Jeune étudiante sachant s'y prendre

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Jeune fille au pair en France : témoignages

Article mis à jour le 7 sept. 2021
par 
Antoine Blanchet, Journaliste
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Venue dans l’Hexagone pour perfectionner son niveau de français, la jeune fille au pair doit avant tout se consacrer à vos enfants. Reste à trouver la jeune fille hors pair…

Avec une jeune fille au pair venue habiter chez vous exprès pour s’occuper des enfants, fini les problèmes de garde quand la baby-sitter attitrée se décommande au dernier moment… Mais tout le monde ne peut pas faire ce job. Pour postuler, la jeune fille au pair, étrangère, – qui peut aussi être un jeune homme – doit obligatoirement avoir entre 18 et 26 ans et suivre des cours de français dans le pays d’accueil.
Outre les agences de placement, le bouche à oreille et les petites annonces peuvent être efficaces, mais rendent incertaines les garanties de la jeune fille… Quel que soit le moyen utilisé, vous devez retirer un dossier de demande d’accord de placement au pair auprès de la Direction Départementale du Travail. Une fois complété, signé et accompagné d’un justificatif d’inscription dans des cours de français, vous avez huit jours pour déclarer la jeune fille au pair à l’URSSAF et à la caisse primaire d’assurance maladie.
En devenant « stagiaire aide familiale étranger », elle signe un contrat avec la famille. Ce dernier mentionne le nombre d’heures travaillées par semaine (30h) , auxquelles s’ajoutent deux soirées facultatives de baby-sitting , l’argent de poche minimum ( entre 65 et 100 euros par semaine.) et le logement, à savoir, une chambre individuelle .
Attention, ne pas confondre jeune fille au pair et bonne à tout faire… Bien qu’étendue, sa mission reste limitée. En plus de s’occuper des enfants, l’étudiante peut ranger leur chambre, y passer l’aspirateur ou leur faire la cuisine . Mais il n’est pas question de l’armer d’un plumeau, d’une éponge et d’un balai pour nettoyer le frigidaire, faire les vitres ou astiquer l’argenterie ! Les deux tiers de son temps de travail doivent être consacrés aux enfants, le reste au petit ménage quotidien.
Pour que tout se déroule bien, les conditions d’accueil importent beaucoup , précise Bénédicte B. Chez nous, la jeune fille a sa propre chambre (ce qui est obligatoire) et partage la salle de bain avec les enfants. Chacun possède ainsi son espace vital. Entre les moments familiaux, ceux consacrés aux études et les sorties avec ses amis, il est très important que la jeune fille au pair acquière petit à petit son indépendance. Sachant qu’elle est intégrée à la famille pendant un an, il faut aussi savoir être à son écoute lors des coups de blues, notamment dus au mal du pays ! » « Employer une jeune fille au pair, c’est accepter de vivre chaque jour avec une personne étrangère à la famille. Une fois entrée dans le quotidien, l’étudiante fait partie de la maison, elle adopte nos habitudes et prend presque la place d’une grande sœur pour les enfants » raconte Marie-Laure L. (Paris), maman de deux enfants, âgés de 4 et 6 ans et qui accueille une jeune fille au pair depuis 15 mois. Bénédicte B. (Tours) accueille une jeune fille au pair chinoise cette année. L’année précédente, c’était une Allemande : 
« Ce n’est pas uniquement la jeune fille au pair qui apprend ! Les enfants adorent partager . Ils cherchent à retenir des mots simples de la langue étrangère comme bonjour ou j’ai faim. Et une fois par semaine environ, on laisse l’étudiante cuisiner un plat traditionnel de son pays. En ce moment, au menu, c’est rouleaux de printemps et poulet à la citronnelle ! »
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Publié
le 09/04/2021 à 19:00 , Mis à jour le 12/04/2021 à 13:30
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Filmées en huis-clos dans un château, cinq femmes âgées de 19 à 27 ans devenues des «sucreries» pour hommes fortunés racontent dans Sugar , l'envers de la vie de princesse vantée par les sites de sugar dating.
"Je laissais juste mon corps réagir". "Tu es vide à l'intérieur". "Une partie de ta vie est dans l'ombre". "C'est la fleur qui fane à l'intérieur de toi". Elles ont entre 19 et 27 ans, sont étudiantes et n'arrivent pas à boucler leurs fins de mois. Alors pour sortir de la précarité, certaines décident de se tourner vers la promesse d'une vie plus confortable vantée par les sites de sugar daddy . Le concept venu des États-Unis consiste à mettre en relation de très jeunes femmes désargentées – les sugar babies - avec des hommes matures, seuls, plus ou moins fortunés et disposés à les prendre sous leur aile, en échange de leur temps. Ces sites, qui les présentent comme des "sucreries", leur garantit "une vie de princesse" au côté d'un gentleman à la recherche d'affection. Sans jamais parler de relations tarifées, ces sites entretiennent l'ambigüité pour éviter d'être accusés de proxénétisme. Si l'on en croit le classement d'un des sites leader du secteur, la France est le pays européen qui compte le plus de sugar daddies .
"Ce qui est dangereux c'est le vocabulaire employé sur ces sites, ce sont les mensonges, c'est que des filles de 15, 16 ans puissent se connecter et être contactées par des hommes plus âgés", explique Nina Robert, auteure du documentaire Sugar . Dans ce film de 52 minutes, la réalisatrice a recueilli la parole de cinq jeunes femmes qui ont choisi de devenir sugar baby afin de subvenir à leurs besoins. Filmées avec bienveillance dans le cadre rassurant d'un château, ces jeunes femmes racontent le loyer à payer, les longues semaines entre les cours, les stages, les petits boulots, la faim aussi, et les soins médicaux trop chers… Toutes ces réalités qui les ont conduites à se créer un profil sur un site de sugar dating.
En quelques clics, les propositions pleuvent. Il faut alors "trouver celui avec lequel on se sent capable", explique l'une d'elle. Car ça n'est pas si simple de "s'ouvrir à l'autre et de se laisser toucher", ajoute une autre. Car devenir une sugar baby implique une certaine disponibilité. La relation prend "des faux airs de relations amoureuses et on doit jouer à la petite amie, être là pour l'homme 24 heures sur 24, c'est-à-dire répondre à ses coups de fils, répondre à ses SMS, répondre à ses attentes", explique Nina Robert. Une relation aux contours flous qui se traduit pour les jeunes femmes par un très fort engagement "émotionnel et psychologique", constate l'une d'elle. Même si "l'argent permet de mettre de la distance", il ne suffit pas à réparer les dégâts psychologiques. "Je suis inerte […]. Je suis un légume […] Je n'arrive plus à faire les choses pour moi-même", réalise une des jeunes femmes au bord des larmes.
Pour ces messieurs qui les voient parfois comme "un animal de compagnie", elles se construisent un personnage par le biais des vêtements, et mènent une double vie. Avant chaque rendez-vous, elles "se conditionnent" et apprennent "à détacher leurs émotions de leur corps", croyant ainsi maîtriser la situation. Les soucis d'argent oubliés, la relation devient alors un engrenage dans lequel certaines se perdent totalement. "Tout s'est mélangé. Je ne savais plus si j'étais addict à l'argent ou au sexe ", avoue une jeune fille qui a multiplié les relations pour obtenir toujours plus d'argent. Une chose en amenant une autre, l'une des étudiantes raconte avoir combiné prostitution et daddies . Au total, elle pense avoir rencontré près de 200 hommes en 5 ans. "Il faut que j'apprenne maintenant à vivre avec des moyens normaux, sinon je n'y arriverai jamais", conclut-elle avec lucidité.
(1) À voir lundi 12 avril à 22h50 sur France 3 Paris Île-de-France et en replay sur France3-regions.francetvinfo.fr
Il existe des hôtels de WE dans la région parisienne, il n'y a que des vieux qui n'en peuvent plus et qui ne peuvent plus, toujours accompagnés de jolies filles, tout ça pour faire croire aux autres vieux qu'ils peuvent encore. Nul n'est dupe, et les accompagnatrices y gagnent bien leur vie. C'est ce qu'elles cherchent.
Un de mes amis me dit "je ne donne que 100€ d'argent de poche par mois à mes filles à la fac, qui se débrouillent très bien". Je lui réponds " et comment crois-tu qu'elles font?" !
Déjà, dans les années 70, il suffisait de s'arrêter quelques minutes, en voiture, devant une terrasse de brasserie bondée de jeunes étudiantes (à Strasbourg)... On n'attendait pas longtemps pour qu'une jolie fille vienne vous proposer une "gâterie" moyennant une trentaine d'équivalents euros. Sans faire de zèle, certaines avouaient gagner 5 000 euros (33 000 francs !) par mois, nets d'impôts. Pour l'époque, c'était un très beau train de vie ! De même, nombre de jeunes mères de famille aux fins de mois difficiles achetaient à crédit chez leur épicier de quartier (il y avait très peu de grandes surfaces dans certaines villes). A la fin du mois, l'épicier leur proposait une visite de cave avec dégustation...et on oubliait la petite note. Bien sûr que c'est une forme de prostitution entre adultes consentants. Et alors ?
En reprenant le pouvoir le 15 août 2021, les talibans juraient vouloir accorder certains droits aux femmes. Mais leurs premières mesures ont vite laissé entrevoir le retour à une vie de recluses des Afghanes. Un an après, l'oppression des femmes et le désastre économique ont replongé le pays dans l'obscurantisme.
Après avoir échangé sur l'évolution de l'industrie musicale dans le pays, la cheffe de gouvernement a filé aux concerts, troquant son costume pour un habit de lumière.
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Dans "Sugar", des étudiantes racontent leurs relations tarifées avec des hommes riches et plus âgés
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Etudiante et maman, c'est possible !


Tags :
grossesse , IVG , vie , étudiant



Un bébé qui s'annonce alors qu'on entre à peine à l’université ou en grande école, c'est ce qui leur est arrivé. Et elles ont assuré ! Elles ont poursuivi ou repris leurs études et jonglé entre les cours, les sorties de crèche et les partiels. Fatiguées mais heureuses... leur témoignage.




Lucie, 25 ans, diplômée d'une école de design : "Les yeux cernés, mais heureuse"


Lucie, son conjoint et leur fils (DR)

A l'école on me disait : "Tu es toujours avec le papa ?"


Isabelle, 21 ans, en école d'ingénieur : «Notre fille a donné du sens à nos études »

"J'ai pu prendre six mois de césure pour accueillir ma fille"
On ne va plus boire une bière ou regarder une série en sortant des cours mais je ne le regrette pas

Et quand le papa est parti ? Et si l'on n'est pas encore en couple stable ? N'est-ce pas fou de donner naissance à un enfant dont le père est absent ? Pour certaines, c'est LA question centrale. Voir le témoignage d'Anne qui s'est trouvée dans cette situation : Enceinte, j'ai choisi de garder mon enfant



Samira, 24 ans, licence d'économie : "Mes fils me donnent l’énergie pour réussir"


Samira, 24 ans, étudiante en licence d'économie et maman de deux garçons. (DR)

"C’est tellement rare une jeune maman à la fac, et tellement loin des préoccupations des autres étudiants."
"Malgré les difficultés, c’est une grande joie d’être maman"
Témoignages recueillis par Anne-Louise Sautreuil



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