Jennifer Leopard est bien poilue non

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le 12/01/2011 à 14:42 par La rédaction


Ce n'est pas pour rien que Jennifer Lopez est surnommĂ©e la bomba latina ! Actuellement trĂšs occupĂ©e entre sa collaboration avec Gucci, celle avec l'OrĂ©al, la finalisation de l'enregistrement de son nouvel album Love, J-Lo a choisi, en plus, de se lancer dans la tĂ©lĂ© avec sa participation Ă  l'Ă©mission musicale American Idol. En mission confĂ©rence de presse Ă  Los Angeles, la star, mĂ©chamment taclĂ©e par son collĂšgue Steven Tyler d'Aerosmith, a fait simple mais efficace cĂŽtĂ© look. On aime ma robe en cuir beige rosĂ© associĂ© Ă  des low boots lĂ©opard. Toujours au top avec sa longue criniĂšre, Jennifer n'a pas besoin de bijoux pour briller. Son regard pĂ©nĂ©trant suffit Ă  faire tourner les tĂȘtes !


Ce n'est pas pour rien que Jennifer Lopez est surnommĂ©e la bomba latina ! Actuellement trĂšs occupĂ©e entre sa collaboration avec Gucci, celle avec l'OrĂ©al, la finalisation de l'enregistrement de son nouvel album Love, J-Lo a choisi, en plus, de se lancer dans la tĂ©lĂ© avec sa participation Ă  l'Ă©mission musicale American Idol. En mission confĂ©rence de presse Ă  Los Angeles, la star, mĂ©chamment taclĂ©e par son collĂšgue Steven Tyler d'Aerosmith, a fait simple mais efficace cĂŽtĂ© look. On aime ma robe en cuir beige rosĂ© associĂ© Ă  des low boots lĂ©opard. Toujours au top avec sa longue criniĂšre, Jennifer n'a pas besoin de bijoux pour briller. Son regard pĂ©nĂ©trant suffit Ă  faire tourner les tĂȘtes !


Ce n'est pas pour rien que Jennifer Lopez est surnommĂ©e la bomba latina ! Actuellement trĂšs occupĂ©e entre sa collaboration avec Gucci, celle avec l'OrĂ©al, la finalisation de l'enregistrement de son nouvel album Love, J-Lo a choisi, en plus, de se lancer dans la tĂ©lĂ© avec sa participation Ă  l'Ă©mission musicale American Idol. En mission confĂ©rence de presse Ă  Los Angeles, la star, mĂ©chamment taclĂ©e par son collĂšgue Steven Tyler d'Aerosmith, a fait simple mais efficace cĂŽtĂ© look. On aime ma robe en cuir beige rosĂ© associĂ© Ă  des low boots lĂ©opard. Toujours au top avec sa longue criniĂšre, Jennifer n'a pas besoin de bijoux pour briller. Son regard pĂ©nĂ©trant suffit Ă  faire tourner les tĂȘtes !


Ce n'est pas pour rien que Jennifer Lopez est surnommĂ©e la bomba latina ! Actuellement trĂšs occupĂ©e entre sa collaboration avec Gucci, celle avec l'OrĂ©al, la finalisation de l'enregistrement de son nouvel album Love, J-Lo a choisi, en plus, de se lancer dans la tĂ©lĂ© avec sa participation Ă  l'Ă©mission musicale American Idol. En mission confĂ©rence de presse Ă  Los Angeles, la star, mĂ©chamment taclĂ©e par son collĂšgue Steven Tyler d'Aerosmith, a fait simple mais efficace cĂŽtĂ© look. On aime ma robe en cuir beige rosĂ© associĂ© Ă  des low boots lĂ©opard. Toujours au top avec sa longue criniĂšre, Jennifer n'a pas besoin de bijoux pour briller. Son regard pĂ©nĂ©trant suffit Ă  faire tourner les tĂȘtes !

Ce n'est pas pour rien que Jennifer Lopez est surnommĂ©e la bomba latina ! Actuellement trĂšs occupĂ©e entre sa collaboration avec Gucci , celle avec l'OrĂ©al , la finalisation de l'enregistrement de son nouvel album Love , J-Lo a choisi, en plus, de se lancer dans la tĂ©lĂ© avec sa participation Ă  l'Ă©mission musicale American Idol . En mission confĂ©rence de presse Ă  Los Angeles, la star, mĂ©chamment taclĂ©e par son collĂšgue Steven Tyler d'Aerosmith , a fait simple mais efficace cĂŽtĂ© look. On aime ma robe en cuir beige rosĂ© associĂ© Ă  des low boots lĂ©opard . Toujours au top avec sa longue criniĂšre , Jennifer n'a pas besoin de bijoux pour briller. Son regard pĂ©nĂ©trant suffit Ă  faire tourner les tĂȘtes !
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By MnĂȘmosunĂȘ

| Filed under
Humeurs

| Tags: brunch , copines , rencontre , salon de thé , Toulouse
Dimanche, l’amie June est venue me faire un petit coucou. A chaque fois qu’elle me fait le coup cela me parait complĂštement fou qu’elle fasse autant de route pour venir me voir, et pourtant Ă  chaque fois je trĂ©pigne comme une gamine. Et Ă  chaque fois c’est un moment de pur bonheur sans nom.
VoilĂ  5 ans bientĂŽt que j’habite dans la Ville Rose et en 5 ans j’ai bien eu du mal Ă  rencontrer des gens avec qui nouer de vraies amitiĂ©s. En fait, il n’y a pas grand monde avec qui je me sente en confiance ici. J’ai bien des amis, mais ils sont le reflet de ma vie : Ă©parpillĂ©s un peu partout en France, voire mĂȘme plus loin. Alors forcĂ©ment on ne se voit pas souvent, c’est dommage, moi j’aimerais bien pouvoir me tĂ©lĂ©porter quelques minutes pour leur faire un cĂąlin ou partager une bonne conversation autour d’une boisson rĂ©confortante. Parce qu’il y a des moments dans la vie oĂč tu n’as pas envie de parler de bĂȘtises avec quelqu’un qui a bien voulu t’accorder quelques heures, mais oĂč tu as besoin d’aborder des choses concrĂštes, de sentir une Ă©paule, d’aller en profondeur. Moi la superficialitĂ© parfois ça me tue, je veux autre chose, du vrai partage, du vrai Ă©change, de la vraie relation oĂč tu mets les mains dans le cambouis, oĂč tu t’investis et que tu n’as pas honte de mettre tes tripes sur la table mĂȘme si parfois c’est pas trĂšs ragoĂ»tant, parce que finalement c’est ça qu’on te demande : de l’engagement. Non, je ne parle pas de mariage.
Du coup quand je vois ces ĂȘtres chers Ă  mon cƓur, je m’active, je me pose 3 milliards de questions, je fais le mĂ©nage de fond en comble (mais ça c’est bien pour l’appartement, il est content) , je mets 20 plombes pour choisir comment je vais me maquiller (alors qu’au final je vais juste faire un halo de fard Ă  paupiĂšres avec une lichette de mascara, mais ça valait le coup de se poser la question pendant 15 minutes au moins) , je change 3 fois de paires de chaussures, je me recoiffe frĂ©nĂ©tiquement. C’est presque comme un rendez-vous galant sans la galanterie et le jeu de sĂ©duction, mais toujours cette envie de passer le meilleur moment qui existe et de graver ça dans ma petite tĂȘte et mon gros cƓur qui dĂ©borde (plutĂŽt que les trucs Ă©nervants habituels, c’est mieux) . En fait moi je trouve ça 1000 fois mieux que les rendez-vous galants, mais c’est peut ĂȘtre parce que ça fait un bail que j’ai pas pratiquĂ© aussi.
Dimanche on s’est retrouvĂ©es Ă  12h45, et puis on a commencĂ© Ă  se balader un peu, en se demandant oĂč on allait bien pouvoir dĂ©jeuner, elle se reposant sur mes bonnes adresses, moi ayant comme par hasard aucune idĂ©e fulgurante. Le seul truc auquel j’ai pensĂ©, c’était qu’on pouvait bien se balader et qu’on entrerait lĂ  oĂč ça nous tenterait. De lĂ  vous pouvez imaginer le niveau de confiance que je peux avoir en June pour ne pas prĂ©voir une semaine Ă  l’avance oĂč je vais manger en ville, et Ă  quel point elle m’apaise cette fille (je sais, je le dis Ă  chaque fois, mais c’est vrai ) . Bon bien sĂ»r j’ai fait 125 fois dans ma tĂȘte la liste de tous les Ă©tablissements que je connaissais pour ĂȘtre sĂ»re de ne rien avoir de transcendant Ă  proposer, mais non, vraiment, j’avais rien.
Ainsi on a arpentĂ© plusieurs rues, c’était marrant de ne voir personne d’ailleurs, Toulouse a un cĂŽtĂ© assez ville vide le dimanche (surtout aprĂšs les fĂȘtes et quand il fait moyen chaud Ă  l’ombre) , mais c’était bien et pratique, et ça nous a permis d’attaquer la conversation par des banalitĂ©s, comme un petit Ă©chauffement avant les vraies conversations, certaines profondes et d’autres plus superficielles, qui allaient suivre. Vous avez remarquĂ© comme on commence toujours par des trucs du genre « et alors toi la reprise du boulot ça a Ă©tĂ© ? Vous avez beau temps lĂ  bas ? Oh nous ici, on a eu un vendredi pourri, que de la flotte c’était insupportable » , etc. ? C’est un peu comme si il fallait s’assurer qu’on Ă©tait bien avec la bonne personne, ou qu’on ait trouvĂ© le bon endroit pour parler et ouvrir un peu cette carapace plus ou moins Ă©paisse qu’on a tous. Moi je vous le dis d’emblĂ©e, c’est un chĂąteau fort que j’ai, mais quand je suis disposĂ©e j’abaisse le bon pont-levis (oui parce qu’il y en a qui mĂšnent Ă  rien, c’est mon cĂŽtĂ© un brin joueur mais surtout faussement dĂ©contractĂ© pour parler de tout) (alors qu’en fait je ne parle de rien d’important pour moi) (c’est que je ne m’offre pas Ă  n’importe qui vous voyez) .
Et puis au bout d’un moment, comme une petite Ă©tincelle chez un artificier, la petite question qui sort l’air de rien et qui pourtant va nous emmener vers des sujets plus intimes, vers les doutes, les questions, les petites joies du quotidien qu’on ne partage qu’avec les Amis, qu’on ne distille qu’aux plus prĂ©cieux, aux plus comprĂ©hensifs. Dimanche, la question a Ă©tĂ© : « Et alors tes projets, ça avance ? Tu en es oĂč ? » . Ou un truc du genre. Mais ça posait la question des projets en cours. Et quand on commence Ă  parler des projets en cours, lĂ , ça rigole plus, on attaque les sujets sensibles vous voyez.
Parce que bien entendu, l’amie June est au courant des projets en cours, elle suit de plus ou moins loin, et comme c’est un peu sa came tout ça, tu sais que tu vas pouvoir lui en parler, qu’elle va te comprendre, te dire ce qui va t’apaiser et te redonner confiance, et surtout, surtout , elle ne te jugera pas. Elle elle bĂ©gaie parce qu’elle est fatiguĂ©e, toi tu t’emballes ( tu es fatiguĂ©e aussi) et du coup les mots ne sortent pas dans le bon ordre, d’ailleurs parfois ce ne sont pas les bon mots qui sortent, parfois il n’y a rien et tu cherches celui qui s’est perdu dans les mĂ©andres de tes neurones et qui pourtant, s’il voulait bien se manifester, te rendrait un fier service.
La jambe qui tremblotte parce que c’est le sujet sur lequel tu cogites depuis des jours, que ça a de l’importance pour toi. Et puis il y a un moment il faut vraiment y aller, aborder ce qui te taraude, en la regardant du coin de l’Ɠil parce que si tu la regardes tout droit dans les yeux tu n’es pas sĂ»r d’arriver Ă  la dire cette phrase qui est coincĂ©e dans la gorge, elle qui te sourit avec un sourire doux, qui sait Ă  peu prĂšs ce que tu vas lui dire parce qu’elle est dĂ©jĂ  passĂ©e par lĂ , et qui attend juste que ce soit le bon moment pour toi. A ce moment lĂ  on est sur un banc au soleil en face de la Garonne, on attend qu’une place se libĂšre lĂ  oĂč on a dĂ©cidĂ© de manger, je dĂ©bite un flot de paroles qui me fait peur Ă  moi-mĂȘme tellement il y a mon angoisse qui transparaĂźt (j’ai du dire au moins 3 fois le mot « angoisse » en 15 minutes, si ça se trouve je l’ai dit 3 fois dans la mĂȘme phrase en plus) , et June est juste bienveillante et calme, elle me donne des conseils qui m’apaiseront : la dĂ©cision c’est moi qui la prendrai, mais elle m’a donnĂ© des petits seaux d’eau Ă  apporter Ă  mon moulin, des idĂ©es et on verra bien ce que ça donne dans ma tĂȘte.
Soyons honnĂȘtes, c’est toujours quand on est assis qu’on aborde des sujets importants, qu’on accepte d’en dĂ©voiler un peu, de demander Ă  l’autre son avis. Ainsi en vrac on a parlĂ© des projets en cours des deux cĂŽtĂ©s, avec leurs doutes et questionnements respectifs, je lui ai dit que si elle voulait venir quand j’étais pas lĂ  je lui laisserais les clĂ©s de mon appart, pas de soucis, elle m’a dit la mĂȘme chose pour le sien, et l’espace d’une fraction de seconde je me suis dit que pour que je lui propose mes clĂ©s c’est que je lui faisais vraiment confiance (mon ex, il a pas eu les clĂ©s de chez moi si facilement) , mais je lui ai pas dit, dĂ©jĂ  que je me trouve gnangnan, mais bon j’étais Ă©mue quoi.
Et puis moi qui ai toujours tendance Ă  me comparer aux autres et Ă  trouver ma vie naze, ben en fait je me suis rendue compte que non, et que je me faisais sans doute des idĂ©es qui n’avaient pas lieu d’ĂȘtre. Toute ma vie j’ai cru que les gens ils avaient une vie mĂ©gatop alors que moi je ramais comme une imbĂ©cile Ă  contre-courant, que j’étais juste une bonne Ă  rien qui n’avait rien fait de sa vie, mais non, c’est juste une vue tordue de mon esprit qui a juste dĂ©cidĂ© de m’embĂȘter. En plus des projets en cours on a donc parlĂ© de nos vies, de nos expĂ©riences, et je trouve toujours que June elle s’en sort vachement bien, que je suis fiĂšre d’elle (alors que j’y suis pour rien, mais je suis gavĂ© fiĂšre de l’avoir Ă  mes cotĂ©s en fait) et qu’elle est mĂ©ga courageuse, dĂ©brouillarde et tout ça, mais Ă  la fin je me sentais moins moisie que quand je suis arrivĂ©e.
Et puis au bout d’un moment ça va mieux, l’esprit est un peu plus apaisĂ©, le ventre bien plus rempli, c’est l’heure du dessert et tu gagates devant le babycat de June, tu parles avec des trĂ©molos dans la voix de feu ton petit bout de chat, mais non je suis pas Ă©mue, c’est le pancake que j’avale de travers, il est quand mĂȘme charmant ce serveur, oui, mais chut rigole pas si fort, mais toi aussi tu rigoles, vraiment t’es pas sortable, etc., etc.
Bref, on se dĂ©tend, on rit, on n’arrive pas Ă  finir alors on prend Ă  emporter, et puis il y a une grosse heure Ă  passer encore ensemble, bien entendu il commence Ă  pleuvoir. Et June elle aime bien les jolies architectures, alors je lui ai fait faire un petit tour dans la ville, en lui montrant des trucs que moi mĂȘme j’avais pas vu (genre un bĂątiment avec de jolies fenĂȘtres du cĂŽtĂ© des Carmes) , en m’étonnant de finalement si bien m’en sortir dans les diffĂ©rentes rues, et en pensant, alors qu’elle me disait qu’elle ne se rappelait pas du tout de Toulouse comme cela, que moi non plus, en fait, je ne l’avais apprĂ©hendĂ©e comme cela. Je m’étais dĂ©jĂ  fait la rĂ©flexion quand je vivais Ă  MontrĂ©al, mais en fait on ne regarde pas les villes oĂč l’on vit. Ou tout du moins pas avec le regard d’un visiteur qui peut s’émerveiller de tout et de n’importe quoi, depuis la façade d’un bĂątiment en mosaĂŻque jusqu’à un lampadaire un peu vieillot mais franchement mimi.
On s’est quittĂ©es Ă  la mĂ©diathĂšque, toutes guillerettes de notre journĂ©e, je suis montĂ©e dans mon bus, bien entendu je me suis payĂ©e une dame complĂštement bourrĂ©e Ă  cĂŽtĂ© de moi qui faisait des trucs bizarres (un jour, je vous expliquerai pourquoi les gens saouls me rĂ©pugnent) (pardon mais c’est viscĂ©ral) , j’ai subi tout le trajet et j’étais contente de rentrer chez moi.
C’était dĂ©jĂ  fini, c’était bien, on refait ça quand tu veux.
PS : Nous avons donc pris un brunch Ă  L’appart (mais moi de loin j’avais lu LĂ©opard, je comprenais pas trop pourquoi ça s’appelait comme ça, j’ai compris une fois Ă  l’intĂ©rieur quand j’ai rĂ©ussi Ă  lire l’enseigne), un brunch nord amĂ©ricain Ă  17 € avec : un scone (+ beurre + confiture de fraises), un jus d’orange pressĂ©, une boisson chaude, un plat + un accompagnement (au choix Ɠufs brouillĂ©s bacon ou bagel bacon avec soit salade, soit soupe), un pancake (sirop d’érable ou caramel beurre salĂ©) et une petite part de gĂąteau au choix. Le lieu est sympa et petit, essayez d’éviter la table Ă  cĂŽtĂ© de la porte si vous ĂȘtes sensibles au froid. Le service est un peu long (il y avait beaucoup de monde), cela ne nous a pas dĂ©rangĂ©es, mais si vous ĂȘtes pressĂ©s ce n’est pas forcĂ©ment une bonne option.
L’appart
9 Rue Jean Suau, Toulouse
Téléphone : 05 61 21 78 71
C’est trĂšs vrai ce que tu dis sur l’amitiĂ©, la question de la profondeur des rapport qui se fait rare et qui doit se construire, au fil des Ă©changes, en mettant en confiance
 comme si on devait parvenir Ă  apprivoiser l’autre mais aussi ses propres rĂ©serves Ă  chaque nouvelle rencontre!
Au final, tu nous livres un trÚs joli billet
 sans aucun doute une belle journée à laquelle on aurait aimé participer
.. Certains sujets mĂ©riteraient peut ĂȘtre mĂȘme d’ĂȘtre dĂ©veloppĂ©s au cours d’un article dĂ©dié 
Oui, on en a souvent parlĂ© tous les deux des questions d’amitiĂ© tous les deux et il y aurait tellement de choses Ă  dire ! Faire confiance Ă  l’autre, se faire confiance Ă  soi, accepter les faiblesses, accepter de se montrer tel qu’on est, etc.
Je crois que tous les deux nous militons pour une amitiĂ© franche, sincĂšre et profonde. Et pourtant ça demande de l’engagement et tant d’autres choses ! On pourrait en parler des heures !
Merci pour ton compliment sur le billet. Effectivement c’était une belle journĂ©e, j’ai beaucoup aimĂ©. Tu sais ces journĂ©es oĂč quand tu vas te coucher tu as le cƓur tout plein de bons sentiments ? Ben c’était ça !
Et oui, il y a plusieurs sujets dont j’aimerais parler par la suite, que j’ai Ă©voquĂ© ici. J’aimerais juste prendre le temps de bien les Ă©crire, parce que les articles de fond comme ceux lĂ  mĂ©ritent qu’on s’y penche et qu’on rĂ©flĂ©chisse dessus.
Mais peut ĂȘtre avais-tu identifiĂ© certains thĂšmes que tu voudrais que j’aborde ? Si c’est le cas, je serais contente que tu me les dises, je les noterai pour les aborder.
Merci pour ton message mon Marco, qui me fait, bien entendu, toujours un plaisir immense.
A bientĂŽt et gros bisous




 !!!!!!!!!!!!!!!!!
J’hĂ©site entre la suspension et l’exclamation, s’il existait un smiley tout penaud avec les joues rouges de confusion mais de plaisir Ă  la fois, il remplirait tout en grand ce commentaire ! (merci merci merci merci)
J’ai moi aussi beaucoup aimĂ© cette journĂ©e, c’était un peu magique, l’atmosphĂšre en ville jouait pour pas mal je crois, mais bien sĂ»r la discussion, Ă©videmment, et la compagnie
Et je me rends compte Ă  lire cet article qu’il y a des choses dont je n’ai pas trop conscience, notamment sur ton angoisse quant Ă  tes projets, ou du moins pas conscience Ă  un point tel que tu le dis lĂ , mais si dans mon ignorance j’apporte quand mĂȘme ma petite pierre Ă  ta confiance, alors je ne peux que m’en rĂ©jouir

Mais par contre je n’ai absolument aucun souvenir de tes chaussettes 
 tu ne m’en veux pas ?
De rien, de rien, de rien, de rien
Cette journĂ©e, elle faisait vraiment vacances tu vois. Et puis je sais pas, moi ça m’a plu, voilĂ  !
C’est pas bien grave si tu ne te rends pas compte de tout ça, d’un cĂŽtĂ© tant mieux parce que du coup je ne t’ai pas transmis mes angoisses (et ça, c’est cool). Et puis ça doit vouloir dire que j’arrive Ă  me calmer plus que ce que je ne crois (oO), c’est plutĂŽt positif !
Et oui bien sĂ»r que tu apportes une pierre Ă  la confiance, c’est d’ailleurs marrant que tu ne t’en rendes pas compte !
Mais tu ne veux pas parler de mes chaussures plutĂŽt que de mes chaussettes ? Si ça peut te rassurer, ce n’est qu’en cherchant que je me suis rappelĂ©e des tiennes ! (mais j’ai une bonne mĂ©moire pour ce genre de trucs lĂ )
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