son esprit avec lui, mais quelques secondes plus tard, elle lui souriait à nouveau. - Et vous, que faites-vous ici ? Lui demanda-t-elle visiblement pour changer de conversation. A part courir après les femmes dans la rue bien sûr... - Je suis étudiant. - Et vous étudiez quoi ? Il hésita. Il n'avait pas envie de lui parler de lui, pensant que ça n'en valait pas la peine et qu'il ne pourrait plus l'intéresser suffisamment ensuite. Il s'en tira par une pirouette, en souriant à son tour : - Pas grand chose, je dois bien l'admettre. Je ne suis pas très motivé. Un nouveau silence s'installa, mais cette fois elle ne se replongea pas dans son livre. C'était un de ces silences naturels dans une conversation. Un silence qui n'est pas fait pour durer mais simplement pour réfléchir à la question suivante. Comme elle tardait tout de même un peu, il reprit l'initiative, tout en se demandant si elle ne le trouverait pas trop indiscret : - D'où venez-vous ? - De loin. - De si loin que ça ? - De si loin que ça. Elle pencha légèrement la tête, fit une moue adorable en le regardant, comme si elle allait décider si elle pouvait ou non lui faire confiance. Mais elle était déjà vaincue. Par la solitude sans doute. Pourtant, elle avait suffisamment de caractère, il en était sûr, pour résister à ce genre de faiblesses - parler à un inconnu, juste pour parler enfin à quelqu'un - si elle l'avait décidé. Son visage se durcit un peu, tandis que résonnaient dans le bistrot les premières notes d'une nouvelle chanson. Il reconnut « La Bohème », d'Aznavour. Elle prit tout son temps pour sortir une nouvelle cigarette de son paquet. Elle la saisît entre ses longs doigts fins, et attendit quelques secondes, le yeux perdus. Il attrapa le briquet posé sur la table et lui offrît du feu. Le jaillissement de la flamme la tira de sa torpeur, et après avoir inhalé une longue bouffée, elle se lança, sans le regarder : - Vous vous appelez comment ? - Luc.
Elle, elle s'appelait Elisa, et ne venait pas de si loin que ça en fait. Elle avait quitté Lyon deux semaines auparavant sans trop savoir où aller. En une heure, il en apprit un peu plus sur sa vie. Elle était née dans une famille sans problèmes. Pas aisée, mais pas non plus dans le besoin. Sans frères et sœurs, elle avait grandi en ayant le sentiment d'être le centre du monde. Ce qu'elle était d'ailleurs sans doute pour tous ceux qui l'aimaient. A vingt ans, elle avait rencontré un type plus âgé qu'elle. Genre beau parleur, plein aux as. Trois mois après leur mariage, elle avait finalement découvert qui était son mari. Elle n’en dit pas plus. Mais Luc devina un long parcours de violence psychologique et même sans doute physique. Dix ans plus tard, elle avait décidé de le quitter. Et elle était partie dans l’heure, sans se retourner, avec juste une valise et quelques
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