Je ne sais pas comment te parler

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Je ne sais pas comment te parler


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Je ne sais pas comment leur parler, aidez moi svp
Je sais que mon histoire peut etre banal, que certain doivent se dire, qu'il font sa juste pour se faire remarqué, en tous cas c'est ce que certain me dise, mais je c'est vraiment plus quoi faire. Jai 17 ans, je suis dans un lycé privé et interne. Tout a débuté lan dernier, apré une remarque de l'ancienne cpe comme quoi je resterai o refectoire si jai pa fini mon assiette, depui je ne mange plus la semaine, que du pain (je c'est que cé pas bien nivo alimentation), le week-end quand je rentre ché moi, je fai un effor de manger, je me force pour que ma mère s'aperçoit de rien, mai sa me fai horriblement mal au ventre, jusqu'au jour ou le directeur a apelé ma mére a son travail en disan "votre fille et anorexique..!!" le soir même, voila que ma mére maméne ché le médecin, je nose pa lui parlé au médecin, je c'est qu'elle et la pour m'aider, mais j'arrive pa a lui dire la vérité, sachant qu'elle connai bien ma mére, j'ai peur qu'elle lui raconte tou, alor jinvente je lui di ke je mange au lycé, qu'il font une fixation sur moi ..bref, je cé pa si elle me croi, mai tout les moi je vai la voir( je maigri je grosii, je re-maigri). Mais ce qui me géne le plus c'est au lycée, cette anné les professeur éducateur sont tous au courant, sa me géne, ils me regarde mangé en fessant le réfectoire, j'ai l'impression qu'ils m'empêchent de manger avec leur yeux, mais sa me fait de la peine quand je voi mes amies qui s'inquiètent pour moi, elles vont même parlé aux profs de moi, depuis quelque mois on et en froid car elle n'acceptent pas que je ne mange pas. Mon professeur de sport a essayer de me parlé, mais devant tout le monde a l'internat,elle a déballé mon problème, j'aimerais pourvoir lui parlé, je c'est qu'elle et a l'écoute et qu'elle attend que sa, que je lui parle, mais je c'est pas comment faire les premier pas, je c'est pas comment parlé de mon sujet. Ma meilleur amie et elle parle ensemble de mon cas, cela ne me gène pas mais j'aimerais tant lui expliquer ce qui ne vas pas. Depuis l'an dernier Je suis en froid avec tout le monde, je m'énerve des que le sujet et lancé, je change de conversation, je voi que les profs se font du soucis pour moi, ainsi que ma famille, qui voi que je maigri a vue d'œil, mais sincèrement je voie le contraire. Peu être vous me prenais pour une fille qui veut juste se faire remarquer, mais aidé moi, je sais vraiment plus quoi faire, s'il vous plait.
N'hésite pas à prendre les mains qu'in te tend et arocche toi à ça. Je sais que c'est pas facile mais je suis certaine qu'une fois que tu aura un peu déballer ce qui te ronge, te fais mal, je peux t'assurer que ça fait dubien. Je ne dis pas que ça règle tout mais ça fait un gro poid en moin!!! Si tu as besoin, n'hésite pas non plus à venir ici pour te décharger, extérioriser, pleurer. Tu n'as pas essayer de leur parler par courrier, tu devrais peut-être essayer. C'est ce que je fais quand les mots ne sortent pas!!!
Si je le fait par courrier, j'ai peur qu'ils me prenne pour une imbécile! Quand je commence a parlé avc mes amis, ils commencent a s'énerver, ils ne comprennent pas ceux que je peux vivre. Tu voi du coté de mes amis je leur dit ce qui me tracasse (dans le sens de l'alimentaion), mai j'amerai vraiment parlé sérieusement avec les adultes (les profs du lycé) au niveau de mon état, je n'ose pas leur dire la vérité, j'ai peur qu'ils disent tout. C'est vrai que je dis a la prof de sport que je vais bien, je n'ais jamais fais de malaise, je suis toujours la premiére a faire du sport , même a l'internat, mais ils le voi bien que je suis toujours fatigué; je me ment a moi même.... Pff je sais plus ou j'en suis en ce moment 🙁 ❓ 😭
Personnellement je ne pense pas que tu fait ca pour te faire remarquer, enfin pas directement, peux etre qu'en fesant souffrir ton corps tu cherche a montrer ta detresse ( inconsciement surement ), ce n'est qu'une suposition. N'a tu pas une infirmiere/psy scolaire que tu pourrai aller voir ? Tu sait, ton proviseur n'a pas fait ca pour t'embeter, si il l'a fait c'est qu'il s'inquiétait. Essai d'en parler a un proffesionnel ou a un adulte en qui tu as confiance.. Je sait a qu'elle point il est difficile de montrer a ces parents que ca va mal, on essai de tout cacher, on veux rien dire au proffessionel de peur qu'ils repetent, et au final, on s'enferme. Je passe par la aussi et depuis des années c'est pareil, mais crois moi il faut te forcer ( si tu y arrive pas va voir quelqu'un d'autre mais vite ), car sinon tu va t'enfoncer de plus en plus et c'est tes parents et les medecins qui t'obligeront a te soigner, par des méthodes que tu n'aimera pas fortement. bon courage !
Non dans mon lycée il n'y a pas d'infirmiére scolaire. Pendant ces vacances, je vais essayer de parler a ma mére, mais je sais pas comment ellle va réagir, j'ai l'impression que tous les soucis qu'a ma famille viene de moi. Je sais qu'au lycée sa peut plus durer, tout le monde me concidére comme l'anorexique et pourtant c'est pas la cas (je croi), il faut vraiment que je parle a mon professeur principal, parce que a force de me surveiller, de m'engueller, de me forcer a manger j'ai l'impression que sa n'arrange vraiment rien au contraire. Merci priincesse-reveuse et reximie pour votre soutien.
Je suis convaincu que les problemes famillale ne viennent pas que de toi ! toute les familles on des problemes ( meme celle ou on y pense pas du tout ! ). Personnelement, d'apres ce que tu as décrit, je pense en effet que tu fait de l'anorexie, ce n'est pas une honte : c'est une maladie ! Mais ce n'est pas une raison pour que les autres te voient autrement que toi meme, mais ca on ne choisi pas. Ca me parait vraiment important que tu en parle a quelqu'un, ca tt'aidera j'en suis persuader. Ils sont la pour toi alors profite de cette chance ! bon courage et bonne fetes bisous
Je te remercie priincesse-reveuse, mais pour moi ( et bien d'autre) je n'accepte pas cette maladie car pour moi je ne le suis pas. Est-ce que tu as déja été confronté a sa? je veux dire a cette maladie, et la peur d'en parler?

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Personnalité : Je ne sais pas parler de moi




Personnalité : Je ne sais pas parler de moi


Sommaire







Un manque de sécurité intérieure

Une éducation au silence

Que faire ?

Leur solution





La Timidité : comment la surmonter de Gérard Macqueron et Stéphane Leroy Des outils concrets pour s’épanouir dans la relation à l’autre (Odile Jacob, 2004).

Éloge du secret de Pierre Lévy-Soussan
L’intimité, une question de dosage : comment résister à la pression sociale et préserver son jardin secret (Hachette Littératures, 2006).
Les Filles et les Pères d’Alain Braconnier Apprendre à se parler, savoir s’écouter : une réflexion sur ce lien si particulier, basée sur des témoignages recueillis en consultation (Odile Jacob, mars 2008).


On en parle sur le forum de Psychologies




“forte personnalité et riche personnalité”




“Personnalité dysfonctionnante”




“Personnalité difficile”




“Personnalité difficile”




Food Porn ou comment la vie sexuelle de nos aliments préférés fait le buzz

Hypersensible, surdoué, haut potentiel… Pourquoi ces étiquettes nous parlent tant ?


Jusqu’où peut-on changer sa personnalité ?


Parler, c'est mettre des mots sur nos pensées


Morphopsychologie : notre visage révèle-t-il notre personnalité ?


J’ai fait parler la petite fille en moi



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Après avoir vu un magnétiseur, je suis devenue suicidaire.
J'ai vécu des crises d'angoisse et j'aimerais vous redonner espoir...
Empathie, sympathie et compassion : quelles différences ?
La Relaxothérapie pour réduire l'anxiété et s'ouvrir à son monde intérieur
Le blurring : quand la journée de travail ne s'arrête pas
Fin de vie : de l’importance du plaisir
Je suis célibataire, est-ce de ma faute ?
Présenter son nouveau conjoint à ses enfants
J’ai choisi de ne pas avoir d’enfant
Préparer son accouchement avec l'acupuncture
Comment poser des limites aux enfants
Famille recomposée : gérer les disputes
Qu’est-ce qu’une bonne garde alternée ?
Frères-soeurs : pourquoi certains se détestent toujours
Mon psy et moi : une relation singulière
5 étapes pour interpréter vos rêves
Ces psys qui abusent de leurs patient(e)s
Découvrez votre héritage émotionnel
Quel sport pour apaiser ses émotions ?
Endométriose : des patientes incomprises
Gérer ses émotions avec les 38 fleurs de Bach
Mes petits secrets beauté : le miel
Le petit déjeuner, un grand moment de bonheur
Mon stage de survie en pleine nature
Etre reconnu au travail, un besoin vital
Management : 6 leçons des philosophes
Comment dire à mon boss que ça ne va pas ?
Cultiver son intelligence émotionnelle au travail

Ils ne lâchent rien. Pas le moindre détail de leur vie. Détestant parler d’eux, ils détournent toujours la conversation, au risque de se couper des autres. Qu’est-ce qui les fait taire ? Et comment leur apprendre à dire je ?

Elle est celle qui écoute, qui réconforte, qui fait rire quand ça ne va pas. À 43 ans, Lætitia se sent surtout très isolée : « Mes relations sont faussées parce que je ne parle jamais de moi. Mes amies ne savent pas qui je suis. Même mon compagnon ne connaît ma vie que dans ses grandes lignes. » Son explication ? « J’ai toujours peur de gêner ou d’ennuyer. Donc je ne dis rien, je change de sujet quand on me pose des questions. Et personne ne s’en rend compte » : on ne voit pas celui qui ne veut pas être vu. Ou bien on met sa discrétion sur le compte de la timidité.

Sauf que même les plus timides d’entre nous finissent par s’ouvrir quand ils se sentent en confiance. Lætitia, jamais. Et ils sont nombreux dans son cas : « Ils évitent tout face-à-face, pour ne pas avoir à se raconter, explique le psychiatre Gérard Macqueron. Ou, au contraire, ils parlent sans cesse, à tort et à travers. Mais pour ne rien dire et mieux se dissimuler. » Dans les deux cas, leur souffrance est aussi profonde qu’occultée. « Nous sommes des êtres sociaux, nous avons besoin d’échange et de partage, souligne le psychiatre et psychanalyste Alain Braconnier. Ce qui implique un don de soi. Ne pas y parvenir est toujours douloureux, surtout à une époque qui survalorise l’expression de soi. »

Parler de moi, oui, mais pour quoi faire ? Pour quoi dire ? « Nombre de patients commencent leur séance sur cette question, remarque le psychanalyste. C’est toujours très difficile de parler de soi. Cela suppose une estime de soi et une sécurité intérieure suffisantes. » Plus nous en manquons, et moins nous nous dévoilons. Lætitia parle de « la crainte d’être jugée, cernée : si je dévoile mes faiblesses, j’ai peur que l’on s’en serve contre moi ».

« Les personnes en insécurité perçoivent l’autre comme menaçant, précise Gérard Macqueron. L’expression “se livrer” prend un sens terriblement angoissant. » Une angoisse d’intrusion, notamment « pour ceux dont l’espace privé a toujours été envahi, ajoute Alain Braconnier. La meilleure protection reste alors la porte close sur ce qu’ils sont ». Mais inversement, « ceux auxquels on ne s’est pas intéressé, enfants, deviennent souvent des adultes qui se jugent peu dignes d’intérêt », résume de son côté le psychiatre et psychanalyste Pierre Lévy-Soussan. Alors ils s’effacent devant l’autre.

« Certains ont été élevés dans la culture du secret, poursuit Alain Braconnier, et ne savent plus doser les degrés d’intimité. Ils craignent de tout dévoiler s’ils commencent à parler. » Pourquoi cette surestimation du poids des mots ? « La parole est l’expression de la relation à l’autre, rappelle Pierre Lévy-Soussan. Si l’enfant grandit dans un environnement où les relations sont dures et méfiantes, la parole elle-même sera redoutée. Il se construit sans apprendre à jouer avec les mots, pour rire comme pour mentir. Alors ces mots deviennent trop lourds, écrasants, en quelque sorte. » Leur pouvoir nous effraie, donc nous les taisons. « À table, Quand les conversations sont toujours limitées au temps qu’il fait ou à “passe-moi le sel”, l’enfant n’apprend pas à exprimer son ressenti, observe Gérard Macqueron. Le langage n’est plus que factuel, opératoire. » Parler de soi serait alors véritablement une langue étrangère. Mais comme toutes les autres, elle s’apprend. Et il n’est jamais trop tard, affirment les psys, unanimes.


Gérard Macqueron, psychiatre « Trouvez des compromis, pour parler de vous sans vous mettre totalement à nu. Le théâtre est un très bon vecteur, puisqu’il permet de s’exprimer tout en jouant un rôle. Internet est assez extraordinaire, aussi, pour se dévoiler sans être vu. Mais ce n’est qu’un premier pas pour l’ouverture à l’
Blonde parfaite baisée par un noir dur
Caillera français et musulmane
Un aspirateur à foutre