Je vais prendre une douche et je finis par me masturber
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Je vais prendre une douche et je finis par me masturber
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Alors, la derniĂšre fois que jâĂ©tais au gym. CâĂ©tait mercredi soir passĂ©. AprĂšs avoir passĂ© une longue heure Ă suer sur le tapis et le vĂ©lo Ă©cliptique, je me rends dans le vestiaire des filles. Avec ma serviette, jâessuie les coulisses de sueurs qui parcourent mon corps. Je retire mes espadrilles, mes bas et je me dirige vers la douche. Ce nâest quâen tournant le robinet que je rĂ©alise quâil nây as pas dâeau. Pas la moindre goutte. Mais lorsque le silence se fait, je mâapproche du mur commun que nous partageons avec la douche des gars et en Ă©coutant attentivement, je me rends compte que de leur cĂŽtĂ© tous semblent fonctionner parfaitement bien.
Comme je nâai aucune envie de salir mon auto avec ma sueur, je dĂ©cide dâaller prendre mes choses et dâaller dans lâautre vestiaire. Lorsque je rentre, les quelques gars qui sont devant leurs casiers me regardent drĂŽlement, mais il ne sâen formalise pas trop. Je mets mon sac, mes souliers Ă lâintĂ©rieur du casier, je mets le cadenas. Serviette Ă lâĂ©paule, gel de douche et shampoing en main, je me dirige vers la douche.
Mais Ă ce moment-lĂ que je rĂ©alise que les douches du cĂŽtĂ© des gars sont trĂšs diffĂ©rentes. Au lieu dâĂȘtre de petites douches individuelles sĂ©parĂ©es par un petit mur et fermĂ©e par un rideau, la douche des gars est plutĂŽt⊠simpliste. Il nây a rien qui divise les diffĂ©rentes paumes de couches et les gars, qui prennent leur douche Ă ce moment-lĂ , sont entiĂšrement nus. AprĂšs mes quelques secondes, les gars commencent Ă remarquer ma prĂ©sence.
Dans ma tĂȘte les diffĂ©rents scĂ©narios commencent Ă se succĂ©der Ă un rythme effrĂ©nĂ©. Et finalement, spontanĂ©ment je dĂ©cide de retirer mon haut, mes shorts, que je laisse sur le banc Ă lâentrĂ©e de la douche. Je dĂ©cide de garder ma petite culotte parce que jâen ai une propre dans mon sac. Je mâavance dâun pas dĂ©cidĂ© vers une des paumes de douche libre et je commence Ă me mouiller. AprĂšs avoir bien rincĂ© mes cheveux une premiĂšre fois, je me suis penchĂ©e pour prendre mon gel de douche que jâavais laissĂ© au sol. Je commence Ă me savonner. Rapidement, je rĂ©alise que les gars me regardent discrĂštement prendre ma douche. Mais en mĂȘme temps, je sens quâils sont tous un peu mal Ă lâaise avec ma prĂ©sence. Mais je continue comme si de rien nâĂ©tait.
Câest Ă ce moment-lĂ quâun autre gars est entrĂ© dans la douche. Lui, contrairement aux autres, ne semble absolument pas mal Ă lâaise de ma prĂ©sence. Il vient mĂȘme sâinstaller juste Ă cĂŽtĂ© de moi. Il est beau, grand, des beaux abs bien dessinĂ©s. On sâĂ©change un sourire.
Je prends mon shampoing, je ferme instinctivement les yeux et je mâen mets dans les cheveux, je savonne pendant une minute et alors que je termine de les rincer, jâouvre mes yeux. Lorsque je baisse le regard, je mâaperçois que mon voisin de douche Ă une Ă©rection. Sa queue, six ou sept pouces de long est lĂ©gĂšrement pointĂ© vers le plafond. Je lĂšve la tĂȘte, et il me sourit. Il me dit dâun ton trĂšs naturelle : « Une belle fille comme toi, ça mĂ©rite au moins ça. »
On sâĂ©change des regards, des sourires pendant quelques instants, et une complicitĂ© nait instantanĂ©ment entre nous. Sans rĂ©flĂ©chir, je dĂ©cide dâaller le rejoindre. Je prends sa queue avec ma main droite et je commence Ă le masturber lentement. Je finis par lui dire : « Un beau gars comme toi, ça mĂ©rite au moins ça. » Lorsquâil finit par ĂȘtre acculĂ© au mur, je mâagenouille devant lui. Comme jâai le jet de douche directement sur le visage, je suis obligĂ©e de me fermer les yeux. Jâapproche ma bouche de son membre et je commence Ă le sucer. Au dĂ©but, jây vais lentement, en ne faisant quâentrer son gland dans ma bouche.
Mais lorsque ma gorge commence Ă se relaxer, je me permets de la faire entrer plus profondĂ©ment. Au bout de quelques minutes, jâai les mains derriĂšre ses cuisses et je la fais entrer au complet entre ses lĂšvres. JâaccĂ©lĂšre la cadence pour son plus grand plaisir. Quand je libĂšre sa queue, jâai profitĂ© pour Ă©tirer le cou, me libĂ©rer du jet dâeau et pouvoir finalement ouvrir les yeux de nouveau. Lorsque je me retourne pour voir les autres gars, ils sont tous bandĂ©s.
Un autre gars, courageux sâavance vers moi la queue Ă la hauteur de mon visage. DĂšs quâil est assez prĂšs, je prends sa queue avec mes mains, je lâapporte Ă ma bouche et je le suce. Les gars quittent leurs paumes de douches et commencent Ă mâentourer. Je me retrouve avec huit queues bandĂ©es Ă moins dâun pied du visage. Je suis tellement excitĂ©e que je change de queue toutes les dix secondes, en prenant une au hasard entre mes lĂšvres alors que mes mains en caressent deux autres.
Je remarque mĂȘme que de nouvelles queues sâajoutent. Il y en a une, un peu plus longue que les autres, que jâai un peu de misĂšre Ă faire entrer entiĂšrement dans ma bouche. Lorsque je finis par mâhabituer Ă la taille, son voisin approche sa queue et mâexplose en plein visage. Instinctivement, je ferme les yeux quelques instants, lorsque je les rouvre, je vois quâun autre gars est dĂ©jĂ venu prendre sa place.
Pendant que je suce une autre queue, je sens un autre jet de sperme. Cette fois-lĂ , je le reçois dans le toupet. Mais je continue comme si de rien nâĂ©tait. Le sperme finit par couler sur mon front, rejoint mes sourcils, les suit et coule le long de mes tempes. Et avant mĂȘme quâil ne finisse par tomber au sol, jâai reçu un autre jet. Sur la joue cette fois. Le sperme Ă©clabousse un peu la queue que je suce, mais je nâen fais pas de cas et je lâai rapidement nettoyĂ©, avalant ces quelques gouttes.
Autour de moi, les gars sont plus nombreux que jamais. Et je ne fournis plus, jâai beau changer de queue toutes les dix secondes, je semble toujours en voir une qui nâa pas pĂ©nĂ©trĂ© mes lĂšvres. Je sens une queue se faufiler sous mon bras. Et le gars commence Ă mâutiliser pour se masturber. Je sens deux jets de sperme me frapper le visage Ă quelques secondes dâintervalle, un sur le front, lâautre sur ma joue gauche. Le gars que je suce se recule un peu. Il donne quelques coups de poignet sur sa queue et mâenvoie tout son foutre sur les lĂšvres. Mais comme jâai la bouche fermĂ©e, tout commence Ă me couler sur le menton.
Je me saisis dâune autre queue et je commence Ă la sucer. Alors que je mâexĂ©cute, je sens une giclĂ©e de sperme venir de derriĂšre, mâatteignant le bas du cou, dans les cheveux.
Je crois que ce nâest quâune vingtaine de minutes plus tard que je me suis relevĂ©e, lorsquâil nây avait plus que quelques queues semi-bandĂ©es que jâavais dĂ©jĂ vidĂ©es autour de moi. Jâai pris une pause. Je me suis passĂ© une main dans les cheveux. Jâavais plein de mĂšches de cheveux qui avaient commencĂ© Ă sâagglutiner ensemble parce que le sperme avait dĂ©jĂ sĂ©chĂ©. En penchant ma tĂȘte, jâai pu voir mes seins recouverts de longues lignes de coulis blanc descendant jusquâĂ mes cuisses. Jâai senti le besoin de me toucher les seins, de lâĂ©taler un peu comme sâil sâagissait un savon. Je me suis lentement dirigĂ©e vers mon pommeau de douche, je me suis bien rincĂ©e dans quelques minutes et je suis sortie.
Jâai enroulĂ© ma serviette autour de moi, je me suis sĂ©chĂ©e. Pendant que je mâexĂ©cutais, je voyais tous les gars autour de moi, aussi en train de se rhabiller, me faisant tous de larges sourires. CâĂ©tait Ă la fois Ă©trange, mâĂ©tait Ă la fois excitant de savoir que jâavais vidĂ© tous ces gars-lĂ . Puis, une fois vĂȘtue, je suis sortie.
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Je mâappelle Marion, et Ă lâĂ©poque de lâhistoire je vivais avec mes parents et mon frĂšre, Lionel de 23 ans. Moi jâĂ©tais dans ma derniĂšre annĂ©e de lycĂ©e et je rentrais tous les soirs vers 18h30. En rentrant je faisais toujours la mĂȘme chose, jâallais prendre une douche et je mâautorisait une petite sĂ©ance de masturbation avec un gode pour me dĂ©tendre de mes journĂ©es Ă©puisantes.
Un jour, pendant ma sĂ©ance de masturbation qui durait plus longtemps que prĂ©vu (je nâarrivais pas a me faire jouir), mon frĂšre entra brusquement dans ma chambre. JâĂ©tais nue, jambes Ă©cartĂ©es le gode dans la main et dans la chatte, je ne savais pas quoi dire ni quoi faire, je ne pouvais plus bouger. Mon frĂšre resta un petit moment immobile puis finit par parler :
â Heu⊠Quand tu auras fini on tâattend pour dĂźner.
Il se retourna, ferma la porte et descendit dĂźner. Sur le moment jâĂ©tais un peu choquĂ©e mais je me suis vite rhabillĂ©e, jâavais surtout peur de se que mon frĂšre avais dit aux parents. Je descendis la peur au ventre, craignant quâil nâait tout racontĂ© aux parents. Je me suis mise a table, la tĂȘte basse, et ma mĂšre me dit :
â Tu me feras le plaisir de rĂ©duire tes conversation tĂ©lĂ©phonique avec ta copine Isabelle !
â Quoi ?
â Ton frĂšre nous a dit que tu descendrais aprĂšs avoir fini de tĂ©lĂ©phoner Ă Isabelle, ce nâest pas se que tu faisais ?
Je regardais mon frĂšre qui me fit un petit clin dâĆil. Il leur avais menti, il ne leur avait rien dit sur ma masturbation. Mon regard se tourna alors vers ma mĂšre et je lui mentis Ă mon tour.
â Dâaccord maman.
Le dĂźner se passa normalement, mais jâĂ©tais encore gĂȘnĂ©e par ce qui sâĂ©tait passĂ© avant, je finissais donc vite mon dĂźner pour vite retourner dans ma chambre. Le soir en allant de brosser les dents jâai croisĂ© mon frĂšre, jâosais Ă peine le regarder. Mais il me vit et me dit :
â Dis-moi Marion, tu devrais faire un peu attention avec tes masturbations, cette fois câĂ©tait moi mais une prochaine fois ça sera les parents qui te choperont et ça se passera pas aussi bien.
Jâacquiesçais et je partis dans la salle de bain. « Faire plus attention », facile a dire, mes parents nâont jamais voulu installer de verrou sur la porte de nos chambres. Par prudence, jâai donc cessĂ© de me masturber tous les jours , jâai rĂ©duit les sĂ©ances Ă une ou deux fois par semaine pour ne pas ĂȘtre prise sur le fait, et je faisais dĂ©sormais la chose aprĂšs avoir dĂźnĂ©.
Mais un jour, un vendredi pour ĂȘtre exact, alors que je venais de passer une semaine de merde, lâenvie de me masturber Ă nouveau fut la plus grande. Alors, pour la premiĂšre fois depuis 3 semaines jâai dĂ©cidĂ© de le refaire avant de manger. JâĂ©tais assise sur mon lit les jambes Ă©cartĂ©es, jâavais juste remontĂ© ma jupe et descendu ma culotte au niveau des cuisses, mon gode entrait et sortait avec beaucoup de facilitĂ©, ma chatte commençait Ă bien mouiller quand ma porte sâouvrit : câĂ©tait mon frĂšre.
Il ferma la porte sâapprocha de moi retira le gode et enfonça son majeur et son index dans ma chatte, puis commença a me masturber tout en me caressant le clito avec son pouce.
â Non, mais quâest ce que tuâŠ
â Tais-toi.
Il me masturba de plus en plus vite, jâessayais de retenir mes pulsions mais je nây arrivais pas. Le plaisir montait en moi et mes gĂ©missements se faisaient de plus en plus forts. Il me mit son autre main sur ma bouche pour Ă©touffer mes cris, mes hanches faisaient des mouvements de va-et-vient toutes seules. Alors que je mouillais de plus en plus, je fus subitement terrassĂ©e par un immense orgasme. Mon frĂšre retira ses doigts, lĂ©cha la cyprine de ces doigts et me dit :
â Ăa y est, tu as joui ? Alors dĂ©pĂȘche toi, on tâattend pour manger.
Le dĂźner se dĂ©roula comme dâhabitude, tout se passa bien, mon frĂšre raconta encore la mĂȘme histoire de tĂ©lĂ©phone et la vie reprit son cours. Du moins câest se que je croyais, car durant la semaine qui suivit, jâavais de plus en plus de mal a me faire jouir de maniĂšre traditionnelle. Jâarrivais seulement Ă me faire jouir en pensant Ă mon frĂšre en train de me doigter et je voulais retrouver les mĂȘmes sensations, mais sans succĂšs.
AprĂšs plusieurs mois de masturbation et de rĂ©flexion, jâai pris ma dĂ©cision : puisque je nâarrivais pas Ă me donner autant de plaisir que mon frĂšre, alors jâallais lui demander de sâoccuper de moi encore une fois. Un soir, je suis entrĂ©e dans sa chambre tandis quâil Ă©tait sur son lit en train de lire un bouquin. Jâai refermĂ© la porte derriĂšre moi et je lâai fixĂ© en prononçant des bĂ©gaiements incomprĂ©hensibles, puis aprĂšs avoir pris mon courage a deux mains, jâai fini par sortir :
â Lionel, je veux que tu me masturbes comme la derniĂšre fois.
Mon frĂšre me regarda un long moment puis fini par me dire :
â Dâaccord, mais Ă une condition.
â Laquelle ?
â Je veux ĂȘtre le seul Ă te le faire. Je veux quâĂ chaque fois que tu souhaites te masturber tu viennes me le demander plutĂŽt que de le faire toi-mĂȘme.
â ⊠Dâaccord.
â DĂ©shabille toi et approche-toi.
Une fois nue je mâapprochais doucement de lui. JâĂ©tais quand mĂȘme gĂȘnĂ©e et jâapprĂ©hendais se qui allais se passer. Alors quâil sâĂ©tait assis sur le rebord du lit, il me dit :
â Assieds-toi sur mes genoux face au miroir de lâarmoire.
â Que vas-tu faire ?
DĂšs que je me suis assise sur ces genoux, il mâĂ©carta les jambes. Ă peine eut-il posĂ© la main sur moi que je sentis mon corps frissonner. Il commença par me caresser le ventre, puis les cuisses, je voyais ma chatte sâouvrir toute seule et la cyprine qui commençait a jaillir. Ses doigts caressaient mes lĂšvres, puis il enfonça son majeur et fit de lents va-et-vient tout en caressant mon clito de lâautre main. Alors que mouillais de plus en plus et que je commençais a gĂ©mir, il enfonça un deuxiĂšme doigt dans ma chatte et accĂ©lĂ©ra lĂ©gĂšrement le mouvement. Pendant que son autre main continuait de sâoccuper de mon clito, je me caressais et me malaxais les seins. Mes gĂ©missement se faisant de plus en plus forts, mon frĂšre en profita pour mâenfoncer ma culotte dans la bouche afin dâĂ©touffer mes gĂ©missement.
Je ne me contrĂŽlais plus, je me voyais dans le miroir et jâavais du mal a me reconnaĂźtre : vision des plus Ă©rotique, en train dâĂȘtre masturbĂ©e par mon frĂšre, gĂ©missant et me caressant les seins avec de la bave dĂ©goulinant lĂ©gĂšrement de ma bouche. Mon frĂšre me tripota le clito et jâeus un orgasme magistral, encore plus puissant que la premiĂšre fois. Il retira ensuite ses doigts de ma chatte et lĂ©cha la cyprine qui les recouvraient.
Suite Ă cela, il mâallongea sur le lit et quitta la chambre. Jâen ai profitĂ© pour reprendre mon souffle, et je crois que je me suis assoupie un peu. Quand je me suis rĂ©veillĂ©e, mon frĂšre entrait dans la chambre une serviette autour de la taille.
â Tu es encore lĂ ?
â Oui, je ⊠je crois que je me suis assoupie.
â Tu devrais retourner dans ta chambre.
Je savais quâil avait raison, mais je ne voulais pas partir, jâen voulais plus, alors je lâai regardĂ© dans les yeux et jâai dit :
Il me sourit, ferma la porte et me dit :
â Si tu baises avec moi, tu devras faire tout se que je te demanderais sans poser de question. Tu devra mâobĂ©ir au doigt et Ă lâĆil, tu seras mon esclave sexuelle.
â Dâaccord.
Je ne mâĂ©tais pas encore rendue compte dans quoi je mâĂ©tais embarquĂ©e, mais ce soir lĂ il mâa fait lâamour comme jamais. Jâai joui trois fois et ressenti une excitation comme jamais auparavant.
Jâallais sortir pour rentrer dans ma chambre quand il me dit :
â Demain je veux que tu restes Ă la maison.
â Mais demain jâai cours.
â Tu sĂšches, tu dis a maman que tu es malade. Demain je ne travaille pas alors je lui dirais que je mâoccupe de toi.
Je suis rentrée dans ma chambre, en pensant à la soirée que je venais de passer et à la journée de demain.
Le lendemain je rĂ©pondis fidĂšlement aux attentes de mon frĂšre et je fis semblant dâĂȘtre malade. Je mâĂ©tais masturbĂ©e sous la couette pour ĂȘtre en nage et pour augmenter lĂ©gĂšrement ma tempĂ©rature. Jâavais mĂȘme placĂ© le thermomĂštre sous la lampe pour simuler une fiĂšvre subite. Ma mĂšre dĂ©cida donc que je devais rester au lit toute la journĂ©e, et Lionel se proposa naturellement pour me garder toute la journĂ©e. Quand mes parents furent partis, jâentendis mon frĂšre remonter les escaliers et arriver devant ma porte. JâĂ©tais de plus en plus excitĂ©e. Il entra et vint sâasseoir sur mon lit, Ă cĂŽtĂ© de moi. Il enleva les couvertures qui me recouvraient et me demanda de me dĂ©shabiller, ce que je fis sans poser de question. Il dĂ©boutonna lui-mĂȘme son pantalon et sortit son sexe dĂ©jĂ en Ă©rection. Il le prit en main, me fit un signe de la tĂȘte et me dit :
â Viens te mettre Ă genoux devant moi.
Une fois Ă genoux devant lui, il me prit la main et me la posa sur son sexe. Ce dernier Ă©tait chaud, doux et dur a la fois. Enfin, il me dit :
Je restais un petit moment sans rien faire, puis je fini par lui avouer :
â Je ne lâai encore jamais fait.
â Ne tâinquiĂšte pas, je te dirais quoi faire.
â Dâaccord.
â Embrasse-le.
Je faisais tout ce quâil me disait.
â Maintenant, prend-le en bouche et dĂ©calotte-le avec ta langue.
Une fois en bouche, son sexe était vraiment chaud et salé.
â Caresses-moi les couilles, et suce moi bien.
Jâadorais sentir son sexe doux dans ma bouche, jâaimais vraiment ça.
â Tu te dĂ©brouilles bien pour une premiĂšre fois, alors on va passer Ă lâĂ©tape suivante.
Il mit sa main sur ma tĂȘte et la fit aller et venir sur son sexe, en me donnant la cadence. Il commençait Ă gĂ©mir.
â Ah oui câest bon, branles-moi en mĂȘme temps.
Je pris son sexe en main et commençais Ă le masturber avec un peu de difficultĂ©. Jâavais un peu de mal Ă le sucer et Ă le branler en mĂȘme temps, mais je sentis que son sperme allait bientĂŽt jaillir.
â Gardes bien mon sexe en bouche, tu vas boire tout mon sperme.
Quand il a joui dans ma bouche, son jet Ă©tait si violent que jâai failli mâĂ©touffer.
â Avales bien tout parce que ça sera ton unique petit-dĂ©jeuner.
Jâavalais tout comme il me lâavait demandĂ©, câĂ©tait la premiĂšre fois que je buvais son jus sucrĂ©. Il mâattrapa alors par les Ă©paules et mâembrassa longuement et tendrement. Quand son sexe eu repris des forces, il mit un prĂ©servatif et sâallongea sur mon lit puis me fit signe de venir sur lui. Je mâexĂ©cutais sans discuter et mâempalais sur son sexe, ma chatte Ă©tant dĂ©jĂ bien humide son sexe nâeut aucun mal a me pĂ©nĂ©trer. Alors que je faisais de lents mouvements sur son sexe, il mis ses mains sur mes fesses, me les caressa, me les malaxa et me donna le rythme de cette danse torride. Je gĂ©missais Ă chaque entrĂ©e de son sexe en moi, mon corps Ă©tait trĂšs sensible, mes tĂ©tons pointaient et il en profitait pour les caresser et les pincer.
Tout comme lui, il ne me fallu pas longtemps avant de jouir une premiĂšre fois. Il me suça et me mordilla longuement les tĂ©tons, mâenlaça. Il me rendait complĂštement folle. Il me
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