Je suis allée à Paris pour un week-end et je suis devenue une pute

Je suis allée à Paris pour un week-end et je suis devenue une pute




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Je suis allée à Paris pour un week-end et je suis devenue une pute
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Prix d'un moment intime avec une escort : de 200 à 1000 euros (I.HATZISTAVROU/SIPA)
Spotted : Paris. Des restaurants étoilés aux amphis sans table de la Sorbonne, il m’arrive de traîner ma couenne sur les terrasses de cafés pour y retrouver un inconnu, en prenant soin de masquer au mieux la gueule de bois qui trahit une "Jurisnight" trop arrosée.
Contrairement à mes amis, point de plan Tinder à ma table. Sur le net, je n’adopte que des clients ; j’ai 25 ans, je suis cadre et je me prostitue depuis le début de mes études. J’en ai parfaitement conscience et je vais bien, merci.
Le commencement : besoin d'argent et de subversion
A 18 ans, à l’instar d’un grand nombre d’étudiants, j’emménageais seule dans mon premier placard parisien de 9m², près de la faculté de droit. Un beau jour, grâce à la connexion internet gratuite de Beaubourg que je squattais régulièrement, je diffusais ma première annonce en ligne :
"Etudiante 18 ans cherche homme courtois pour nuit de qualité."
Je voulais beaucoup voyager. Le manque d’argent et un sens aigu de la débrouille m’ont fait sauter le pas. Pourtant, je ne me suis jamais reconnue dans la plupart des témoignages, " Mes chères études" en tête. Il existe beaucoup d’alternatives à la prostitution lorsqu’on est étudiant en France.
La vérité, c’est que j’étais à la fois impatiente, effrontée et terrorisée. Une déception amoureuse et la lecture de " King Kong Théorie " ont éveillé en moi un intérêt certain pour l’expérience de la sexualité. Je voulais tout comprendre, sortir de ma zone de confort et vivre un truc rock’n'roll.
En quelques heures, mon annonce reçut des centaines de réponses, autant dire que j’avais l’embarras du choix. J’ai sélectionné mon tout premier client, qui m’a remerciée de 1000 euros pour une nuit en sa compagnie. Au petit matin, je sautais dans mes ballerines et m’enfonçais dans le métro pour me rendre en cours.
Je rencontre toujours mes clients dans un lieu neutre
C’est comme ça que tout a commencé. Des hommes souvent respectables étaient prêts à payer entre 200 et 1000 euros pour un moment intime avec moi, la gentille fille banale, comme on en trouve plein les files d’attentes du Franprix. Il m’est même arrivé de me pointer les cheveux mouillés en rendez-vous, avant de repartir en travaux dirigés. Pour autant, je me garderai bien de m’autoproclamer escort la plus à l’arrache de Paris ; certains chercheurs consacrent leur vie à démontrer que cette désinvolture est de mon âge .
Puisque je les trie sur le volet, mes clients sont beaucoup plus respectueux qu’un grand nombre de dalleux d’hommes qui ont croisé mon chemin. Je prends plaisir à échanger avec eux lorsqu’ils me font partager leur intimité, plus rarement leurs perversions. Nos relations sont simples, il y en a que j’affectionne amicalement.
J’essaie d’avoir la réponse adaptée lorsqu’ils évoquent leurs problèmes personnels, que je ne suis pas en âge de connaître. Ma curiosité est beaucoup stimulée. C’est fascinant.
Je rencontre toujours le prétendant choisi dans un lieu neutre, comme un café. Si je ne le sens pas, je ne vais pas plus loin. Au contraire, si le rendez-vous se déroule bien, je peux rester plus longtemps que convenu, sans demander à être payée davantage. Il me semble essentiel de ne pas le mépriser en ayant l’œil rivé sur un réveil pour lui montrer que l’heure tourne.
Des hommes timides ou qui ont des problèmes de couple
Ce n’est pas une activité toujours facile.
Admettons que j’aime Romain Duris : il y a plus de chances de le croiser à la pizzeria de Saint-Nom-la-Bretèche que de recevoir une sollicitation de sa part pour un moment rémunéré à l’horizontale. Vous l’aurez compris, les clients ne sont pas tous des dieux grecs. Pas tous laids non plus. De toute façon, je ne sélectionne pas au physique.
Avec le temps, j’ai appris à identifier les hommes que j’apprécie. Je privilégie les personnes qui font ce type de rencontres pour la première fois, qui sont timides ou qui ont des problèmes de couples. A cet égard, je ne porte jamais de parfum.
Soyons clairs : je n’aimerais pas me trouver à la place de leurs conjointes. Mais le moment venu, je les occulte volontiers, parce qu’ils sont libres et me sollicitent en connaissance de cause. Dans la mesure du possible, j’évite de me déplacer au domicile familial ; on n’est jamais à l’abri d’un retour impromptu de Madame.
Je n’ai pas de client régulier sur le long terme. Je pratique cette activité de manière beaucoup trop ponctuelle pour pouvoir nouer de véritables liens avec un habitué. Je peux être courtisée vingt fois en un mois, puis ne voir personne les vingt mois suivants. Je crois aussi que je ne sais pas imposer la distance nécessaire lors de la rencontre.
Il arrive qu’un client envisage un flirt avec moi ; je cesse généralement de le voir. Parfois, un homme veut tester ses limites, cède à ses fantasmes, puis éprouve des remords. Dans ce cas, il retrouve sa bien-aimée et ses têtes blondes, en jurant de ne jamais plus recommencer. Oui, je répare vos couples en toute discrétion. De rien.
Ils ont démoli mes fantasmes sur la vie à deux
Durant mes années d’études, et même après, je n’ai jamais exercé de manière continue. Lorsque je tombe amoureuse, je ne suis plus intéressée par ces rencards rémunérés. Disons que je suis plutôt d’obédience exclusive intégriste. Je trouve alors mes sources de financement ailleurs (merci McDonald’s).
On l’imagine rarement comme ça, la bohème étudiante. J’étais très jeune lorsque j’ai commencé et je ne disposais pas de la maturité nécessaire pour tout appréhender. La prostitution occasionnelle peut être très addictive : les entrées d’argent sont rapides et l’autre se livre intégralement, dans toute sa vulnérabilité. Dans la "vraie vie", tout prend davantage de temps.
Je me suis déjà posé la question de savoir si la prostitution pouvait être mon unique source de revenu. La réponse est assurément négative : cela impliquerait une sélection moins stricte que je refuse. Dans un avenir proche, j’aurai sans doute définitivement arrêté et je serai passée à autre chose. Cela fait partie de ma construction et ne m’a pas traumatisée. J’ai malgré tout le sentiment d’avoir grandi trop vite.
Associées au background familial, les confidences des clients m’ont fait découvrir très tôt les difficultés rencontrées dans un couple et le mensonge à la personne qu’on aime. Sans le savoir, sans aucune malveillance, ils ont démoli mes fantasmes sur la vie à deux. Ma vie privée s’en trouve nécessairement affectée. Ce n’est rien d’immuable, il paraît que ce désenchantement est générationnel .
Paradoxalement, j’attends d’un homme de hautes valeurs morales et une grande transparence pour m’investir avec lui. Ma vie sentimentale doit dépasser ce type de cachotteries.
Et si, aujourd’hui, l’avenir est incertain, c’est la bouche aromatisée au Labello fraise que j’ai envie de dire qu’on verra bien.
Il apparaît qu’un acheteur envisage un flirt avec moi ; je cesse en général de le voir. vous l’aurez compris, les contrats ne sont pas tous des dieux grecs...
Chère , actuellement étudiante à SciencesPo paris, je réalise une étude sur la question de la prostitution. Après la lecture de votre article, je souhaiterais davantage m'entretenir avec vous. Comment prendre contact avec vous ? Bien à vous, Myriam Ldh
Je suis le seul à me dire que ça sent le père démissionnaire à plein nez ?
Cela fait beaucoup d'articles sur ce sujet depuis un certain temps ici.

On est au confessionnal ?

AMENNNNNNNNNN
jeune bobo qui fait la pute tellement elle s ennuie...et c est juriste ca ?!! AU SECOURS!
Je me permets d'intervenir car je l'ai un peu connue en cours et oui, elleest juriste. Elle a toujours travaillé parallèlement à ses études et n'entre donc pas dans votre description de la "jeune bobo".
Après, je ne conçois pas qu'on puisse bien vivre cette activité, je la voit plutôt comme une expérience nécessairement destructive et une forme d'appel au secours. Je trouve plutôt triste qu'il n'existe pas un homme fort et capable de rendre heureuse cette jolie fille brillante.
est-ce à dire qu'une fille brillante ne peut être heureuse par elle même et a forcément besoin d'un homme 'fort' pour y parvenir ?
J'employais le mot "fort" dans le sens de qui s'assume, pas un lâche ou un sans avis, parce que c'est ce qu'elle mérite.

Faut pas être Einstein pour comprendre qu'une jolie jeune femme, brillante, qui fait des études, mais continue le travail sexuel est à la fois partagée entre une triste image du couple (à cause de ses clients mariés mais lâches), et un grand besoin d'affection.
Bonsoir,
Je tenais à réagir sur un point particulier

"les confidences des clients m’ont fait découvrir très tôt LES difficultés rencontrées dans un couple et LES mensonge à la personne qu’on aime"

Ce dernier point titille ma curiosité, sans vouloir vous offenser, ne serais ce pas plus juste de dire "Les confidences des clients m'ont fait découvrir très tôt des difficultés que les couples en difficulté (ce point de manière exclusive) rencontrent et des mensonges que certains esprit fragiles (ou souffrants) peuvent faire à la personne qu'ils aiment" ?

Pour faire simple, rencontrer trop de personnes en situation d'échec (affectif, relationnel ou sexuel) de par votre activité, ne vous cacherait il pas la perspective (de par les experiences vecues ou observées, équilibrées quand à la proportion réelle de ces occurences) necessaire à votre épanouissement et confiance dans Le Couple. Disons que vous m'avez l'air d'avoir adopté une vision assez cynique, potentionellement generalisée à tous les profils d'hommes )

Du coup,je voulais faire simple... s
Combien de personnes prostituées ont dit un jour : « tout va bien, j’aime ce que je fais et je gagne bien » puis plus tard ont exprimé leurs souffrances, leurs idées suicidaires et la violence subie, qu'elles soient ou non contraintes par un proxénètes, (et la très grande majorité sont des étrangères contraintes par des réseaux criminels, Rapport parlementaire 2011)

Comment pourraient elles dire : « je n'ai pas envi de ce rapport sexuel, je fais semblant, vous nous dégouttez, on en peut plus de vos manies, de vos fantasmes et votre crasse... » ; Elles ne sont pas stupides au point de le dire. Après enquête à Amsterdam, seule 2% disent aimer ce qu'elles font (Le Monde, Les Néerlandais commencent à regretter la légalisation de la prostitution,2011/12/23).
http://www.lemonde.fr/style/article/2011/12/23/pays-bas-flop-de-la-legalisation-de-la-prostitution_1621755_1575563.html

Internet n'a pas échappé aux criminels, les réseaux mafieux l'ont investi, et la majorité des escortes ont un proxénète comme dans la rue ou en bordels.
Demandez à une personne prostituée pourquoi elle fait ça, elle vous dira un mensonge. Elle ment pour survivre, elle n'a pas le choix, et elle sait par expérience qu'il faut mieux raconter ce que les gens veulent entendre et caressera les clients dans le sens du poils.
« Quant à la p*** qui éprouverait une quelconque amitié pour son client en lui demandant effrontément des 200, des 300, des 400 euro de l’heure, cela me paraît être un concept des plus comiques. Il faudrait ne pas trop fantasmer sur la soi-disant p*** au grand cœur. La p*** au grand cœur n’est valable que pour les films en noir et blanc des années 50 avec Jean Gabin.

"Prenez trois p****, mettez-les autour d’une table, faites-les parler de leur clientèle sans journaliste, sans caméra, sans client. Quand vous allez assister au déferlement de mépris et de moquerie qui va découler de leur conversation, je vous garantis sur facture que le fameux mythe de la p*** au grand cœur va en prendre un sacré coup. » 
http://sisyphe.org/article.php3?id_article=3294

Une amie en situation de prostitution avait demandé à ses collègues : « qui le fait pour son plaisir ? » Ses amies lui avaient répondu : « c'est une blague ta question ? »
Et quand une survivante de la prostitution dit ce qu'elle pense, voila le genre de commentaires qu'elle reçoit:
"Une personne anonyme m'a récemment laissé un adorable commentaire sur l'article "L'homme invisible", m'appelant (je cite) "une connasse de misandre" et disant "j'espère que tu vas crever". Une autre personne anonyme a commenté pour dire que les prostituées sont des pouffiasses et qu'en tant que telle je devrais me taire au lieu de me plaindre. Voici donc, mesdames et messieurs, ce contre quoi se battent les survivantes de l'industrie du sexe.
Il est important pour moi de dire la réalité de l'extrême violence faite aux femmes de l'industrie du sexe. Quand j'étais prostituée c'était physique. Maintenant c'est verbal, mais tout de même douloureux." Angel K
http://survivrealaprostitution.blogspot.fr/2012/02/lopposition-les-souteneurs-de.html
M. Vannier, le problème dans vos interventions, c'est que vous sélectionnez systématiquement des cas des personnes qui souffrent de la prostitution (réalité que je ne conteste pas) pour dire que les relations tarifées, c'est forcément 'mal'.
Mais vous déniez aux escorts 'occasionnelles' le droit de dire qu'elles jugent positivement ces rencontres sexuelles et sans suite qui leur permettent d'améliorer leur revenu.
J'aimerais rapporter deux anecdotes :
- non elles ne sont toutes 'pas stupides au point que dire les clients les dégoûte'. Un jour, j'ai rencontré dans un hôtel une jeune étrangère avec qui j'ai senti, dès le début, que le feeling ne passait pas. Elle m'a dit d'emblée qu'elle faisait 'uniquement cela pour l'argent'. Ensuite (je dois avouer que je m'en veux) on a fait l'amour mais je sentais qu'elle était absente et qu'elle faisait cela pour 'remplir le contrat' alors j'ai arrêté après 15 min. ; et pendant les 90 min. qui restaient on a juste discuté sur le lit. On a parlé femmes, rencontres et elle a été très franche ... me parlant de son expérience dans un bordel allemand, me disant 'que je n'étais pas sexy', 'que je ressemblais ... à un prêtre' et me donnant même des conseils pour avoir un meilleur look !
- après ce rendez-vous, j'ai compris qu'il ne fallait plus voir d'étrangères . Ma dernière rencontre c'était une fille française qui faisaient des études ... de travailleur social ! Très gentille et douce, elle m'a parlé
(suite) Très gentille et douce, elle m'a parlé de sa vie actuelle et d'après sa description, rien ne la forçait à vendre des services sexuels. Nous avons passé un moment agréable et câlin sous la couette et je pense que je la reverrais peut-être.
Bien à vous ...
2% seulement des personnes prostituées à Amsterdam disent aimer leur situation (Le Monde, Les Néerlandais commencent à regretter la légalisation de la prostitution,2011/12/23). Vous dites que certaines jugent positivement leur prostitution, je mets juste en parallèle ce que ressent la majorité des personnes prostituées :
« Le pire là-dedans, c’est les clients.() Si vous saviez ce qu’on pense de vous ! À quel point on vous déteste, on vous méprise de nous acheter, pendant qu’on vous appelle « chéri » et qu’on vous flatte ! Il faudrait placarder des affiches de 4 x 3 m pour qu’ils comprennent.
() choisi ou pas, le traumatisme est le même() J’allais me faire faire des gommages. Encore maintenant, j’ai besoin d’en faire deux par semaine. À l’époque, je ne me lavais qu’avec du mercryl pour décaper» Mylène
http://abolition13avril.wordpress.com/2013/11/07/mylene-prostituee-de-luxe/

« Les clients ? Ils n’acceptent jamais qu’on leur dise non. Ou c’est tout de suite les insultes. Ils en deviennent méchants. Mais eux vous plantent sans problème. Si on est escort, on doit tout accepter. Il y a des types hyper craignos qui appellent...[Il y a] ceux qui vous traitent de grosse salope ou de sale pute. On est censée être à leur disposition. () On n’est pas des femmes, on est des objets. En fait, ils nous considèrent pour la plupart avec mépris. »
http://www.prostitutionetsociete.fr/temoignages/une-escort-temoigne-on-est-pa
Je peux t'assurer que pour la plupart des femmes prostituées, l'acte prostitutionnel engendre, une haine et/ou une colère effroyables, haine et colère soigneusement dissimulées pendant la passe. Une haine et une colère qui iront bien au-delà des seuls prostitueurs mais englobera le monde entier et aussi elle-même . Cette haine et cette colère sont si forte que tout devient insupportable « je hais tous les hommes, je les hais, je hais mon mari, je me hais… », «Je hais cette vie, je la HAIIIIIIIIS... tout est triste, triste, laid. »
« j'aurais pu en tuer un, je me voyais avec un couteau» (Rosen)
« Les clients, on leur dit les choses qu’ils ont envie d’entendre, des mensonges. En réalité, ils sont moches. Ils puent », (Monika)
«[ils] ignorent tout ce que j'ai dû construire pour exorciser leur présence, pour ne garder d'eux que leur argent, ils ne savent rien de ma HAINE » (Nelly Arcan)
«Dans la prostitution, l'amour et la liberté n'existent pas. Il n'y a que haine, mépris, vengeance, intérêt et violence.» (Maldy Bonheur)
«De façon inconsciente, au tréfonds de moi-même, je vais systématiquement le détester, parce que, face à lui, je suis obligée de me comporter comme la plus vile des chiennes, comme la plus vile des serpillières (…) je vais détester le client car, celui-ci, à l’aide de son argent, il est un peu le gardien de ma déchéance ».
https:// www.facebook.com/permalink.php?story_fbid=575359432560909&id=147617508668439
Je suis un homme célibataire, plutôt timide et client occasionnel d'escort. Il m'est déjà arrivé de rencontrer des filles comme Faustine, intelligentes, jolies, oserais-je même dire gentilles, qui m'ont donné pour deux ou trois heures de la douceur et de la tendresse. J'ai même le sentiment, pour certaines, d'avoir rencontré des personnes exceptionnelles.
Je dois avouer qu'ajourd'hui à 40 ans, je serais toujours puceau si je n'avais rencontré pas rencontré ces filles. Leur fréquentation ne m'a pas changé en bien ou en mal, mais j'ai l'impression que les escorts m'ont apporté quelque chose. Depuis quelques temps je préfère investir mon argent dans une psychanalyse.
Même si je ne suis quelqu'un de violent, je me demande parfois si j'ai fait du mal aux escorts que j'ai rencontrées en les touchant. Bien sûr, ce n'est pas une activé anodine, comparable à un autre métier. J'ai plutôt l'impression de ne leur avoir rien imposé, et qu'elles étaient tout à fait libres (d'autre part, quand je les contactais par mail, je me présentais avec beaucoup de détails et j'envoyais une photo).
Je trouve cela dommage d'insister systématiquement sur le côté négatif et violent de la prostitution et de ne jamais parler des clients 'gentils' qui je pense constitue la majorité des clients. J'ai remarqué aussi qu'il y a peu de commentaire de client dans les réactions à cet article ; c'est pourquoi je poste ce message.
Bonne continuation à vous Faustine, j'ai eu du
(suite) Bonne continuation à vous Faustine, j'ai eu du plaisir à vous lire.
Les études montrent que la majorité des michetons sont des hommes mariés ou vivant en concubinage.
Que la prostitution se fasse par internet ou dans la rue, les clients et les proxénètes sont la première cause de mortalité de ces femmes. 18
Il baise à fond la nounou
Xander fait délirer cette pétasse tatoutée
Petite Cyrielle aime bien lèche des grosses queues

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