Je suis proffesseur et je change par sexe avec mes eleves, C'est une bonne idée, n'est ce pas?

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par pitchounette Ven 18 Oct 2013 - 16:39
je ne suis pas de ta specialite mais je veux aboder l ambition pour nos eleves. mon annee de stage je montre ma progression a ma tutrice. elle me regarde et me dit tu es ambitieuse...je lui ai dis " je dois la changer?"elle ma dit non fais le comme tu le sens. mes eleves ont eu un bon niveau sur access. prend les conseils du tuteur. vois s ils sont adaptables a tes classes et fais tes propres experiences. vous en reparlerez mieux apres
par Celeborn Ven 18 Oct 2013 - 16:57
Dalathée2 a écrit: Pardon, mais les programmes ne détaillent absolument pas ce qu'il faut faire acquérir aux élèves concrètement comme compétences de lecture.
_________________ " On va bien lentement dans ton pays ! Ici, vois-tu, on est obligé de courir tant qu'on peut pour rester au même endroit. Si on veut aller ailleurs, il faut courir au moins deux fois plus vite que ça ! " (Lewis Carroll) Mon Blog
par jilucorg Ven 18 Oct 2013 - 17:14
La lecture analytique se définit comme une lecture attentive et réfléchie, cherchant à éclairer le sens des textes et à construire chez l’élève des compétences d’analyse et d’interprétation. Elle permet de s’appuyer sur une approche intuitive, sur les réactions spontanées de la classe, pour aller vers une interprétation raisonnée. En approfondissant ce qui a pu être acquis au cours de l’enseignement primaire, on développe l’aptitude des élèves à s’interroger sur les effets produits par les textes, sur leur sens, leur construction et leur écriture. Les diverses démarches d’analyse critique ainsi qu’un nécessaire vocabulaire technique, qui doit rester limité, ne constituent pas des objets d’étude en eux-mêmes ; ils sont au service de la compréhension et de la réflexion sur le sens.
Dernière édition par jilucorg le Ven 18 Oct 2013 - 18:24, édité 1 fois
J'ai été inspectée très récemment et les conseils de ton tuteur collent parfaitement avec le discours de l'inspecteur (les dérives technicistes à éviter, une étude des textes essentiellement orale qui vient des élèves, des travaux d'écriture fréquents...). Donc rien de choquant pour moi, au contraire.
par Simone Boué Ven 18 Oct 2013 - 18:07
Pour les rédactions, c'est plus l'idée de les faire écrire dès le début de la séance. En gros, à chaque séance doit correspondre une tâche d'écriture, que ce soit une petite rédaction (un paragraphe), une synthèse ou que sais-je encore. Pour l'étude orale, c'est vraiment bien aussi. Rien de choquant ni dans ta façon de faire, ni dans sa façon de faire.
par User19866 Ven 18 Oct 2013 - 18:07
chacha a écrit: J'ai été inspectée très récemment et les conseils de ton tuteur collent parfaitement avec le discours de l'inspecteur (les dérives technicistes à éviter, une étude des textes essentiellement orale qui vient des élèves, des travaux d'écriture fréquents...). Donc rien de choquant pour moi, au contraire.
Alors en fait ce n'est pas que le vocabulaire technique est à bannir totalement, mais qu'il faut éviter d'entrer dans le texte par la technique et plutôt montrer la singularité de chaque texte. Donc éviter les questionnaires qui guident trop(du style montrez que ce texte est drôle), de donner les axes de lectures, de découvrir un texte en parlant schéma narratif, situation d'énonciation...etc Tes élèves peuvent peut-être trouver par eux-même que le comique porte sur un défaut et à ce moment-là tu précises que c'est du comique de caractère et ça t'évite un cours un peu trop théorique sur les types de comique.
par User17706 Ven 18 Oct 2013 - 18:17
Dalathée2 a écrit: Parce que "Ce texte est comique parce qu'il fait rire"
par jilucorg Ven 18 Oct 2013 - 18:31
Dalathée2 a écrit: Oh, ben zut alors. Parce que moi, les "dérives technicistes" sont précisément la raison pour laquelle j'ai fait ce métier...
par User19866 Ven 18 Oct 2013 - 21:32
jilucorg a écrit: Oui mais le truc, c'est que tu en es encore au stade où tu voudrais le faire, ce métier. Ce cap franchi, tu pourras toujours faire ce que tu veux, si pour toi la vitesse d'avancement ne compte pas au regard de tes conceptions du métier.
chacha a écrit: Alors en fait ce n'est pas que le vocabulaire technique est à bannir totalement, mais qu'il faut éviter d'entrer dans le texte par la technique et plutôt montrer la singularité de chaque texte. Donc éviter les questionnaires qui guident trop(du style montrez que ce texte est drôle), de donner les axes de lectures, de découvrir un texte en parlant schéma narratif, situation d'énonciation...etc Tes élèves peuvent peut-être trouver par eux-même que le comique porte sur un défaut et à ce moment-là tu précises que c'est du comique de caractère et ça t'évite un cours un peu trop théorique sur les types de comique.
par jilucorg Ven 18 Oct 2013 - 23:51
Dalathée2 a écrit: D'un autre côté, ça va être compliqué d'être constamment en tort vis-à-vis de l'institution...
Nita a écrit: Les programmes, ça s'appelle... http://www.education.gouv.fr/cid81/les-programmes.html#Fran%C3%A7ais
par Teodora29 Sam 19 Oct 2013 - 9:33
Chacha a tout résumé . La lecture ne repose pas sur la mise en évidence de la technique. Il faut d'abord s'assurer que les élèves ont très bien compris le sens littéral du texte (et cela, pas pour l'inspecteur, le tuteur ou je ne sais qui). Souvent, Dalathée2 , on a des grandes surprises... car il m'est arrivé de voir mes élèves incapables de dire de quoi parle tel texte, incapables de le résumer correctement, incapables de retrouver un passage précis pour illustrer leur propos etc. Leur parler de comique de caractère à l'entrée dans le texte, quand ils n'ont même pas eu un sourire devant Les Perdrix , quand ils ont du mal à tracer le portrait des personnages au fil du texte, me semble inutile. Et là, il ne s'agit plus d'être ambitieux ou pas dans ce que l'on envisage de faire. Il s'agit de prendre en compte et développer les capacités réelles des élèves réels qui sont en face de nous. Au collège, aussi décevant que cela puisse paraitre, on vérifie tout le temps qu'ils ont bien compris de quoi parle le texte proposé. Pour l'écriture, un travail abouti toutes les trois semaines (cf les programmes). J'avoue avoir du mal moi-même... car un travail d'écriture abouti il faut le préparer. D'où les exercices d'écriture à chaque séance (parfois difficile à faire rentrer dans les 55 minutes du cours). Moi je me force à faire une heure d'expression écrite par semaine. Réutiliser le lexique, exploiter les leçons de langue vues, prendre pour modèle les textes étudiés, le tout pour préparer cette écriture finale. Malheureusement, pour l'écriture je tâtonne encore, je n'ai toujours pas trouvé le moyen de me fixer une progression annuelle cohérente.
Teodora29 a écrit: Chacha a tout résumé . La lecture ne repose pas sur la mise en évidence de la technique. Il faut d'abord s'assurer que les élèves ont très bien compris le sens littéral du texte (et cela, pas pour l'inspecteur, le tuteur ou je ne sais qui). Souvent, Dalathée2 , on a des grandes surprises... car il m'est arrivé de voir mes élèves incapables de dire de quoi parle tel texte, incapables de le résumer correctement, incapables de retrouver un passage précis pour illustrer leur propos etc. Leur parler de comique de caractère à l'entrée dans le texte, quand ils n'ont même pas eu un sourire devant Les Perdrix , quand ils ont du mal à tracer le portrait des personnages au fil du texte, me semble inutile. Et là, il ne s'agit plus d'être ambitieux ou pas dans ce que l'on envisage de faire. Il s'agit de prendre en compte et développer les capacités réelles des élèves réels qui sont en face de nous. Au collège, aussi décevant que cela puisse paraitre, on vérifie tout le temps qu'ils ont bien compris de quoi parle le texte proposé. Pour l'écriture, un travail abouti toutes les trois semaines (cf les programmes). J'avoue avoir du mal moi-même... car un travail d'écriture abouti il faut le préparer. D'où les exercices d'écriture à chaque séance (parfois difficile à faire rentrer dans les 55 minutes du cours). Moi je me force à faire une heure d'expression écrite par semaine. Réutiliser le lexique, exploiter les leçons de langue vues, prendre pour modèle les textes étudiés, le tout pour préparer cette écriture finale. Malheureusement, pour l'écriture je tâtonne encore, je n'ai toujours pas trouvé le moyen de me fixer une progression annuelle cohérente.
_________________ « vous qui entrez, laissez toute espérance ». Dante « Il vaut mieux n’avoir rien promis que promettre sans accomplir » ( L’Ecclésiaste )
par Provence Sam 19 Oct 2013 - 9:52
Dalathée2 a écrit: 1/ (Oui, je kiffe les listes. ) Mon tuteur a bien insisté sur le fait qu'il faut que je fasse faire une production d'écrit tous les 15 jours. Pour lui, un travail conséquent à l'écrit toutes les 3 semaines (mon rythme actuel), c'est "vraiment trop peu". Cela étant, comme une fois tous les 15 jours, ça fait beaucoup, mon tuteur m'a conseillé de faire faire des productions d'écrit très courtes, juste histoire de rester dans les clous question IPR. 
2/ Il m'impose me conseille deux séquences entre chaque vacances, soit environ 11 séquences, chacune durant 3/4 semaines, sous peine de lasser les élèves. Or, avec ma classe difficile (voir mes autres messages ! ) trois semaines par séquence, c'est vraiment compliqué, et j'ai l'impression de bâcler.
3/ Au niveau du contenu, je viens de terminer (en speed, donc) une séquence fabliaux, où j'ai abordé, entre autres, comique de caractère et comique de situation, satire sociale, ironie et quiproquo ("Kikoikoi ??!!" m'a immédiatement demandé Kévin ). J'ai posé des questions sur la place du narrateur, la morale, l'adresse au public. J'ai revu situation d'énonciation et schéma narratif. Or il m'a montré sa séquence fabliaux à lui (après que j'ai fini la mienne donc...). Les questions posées sur les textes portent sur les personnages, leurs défauts et le contenu du récit. Au niveau de la langue : le présent de l'indicatif (en 5ème ?), les valeurs du présent de l'indicatif (?), l'histoire des mots. Il m'a dit que je passais sur l'essentiel pour leur faire apprendre des choses inutilement compliquées. Vous partagez son avis ?
Dalathée2 a écrit: Oh, ben zut alors. Parce que moi, les "dérives technicistes" sont précisément la raison pour laquelle j'ai fait ce métier... Parce que "Ce texte est comique parce qu'il fait rire", ou, plus largement dire qui sont les personnages et dans quels cadres ils évoluent, et quelle est la visée générale du texte, c'est pas mal, mais je trouve ça un peu pauvre. Pour reprendre mon exemple de comique, je trouve plus intéressant de dire que le comique porte précisément sur la personnalité d'un personnage, et que ce procédé est tellement courant, qu'on lui a donné un nom : le comique de caractère. Et pour moi, on est dans les clous du "nécessaire vocabulaire technique [...] au service de la compréhension et de la réflexion sur le sens." Et donc c'est comme ça que j'interprète les consignes officielles : "construire chez l’élève des compétences d’analyse et d’interprétation" et "s’interroger sur les effets produits par les textes, sur leur sens, leur construction et leur écriture." Mais je fais peut-être dériver le débat...
par sansara Sam 19 Oct 2013 - 10:32
Je confirme ce que dit Provence à la fin de son message : en corrigeant les évaluations des 6e sur le conte (séquence qui avait duré pratiquement un mois) j'ai découvert que pour 5 élèves (sur 22), la notion de qualité n'était pas comprise, alors même qu'on avait étudié cette notion en long, en large et en travers. A la place de la réponse attendue (intelligence, gentillesse, courage...) j'ai obtenu des réponses du type "C'est quand il repart avec son argent". Même chose pour la notion de morale à la fin d'un conte (du coup, j'ai peur pour la séquence sur les Fables ). Bref, comme l'a dit Provence, ne surestime pas le niveau de tes élèves. J'ai la meilleure 6e de mon collège, mais bien des choses leur échappent encore. Je pense donc que parler à tes élèves de comique de caractère ou de quiproquo est un peu prématuré.
par jilucorg Sam 19 Oct 2013 - 10:49
sansara a écrit: Je pense donc que parler à tes élèves de comique de caractère ou de quiproquo est un peu prématuré.
par Atargatis Sam 19 Oct 2013 - 10:55
Moi ce qui me choque c'est qu'il ne soit JAMAIS venu dans tes classes. Là, effectivement, il ne sert à rien ! (désolée si je suis abrupte). En as-tu parlé à tes formateurs? As-tu pu te au moins rendre dans les siennes?
par User19866 Sam 19 Oct 2013 - 11:19
Atargatis a écrit: Moi ce qui me choque c'est qu'il ne soit JAMAIS venu dans tes classes. Là, effectivement, il ne sert à rien ! (désolée si je suis abrupte). En as-tu parlé à tes formateurs? As-tu pu te au moins rendre dans les siennes?
par User19866 Sam 19 Oct 2013 - 12:06
sansara a écrit: Bref, comme l'a dit Provence, ne surestime pas le niveau de tes élèves.
par Teodora29 Sam 19 Oct 2013 - 12:16
Dalathée2 , tu les as évalués, tes élèves, jusqu'ici? Ils ont fait des devoirs en classe? Quel est leur niveau? Prendre son expérience personnelle d'élève comme point de départ ne me semble absolument pas judicieux. D'autant plus que même les programmes ont beaucoup changé.
par User17706 Sam 19 Oct 2013 - 12:16
Dalathée2 a écrit: en bonne élève organisée (comme tous les profs je crois )
par Hermiony Sam 19 Oct 2013 - 12:20
sansara a écrit: Bref, comme l'a dit Provence, ne surestime pas le niveau de tes élèves.
Dernière édition par Hermiony le Sam 19 Oct 2013 - 12:23, édité 1 fois
par jilucorg Sam 19 Oct 2013 - 12:21
On a toujours pu, à toute époque, travailler de façon telle que cinq élèves par classe en tirent profit, dont les futurs profs de la matière ! Tu t'apercevras bien vite de ce qui reste des notions que tu as "vues" en ce début d'année si tu fais un petit questionnaire-surprise dessus, disons au mois d'avril... En français, nos élèves ont "vu" tous les ans depuis le CE1 les principaux temps de l'indicatif : tes 5es, fais-leur prendre une feuille ex abrupto et dis-leur – sans autre explication – de conjuguer à l'indicatif imparfait ( 1re du sg & 1re du pl ) et futur simple ( 1re du sg & 3e du sg ) ces dix verbes de base : chanter, finir, être, avoir, aller, faire, dire, prendre, venir, voir → tu nous en diras des nouvelles !
Dernière édition par jilucorg le Sam 19 Oct 2013 - 12:26, édité 1 fois
par Provence Sam 19 Oct 2013 - 12:25
Teodora29 a écrit: Dalathée2 , tu les as évalués, tes élèves, jusqu'ici? Ils ont fait des devoirs en classe? Quel est leur niveau? Prendre son expérience personnelle d'élève comme point de départ ne me semble absolument pas judicieux. D'autant plus que même les programmes ont beaucoup changé.
par User19866 Sam 19 Oct 2013 - 12:41
Teodora29 a écrit: Dalathée2 , tu les as évalués, tes élèves, jusqu'ici? Ils ont fait des devoirs en classe? Quel est leur niveau? Prendre son expérience personnelle d'élève comme point de départ ne me semble absolument pas judicieux. D'autant plus que même les programmes ont beaucoup changé.
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Édité par lpothier Auteur parrainé par audebaron
Un tiers des téléspectateurs devant leur poste ce samedi soir, et combien de mes élèves ? Les statistiques font la part belle à la ménagère de moins de 50 ans, pour moitié dans le public, et nul doute que les enfants et petits enfants les accompagnent.
Ces émissions phares de télé-crochet qui ont révélé des stars maintenant disparues ou décaties, ont un impact sur les rêves des artistes de salle de bain. Mais quel est l'influence de ces programmations grand public sur les collégiens, sur la façon dont ils voient le cours d'éducation musicale ?
Une première constatation saute immédiatement aux yeux : les adolescents sont décomplexés grâce à l'image des stars d'un soir dans laquelle il se reflètent, les yeux brillants. Le chant est devenu incontournable dans l'heure consacrée à la musique. C'est impatients que mes élèves attendent de me rejoindre autour du piano pour entamer les premiers échauffements qu'ils pratiquent avec un réel plaisir.
Environ cinq minutes pour découvrir sa voix du jour, entre les notes tenues et de petites vocalises, puis on entre dans le vif du sujet : malgré la difficulté d'aller vers la chanson que j'ai choisie, toujours en rapport avec un thème sociétal tel que le racisme, la violence ou l'utilisation de l'art dans les rapports au pouvoir...
Il ne faut pourtant pas croire que les chansons choisies dans "The Voice" font partie des préférences des jeunes, mais elles aident, sans conteste, à faire le lien avec celles d'un passé qui m'est proche, et digne de la préhistoire pour mes élèves. Il faut voir, parfois, les yeux s'arrondir lorsqu'on découvre ensemble qu'un titre a été composé en 1970 !
Et pourtant, certains d'entre eux m'ont été réclamés, et appréciés lorsque nous les avons interprétés. Ce dernier épisode de "La Voix" a d'ailleurs du rappeler de récents souvenirs à des troisièmes qui ont travaillé il y a peu le Cendrillon de Téléphone repris par Louis Bertignac, jury du concours.
Avec un brin de nostalgie, je reviens à la première émission qui avait littéralement bousculé les habitudes. C'était la Star Academy 1, qui avait révélé Jenifer, autre jury de "The Voice". Le fait de voir vivre les candidats au quotidien, de partager leurs souffrances, joies et peines, transportait les élèves de l'époque dans un curieux questionnement sur la place de la vedette dans le système artistique.
Les fragilités des uns les rassuraient, les gloires des vainqueurs les faisaient rêver. Pour moi, j'avais là un pain béni des dieux : il me suffisait de reprendre un exercice sorti des salles de répétition de l'émission pour que chacun s'emploie à y mettre un nouvel enthousiasme.
Attention, par contre, à ne pas se laisser bercer d'illusions sur la portée réelle du feu follet vocal de TF1. Les jeunes de 11 à 16 ans ont un monde qu'ils se sont fabriqués, en adéquation avec les tubes à la mode ou en rupture avec la société. Les créneaux réservés au chant à grand spectacle sont et resteront à la marge de ce que tout un chacun aime écouter pour se faire plaisir, se déten
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