Je suis une petite cochonne 2/2

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Je suis une petite cochonne 2/2
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Après nous être copieusement touchés et branlés, je reste étendue alanguie et ouverte sur le sol, j’ai le corps recouvert du foutre de mon fils et la cyprine coule entre mes jambes. Les yeux clos, le corps repu je me me persuade que sans pénétration du sexe, il ne peut y avoir de pécher. Certes le raisonnement est osé mais il rassure ma petite conscience parfaite de mère bourgeoise et provinciale, un tantinet bigote.
Christophe qui semble récupérer plus vite que moi, me retourne sans délicatesse, je roule sur la moquette.
Son doigt montre l’immense tache humide provoquée par ma liqueur intime.
« Tu pourrais te retenir de faire des cochonsetés sur le tapis » dit-il en se levant.
« C’est fini ton entorse?- Je n’ose pas imaginer que tu as prémédité ce qui vient de nous arriver. »
« Oh que si! -Je sais depuis longtemps que tu es une cochonne, déjà du temps de papa, je t’admirais la main dans la culotte te donnant du plaisir. Je n’avais qu’une seule envie que tu te branles rien que pour moi, aujourd’hui je te remercie tu as été formidable et j’ai hâte que tu recommences, ma petite maman cochonne! »
Après cet aveux, Christophe me tend la main pour m’aider à me relever, chastement il me fait un petit bisou sur le bout de mon sein qui se dresse obscène.
« Tu pue la cramouille et le foutre, viens on va se laver. »
Il me coule un grand bain chaud, me rejoint sous la mousse et me lave comme une enfant, en évitant soigneusement tout geste lubrique.
Plus tard, allongé sur le canapé, sa tête sur mes cuisses fermées, je dois lui raconter encore et encore comment seules je me touche, mes phantasmes et la manière dont je m’aime. Tout en parlant, je lui tripote doucement la queue qui reste à moitié bandée. Fait-il un effort pour ne pas me sauter dessus et m’enfiler?, je n’en sais rien, il semble détendu et heureux.
A la fin de mon récit il sourit de son beau sourire d’ange et annonce naturellement.
« Tu aurais dû prendre un amant, ce n’est pas normal une femme qui ne connait qu’une bite, comment peut-elle comparer?! »
Jugement définitif qui n’appartient qu’à la jeunesse.
« Tu peux parler, toi avec ta hollandaise!
« Tiens tu connais cette histoire. Toi aussi tu écoute aux portes? »
« Après avoir baisé la hollandaise, j’ai baisé pratiquement toutes les filles de ma classe. Luce qui adore les queutârds est devenue ma copine, nous faisons l’amour pratiquement tous les jours, sa chatte est plus aigrelette que la tienne »
Ainsi ce petit salop baise tout ce qui bouge et fornique avec sa cousine; Il se permet de comparer mes liqueurs intimes à celles de ma nièce, la fille de ma soeur, décidément il aime la famille! Je ne savais pas jusqu’à maintenant ce qu’était un queutârd, mais je suis très fier que mon fils en soit un.
« Pourquoi tu ne l’a jamais amenée ici ? Tu avais peur que je ne sois pas d’accords? »
« Pas du tout, je voulais simplement que tu te branles rien que pour moi et comme tu as été très sage, maintenant tu pourras t’aimer et te toucher devant nous, je sais que tu le feras! »
« Ben voyons, tu me prends pour qui?
« Pour une gentille maman qui se branle sur des livres porno ou l’on ne voit que des femmes qui font l’amour entre elles. Tu verra comme c’est merveilleux de se faire lécher la chatte par une fille.
A ces mots, je comprends que Christophe qui a beaucoup plus d’expérience que moi dans les chose de l’amour, va m’entrainer dans une suite d’aventure merveilleuses. La pensée de Luce me broutant le minou déclenche aussitôt l’envie de me frotter la chatte, je le fais naturellement, sous le regard de Christophe qui a simplement soulever un peu sa tête pour que je me fasse reluire plus commodément.
Plus tard, alors que je somnole béatement en pensant avec bonheur à ce qui m’arrive, Christophe se lève.
« -Viens, on va en ville faire des courses, va t’habiller en cochonne, s’est moi qui conduit »
Assise tendrement à coté de mon fils tout à sa conduite je tire machinalement sur ma courte jupe qui remonte au dessus de mes cuisses.
« Non laisse, Tu as vraiment de très belles jambes, montre moi ton slip? »
Docile,je retrousse un peu plus ma jupe. Mon porte-jarretelles apparaît dévoilant l’endroit ou ma peau est la plus douce, la plus blanche, juste à la naissance des bas. La ou je rêve qu’une fille me lèche. Luce peut-être?
Le slip sur les mollets, les bas noirs retenus par mes jarretelles, je m’offre impudique au regard de mon petit voyeur. Le coup de klaxonne vicieux d’un routier qui nous double me fait sursauter. La camion fait une embardée et reprend sa route. Il a vu ma chatte et alors?
« Attention, à force de loucher sur ma minette, tu vas nous mettre au fossé! »
Christophe engage la voiture dans le premier chemin de bois, stoppe et me demande de sortir.
« Tu t’es déjà branlée en voiture? »
« Je ne penses pas que tu l’aies fait comme tu vas le faire maintenant »
Christophe sort une capote de sa poche, c’est la première fois que je vois en vraie une capote, va derrière la voiture, enfile la capote sur la boule de l’attache remorque et me montre son chibre a moitié raidi.
« ,Fais bander ton fiston, rentre toi la boule dans la chatte et branle toi »
Je reste un moment interdite, qu’est-il encore capable d’imaginer, même son père dans ses délires les plus fou ne m’a jamais demandé pareil chose. 
« Ne fais pas de simagrées, une pute vicieuse et nymphomane ça s’enfile n’importe où, n’importe quoi »
Il a raison, je veux être une pute vicieuse pour le plaisir de mon fils et aussi du mien, pour lui je veux bien être une trainée, je me retrousse, écarte mon slip, sort un sein de mon chemisier et commence a m’accroupir, la tôle du coffre fini de relever mon chemisier, je frissonne.
« T’es pas assez pute, baisses ta culotte »
Assise sur le par choc, la boule de l’attelage dans la chatte, le corsage ouvert, la culotte sur les chevilles, je commence à monter et descendre mon bassin le long du crochet de fer.
La sensation est merveilleuse, je sens la tôle froide contre mes fesses et la boule dure rempli formidablement bien mon ventre.
Je ne tarde pas à hahanner, puis à pousser carrément des petits cris de truie en chaleur, lorsque je les yeux rivés sur la bite de Christophe, je vois cette dernière gonfler et se dresser;
« Putain que tu es salope, maman, continue branle toi comme une vieille truie »
Les mots salaces raisonnent dans ma tête, je jouis, je râle, je râle je jouis, 5, 10 minutes, une éternité que sais-je?
Lorsque épuisée, je me retire enfin dans un grand bruit de succion, Christophe s’avance la verge à la main et me crache son foutre sur le ventre .
« Putain que je t’aime maman quand tu te fais du bien. »
Collés corps contre corps, poisseux de foutre et de mouille, nous échangeons un long baisé.
Inévitablement, ma main cherche la grosse pinne qui frotte mon ventre, qu’il est doux de tripoter son fils.
Encore une fois, bien que sa bite retrouve une belle vigueur, je ne parviens pas à faire juter ce salop, devant mon regard interrogateur, j’obtiens la réponse de mon petit baiseur.
« T’inquiètes pas, je sais me contrôler, on rentre et on se fait une bonne douche »
Sous la douche, je lave mon gamin très chastement, j’aime bien aussi sa queue lorsqu’elle est au repos, un peu flasque. Sa toilette terminée, délicatement je pose un petit bisou du le sexe tout propre.
« Pourquoi diable, tu m’as forcer à me branler sur le truc de la voiture? C’est une histoire que tu as lu dans mes livres pornos?
« Oui j’ai lu cette vieille histoire de pute anglaise, mais la fille était vieille, moche et grosse, et le crochet s’était dans le cul qu’elle se le fourrait. Toi tu es belle, grande et presque pucelle, ton petit cul d’allumeuse, je le réserve pour d’autres caresses. »
J’allais répondre, lorsqu’un coup de sonnette intempestif retenti.
« Va ouvrir, pendant que je prend ma douche, j’arrive tout de suite »
L’eau ruisselle sur mon corps quand j’entends Christophe crier.
« Maman! C’est Luce qui vient te dire un petit bonjour, prend ton temps pour te faire belle! »
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Christophe qui semble récupérer plus vite que moi, me retourne sans délicatesse, je roule sur la moquette.
Son doigt montre l’immense tache humide provoquée par ma liqueur intime.
« Tu pourrais te retenir de faire des cochonsetés sur le tapis » dit-il en se levant.
« C’est fini ton entorse?- Je n’ose pas imaginer que tu as prémédité ce qui vient de nous arriver. »
« Oh que si! -Je sais depuis longtemps que tu es une cochonne, déjà du temps de papa, je t’admirais la main dans la culotte te donnant du plaisir. Je n’avais qu’une seule envie que tu te branles rien que pour moi, aujourd’hui je te remercie tu as été formidable et j’ai hâte que tu recommences, ma petite maman cochonne! »
Après cet aveux, Christophe me tend la main pour m’aider à me relever, chastement il me fait un petit bisou sur le bout de mon sein qui se dresse obscène.
« Tu pue la cramouille et le foutre, viens on va se laver. »
Il me coule un grand bain chaud, me rejoint sous la mousse et me lave comme une enfant, en évitant soigneusement tout geste lubrique.
Plus tard, allongé sur le canapé, sa tête sur mes cuisses fermées, je dois lui raconter encore et encore comment seules je me touche, mes phantasmes et la manière dont je m’aime. Tout en parlant, je lui tripote doucement la queue qui reste à moitié bandée. Fait-il un effort pour ne pas me sauter dessus et m’enfiler?, je n’en sais rien, il semble détendu et heureux.
A la fin de mon récit il sourit de son beau sourire d’ange et annonce naturellement.
« Tu aurais dû prendre un amant, ce n’est pas normal une femme qui ne connait qu’une bite, comment peut-elle comparer?! »
Jugement définitif qui n’appartient qu’à la jeunesse.
« Tu peux parler, toi avec ta hollandaise!
« Tiens tu connais cette histoire. Toi aussi tu écoute aux portes? »
« Après avoir baisé la hollandaise, j’ai baisé pratiquement toutes les filles de ma classe. Luce qui adore les queutârds est devenue ma copine, nous faisons l’amour pratiquement tous les jours, sa chatte est plus aigrelette que la tienne »
Ainsi ce petit salop baise tout ce qui bouge et fornique avec sa cousine; Il se permet de comparer mes liqueurs intimes à celles de ma nièce, la fille de ma soeur, décidément il aime la famille! Je ne savais pas jusqu’à maintenant ce qu’était un queutârd, mais je suis très fier que mon fils en soit un.
« Pourquoi tu ne l’a jamais amenée ici ? Tu avais peur que je ne sois pas d’accords? »
« Pas du tout, je voulais simplement que tu te branles rien que pour moi et comme tu as été très sage, maintenant tu pourras t’aimer et te toucher devant nous, je sais que tu le feras! »
« Ben voyons, tu me prends pour qui?
« Pour une gentille maman qui se branle sur des livres porno ou l’on ne voit que des femmes qui font l’amour entre elles. Tu verra comme c’est merveilleux de se faire lécher la chatte par une fille.
A ces mots, je comprends que Christophe qui a beaucoup plus d’expérience que moi dans les chose de l’amour, va m’entrainer dans une suite d’aventure merveilleuses. La pensée de Luce me broutant le minou déclenche aussitôt l’envie de me frotter la chatte, je le fais naturellement, sous le regard de Christophe qui a simplement soulever un peu sa tête pour que je me fasse reluire plus commodément.
Plus tard, alors que je somnole béatement en pensant avec bonheur à ce qui m’arrive, Christophe se lève.
« -Viens, on va en ville faire des courses, va t’habiller en cochonne, s’est moi qui conduit »
Assise tendrement à coté de mon fils tout à sa conduite je tire machinalement sur ma courte jupe qui remonte au dessus de mes cuisses.
« Non laisse, Tu as vraiment de très belles jambes, montre moi ton slip? »
Docile,je retrousse un peu plus ma jupe. Mon porte-jarretelles apparaît dévoilant l’endroit ou ma peau est la plus douce, la plus blanche, juste à la naissance des bas. La ou je rêve qu’une fille me lèche. Luce peut-être?
Le slip sur les mollets, les bas noirs retenus par mes jarretelles, je m’offre impudique au regard de mon petit voyeur. Le coup de klaxonne vicieux d’un routier qui nous double me fait sursauter. La camion fait une embardée et reprend sa route. Il a vu ma chatte et alors?
« Attention, à force de loucher sur ma minette, tu vas nous mettre au fossé! »
Christophe engage la voiture dans le premier chemin de bois, stoppe et me demande de sortir.
« Tu t’es déjà branlée en voiture? »
« Je ne penses pas que tu l’aies fait comme tu vas le faire maintenant »
Christophe sort une capote de sa poche, c’est la première fois que je vois en vraie une capote, va derrière la voiture, enfile la capote sur la boule de l’attache remorque et me montre son chibre a moitié raidi.
« ,Fais bander ton fiston, rentre toi la boule dans la chatte et branle toi »
Je reste un moment interdite, qu’est-il encore capable d’imaginer, même son père dans ses délires les plus fou ne m’a jamais demandé pareil chose. 
« Ne fais pas de simagrées, une pute vicieuse et nymphomane ça s’enfile n’importe où, n’importe quoi »
Il a raison, je veux être une pute vicieuse pour le plaisir de mon fils et aussi du mien, pour lui je veux bien être une trainée, je me retrousse, écarte mon slip, sort un sein de mon chemisier et commence a m’accroupir, la tôle du coffre fini de relever mon chemisier, je frissonne.
« T’es pas assez pute, baisses ta culotte »
Assise sur le par choc, la boule de l’attelage dans la chatte, le corsage ouvert, la culotte sur les chevilles, je commence à monter et descendre mon bassin le long du crochet de fer.
La sensation est merveilleuse, je sens la tôle froide contre mes fesses et la boule dure rempli formidablement bien mon ventre.
Je ne tarde pas à hahanner, puis à pousser carrément des petits cris de truie en chaleur, lorsque je les yeux rivés sur la bite de Christophe, je vois cette dernière gonfler et se dresser;
« Putain que tu es salope, maman, continue branle toi comme une vieille truie »
Les mots salaces raisonnent dans ma tête, je jouis, je râle, je râle je jouis, 5, 10 minutes, une éternité que sais-je?
Lorsque épuisée, je me retire enfin dans un grand bruit de succion, Christophe s’avance la verge à la main et me crache son foutre sur le ventre .
« Putain que je t’aime maman quand tu te fais du bien. »
Collés corps contre corps, poisseux de foutre et de mouille, nous échangeons un long baisé.
Inévitablement, ma main cherche la grosse pinne qui frotte mon ventre, qu’il est doux de tripoter son fils.
Encore une fois, bien que sa bite retrouve une belle vigueur, je ne parviens pas à faire juter ce salop, devant mon regard interrogateur, j’obtiens la réponse de mon petit baiseur.
« T’inquiètes pas, je sais me contrôler, on rentre et on se fait une bonne douche »
Sous la douche, je lave mon gamin très chastement, j’aime bien aussi sa queue lorsqu’elle est au repos, un peu flasque. Sa toilette terminée, délicatement je pose un petit bisou du le sexe tout propre.
« Pourquoi diable, tu m’as forcer à me branler sur le truc de la voiture? C’est une histoire que tu as lu dans mes livres pornos?
« Oui j’ai lu cette vieille histoire de pute anglaise, mais la fille était vieille, moche et grosse, et le crochet s’était dans le cul qu’elle se le fourrait. Toi tu es belle, grande et presque pucelle, ton petit cul d’allumeuse, je le réserve pour d’autres caresses. »
J’allais répondre, lorsqu’un coup de sonnette intempestif retenti.
« Va ouvrir, pendant que je prend ma douche, j’arrive tout de suite »
L’eau ruisselle sur mon corps quand j’entends Christophe crier.
« Maman! C’est Luce qui vient te dire un petit bonjour, prend ton temps pour te faire belle! »
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