Je suis rentré du boulot et ma femme m'attendait sous la douche

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Je suis rentré du boulot et ma femme m'attendait sous la douche


Accueil / Diapazon / Faits divers / Je suis rentré chez moi avec le body de ma maîtresse

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Un week-end, je me suis rendu chez un ami pour finaliser un boulot que nous avions reçu d’un client. Il nous mettait la pression et il le voulait absolument le lundi à la première heure. Nous avons jugé bon de nous retrouver le samedi à 9 heures pour bosser. J’ai donc prévenu ma femme que je ne rentrerais pas tôt à la maison. En deux heures, on avait tout bouclé. Il était 11 heures. Alors, je fonce tout de suite chez Léa, ma maîtresse. Nous avons passé du bon temps ensemble. Elle m’a concocté mon plat préféré accompagné de bons vins.
Puis, nous nous sommes mis au lit. J’étais presqu’ivre et je voulais bien me reposer avant de reprendre la route de chez moi. On n’a pas vu le temps passer. Il était 22 heures, quand j’ai été contraint de partir à cause d’une coupure de courant. Dans le noir, je ne retrouvais pas mon tee-shirt. Après quelques minutes de fouille, ma chérie me l’a ramené. Pressé de rentrer chez moi, je l’ai rangé dans mon sac. Je reste en sous-corps et je saute dans le premier taxi.
Ma femme surprise de me voir dans cette tenue a voulu savoir où j’avais mis mon tee-shirt. Encore une scène de jalousie, me suis-je dit ! Je lui remets donc le sac et je lui fais signe qu’il s’y trouve. Puis, je vais me doucher. Quelques minutes après, elle se pointe devant moi avec un body de femme avec des écritures et des paillettes en rose. Elle rajoute ceci : « Je ne savais pas que tu avais un côté féminin… ». Drap ! J’ai immédiatement compris que Léa a confondu son body au mien.
Je ne pouvais donner aucune explication. Parce que le matin, c’est ma femme qui a choisi l’ensemble que je portais. Pendant une dizaine de minutes, je suis resté silencieux avant qu’elle ne s’en aille. Quelle imprudence ! Tout pensif et honteux, je me suis assis sur la cuvette du WC. Je cherchais en vain ce que j’allais dire à ma femme pour changer cet atmosphère morose. L’idée que j’ai eue a été de me mettre au lit pour fuir son regard et ses commentaires. Elle faisait des allées et venues et du bruit pour attirer mon attention.

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Bonjour a tous. Etant completement perdu et attristé, je viens chercher sur ce forum des avis, de l'aide, des histoires passé se rapprochant de la mienne. Je vous explique : Je suis Marié depuis un petit peut plus d'un an et en couple depuis 8 ans. Avec ma femme nous avons une fille de bientot 5 ans. Quelques mois apres notre mariage, j'ai trouvé ma femme changée. Elle était de plus en plus distante avec moi. Plus le temps passait, plus elle s'éloignait de moi, provoquait des disputes pour aller dormir dans la chambre d'amis, ou tout simplement pour m'éviter. A plusieurs reprises je lui ai demandé ce qui n'allait pas, si elle avait des problemes, si je lui avait fait quelque chose de vraiment grave ... mais elle me repondait toujours par la négative. Pendant 4 mois, je vivais un enfer, je la sentais mal mais ne pouvait malheureusement pas l'aider. Un jour, elle est partie avec notre fille manger chez sa mere et a oublié son portable a la maison. Il me restait 1 heure avant de devoir partir travailler et j'ai donc fouillé dans son portable. Je suis tombé de tres haut quand j'ai découvert plus de 500SMS qu'elle envoyait a un mec qu'elle avait rencontré 2 mois avant notre mariage. Elle dévoilait sa vie privée, et la notre par la meme occasion ( qu'elle ne faisait plus l'amour avec moi depuis leur rencontre, qu'elle revait de lui toute la journée, qu'elle va divorcer pour lui, qu'elle se caressait en pensant a lui, qu'elle etait prete a changer de vie ... ). pendant pres de 4 mois ils ont entretenu ainsi une relation, et se voyaient en cachette de temps a autres ( il y a eut des baisers, des calins, des caresses mais jamais rien de plus ) Quand j'ai decouvert ces messages, elle venait de "rompre" avec lui depuis 15 jours car les deux ne trouvaient pas cela correct vis a vis de moi. Quand je suis rentré du travail j'en ai immédiatement parlé a ma femme, qui m'a certifié etre toujours amoureuse de moi, que lui était quelqu'un qui l'avait chambouler mais ne comptait pas me quitter pour lui. Apres un mois de remise en question, et par amour j'ai passé l'éponge, seulement voila, je n'arrive pas a retrouver ma femme comme elle etait avant ( caline, attentionné, on ne fait l'amour qu'une fois tous les mois alors qu'avant c'etait 4 fois par semaine, mots d'amour ... ) Si des personnes sur le site pouvaient m'aider a comprendre car je suis mal, seul, triste ... ma fille s'en rend compte, et ma femme me dit sans arret que je me fais des idées ou que c'est le boulot en ce moment. Elle ne revoit plus ce type, parcequ'elle l'a choisit, et qui aux dernieres nouvelles est parti en angleterre pour 3 mois voir sa famille. Merci a tous et a toutes pour vos conseils, avis, témoignages Xavier
Pas d'autres avis ou retour d'experences ?
juste que tout ça n'est pas bon signe, du tout du tout, sur la bonne santé de votre couple... Hélas, ce qui semble être une bonne nouvelle en est en réalité une mauvaise... Ils n'ont pas couché ensemble ( il paraît, mais c'est plus que douteux ). Donc, ils fantasment toujours à ce sujet. Tous les deux. Et ça... ne te berce pas trop d'illusions. Je ne dis pas qu'elle ne fait pas d'efforts réels et sincères, mais tu dois te positionner clairement : tu la laisses aller au bout du truc, ou pas. Et si tu acceptes, laisse la partir et choisis l'ignorance. l'infidélité ne doit pas se faire avec le consentement du conjoint, c'est trop cruel... Si tu ne l'acceptes pas, et qu'elle tente vraiment d'y renoncer, il te faudra être très patient, et lui laisser le temps de revenir... Ca se comptera en mois, peut être en années... Moi aussi ma femme entretenait une relation épistolaire... Un type du bout du monde. Elle savait que je n'aurais pas accepté l'infidélité. Elle a tenté un an de rester avec moi. Puis elle m'a quitté. Soi-disant que ça n'a rien à voir avec le type en question. pfffffff ... bien sur... Voilà. On divorce, mais je peux poursuivre ma vie, dans l'ignorance désormais de sa vie à elle. Ca rend triste, mais ça ne tue pas. Mais à chacun son histoire , n'est ce pas...
Je suis septique quand au fait qu'elle l'ai effectivement quitté par choix...Il est parti ? ok et dans 3 mois il va se passer quoi ?? Je pense que c'est trop simple comme scénario... Tu dis qu'il n'y a jamais rien eu de plus que des bisous , caresses...Elle t'a dit ça ? elle divorcerait de toi pour quelqu'un avec qui elle n'a jamais couché ? Elle changerait sa vie de couple pour un homme avec qui elle ne s'est pas donné ? Cela sonne faux pour moi...Mais peut être est ce vrai ? ce que j'espère pour toi. Si elle désire reconstruire avec toi, ce n'est pas en étant encore éloignée de toi que vous allez y parvenir... Je pense que tu devrais en parler sérieusement et un mois après pardonner et oublier est tout en ton honneur, mais franchement pour moi c'est juste occulter le fait que tu as été blessé et trahi...Cela peut refaire surface tant que tu n'es sur de rien et encore....
Bonjour Djody, et merci pour ta reponse. Effectivement, ils n'ont rien fait de plus que du flirt. J'ai lut l'un de ses messages ou il disait qu'il aurait adorer lui faire l'amour. Leurs SMS étaient souvent porté sur le sexe, ( on ferra l'amour 24h/24h, on le ferra dans un petit chateau en ruine pres de chez moi, on va prendre une douche ensemble ... ) mais ils n'ont jamais couché ensemble ( je l'ai lut et ma femme me l'a dit ( et je n'en doute pas ). Je sais aussi qu'elle m'aime ( elle lui a également dit et me le dit encore aujourd'hui de temps en temps, mais je n'arrive pas a comprendre pourquoi elle n'arrive plus a redevenir comme elle etait avant avec moi ( que ce soit sur le plan sexuel ou dans les gestes, mots de tous les jours ) Elle aurait put partir, mais ne l'a pas fait
Oublier je ne peux pas car je suis encore aujourd'hui profondément triste. Pardonner, oui j'y suis arrivé car je me dis que l'erreur est humaine. Et puis meme si pour moi c'est inconcevable de lui faire ce qu'elle m'a fait, car j'en suis éperduement amoureux, un jour peut etre que cela peut aussi me tomber dessus. Alors oui je suis encore blessé aujourd'hui, mais ce qui me peine encore plus, c'est la disance qu'il existe entre nous aujourd'hui, meme si il lui arrive de temps a autres de me faire un bisou ou un calin à l'improviste
Bonjour, c'es compliqué comme situation, tu pourrai être soulager qu'elle t'ai choisi mais vu qu'elle agit toujours comme quand elle te trompai c'est difficile, Tu es sur qu elle ne lui parle plus du tout? Elle a un intéret a rester avec toi (financier ou autre)? Je pense qu'il faut que vous en parliez faut que tu la confronte a tes ressenti sur son comportement, sur votre couple, car même si tu l'as pardonner sa ne sert a rien de continuer dans cette direction
Effectivement, ton couple est en crise. Maintenant, elle ne doit pas sous estimer ses actes afin de se donner bonne conscience par le fait de n'avoir soit disant pas couché ensemble. A toi d'exprimer tes ressentis, à elle de faire en sorte de te redonner confiance. Consommée ou pas, une telle relation n'est pas sans conséquences. Une remise en question profonde et totale s'impose, exprimer ses non dits sans retenue afin de se poser les bonnes questions, même si cela fait mal. Tant que le problème ne sera pas identifié, une reconstruction ne pourra pas réellement aboutir. Affirmer avoir passé l'éponge dans de telle condition n'est pas une réalité, seulement un espoir colporté par tes sentiments pour elle. Attention donc de ne pas aller trop vite dans ton "pardon", cela fausserait tout le processus de guérison et lui donnerait une fausse réalité quant à ta souffrance.
Peut être que tout simplement elle regrette, elle a honte et ne sais plus trop comment agir car elle sait qu'elle a mal agit...Alors elle s'en veut énormément... C'est peut être juste ça et pas plus.
Je trouve la réponse de ta femme déplacée. Son comportement d'éloignement, de dispute, le fait que tu ais découvert par toi-même cette relation me font dire qu'elle n'assume pas son comportement, voire qu'elle cache autre chose. L'espacement dans vos rapports sexuels ne cacherait-il pas un passage à l'acte avéré avec l'autre, qu'elle ne veut avouer afin de limiter la casse? Craquer pour un autre n'est pas anodin et affirmer ne pas savoir pourquoi ressemble à un refus de responsabilité, voire une prise de conscience à retardement, en attendant que le temps fasse le ménage. Mais qu'est ce qui la retiendrait de ne pas recommencer si elle refuse de déterminer la raison de son comportement adultérin? As t-elle peur de se remettre en question? Se faire aider par un thérapeute peut-être une idée, mais il ne faut pas lasser trop de questions sans réponses car tes doutes doivent être levés rapidement sous peine de voir dégénérer une situation bien fragilisée.
Non nous n'avons pas pensé a un conseillé. Elle dit avoir fait ca car elle s'est senti attiré par cet homme. Sa prestance, soncharisme, sa facon de voir la vie ... tout ca a fait qu'elle est tombé sous le charme, tres fort et tres rapidement. Elle n'éprouve pas d'amour pour lui, mais une forte attirance. Elle sait aussi qu'il n'y a aucun avenir avec lui. Elle l'a rencontrer lors d'une soirée chez sa meilleure amie, ils ont discuté ensemble et elle a "craqué" pour cet homme. Elle ne comprend pas pourquoi. Pensez vous que c'est cet homme qui la hante toujours et qui l'empeche d'etre avec moi comme elle etait avant de le rencontrer ? Parcequ'elle est pourtant toujours amoureuse de moi
Qu'est ce qui te rend aussi certain ? Qu'elle te le dise ? Alors que tout son corps, ses gestes, ses comportements te disent le contraire ? elle est paumée, et tu es dans un déni de réalité. On y passe tous... le : "c'est pas possible, c'est pas possible...." j'ai du le penser mille fois, passer des dizaines de nuits blanches avant de commencer à accepter. Je peux te comprendre. J'ai même fait pire... j'ai lu "je t'aime" écrit à un autre. Je lui ai dit que j'avais lu. Elle m'a répondu : "mais non enfin, ce n'est que de l'amitié !" Et je l'ai cru presque un an... Je l'ai cru, parce que je VOULAIS le croire. Stupéfiant, le déni... Et insupportable à se l'entendre dire...


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Une figurine porte des haltères - pasukaru76/Flickr/CC

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cannibal_ferox a posté le 25 janvier 2017 à 23h12
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yvon_le_za_bulon a posté le 25 janvier 2017 à 23h12
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majesta a posté le 25 janvier 2017 à 23h12
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666 a posté le 25 janvier 2017 à 23h12
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Ce marathon se présente mal. Je manque de temps pour m’entraîner. Trop de boulot. Je suis fonctionnaire. Dans le grand bâtiment où je travaille, les employés ont à disposition une salle de sport.
Quelle aubaine, me direz-vous... J’ai toujours rechigné à aller, avec mes bras de mante religieuse, soulever des barres, coaché par un bel éphèbe aussi tyrannique qu’hypocrite.
Pourtant, il fallait que je me rende à l’évidence : le seul moyen de m’entraîner pour ce marathon qui approchait, c’était d’aller à la salle de sport du boulot. Celle-ci ouvre à midi pétantes pour fermer à 14h.
Je décidais donc de m’octroyer une petite heure de muscu, quitte à manger rapidement ensuite pour ré-attaquer l’après-midi en temps et en heure. Je suis fonctionnaire.
Nous sommes mercredi matin, il est 8h30. Je suis en retard. Je suis fonctionnaire. Je m’active, me coiffe en brossant mes dents, rassemble des affaires pas trop sales dans un sac plastique, chaussures, tee-shirt, serviette et pull.
9h30, mon arrivée dans le hall est ponctuelle et remarquée. À peine séché, brandissant mon sac plastique comme la preuve de ma bonne résolution sportive, c’est conquérant que je rallie mon bureau. Les collègues se sont donnés le mot : ce midi, on va tous à la salle de sport. Chic chic !
11h59, mail général, c’est l’heure. Nous rallions les vestiaires. J’y croise des gens tout nus que d’ordinaire je ne croise que lors de réunions importantes en costard cravate. Il m’apparaît contre toute attente assez facile, malgré la situation, de leur serrer la main et de faire comme si de rien n’était.
« Exact ! », répond Michel, hilare au sortir de la douche.
Je suis dans mon élément, et me balade en slibard parmi les collègues. Short à carreaux, tee-shirt pas trop sale, c’est l’heure d’aller au charbon. La salle de sport est assez pleine. Nous sommes fonctionnaires. Des gens sur des vélos, d’autres qui soulèvent des barres, on n’est pas très loin du stéréotype que j’avais de l’endroit.
A ceci près que je reconnais tout le monde. Il y a là ma collègue qui morfle sur le vélo, le mec du deuxième étage qui me dit toujours bonjour dans l’ascenseur dans un marcel tout moulant en train de soulever des grosses charges et me faisant un joli clin d’œil... Je fonce prendre un vélo, seul agrès dont je sois certain qu’il ne me tuera pas (littéralement).
« Vous êtes nouveau ? », me lance le coach, cet éphèbe certainement tyrannique.
Je suis au niveau 2 sur 5... Dis-le tout de suite que je suis un bon à rien ! Les collègues, rieurs, me regardent.
Sur le compteur du vélo d’appartement est affichée ma vitesse, 18km/h, ce qui, selon mes calculs, est deux fois moins rapide que Lance Armstrong grimpant l’Alpe d’Huez. La statistique ferait mal au cul sans ses révélations toutes fraîches. Je me fais donc une raison.
Cinq minutes de vélo et je sue. Je me sens rougir, et, là belle aubaine, aperçois simultanément le tapis de course se libérant. J’y fonce. Mon collègue me prévient de quelque chose, j’ai l’impression qu’il veut me dire que c’est difficile, les tapis de courses.
Le mec ne sait pas que je suis un putain de coureur, que j’ai déjà fait le marathon de Paris et tout. Je le regarde avec sarcasme, sans écouter ses propos. Je lance le programme à 14 à l’heure.
Vite, je m’aperçois que la raison de la mise en garde de mon collègue était tout autre. Le tapis est... difficile d’emploi. Il frotte. Ainsi, à chaque tour, il a un passage de ralentissement, engendrant un gros gros déséquilibre.
Je trébuche, et galère à ralentir la vitesse. Je serre fort les deux poignées et pose mes pieds comme ils viennent. J’essaie de garder mon calme, un semblant de maîtrise de la situation, mais manifestement, autour de moi, tout le monde s’est arrêté pour assister l’HILARANT spectacle de moi, manquant de me tuer.
Le coach accourt et ralentit le tapis.
« Il faut commencer doucement », me répond-il, avec un petit sourire de beau gosse. 8km/h, le tapis ne frotte plus. Ou alors si, en permanence. Je me fais littéralement chier. « Accélère ! », me lancent les collègues, tandis que le coach me félicite comme si j’étais un teubé total du sport.
Les gens rient. Après 15 minutes de tapis, j’en ai ras-le-bol de me traîner et le signifie au coach, qui comprend moyen :
Je me retiens de lui répondre, pour me concentrer sur les agrés disponibles. Il y a à ma droite des trucs avec des barres et des poids qu’a priori, je vais galérer à soulever, à ma gauche une barre de traction - mauvaise idée toute indiquée -, et derrière moi un salvateur rameur.
Salvateur, que dis-je, une saleté de rameur, plutôt. Après cinq minutes dessus, mes épaules rechignent à l’effort. J’use donc de stratagèmes peu orthodoxes pour continuer à tirer le truc : en poussant juste sur les jambes, ou bien en ne tirant qu’avec une seule main pour que l’autre se repose :
« Ca ne sert à rien », vient me dire le coach effectivement tyrannique. « MAIS J’AI MAAAAAAAAAAAAAAAAAAL », m’exclamé-je un peu fort, du moins assez pour que la salle entière se gausse.
C’en est assez, ce marathon de Paris, je ne le préparerai pas au boulot. Je suis fonctionnaire, après tout. J’ai bien le droit de rogner sur mon temps de travail pour partir en footing, des fois, non ?
Douche, cantine. Burger, frites, crème au chocolat. Réunion avec Michel, en costard, l’air de rien. Pourtant, Michel, J’AI VU TON ZIZI !
Je me suis bien fait avoir !


))


« Alors regarde, regarde un peu...


Je vais pas me taire parce que t’as mal aux yeux


Alors regarde, regarde un peu...


Tu verras tout ce qu’on peut faire si on est deux »


(Patriiiiick B.)


Excellent. Je me suis vraiment éclaté.


Devant celle du père regardant le fils (et vice-versa), je me suis demandé lequel trahirait l’autre en premier.


Le fromage, c’est bien, ça. Surtout pour les proches. Comme l’Epad, par exemple.


A sa manière de tenir la bouteille de vin, on voit clairement à quel point il est un buveur d’eau.


La dentelle, il a vraiment l’air de se demander ce que c’est. Lu
Jolie et vicieuse brunette se fait sauter par un français
Abella attend son petit ami pour se laisser taper
Sexe sous la douche et son mari la pénétre bien profondement


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