Jessyca Wilson utilise le yoga pour baiser son entraîneur

Jessyca Wilson utilise le yoga pour baiser son entraîneur




🛑 TOUTES LES INFORMATIONS CLIQUEZ ICI 👈🏻👈🏻👈🏻

































Jessyca Wilson utilise le yoga pour baiser son entraîneur

6 mai 2014 à 7h40
3 minutes de lecture

Les paranageurs du club de paranatation Para-performance vivent une situation difficile. Sans de nouvelles sources de financement, ils devront se départir de leur entraîneur, réduisant ainsi drastiquement leur chance de participer aux Jeux paralympiques de Rio de Janeiro, en 2016.

Services
Emplois
Petites annonces
Concours
Jeux
Vidéos


Abonnement
Infolettres
Flux RSS


À propos
Éditions virtuelles
Métro Média
Métro Québec
Corriere Italiano


Réseaux sociaux
Facebook
Twitter
Instagram
TikTok
LinkedIn





















© Metro Media 2022 - Tous droits réservés


« Nous n’avons pas assez d’argent pour continuer à nous offrir nos activités de base, notamment les services d’un entraîneur, indique la vice-présidente du club, Julie Simard. Nous sommes constamment à la recherche de financement pour tenter d’assurer l’avenir du club. Nous faisons ce que nous pouvons pour survivre. »
« En paranatation, les athlètes ont besoin davantage de soutien et d’encadrement, poursuit Mme Simard. Il nous faut un entraîneur capable de s’adapter. C’est difficile à trouver. En ce moment, nous en avons un de qualité et on veut le garder. »
Claude Picard forme les paranageurs depuis quelques années. Dès son arrivée, les médailles et les présences aux compétitions internationales se succèdent.
Tous les athlètes s’entendent pour dire que sans son apport, ces résultats n’auraient pas été possibles.
« Je serais triste s’il devait nous quitter, car je ne serais pas capable de retourner aux Jeux paralympiques sans lui », admet Valérie Drapeau.
« Sans M. Picard, je ne peux rien faire », ajoute Maxime Olivier.
« C’est un des meilleurs au Québec. C’est très utile de l’avoir sur le bord de la piscine à nous conseiller. Son départ serait une grosse perte », soutient Jean-Sébastien Lapointe.
« Notre but est d’envoyer trois représentants de notre club aux Jeux paralympiques de 2016. Avec M. Picard, nous avons plus de chance d’y arriver », fait valoir Mme Simard.
Pour garder les services de M. Picard, le club a décidé d’organiser un nage-o-thon. Les sept paranageurs se relayeront pendant 12 heures à la piscine Saint-Roch et tenteront d’amasser un montant de 10 000 $ annuellement.
« Nous allons réitérer le nage-o-thon, chaque année, jusqu’aux Jeux paralympiques. Les jeunes auront parcouru l’équivalent de la distance entre Montréal et Rio », illustre Mme Simard.
L’argent ainsi amassé permettra de maintenir M. Picard au sein du club.
« Notre premier objectif est d’être capable de redonner aux paranageurs. Nous voudrions pouvoir leur en offrir plus, mais en amassant 10 000 $ par année, c’est seulement pour notre entraîneur », explique-t-elle.
M. Picard se dit touché par l’appui de ses athlètes, toutefois il souhaite que les fonds soient réutilisés dans une équipe de soutien, composé, entre autres, d’un massothérapeute et physiothérapeute.
« Cet argent nous permettrait d’éviter une situation d’urgence dans le futur. Nous pourrions offrir aux paranageurs un service personnalisé et ainsi leur permettre de performer à un niveau avancé et de représenter leur pays aux Jeux », mentionne-t-il.
Le Nage-o-thon se déroulera le dimanche 11 mai, de 8 h à 20 h, à la piscine Saint-Roch, (400, avenue Ball). La population peut encourager les athlètes de plusieurs façons, soit en assistant à l’événement, en donnant de l’argent ou en inscrivant une équipe. Pour de l’information, on visite le www.nageothonquebec.ca/npp ou le www.facebook.com/paraperformance . La date limite pour les dons est le 23 mai.


6 mai 2014 à 7h40
3 minutes de lecture

Les paranageurs du club de paranatation Para-performance vivent une situation difficile. Sans de nouvelles sources de financement, ils devront se départir de leur entraîneur, réduisant ainsi drastiquement leur chance de participer aux Jeux paralympiques de Rio de Janeiro, en 2016.

Services
Emplois
Petites annonces
Concours
Jeux
Vidéos


Abonnement
Infolettres
Flux RSS


À propos
Éditions virtuelles
Métro Média
Métro Québec
Corriere Italiano


Réseaux sociaux
Facebook
Twitter
Instagram
TikTok
LinkedIn





















© Metro Media 2022 - Tous droits réservés


« Nous n’avons pas assez d’argent pour continuer à nous offrir nos activités de base, notamment les services d’un entraîneur, indique la vice-présidente du club, Julie Simard. Nous sommes constamment à la recherche de financement pour tenter d’assurer l’avenir du club. Nous faisons ce que nous pouvons pour survivre. »
« En paranatation, les athlètes ont besoin davantage de soutien et d’encadrement, poursuit Mme Simard. Il nous faut un entraîneur capable de s’adapter. C’est difficile à trouver. En ce moment, nous en avons un de qualité et on veut le garder. »
Claude Picard forme les paranageurs depuis quelques années. Dès son arrivée, les médailles et les présences aux compétitions internationales se succèdent.
Tous les athlètes s’entendent pour dire que sans son apport, ces résultats n’auraient pas été possibles.
« Je serais triste s’il devait nous quitter, car je ne serais pas capable de retourner aux Jeux paralympiques sans lui », admet Valérie Drapeau.
« Sans M. Picard, je ne peux rien faire », ajoute Maxime Olivier.
« C’est un des meilleurs au Québec. C’est très utile de l’avoir sur le bord de la piscine à nous conseiller. Son départ serait une grosse perte », soutient Jean-Sébastien Lapointe.
« Notre but est d’envoyer trois représentants de notre club aux Jeux paralympiques de 2016. Avec M. Picard, nous avons plus de chance d’y arriver », fait valoir Mme Simard.
Pour garder les services de M. Picard, le club a décidé d’organiser un nage-o-thon. Les sept paranageurs se relayeront pendant 12 heures à la piscine Saint-Roch et tenteront d’amasser un montant de 10 000 $ annuellement.
« Nous allons réitérer le nage-o-thon, chaque année, jusqu’aux Jeux paralympiques. Les jeunes auront parcouru l’équivalent de la distance entre Montréal et Rio », illustre Mme Simard.
L’argent ainsi amassé permettra de maintenir M. Picard au sein du club.
« Notre premier objectif est d’être capable de redonner aux paranageurs. Nous voudrions pouvoir leur en offrir plus, mais en amassant 10 000 $ par année, c’est seulement pour notre entraîneur », explique-t-elle.
M. Picard se dit touché par l’appui de ses athlètes, toutefois il souhaite que les fonds soient réutilisés dans une équipe de soutien, composé, entre autres, d’un massothérapeute et physiothérapeute.
« Cet argent nous permettrait d’éviter une situation d’urgence dans le futur. Nous pourrions offrir aux paranageurs un service personnalisé et ainsi leur permettre de performer à un niveau avancé et de représenter leur pays aux Jeux », mentionne-t-il.
Le Nage-o-thon se déroulera le dimanche 11 mai, de 8 h à 20 h, à la piscine Saint-Roch, (400, avenue Ball). La population peut encourager les athlètes de plusieurs façons, soit en assistant à l’événement, en donnant de l’argent ou en inscrivant une équipe. Pour de l’information, on visite le www.nageothonquebec.ca/npp ou le www.facebook.com/paraperformance . La date limite pour les dons est le 23 mai.

Avec votre accord, nos partenaires et nous utilisons des cookies ou technologies similaires pour stocker et accéder à des informations personnelles comme votre visite sur ce site. Vous pouvez retirer votre consentement ou vous opposer aux traitements basés sur l'intérêt légitime à tout moment en cliquant sur "En savoir plus" ou dans notre politique de confidentialité sur ce site.
Avec nos partenaires, nous traitons les données suivantes :
Données de géolocalisation précises et identification par analyse du terminal , Publicités et contenu personnalisés, mesure de performance des publicités et du contenu, données d’audience et développement de produit , Stocker et/ou accéder à des informations sur un terminal


Saisissez votre recherche et validez pour afficher les résultats


divers admin
02/03/2016 09h01  |  MIS À JOUR LE 29/11/2019 À 02h43


Un entraîneur passe une vidéo porno pour motiver ses joueurs !

Plein Écran/Sortir du Mode Plein Écran f

L’anecdote est croustillante. Et l’idée complètement folle. Avant un match de Majorque qui évoluait alors en première division espagnole, Joaquin Caparros leur avait passé… un film porno, vantant les mérites de l’acteur. Une tactique sans effet puisqu’ils avaient perdu, il avait été viré et le club avait été rétrogradé en fin de saison. 
Le Brésilien Anderson Conceiçao n’en croyait pas ses yeux. Et le défenseur qui évolue désormais à Philadelphie en MLS continue de relater cette anecdote gravée dans sa mémoire avec le sourire aux lèvres. Avant un match face à Bilbao, lors de la saison 2012-2013, les joueurs de Majorque avaient eu une drôle de surprise lors de la causerie d’avant-match de leur entraîneur Joaquin Caparros.
« Avant le match, l’entraîneur a commencé à nous passer une vidéo. Et à notre grande surprise, c’était un film porno. On faisait tous une drôle de tête parce qu’on ne croyait pas ce qu’on était en train de voir. Ça avait duré 30 secondes mais c’est quelque chose d’inoubliable « , explique le joueur à ESPN Brésil. De fait, il ne pouvait s’imaginer une telle scène avant de l’avoir vécue.
Aujourd’hui encore, c’est une anecdote qu’il se rappelle lorsqu’il parle avec ses anciens coéquipiers. « L’objectif était de nous faire réagir une bonne fois pour toute. Malheureusement, on n’avait pas pu changer la situation, on avait perdu 0-1, il avait été destitué et on avait fini par descendre. Même ces images n’avaient pas pu nous réveiller « , rigole-t-il aujourd’hui. Caparros voulait que ses joueurs se libèrent et osent davantage sur le terrain. Cela n’avait donc pas eu l’effet escompté.

Phil Kessel sera vraisemblablement échangé par les Penguins
Une première équipe file au carré d'as
La signature de Loui Eriksson avec les Canucks a été un véritable fiasco. Disons que l’une de ses premières présences avait annoncé les couleurs pour la suite des choses…
Cette décision était donc une erreur dès le départ…
Depuis, Loui Erikkson a inscrit 32 buts et 76 points en 196 matchs. À 33 ans, il semble désormais bien clair qu’il ne reste plus beaucoup de gaz dans le réservoir, mais ce n’est certainement pas l’avis du principal intéressé.
Le #21 des Canucks a blâmé la relation avec son entraîneur Travis Green pour ses insuccès sur la patinoire.
Loui Eriksson says his poor relationship with Travis Green is to blame for scoring struggles. MORE @ https://t.co/X8zuywlAnk pic.twitter.com/W5uJ5ttd2Y
Le coach et moi ne sommes pas sur la même longueur d’onde et c’est difficile de ne pas recevoir la même confiance que j’ai reçu par mes autres entraîneurs par le passé (…) Je dois continuer à me battre. Je pense que je suis toujours un bon joueur dans cette ligue.
Même si la relation avec son entraîneur n’est pas au beau fixe, ses performances lors des trois dernières saisons sont très insuffisantes, surtout pour un joueur reçevant annuellement 6M$.
Réussira-t-il à remonter la pente ? Poser la question, c’est y répondre.
Espérez-vous voir le Canadien échanger Joel Armia durant l'été?

Tu as une info privilégiée à nous partager?
ÉCRIS NOUS!


J'ai compris que ma soeur adore cette position
Ma cousine a la chatte en feu après notre rencontre sexuelle !
La belle-soeur se laisse taper et défoncer la chatte

Report Page