Je ne peux pas dire non

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Je ne peux pas dire non


Refuser d'aller oĂč on ne veut pas, affirmer ses choix, se faire respecter, ne pas cĂ©der aux pressions... Pour tout cela, il faut oser "dire non", que ce soit Ă  des copains, des parents, des collĂšgues, des profs ou d'autres encore. Dire non, oui, mais comment ?



Certains, comme ChloĂ©, ont un caractĂšre rĂ©servĂ© et craignent toujours de dĂ©plaire. D'autres sont impressionnĂ©s par des personnes qui leur imposent des choix. D'autres encore se laissent entraĂźner dans des situations qui les enferment. A chaque fois, vous n'osez pas ou ne pouvez dire non... Les consĂ©quences peuvent ĂȘtre plus ou moins graves ( harcĂšlement moral, perte de confiance en soi, violences sexuelles ), mais une chose est sĂ»re : vous n'exercez pas votre libertĂ© et ne pouvez ĂȘtre vous-mĂȘme. Cette impuissance n'est pourtant pas inĂ©luctable : on peut apprendre Ă  s'affirmer voire Ă  s'opposer Ă  quelqu'un, en comprenant d'oĂč viennent nos faiblesses et nos difficultĂ©s.



Pourquoi il est difficile de dire non


"Je ne voulais pas lui faire de peine, je n'ai pas osĂ©." La premiĂšre raison qui nous empĂȘche souvent de dire "non" Ă  quelqu'un, c'est que nous ne voulons pas lui faire de peine : par peur de blesser, de dĂ©cevoir, de dĂ©clencher une crise ou une explication, on prĂ©fĂšre se taire. Nicolas n'a jamais osĂ© dire Ă  ses parents qu'il aurait prĂ©fĂ©rĂ© faire des Ă©tudes courtes que son droit. ChloĂ©, elle, savait que Mathieu Ă©tait amoureux d'elle lorsqu'il l'a invitĂ© Ă  ce week-end. Mais elle n'a pas eu le courage de lui dire qu'elle ne voulait pas sortir avec lui, pour ne pas lui faire de peine... Cette premiĂšre difficultĂ© est frĂ©quente dans les relations avec les proches, amis, parents, petit copain, avec qui le lien affectif est fort. D'autant plus que celui ou celle Ă  qui vous voudriez dire non risque d'utiliser ce lien pour vous faire craquer :"Quoi ! Tu ne vas pas me faire ça Ă  moi !", "Si tu m'aimais, tu ferais ça pour moi...", "Tu ne veux pas me faire plaisir ?", etc. A terme, on peut vous soumettre Ă  un vĂ©ritable chantage affectif : vous perdez votre libertĂ©, et la relation devient pesante. S'il s'agit d'une relation amoureuse, il y a urgence Ă  rĂ©agir : si vous vous soumettez Ă  ce que l'autre dĂ©sire sans oser lui dire non, vous ne construisez pas une relation Ă©quilibrĂ©e. Et vous risquez d'accumuler tristesse, rancoeur, et de perdre l'estime de vous-mĂȘme.


Il peut ĂȘtre difficile aussi de rĂ©sister Ă  la pression d'un groupe. "Tout le monde le fait, alors moi aussi." "Je n'avais pas tellement envie, mais j'y suis allĂ©e . " En soirĂ©e, lors d'une fĂȘte, d'une journĂ©e entre amis, plusieurs Ă©lĂ©ments peuvent s'additionner : - Le manque d'autonomie matĂ©rielle : on voudrait partir, mais on ne peut pas. On n'est pas vĂ©hiculĂ©, ou bien on dĂ©pend d'autres personnes avec lesquelles on est venu. On n'est pas maĂźtre des Ă©vĂ©nements, des choix faits par les autres, du style de la soirĂ©e, etc. - La peur du regard des autres : dire non, c'est se distinguer, et peut-ĂȘtre se faire juger, avoir l'air ceci ou cela... Cette peur peut vous empĂȘcher de dire non et faire de vous un mouton prĂȘt Ă  n'importe quoi. Clara a Ă©tĂ© victime d'un bizutage dont elle garde toujours de mauvais souvenirs. Johann s'est laissĂ© entraĂźner dans une soirĂ©e oĂč des paris et des dĂ©fis idiots ont Ă©tĂ© lancĂ©s : il s'est retrouvĂ© au commissariat aprĂšs une dangereuse course poursuite en voiture. certains peuvent ainsi ĂȘtre amenĂ©s Ă  ĂȘtre violents, ou perdre le contrĂŽle d'eux-mĂȘmes (ivresse, addiction)... - Ses propres tentations et faiblesses : Si j'ai arrĂȘtĂ© de fumer depuis deux mois et que tout le monde fume lors d'une soirĂ©e, j'aurais bien du mal Ă  na pas recommencer... On ne sait pas toujours trĂšs bien si l'on veut dire oui ou non. Manque de motivation ? de rĂ©flexion ?


La premiĂšre attitude pour ĂȘtre plus for(e) et plus sĂ»r(e) de vous est en effet de prendre le temps de rĂ©flĂ©chir avant d'ĂȘtre "au pied du mur" : est-ce que je veux faire cela ou pas ? Est-ce que c'est bon pour moi ou pas ? Est-ce que j'ai dĂ©cidĂ© d'arrĂȘter de sortir avec Julie ou pas ? Est-ce que je suis prĂȘte Ă  avoir des rapports sexuels avec telle personne ou pas ? Ai-je dĂ©cidĂ© d'arrĂȘter le cannabis ou pas ? etc. On peut aussi apprendre Ă  ne pas se laisser influencer en formant son esprit critique face aux mĂ©dias, aux rĂ©seaux sociaux, aux rumeurs... Souvent, il est utile de pouvoir parler de ces sujets avec quelqu'un en qui l'on a confiance, et qui n'exercera pas de pression, pour y voir clair : mĂ©decin traitant, frĂšre ou soeur ainĂ©s, ami de confiance, psychologue, etc. Cela permet d'exprimer ses Ă©motions et ses difficultĂ©s sans se sentir jugĂ©. Parfois des conseils plus spĂ©cialisĂ©s seront utiles, en particulier si l'on a subi des violences . Ensuite, il faut dĂ©cider de refuser telle ou telle situation et savoir Ă  quoi l'on veut dire non . Il ne reste plus qu'Ă  passer Ă  l'acte : oser dire non et s'y tenir.


- Avec des personnes que vous connaissez peu ou pas, il est conseillĂ© de dire son refus ou sa dĂ©cision de façon nette , avec une certaine dĂ©termination dans le ton de sa voix : "Non, merci, mais je ne suis pas libre", "Je vais m'en aller". - Evitez de vous justifier ou d'Ă©mettre des regrets : "cela m'aurait fait trĂšs plaisir, mais je ne peux pas car. . ." Votre ou vos interlocuteurs risquent en effet de se mettre Ă  discuter vos raisons pour vous persuader de changer d'avis : "pas de problĂšme, tu n'as qu'Ă  faire ceci ou cela"... Le plus dur est souvent en effet de se tenir Ă  son refus . Le mieux est donc de dire non nettement (mais son agressivitĂ©), et de s'en aller pour couper court aux discussions qui risquent de vous piĂ©ger. - Si vous ĂȘtes dans un groupe, il y a des techniques pour rĂ©sister Ă  la pression du groupe , et avoir le courage de s'affirmer. - Avec des personnes trĂšs proches que vous connaissez bien - parents, petit copain ou copine, amis - vous pouvez vous expliquer plus longuement sur votre position . RĂ©flĂ©chissez par avance Ă  ce que vous voulez dire et ne repoussez pas indĂ©finiment le moment de parler. Par exemple Ă©vitez d'attendre la veille du dĂ©part en vacances pour dire Ă  vos parents que vous ne voulez pas partir avec eux. Dites clairement et entiĂšrement votre refus sans ĂȘtre agressif . - Si vous avez peur de perdre vos moyens, choisissez un autre moyen que le face Ă  fac e pour commencer : lettre, mail, coup de fil... Le plus difficile est souvent de rĂ©sister Ă  la pression affective de votre interlocuteur. Peut-ĂȘtre cherchera-t-il Ă  vous faire changer d'avis, mais peut-ĂȘtre aussi respectera-t-il votre position.


Si vous ĂȘtes troublĂ©, intimidĂ©, et ne savez plus trĂšs bien si vous avez raison, mieux vaut dire que vous allez rĂ©flĂ©chir plutĂŽt que de changer d'avis tout de suite ou de vous fĂącher. Prenez ensuite le temps d'analyser la façon dont vous vous ĂȘtes comportĂ©, et sentez vous libre de maintenir votre non si cela vous paraĂźt bon pour vous. Redites ensuite Ă  votre interlocuteur que vous avez bien rĂ©flĂ©chi et que vous avez pris votre dĂ©cision : c'est non ! Si vous apprenez ainsi Ă  dire oui ou non libremen t Ă  ceux qui vous entourent, vous allez prendre confiance en vous et mieux affirmer votre personnalitĂ© .


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Psycho
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Refuser d'aller oĂč on ne veut pas, affirmer ses choix, se faire respecter, ne pas cĂ©der aux pressions... Pour tout cela, il faut oser "dire non", que ce soit Ă  des copains, des parents, des collĂšgues, des profs ou d'autres encore. Dire non, oui, mais comment ?



Certains, comme ChloĂ©, ont un caractĂšre rĂ©servĂ© et craignent toujours de dĂ©plaire. D'autres sont impressionnĂ©s par des personnes qui leur imposent des choix. D'autres encore se laissent entraĂźner dans des situations qui les enferment. A chaque fois, vous n'osez pas ou ne pouvez dire non... Les consĂ©quences peuvent ĂȘtre plus ou moins graves ( harcĂšlement moral, perte de confiance en soi, violences sexuelles ), mais une chose est sĂ»re : vous n'exercez pas votre libertĂ© et ne pouvez ĂȘtre vous-mĂȘme. Cette impuissance n'est pourtant pas inĂ©luctable : on peut apprendre Ă  s'affirmer voire Ă  s'opposer Ă  quelqu'un, en comprenant d'oĂč viennent nos faiblesses et nos difficultĂ©s.



Pourquoi il est difficile de dire non


"Je ne voulais pas lui faire de peine, je n'ai pas osĂ©." La premiĂšre raison qui nous empĂȘche souvent de dire "non" Ă  quelqu'un, c'est que nous ne voulons pas lui faire de peine : par peur de blesser, de dĂ©cevoir, de dĂ©clencher une crise ou une explication, on prĂ©fĂšre se taire. Nicolas n'a jamais osĂ© dire Ă  ses parents qu'il aurait prĂ©fĂ©rĂ© faire des Ă©tudes courtes que son droit. ChloĂ©, elle, savait que Mathieu Ă©tait amoureux d'elle lorsqu'il l'a invitĂ© Ă  ce week-end. Mais elle n'a pas eu le courage de lui dire qu'elle ne voulait pas sortir avec lui, pour ne pas lui faire de peine... Cette premiĂšre difficultĂ© est frĂ©quente dans les relations avec les proches, amis, parents, petit copain, avec qui le lien affectif est fort. D'autant plus que celui ou celle Ă  qui vous voudriez dire non risque d'utiliser ce lien pour vous faire craquer :"Quoi ! Tu ne vas pas me faire ça Ă  moi !", "Si tu m'aimais, tu ferais ça pour moi...", "Tu ne veux pas me faire plaisir ?", etc. A terme, on peut vous soumettre Ă  un vĂ©ritable chantage affectif : vous perdez votre libertĂ©, et la relation devient pesante. S'il s'agit d'une relation amoureuse, il y a urgence Ă  rĂ©agir : si vous vous soumettez Ă  ce que l'autre dĂ©sire sans oser lui dire non, vous ne construisez pas une relation Ă©quilibrĂ©e. Et vous risquez d'accumuler tristesse, rancoeur, et de perdre l'estime de vous-mĂȘme.


Il peut ĂȘtre difficile aussi de rĂ©sister Ă  la pression d'un groupe. "Tout le monde le fait, alors moi aussi." "Je n'avais pas tellement envie, mais j'y suis allĂ©e . " En soirĂ©e, lors d'une fĂȘte, d'une journĂ©e entre amis, plusieurs Ă©lĂ©ments peuvent s'additionner : - Le manque d'autonomie matĂ©rielle : on voudrait partir, mais on ne peut pas. On n'est pas vĂ©hiculĂ©, ou bien on dĂ©pend d'autres personnes avec lesquelles on est venu. On n'est pas maĂźtre des Ă©vĂ©nements, des choix faits par les autres, du style de la soirĂ©e, etc. - La peur du regard des autres : dire non, c'est se distinguer, et peut-ĂȘtre se faire juger, avoir l'air ceci ou cela... Cette peur peut vous empĂȘcher de dire non et faire de vous un mouton prĂȘt Ă  n'importe quoi. Clara a Ă©tĂ© victime d'un bizutage dont elle garde toujours de mauvais souvenirs. Johann s'est laissĂ© entraĂźner dans une soirĂ©e oĂč des paris et des dĂ©fis idiots ont Ă©tĂ© lancĂ©s : il s'est retrouvĂ© au commissariat aprĂšs une dangereuse course poursuite en voiture. certains peuvent ainsi ĂȘtre amenĂ©s Ă  ĂȘtre violents, ou perdre le contrĂŽle d'eux-mĂȘmes (ivresse, addiction)... - Ses propres tentations et faiblesses : Si j'ai arrĂȘtĂ© de fumer depuis deux mois et que tout le monde fume lors d'une soirĂ©e, j'aurais bien du mal Ă  na pas recommencer... On ne sait pas toujours trĂšs bien si l'on veut dire oui ou non. Manque de motivation ? de rĂ©flexion ?


La premiĂšre attitude pour ĂȘtre plus for(e) et plus sĂ»r(e) de vous est en effet de prendre le temps de rĂ©flĂ©chir avant d'ĂȘtre "au pied du mur" : est-ce que je veux faire cela ou pas ? Est-ce que c'est bon pour moi ou pas ? Est-ce que j'ai dĂ©cidĂ© d'arrĂȘter de sortir avec Julie ou pas ? Est-ce que je suis prĂȘte Ă  avoir des rapports sexuels avec telle personne ou pas ? Ai-je dĂ©cidĂ© d'arrĂȘter le cannabis ou pas ? etc. On peut aussi apprendre Ă  ne pas se laisser influencer en formant son esprit critique face aux mĂ©dias, aux rĂ©seaux sociaux, aux rumeurs... Souvent, il est utile de pouvoir parler de ces sujets avec quelqu'un en qui l'on a confiance, et qui n'exercera pas de pression, pour y voir clair : mĂ©decin traitant, frĂšre ou soeur ainĂ©s, ami de confiance, psychologue, etc. Cela permet d'exprimer ses Ă©motions et ses difficultĂ©s sans se sentir jugĂ©. Parfois des conseils plus spĂ©cialisĂ©s seront utiles, en particulier si l'on a subi des violences . Ensuite, il faut dĂ©cider de refuser telle ou telle situation et savoir Ă  quoi l'on veut dire non . Il ne reste plus qu'Ă  passer Ă  l'acte : oser dire non et s'y tenir.


- Avec des personnes que vous connaissez peu ou pas, il est conseillĂ© de dire son refus ou sa dĂ©cision de façon nette , avec une certaine dĂ©termination dans le ton de sa voix : "Non, merci, mais je ne suis pas libre", "Je vais m'en aller". - Evitez de vous justifier ou d'Ă©mettre des regrets : "cela m'aurait fait trĂšs plaisir, mais je ne peux pas car. . ." Votre ou vos interlocuteurs risquent en effet de se mettre Ă  discuter vos raisons pour vous persuader de changer d'avis : "pas de problĂšme, tu n'as qu'Ă  faire ceci ou cela"... Le plus dur est souvent en effet de se tenir Ă  son refus . Le mieux est donc de dire non nettement (mais son agressivitĂ©), et de s'en aller pour couper court aux discussions qui risquent de vous piĂ©ger. - Si vous ĂȘtes dans un groupe, il y a des techniques pour rĂ©sister Ă  la pression du groupe , et avoir le courage de s'affirmer. - Avec des personnes trĂšs proches que vous connaissez bien - parents, petit copain ou copine, amis - vous pouvez vous expliquer plus longuement sur votre position . RĂ©flĂ©chissez par avance Ă  ce que vous voulez dire et ne repoussez pas indĂ©finiment le moment de parler. Par exemple Ă©vitez d'attendre la veille du dĂ©part en vacances pour dire Ă  vos parents que vous ne voulez pas partir avec eux. Dites clairement et entiĂšrement votre refus sans ĂȘtre agressif . - Si vous avez peur de perdre vos moyens, choisissez un autre moyen que le face Ă  fac e pour commencer : lettre, mail, coup de fil... Le plus difficile est souvent de rĂ©sister Ă  la pression affective de votre interlocuteur. Peut-ĂȘtre cherchera-t-il Ă  vous faire changer d'avis, mais peut-ĂȘtre aussi respectera-t-il votre position.


Si vous ĂȘtes troublĂ©, intimidĂ©, et ne savez plus trĂšs bien si vous avez raison, mieux vaut dire que vous allez rĂ©flĂ©chir plutĂŽt que de changer d'avis tout de suite ou de vous fĂącher. Prenez ensuite le temps d'analyser la façon dont vous vous ĂȘtes comportĂ©, et sentez vous libre de maintenir votre non si cela vous paraĂźt bon pour vous. Redites ensuite Ă  votre interlocuteur que vous avez bien rĂ©flĂ©chi et que vous avez pris votre dĂ©cision : c'est non ! Si vous apprenez ainsi Ă  dire oui ou non libremen t Ă  ceux qui vous entourent, vous allez prendre confiance en vous et mieux affirmer votre personnalitĂ© .


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Comprenez pourquoi il est difficile de dire non. La plupart d'entre nous ont appris dÚs le plus jeune ùge à dire oui, car c'est plus facile et permet de gagner l'affection et l'approbation de la famille. Cela découle d'un besoin profond de faire plaisir à nos parents, ce qui est en relation avec l'amour et la peur de l'abandon  [3]
X
Source de recherche
Gartrell, MD., N. (2008). My answer is no, if that's ok with you : How women can say NO and (still) feel good about it. Free Press : New York.


. Nous pourrions aussi craindre de perdre notre conjoint ou la personne qui compte pour nous. Dire non Ă  des amis peut crĂ©er des malentendus ou froisser des sentiments. On peut aussi craindre que le fait de dire non au travail puisse nous donner une mauvaise rĂ©putation ou nous empĂȘcher d'avoir un avancement  [4]
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Source de recherche
Gartrell, MD., N. (2008). My answer is no, if that's ok with you : How women can say NO and (still) feel good about it. Free Press : New York.


.
En théorie, dire oui est excellent, mais cela cause souvent des problÚmes si nous le faisons trop souvent, au point de ne plus pouvoir le gérer.


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Sachez pourquoi il est important de dire non. Apprendre Ă  dire non gentiment est un moyen de poser et de garder des limites saines. Il peut souvent ĂȘtre malaisĂ© de dire non, si vous ĂȘtes fier de vous occuper des autres et dĂ©sirez faire des choses Ă  leur place. Vous pourriez trouver que vous dites oui trop souvent et finissez par vous angoisser ou vous surmener parce que vous avez acceptĂ© trop de responsabilitĂ©s.
Dire non renforce des limites saines, ce qui vous permet de prendre soin des autres de façon efficace tout en prenant aussi soin de vous  [5]
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Source de recherche
Gartrell, MD., N. (2008). My answer is no, if that's ok with you : How women can say NO and (still) feel good about it. Free Press : New York.


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Donnez-vous un peu de temps. Les spécialistes admettent qu'il est impératif de prendre votre temps avant de dire non  [6]
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Source de recherche
Grzyb, J. & Chandler, R. The nice factor : The art of saying no. Vision : New York.


[7]
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Source de recherche
Gartrell, MD., N. (2008). My answer is no, if that's ok with you : How women can say NO and (still) feel good about it. Free Press : New York.


. N'oubliez pas que vous n'avez pas besoin de donner une réponse tout de suite, si vous songez à refuser une invitation ou une demande. Offrez-vous un peu de temps pour éviter de ressasser constamment le sujet ou de blesser les autres. Ne prenez pas non plus trop de temps, étant donné qu'il n'est pas juste de faire trop attendre l'autre personne. Ne dites pas oui tout de suite pour

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