Je vis mon fantasme 2
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Jamais Elsa, 45 ans, nâaurait pensĂ© quâelle entrerait un jour dans un club Ă©changiste. Pourtant, câest lĂ , avec son nouveau compagnon, quâelle a dĂ©couvert le plaisir du libertinage et du sexe en groupeâŠ
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Je trouve aussi ce témoignage plutÎt fidÚle à la réalité, en ce tous cas à ce que je vis, à ce que vivent les gens que nous rencontrons dans le milieu. Ce sont à chaque fois des expériences fortes et de trÚs belles rencontres. Que ceux qui ne connaissent pas apprennent à sortir des idées reçues et des préjugés.
Ha bon ?? Je lis que l'on chope des maladies dans ces boĂźtes Ă partouzes?? Ăa me fait trĂšs plaisir!! Que les tarĂ©s du c... Si frĂ©quentent ça chopent la chtouille et le cholĂ©ra, et plein de pustules partout,qu'on les reconnaisse bien dans la rue!!!
"faire l'amour avec 2 hommes"????" ça ne s'appelle pas faire l'amour, ça s'appelle se faire tringler par 2 quetard! Quand Ă frĂ©quenter ce genre de lieu oĂč votre conjoint vous "vas donc Ă©carter les cuisses par le mec lĂ -bas pendant que je lĂȘche le cul de sa femme!"., mais je t'aime,hein, ho lĂ lĂ oui que je t'aime!
Bande de dégénérés hypocrites, pas davantage de pudeur,d'amour-propre,ni de dignité que des animaux!!!
Je valide que ce tĂ©moignage peut-ĂȘtre rĂ©el. Pour frĂ©quenter plusieurs club, j'ai vraiment le mĂȘme ressenti que cette femme. Il y a beaucoup plus de respect que dans les lieux public et on laisse les jugements aux vestiaires. Je suis toujours enchantĂ©e d'y aller et les gens sont souvent vrai et sans complexe. Merci pour ce beau tĂ©moignage. Dommage Ă tout ceux qui ne savourent pas cela. Si vous ignorez, ne jugez pas
Pour les maladies utilise des preservatifs...
Je suis d'accord avec la descrIption que cette femme fait des clubs libertins meme si je ne suis pas allee aussi loin dans l'experience. L'image que l'on se fait de ce genre d'endroit est bien loin de la realite. EncOre faut il bien choisir son club.
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Quand jâai rencontrĂ© mon mari, jâĂ©tais trĂšs sentimentale et lui aussi. Je me suis dit : « Câest lâhomme de ma vie. Câest avec lui que jâaurai des enfants. » Il correspondait parfaitement Ă mes attentes. PassionnĂ© de littĂ©rature et de musique, il mâidĂ©alisait, me mettait sur un piĂ©destal. Mes copines me rĂ©pĂ©taient que jâavais beaucoup de chance. Nous partagions les mĂȘmes goĂ»ts. Nous recevions pas mal. A lâĂ©poque jâĂ©tais assistante. Pendant plusieurs annĂ©es ce mode de vie mâa convenu. Jâavais tendance Ă manquer de confiance en moi , donc câĂ©tait valorisant. En fait, tout allait bien tant que jâĂ©tais dâaccord avec lui.Â
Peu Ă peu, jâai eu le sentiment que je cherchais trop Ă lui plaire. Je ne voulais pas le dĂ©cevoir. Je finissais par mâennuyer avec lui. Pas lorsque nous Ă©tions avec des amis, mais quand nous Ă©tions seuls. Quelquâun qui vous aime trop, câest lisse, il nây a pas dâaspĂ©ritĂ©s. Nous avions deux enfants. JâĂ©tais sur le point de fĂȘter mes 40 ans. Un ami mâa draguĂ©e. Au dĂ©but je ne mâen suis pas rendu compte. Franchement ce nâĂ©tait pas mon truc. Jâavais dĂ©cidĂ© dâĂȘtre une femme fidĂšle.
Jâai quand mĂȘme eu une aventure avec lui. Jâai plongĂ© parce que je croyais ĂȘtre amoureuse. Jâavais une attitude dâado, alors que jâavais bientĂŽt 40 ans⊠Il sâest avĂ©rĂ© que, lui, câest ce qui lâexcitait. Faire vaciller la femme sage que jâincarnais. Il Ă©tait aussi attirĂ© par ma douceur, mon cĂŽtĂ© maternel. AprĂšs, cela ne lâintĂ©ressait plus, mais nous sommes restĂ©s amis et amants occasionnels.
AprĂšs ces quelques escapades dans les bras dâun autre, jâai commencĂ© Ă remettre en cause notre couple
Pour moi, ce fut une Ă©tape trĂšs importante. Le peu de temps que cela a durĂ©, jâai dĂ» mener un double jeu. Je lâai cachĂ© Ă mon mari, donc je nâĂ©tais plus lâĂ©pouse quâil attendait que je sois. Surtout, cela a rĂ©veillĂ© ma fĂ©minitĂ©. Cet amant Ă©tait trĂšs beau, intelligent, sensible. Il aimait faire lâamour . Il mâa redonnĂ© le goĂ»t de plaire. A cette Ă©poque, jamais je nâaurais pensĂ© susciter du dĂ©sir chez ce genre dâhomme. Mon mari, lui, Ă©tait extrĂȘmement pudique, il avait peut-ĂȘtre des envies, mais il ne savait pas les exprimer. Dans tous les cas, jamais nous nâen parlions. Jamais il ne mâa dit : « Jâaimerais que⊠» Bref, le mal Ă©tait fait.Â
AprĂšs ces quelques escapades dans les bras dâun autre, jâai commencĂ© Ă remettre en cause notre couple. Lorsque jâessayais de discuter avec mon mari de ce qui nâallait pas, il rĂ©pondait laconiquement : « Tu nâes jamais contente. » Je nâavais toujours pas le droit dâexprimer des choses nĂ©gatives. Câest lĂ que lâidĂ©e de le quitter sâest imposĂ©e. Jâavais envie de vivre seule avec mes enfants pour me sentir libre.
A ce moment-lĂ , jâai revu par hasard un camarade dâuniversitĂ©, Alexis, avec qui, un soir, jâai pris un pot. Nous nous sommes briĂšvement racontĂ© nos vies. Je lui ai dit que mes enfants Ă©taient grands et que jâĂ©tais en train de quitter mon mari. Lui Ă©tait divorcĂ©. Nous avons Ă©changĂ© nos numĂ©ros de portable. Il mâa souvent appelĂ©e dans les semaines qui ont suivi. Nous parlions beaucoup, de tout et de rien. Exactement comme si on sâĂ©tait quittĂ©s la veille.Â
Le fait de le revoir ne mâavait absolument pas troublĂ©e. Je nâĂ©tais pas spĂ©cialement attirĂ©e par lui. Pas plus cette fois-lĂ que vingt ans plus tĂŽt, quand on dansait ensemble avec notre bande de potes. Ătudiante, je nâavais jamais rien ressenti pour lui. CâĂ©tait un copain. Point. Contrairement Ă lui. Un jour oĂč nous dĂ©jeunions ensemble, Alexis mâa rĂ©vĂ©lĂ© quâĂ la fac il avait dĂ©jĂ un gros faible pour moi. Apprendre quâil nâavait jamais osĂ© me lâavouer mâa bouleversĂ©e. Jâai craquĂ©.
 Nous nous sommes donc retrouvés nus
Nous nous sommes retrouvĂ©s dans les bras lâun de lâautre. Sans aucune prĂ©mĂ©ditation. Nous sommes sortis du bistrot pour aller chez lui. Dans lâautobus, dĂ©jĂ , jâavais le sentiment dâĂȘtre sur un nuage. Nous nous embrassions et nous Ă©tions merveilleusement bien. Cela a Ă©tĂ© une rĂ©vĂ©lation. CâĂ©tait la premiĂšre fois que je me sentais femme dans les bras dâun homme. AprĂšs quelques mois nous nous sommes installĂ©s ensemble. Mes enfants Ă©taient dĂ©sormais Ă©tudiants dans une autre ville.Â
Avec lui je pouvais exprimer tous mes dĂ©sirs, mes envies. Nous parlions de nos fantasmes respectifs. Pour moi, câĂ©tait de faire lâamour avec deux hommes. Il mâa dit : « Pourquoi pas ? » Nous avons rĂ©pondu Ă une annonce sur Internet. Curieusement, je nâĂ©tais pas intimidĂ©e. Lâhomme qui nous a accueillis lâĂ©tait davantage. Nous nous sommes installĂ©s autour dâun cafĂ©. Jâai senti que rien ne dĂ©marrerait si je nâintervenais pas.
Jâai proposĂ© de jouer une partie de strip-poker. Nous nous sommes donc retrouvĂ©s nus. Nous avons commencĂ© Ă nous embrasser et Ă nous caresser. Cet homme Ă©tait probablement bisexuel . Il semblait plus attirĂ© par Alexis que par moi. Câest restĂ© trĂšs doux, trĂšs soft, et finalement un peu frustrant. Cela mâa donnĂ© envie de passer Ă lâĂ©tape supĂ©rieure.Â
Nous avions entendu parler dâun club Ă©changiste. Je craignais que les hommes nây soient un peu malsains, mais jâĂ©tais curieuse. Jâavais aussi beaucoup de rĂ©ticences. Cela peut sembler stupide, mais je ne voulais pas embrasser une femme ni faire autre chose avec elle. Le club Ă©tait Ă©galement un sauna. Mon idĂ©e Ă©tait dây passer quelques heures de dĂ©tente, sans forcĂ©ment aller plus loin. A lâentrĂ©e, nous avons payĂ© 35⏠pour un couple. Câest plus cher pour les hommes seuls. On nous a proposĂ© un peignoir et les clĂ©s dâun vestiaire. Le bar Ă©tait sombre et servait gratuitement des boissons non alcoolisĂ©es.
Curieusement, alors que ce nâĂ©tait quand mĂȘme pas un lieu anodin, je me suis sentie immĂ©diatement trĂšs Ă lâaise. Dans le jacuzzi, hommes et femmes sâembrassaient. Nous sommes restĂ©s dans notre coin. NaĂŻvement, je pensais quâils se connaissaient. Nous sommes sortis du jacuzzi pour jeter un Ćil dans les chambres. Il y en avait une dizaine. Chacune avec une dĂ©co diffĂ©rente. PlutĂŽt cosy et pas de mauvais goĂ»t. Une seule Ă©voquait une salle de torture tendance sadomasochiste , mais nous nây avons jamais mis les pieds.
 CâĂ©tait notre premiĂšre fois, ce nâĂ©tait que du plaisir,
Dans certaines, il y avait juste un couple, dans dâautres plus de monde. Nous avons choisi un lit dans une chambre vide. Une trĂšs belle femme, style PolynĂ©sienne, avec de longs cheveux noirs et de superbes courbes, sâest arrĂȘtĂ©e Ă notre porte. Alexis lui a fait signe dâentrer. Elle nous a souri et nous a dit : « Attendez. » Trois minutes plus tard, elle est revenue nous chercher et nous a convaincus de la suivre pour rejoindre son mari, occupĂ© Ă batifoler avec dâautres dans la chambre dâĂ cĂŽtĂ©.
La premiĂšre chose que jâai faite : agenouillĂ©e face Ă cette femme sur le lit, je lâai embrassĂ©e en caressant sa peau incroyablement soyeuse, ses seins lourds. CâĂ©tait trĂšs voluptueux. CâĂ©tait notre premiĂšre fois, ce nâĂ©tait que du plaisir, câĂ©tait trĂšs lĂ©ger et ludique. Un homme mâa fait jouir intensĂ©ment. CâĂ©tait aussi trĂšs chaud et tendre Ă la fois. Surtout trĂšs joyeux. AprĂšs nous ĂȘtre longuement « amusĂ©s », nous leur avons avouĂ© que nous nâĂ©tions jamais venus avant. Ils ne sâen Ă©taient pas doutĂ©.
 Il y avait mĂȘme de lâamour qui passait dans nos gestes et dans nos baisers
Il y a dans ce club une chambre toute noire, avec juste des Ă©toiles lumineuses au plafond. Nous nous y sommes retrouvĂ©s Ă trois, avec une femme. Nous y avons passĂ© plus dâune heure. Nous avons fermĂ© la porte Ă clĂ©. Elle nâĂ©tait pas jolie, trĂšs ronde, mais câĂ©tait extrĂȘmement Ă©mouvant et sensuel. Nous avions un sentiment dâauthenticitĂ©. Il y avait mĂȘme de lâamour qui passait dans nos gestes et dans nos baisers. Nous ne lâavons jamais revue, mais jâai dĂ©couvert un plaisir fou Ă embrasser et caresser cette femme â surtout Ă lâembrasser, dâailleurs. Nous avons quittĂ© lâĂ©tablissement avec lâimpression dâavoir vĂ©cu un moment trĂšs fort, et trĂšs loin de ce que peuvent imaginer les gens quand ils Ă©voquent ce genre dâendroit.
Câest devenu pour nous une activitĂ© rĂ©guliĂšre depuis des annĂ©es maintenant. Nous y allons au minimum trois fois par mois. MĂȘme si le plaisir nâest pas toujours au rendez-vous, cela dĂ©pend des gens quâon rencontre. Ce qui est certain, câest que nous y avons passĂ© des moments extraordinaires. Juste un bĂ©mol : nous nây allons plus lorsquâil sâagit des « soirĂ©es en couple ». Ils ont tendance Ă sâenfermer Ă clĂ© dans une chambre. Il y a dâailleurs beaucoup de couples illĂ©gitimes qui utilisent ce club comme un hĂŽtel. Quand on erre dans le couloir et que toutes les portes sont fermĂ©es, câest frustrant.Â
HabillĂ©e, je me sens une femme plutĂŽt banale, pas sexy. Dans le club, nue, je suis une autre femme, audacieuse, et je fais lâamour avec des hommes qui ne me regarderaient pas dans la rue. Câest Ă©phĂ©mĂšre, câest sombre, je ne reconnaĂźtrais pas la personne dans le couloir, mais je sens souvent de lâamour. Et aussi, chez les hommes, un besoin de tendresse.
Ma chambre prĂ©fĂ©rĂ©e est grande, elle ne ferme pas Ă clĂ© et offre de multiples possibilitĂ©s. Personnellement, jâadore passer dâun partenaire Ă lâautre, butiner, que ce soit avec un homme ou une femme. Presque toutes les femmes sont bisexuelles. Beaucoup dâhommes sont tentĂ©s mais nâosent pas. On perçoit cette tentation. Mon ami sâest parfois laissĂ© caresser, mais ce nâest dĂ©cidĂ©ment pas son truc, et je le regrette. Jâaimerais que, comme moi, il puisse multiplier par deux ses plaisirs. Pour les femmes, câest plus naturel. Câest une trĂšs grande libertĂ© dâavoir le choix entre les deux sexes. Dans ce genre dâendroit, les hommes prennent aussi beaucoup de plaisir Ă voir deux femmes ensemble, câest leur grand fantasme.
 Câest trĂšs excitant. Nous ne pourrions plus nous en passer
Cela nourrit aussi notre propre sexualitĂ©, la sexualitĂ© de notre couple. LâĂ©changisme , câest un peu un monde parallĂšle. Les gens ne disent pas quâils le font, mais je suis sĂ»re que beaucoup plus quâon le croit sont des habituĂ©s. Ou, dans tous les cas, ont dĂ©sirĂ©, un soir, pousser la porte dâun club pour essayer. On y rencontre toutes sortes de personnes, de toutes les catĂ©gories sociales et de tous les Ăąges, de 20 Ă 70 ans, avec quand mĂȘme une moyenne dâune quarantaine dâannĂ©es. Câest un peu madame et monsieur Tout-le-Monde. Ce nâest pas du tout glauque, comme on pourrait le penser. Les adeptes ne viennent pas lĂ pour rĂ©soudre des problĂšmes de couple. On les sent plutĂŽt trĂšs complices.
Il faut vraiment avoir confiance en lâautre et en ses sentiments. Si le couple est un peu fragile, cela peut ĂȘtre dangereux. Pour nous, câest devenu un loisir, un mode de vie. Ce nâest jamais la mĂȘme chose dâune fois sur lâautre. On ne sait jamais dâavance ce qui va se passer. Câest lâinconnu. Câest trĂšs excitant. Nous ne pourrions plus nous en passer. Nous nous sommes mĂȘme fait des amis que nous revoyons Ă lâextĂ©rieur.
 Personne ne pourrait imaginer que je suis Ă©changiste.Â
Jâai lu beaucoup dâarticles sur lâĂ©changisme dans les magazines. On ne dĂ©crit jamais cette lĂ©gĂšretĂ©, cette simplicitĂ©. Moi qui suis plutĂŽt complexĂ©e, je me sens complĂštement Ă lâaise. Nous avons essayĂ© aussi sur Internet. Câest moins bien que le club, oĂč nous sommes Ă peu prĂšs sĂ»rs quâil se passera quelque chose. Avoir rendez-vous avec un homme ou un couple rencontrĂ© sur Internet, câest moins Ă©vident et moins naturel.
Câest difficile dâaller chez quelquâun quâon ne connaĂźt pas. Il ne se passe pas forcĂ©ment quelque chose, et quand ça se passe câest souvent moins bien. Dans un club, une femme peut aussi rester Ă discuter au bar sans ĂȘtre jugĂ©e, et se faire des amis. Câest beaucoup moins dangereux que de suivre un inconnu rencontrĂ© sur le Net⊠Personne ne pourrait imaginer que je suis Ă©changiste. Nous trouvons dommage de ne pas pouvoir en parler autour de nous.Â
Propos recueillis par Jean-Jacques Greif - Magazine Marie Claire, FĂ©vrier 2016
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22/01/2017 Ă 18:40 , mis Ă jour le
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Parler de ses fantasmes en couple peut ĂȘtre particuliĂšrement enrichissant.
"Quand Maxime m'a demandĂ© quels Ă©taient mes fantasmes , je suis restĂ©e silencieuse. Pourtant, j'ai toujours rĂȘvĂ© d'une relation avec une femme . Peut-ĂȘtre que mon fantasme l'aurait excitĂ©, mais comment lui dire? Je me sentais gĂȘnĂ©e Ă l'idĂ©e de tout lui rĂ©vĂ©ler, alors j'ai prĂ©fĂ©rĂ© rĂ©pondre que je n'en avais pas. Aujourd'hui encore, je peine Ă me dĂ©cider", confie Pauline, 33 ans.Â
Face Ă celui ou celle qui partage leur lit, certaines personnes cherchent une totale transparence. D'autres au contraire craignent, en dĂ©voilant leurs fantasmes ou en dĂ©couvrant ceux de leur partenaire, de faire basculer leur imaginaire dans une rĂ©alitĂ© aux contours plus prosaĂŻques.Â
"Un soir, sur l'oreiller, j'ai demandĂ© Ă Yann quels Ă©taient ses fantasmes, de la mĂȘme façon que je l'avais dĂ©jĂ interrogĂ© sur l'Ăąge de son premier rapport ou encore sur sa pratique de la masturbation . Une envie d'en savoir plus sur ses petits secret
S'amuser avant le marriage
Femme métisse baisée sauvagement
Elle choisit un gode et se fait empaler par un mec