Je suis très chaude et je t'attends à la maison

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PHOTO STRINGER, AGENCE FRANCE-PRESSE
« Je suis très heureux de revenir à la maison, parce que je me sens vraiment chez moi ici. Vous avez vu comment les gens m’ont reçu, c’était plus qu’un rêve pour moi », a assuré Paul Pogba au cours d’une conférence de presse de présentation à Turin.
(Turin) « À la Juve, je suis à la maison » : de retour à Turin après six années mitigées à Manchester United, Paul Pogba a expliqué mardi avoir choisi de revenir en Italie pour gagner du temps de jeu et retrouver des ambitions européennes.
« Je suis très heureux de revenir à la maison, parce que je me sens vraiment chez moi ici. Vous avez vu comment les gens m’ont reçu, c’était plus qu’un rêve pour moi », a assuré le champion du monde français au cours d’une conférence de presse de présentation à Turin.
À 29 ans, le milieu de terrain a fait le choix de retrouver un cadre connu où il avait triomphé dans le passé (2012-2016), avec notamment quatre titres de champion d’Italie et une finale de Ligue des champions en 2015.
Mais la « Vieille dame », après un record de neuf scudetti consécutifs (2012 à 2020), a été éjectée du Top 3 en Italie ces deux dernières saisons et incapable de se hisser en quart de finale de la C1 depuis 2019.
C’est peu dire que Pogba était attendu impatiemment par l’entraîneur Massimiliano Allegri.
« J’ai toujours eu un bon rapport avec lui, et cette année, avant de venir, nous nous sommes parlés », a dit le joueur. « J’ai vécu tant de belles années (avec Allegri à la Juve entre 2014 et 2016, NDLR). Revenir avec Allegri, pour moi, c’était le bon moment et la bonne personne. »
Interrogé sur ses années mancuniennes, le joueur a assuré n’avoir jamais pensé s’être trompé en signant avec le club anglais en 2016.
« Non, jamais. Je crois au destin. Tous les choix que j’ai faits, j’en suis content, la vie est ainsi faite. Parfois tu fais des choix qui ne te donnent pas satisfaction, mais je suis heureux de ces années. A Manchester, j’ai grandi, j’ai appris, je suis devenu un homme », a-t-il dit, tout en reconnaissant avoir manqué de temps de jeu, souffert de ne pas avoir joué dans sa position privilégiée et de l’instabilité de l’équipe avec de nombreux changements de coéquipiers et d’entraîneurs.
À la Juventus, Pogba rejoint son coéquipier de l’équipe de France Adrien Rabiot, et l’ancien Parisien Angel di Maria, qui a signé pour un an.
« Angel, c’est un joueur de classe mondiale, il va aider l’équipe, il a l’expérience, il a gagné (des titres). C’est un champion et on a tous besoin de ça », a souligné le néo-Turinois.
Chaque matin, recevez en primeur le billet de notre journaliste sportif Mathias Brunet sur l’actualité du monde du hockey.
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(Saint Paul) Carlos Vela a marqué dès la troisième minute, Raúl Ruidíaz a converti un penalty à la 73 e minute et les vedettes de la MLS ont pris la mesure du championnat mexicain 2-1, mercredi.


(Helsinki) Le Real Madrid, vainqueur de la Ligue des champions, a remporté mercredi la Supercoupe de l’UEFA contre l’Eintracht Francfort, sacré en Ligue Europa, 2 à 0 à Helsinki, grâce notamment à un but de Karim Benzema.


(Genève) Le Qatar, hôte de la prochaine Coupe du monde de soccer, pourrait finalement disputer le match d’ouverture du tournoi.


(Montréal) Le CF Montréal va rendre hommage à l’ancien capitaine Patrice Bernier à l’occasion du match au Stade Saputo contre le Revolution de la Nouvelle-Angleterre, le samedi 20 août.


Pour le match de samedi soir, le CF Montréal a offert un accès privilégié à notre journaliste et notre photographe. Ils ont pu assister à la rencontre à partir des lignes de côté, à quelques mètres du banc montréalais… et de l’action.


Si le nom de Chinonso Offor ne vous dit rien, ne remettez pas en doute vos connaissances sur le soccer.


(Montréal) Le CF Montréal a à peine eu le temps de savourer sa spectaculaire victoire de mercredi qu’il doit tout de suite se mesurer à un autre adversaire qu’il veut garder à distance dans l’Association Est.


(Washington) L’attaquant international belge Christian Benteke, qui évoluait depuis dix ans dans le championnat anglais, s’est engagé avec le DC United entraîné par Wayne Rooney, a annoncé le club de Washington évoluant en Ligue nord-américaine de foot (MLS).


(Toronto) Le Toronto FC a confirmé le retour de l’arrière et ailier canadien Richie Laryea à la faveur d’un prêt du club Nottingham Forrest.


(Manchester) L’entraîneur-chef de Manchester United, Erik ten Hag, a tenté de mettre Cristiano Ronaldo à l’abri des critiques, vendredi, après que l’attaquant eut quitté un match préparatoire prématurément.


Le Canada a perdu une place au 7 e rang tandis que l’Angleterre, nouvellement couronnée championne d’Europe, a gagné quatre positions au 4 e rang du nouveau classement mondial féminin de la FIFA.


Une victoire spectaculaire comme celle de mercredi vient confirmer plusieurs hypothèses pour le CF Montréal.


(Londres) La seconde histoire d’amour entre Cristiano Ronaldo et Manchester United pourrait bien tourner court. Après une saison décevante sans qualification en Ligue des champions, le Portugais veut déjà repartir, mais le club ne l’entend pas ainsi.


Il y a une petite odeur de grande équipe qui émane du CF Montréal.


Le chemin qu’a parcouru Mohamed Farsi pour se rendre à la MLS a été sinueux. « Les occasions ne sont pas venues sur un plateau d’or, dit le Québécois. Je suis parti les chercher. »


(Montevideo) Les dirigeants de soccer et les leaders politiques de l’Uruguay, de l’Argentine, du Chili et du Paraguay ont lancé mardi une candidature conjointe pour accueillir la Coupe du monde de 2030.

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Rédactrice voyage, lifestyle et éducation
"Mettre mes enfants à la crèche pour pouvoir travailler ne me posera aucun problème", pensais-je avec désinvolture. Quand ce jour est arrivé, j'ai réagi autrement.
Je me souviendrai toujours de cette discussion que j'ai eue avec celui qui était alors mon copain (et aujourd'hui mon mari) à propos des enfants et de ma carrière . C'était il y a six ou sept ans. "Mettre mes enfants à la crèche pour pouvoir travailler ne me posera aucun problème", annonçais-je avec désinvolture. "Pour moi, une carrière, c'est super important."
À cette époque, ma carrière était en plein essor, et je faisais ce qu'il fallait pour. Après avoir été licenciée d'un magazine lors de la récession, je m'étais lancée en freelance. Peu après, je suis partie un an en Australie. J'y suis restée plus de trois ans. J'écrivais pour des sites comme AOL, CNN, Travel+Leisure et AskMen, parfois pour des magazines. Je me donnais du mal et je travaillais bien plus que lorsque j'étais salariée à plein temps. J'avais l'occasion d'écrire sur mon voyage et de rédiger des articles de blog en qualité d'expatriée. Mes journées étaient bien remplies et intéressantes.
Passons à septembre 2014. Mon fils, Finn, était alors âgé de quatre mois et demi, et je démarrais un nouvel emploi, à contrecœur. Mon travail en freelance m'avait poussée au burn-out à 30 ans à peine, et j'avais accepté un poste en marketing de contenu, à Sydney. Tombée enceinte six semaines après mon retour à New York, je n'avais pas souhaité chercher un poste en cachant mon état, car la plupart des entreprises de la ville n'accordent un congé maternité qu'après un an d'expérience chez elles. Je suis donc restée dans cette société pendant encore un an, en travaillant à distance aux horaires australiens. Une fois le bébé arrivé, ne pouvant pas conserver le rythme 17 h-1 h du matin, je me suis lancée sur le marché du travail. J'ai inscrit Finn dans une garderie, pas loin de chez moi, après avoir fait le tour des différentes possibilités.
Enfin, mon premier jour de travail est arrivé: je devais confier mon fils
L'idée de laisser mon bébé, mon tout petit bébé qui, à peine né, avait été hospitalisé pour traiter sa déshydratation et sa jaunisse du nourrisson, et dont le poids figurait dans le cinquième centile le plus bas, mon bébé avec lequel j'avais passé chaque moment éveillé depuis mi-avril me bouleversait, et c'est un euphémisme. J'avais commencé à ressentir un déséquilibre émotionnel pendant un voyage en famille aux Finger Lakes et aux monts Poconos. La veille de mon premier jour, j'étais passée à Harlem chez une amie pour prendre un verre de vin et une cigarette, dans l'espoir de me calmer. J'étais triste et inquiète. Qui l'eût cru: la trentenaire carriériste que j'étais appréciait de rester chez elle avec son bébé!
Le lendemain était la journée la plus chaude de l'année. Mon mari a déposé Finn dans le porte-bébé et nous avons parcouru, à pied et en sueur, les cinq pâtés de maisons qui nous séparaient de la garderie. En arrivant, deux choses nous ont sauté aux yeux: la climatisation était en panne, et la maison empestait les vapeurs de peinture. J'ai paniqué.
"On ne peut pas le laisser ici", ai-je chuchoté à Brendan.
Nous avons décidé que Brendan resterait travailler à la maison avec Finn, pour que je puisse aller faire mon premier jour dans ce nouveau poste. J'ai passé cette journée de formation complètement dans le brouillard. Je n'avais pas dormi la nuit précédente; la fatigue, le stress et la température me rendaient lourde et nauséeuse. En rentrant, ce soir-là, j'ai su ce que je devais faire: rester chez moi avec mon bébé. C'est ce que j'ai essayé de mettre en place dès le lendemain. J'ai appelé mon chef, qui faisait le trajet depuis Cambridge (Massachusetts) vers Manhattan pour m'accueillir. Je lui ai avoué que je ne pouvais pas laisser mon bébé.
"D'accord, a-t-il répondu", sur un ton hésitant. "Mais il faut trouver une solution, car il me faudra plusieurs mois pour réussir à te remplacer."
S'en est suivie une odyssée de quelques semaines pendant laquelle mon chef s'est évertué à bricoler un job à temps partiel et à distance, à condition que j'exerce à mon compte. Si, d'ici décembre, je me sentais suffisamment à l'aise, je pourrais revenir travailler à temps complet. J'ai profité de ce répit pour trouver une nourrice. Même si nous n'avions pas prévu cette dépense supplémentaire, elle était nécessaire à ma santé mentale. J'avais besoin de savoir que, lorsque ni son père ni moi n'étions là, quelqu'un s'occupait personnellement de mon fils, lui prodiguait amour et attention. Je me rends bien compte que je suis vraiment chanceuse d'avoir pu faire ce choix. En Amérique, beaucoup de mères se résignent à laisser leur enfant à la crèche même si elles ne sont pas prêtes.
(D'ailleurs, quand mon fils a eu 13 mois, je l'ai envoyé dans la garderie qui me terrifiait neuf mois plus tôt.)
Pendant longtemps, j'avais honte de moi et j'osais rarement raconter cette histoire. J'étais la femme qui avait trimé pendant toute sa carrière, bataillé pour gagner sa vie en tant que journaliste puis comme freelance dans un autre pays avant de commencer dans un nouveau secteur à la trentaine. Comment cette femme pouvait-elle être la même que celle qui avait tant de mal à devenir une mère new-yorkaise active? Je savais que mes collègues, sans enfants pour la plupart, ne pouvaient pas comprendre. Qu'ils me voyaient comme quelqu'un de faible ou d'instable émotionnellement. Et, pour être honnête, c'était le cas. Cet article n'est pas une diatribe contre les congés maternité en Amérique. Néanmoins, nous attendons des femmes qu'elles retournent travailler quand leur bébé est encore très petit et vulnérable, quand elles-mêmes sont encore dans un état physique et émotionnel précaire. Et mon incapacité à me plier à ces obligations est bien normale: c'est de la folie pure.
Et vous savez quoi? Ces nouvelles habitudes, que j'aurais considérées comme un suicide professionnel quand j'étais plus jeune, arrogante et naïve, ont en fait beaucoup apporté à mon travail. Je suis toujours employée dans la même entreprise. En trois ans, j'ai été promue trois fois, nommée responsable de deux personnes, et eu un second bébé. Je dois avouer que j'ai rencontré les mêmes appréhensions lorsque j'ai dû reprendre après la naissance de ma fille, en avril dernier. J'avais passé l'été avec mes deux enfants et j'avais adoré ça, malgré le stress de devoir gérer un bébé et un jeune enfant. Tout était simple, depuis les tâches domestiques, comme la cuisine ou le bain des enfants, aux aventures que nous vivions dans le bus qui nous emmenait à Riverside Park ou au musée des enfants de Manhattan, ou encore à Jersey Shore, en compagnie de ma mère.
Avec mon mari, nous avons évoqué différentes options: je pouvais arrêter de travailler, reprendre en freelance, ou déménager. Nous avons conclu que le plus logique, d'un point de vue financier mais aussi pour permettre à mon fils de rester dans sa super maternelle bilingue qu'il aime tant, c'était que je retourne travailler. J'ai adapté mon emploi du temps, de façon à pouvoir rentrer chez moi vers 16 h 30 la plupart du temps. J'ai aussi fait en sorte de faire du télétravail au moins une fois tous les quinze jours (au lieu d'une fois par semaine, en raison de changements dans l'équipe qui m'ont obligée à accepter davantage de projets).
Avec bébé n° 2, les choses sont différentes: j'ai suffisamment progressé pour me sentir légitime quand j'informe mon chef que je partirai à 15 h le jour d'Halloween pour emmener mes enfants chercher des bonbons chez les voisins. J'ai prouvé à mon entourage (et à moi-même), que j'étais capable d'assumer. Trois ans après ce moment où je pensais tout lâcher dès le deuxième jour pour ne pas abandonner mon bébé auprès d'étrangers, je sais maintenant que je suis capable d'être une bonne professionnelle, tout en prenant du temps pour profiter de mon statut de maman.
Et je suis sûre que vous le pouvez aussi. Vos efforts seront largement récompensés.
Lauren Fritsky a écrit pour CNN, AOL, Travel+Leisure, Psychology Today, et pour le magazine Jetstar , ainsi que pour d'autres sites et publications renommés. Elle publie des articles sur The Life That Broke (thelifethatbroke.com) depuis 2009, quand un licenciement lui a donné envie de partir à Sydney. Aujourd'hui, elle habite New York, en compagnie de mari américain, rencontré à l'étranger, de leur jeune fils et de leur fille, encore bébé. Elle travaille comme responsable du contenu chez MediaMath et consacre une partie de son temps libre à l'écriture d'un livre sur son voyage en Australie.
Ce blog, publié à l'origine sur The Life That Broke et repris par le HuffPost américain , a été traduit par Maëlle Gouret pour Fast For Word .
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