Je me fait prendre les fesses par un sudiste

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Je me fait prendre les fesses par un sudiste

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Partie 2: Au tour de Patrick, Julien et Eddie.
Ce matin-là, les premiùres images qui me viennent à l’esprit sont celles de Stefan
et Allen, speedos aux genoux, fesses rouges , leur membre pendant entre leurs cuisses, en train de se
faire tanner les fesses Ă  coups de ceinture par mon oncle. Une impressionnante Ă©rection me convainc
que la scĂšne ne m’était pas indiffĂ©rente. Je me demande quand j’aurai le plaisir de voir
aussi Richard ou Zach dans la mĂȘme situation.
En arrivant Ă  l’école ce jour –lĂ , mon oncle m’informe de sa dĂ©cision
de me donner un test de classement pour m’intĂ©grer aux cours durant mon sĂ©jour. Je n’en suis
pas trùs heureux, et , comme j’allais protester, mon oncle me regarde droit dans les yeux:
—Aurais-tu l’intention de dĂ©sobĂ©ir Pascal?
Au cours des heures suivantes, je constaterais qu’il est prĂ©fĂ©rable d’obĂ©ir Ă 
oncle Guy.
Difficile pour nous QuĂ©bĂ©cois d’imaginer , au XXI iĂšme , la discipline imposĂ©e
aux jeunes amĂ©ricains du sud au siĂšcle prĂ©cĂ©dent. À une Ă©poque oĂč un
professeur ou un directeur peut à peine faire de gros yeux à un élÚve délinquant,
comment pourrait,-on ne pas ĂȘtre impressionnĂ© par les chĂątiments corporels de cette Ă©poque?
D’ailleurs, plusieurs Ă©tats du sud des États-Unis continuent d’utiliser la mĂ©thode forte
pour soumettre les bad boys Ă  l’autoritĂ©.
Cet aprĂšs-midi lĂ , j’allais dĂ©couvrir les secrets d’une stricte discipline. La secrĂ©taire
de mon oncle Ă©tant absente, mon oncle me demande d’abord de rĂ©pondre au tĂ©lĂ©phone
quand il y aura des appels. Bonne occasion de perfectionner mon anglais. Puis, c’était inĂ©vitable,
trois Ă©lĂšves Ă  punir se prĂ©sentent au bureau. Le plus jeune, d’environ 13 ans, semble
assez effrayé alors que les deux autres, de 15 à 17 ans, essaient de donner le change. Mon oncle
m’explique oĂč trouver les fiches disciplinaires et comment les remplir. Ensuite, aussi invraisemblable
que ça puisse paraßtre, il me dit que je vais remplacer sa secrétaire comme témoin
des punitions. Wow! Toute une responsabilité... Je risque de me faire détester moi.
Les fiches ne sont pas trÚs détaillées.
J’y apprends leur ñge, le nombre de visites chez le directeur, si les parents autorisent les
punitions corporelles et s’il faut les en avertir ou pas. Seuls les parents d’Eddie veulent ĂȘtre
informés des corrections de leur fils. (On call)
Patrick, le plus jeune, est le premier appelé. PlutÎt petit, blond, yeux verts, il a beaucoup
de charme. Son t-shirt coloré et ses jeans moulants des petites fesses sexy lui donneraient fiÚre
allure s’il n’était pas aussi intimidĂ© par la situation. Debout devant le bureau de mon oncle,
tĂȘte baissĂ©e, il jette un coup d’Ɠil au tĂ©moin assis tout prĂšs : moi-mĂȘme,
rougissant de cette situation inhabituelle de tĂ©moin d’une correction.
Comme c’est sa premiùre visite, mon oncle lui explique qu’il va avoir une corrections avertissement
seulement, plus smooth si on peut dire.
Il descend ensuite son jeans et le place sur ses genoux. Son caleçon lui moule ses petites fesses
sans doute aussi musclĂ©es que ses cuisses.Une douzaine de slaps et c’est terminĂ©. Patrick, les
yeux mouillĂ©s, remercie mon oncle, allez savoir pourquoi. Je remplis la fiche et c’est au tour de
Julien de passer Ă  la caisse.
Julien, 15 ans et demi, de stature moyenne, cheveux noirs frisés copés courts, yeux noirs
surmontĂ©s de charmants sourcils, ne se contente pas d’ĂȘtre baveux avec ses profs, il a une attitude
arrogante. Son t-shirt noir va Ă  merveille avec son bermuda de mĂȘme couleur. Debout devant le
directeur, il ne perd rien de son arrogance. Comme c’est sa troisiùme visite en quelques semaines,
il devrait peut-ĂȘtre afficher moins de suffisance.
Le directeur l’informe que ses parents lui ont permis d’augmenter l’intensitĂ© de ses corrections
et qu’il aurait droit Ă  un combo spĂ©cial ce jour-lĂ .
— Les mains sur le bureau, Ă©carte les cuisses.
Notre bel ado est un peu moins fier. Un fort joli boxer Calvin Klein ou Gucci( je suis trop troublé
pour retenir ce détail) moule des fesses qui semblent aussi musclées que ses cuisses bien bronzées.
Je suis tout prùs, j’aimerais toucher. De la sueur coule sur son dos. Mon oncle prend une paddle
de trois pieds et slap sur les fesses.Julien laisse Ă©chapper un Ouch et le tissu lui collant aux
fesses montre qu’il les contracte. LĂ©gĂšre pause, slaps, pause, slap. Le silence entre les coups
est impressionnant. Puis, terminé, en attendant la suite.
Julien se relùve. Il reçoit aussitît l’ordre de rester en position. Mon oncle lui
appuie sur le dos et la tĂȘte pour le soumettre un peu plus et, Julien penchĂ© devant lui, il
glisse ensuite ses doigts dans son boxer et le descend prestement. Je n’aimerais vraiment pas ĂȘtre
Ă  sa place mais assister Ă  sa correction n’est pas dĂ©sagrĂ©able.
Mon oncle me demande ensuite d’aller lui chercher la strap dans l’armoire. En entendant ça,
Julien se rappelle mon existence qu’il semblait avoir oubliĂ©e et lui demande de me faire sortir.
Mon oncle lui rĂ©pond que ses parents ont demandĂ© qu’un tĂ©moin soit prĂ©sent s’il devait
ĂȘtre corrigĂ©...Julien insiste en disant que je suis trop jeune pour ĂȘtre tĂ©moin. Finalement,
mon oncle me fait sortir tout en disant Ă  Julien qu’il devrait payer pour avoir argumentĂ© avec
l’autoritĂ©...
Me revoilĂ  donc au bureau de la secrĂ©taire, avec Eddie qui n’a pas l’air particuliĂšrement
pressĂ© d’avoir son tour pour ĂȘtre disciplinĂ©.Et moi je me demande si j’aurai la chance
de voir Eddie penchĂ©, en birthsuit, attendant de recevoir ce qu’il mĂ©rite...

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in the text or not. The original date of posting to the MMSA was: 21 Sep 2014



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Partie 2 – Au tour de Patrick, Julien et Eddie





Humeurs & Humours


Les effets du manque de soleil chez l’individu sudiste




Sarah Bocelli

10 mar 2014


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madmoizelle



Vis ta vie



Humeurs & Humours



Vous vous retrouvez avec un sudiste entre les bras alors que le printemps n’a pas tout Ă  fait commencĂ©, du moins selon ses standards ? Attention, Ă  manipuler avec prĂ©cautions ! Les effets du manque de soleil peuvent en effet s’avĂ©rer difficiles Ă  gĂ©rer.

Ha merci j'en avais besoin! Je doit gérer un Sicilien en érasmus dans la région centre, il a été malade trois fois en quelque mois...
La dépression le touche, il commence à délirer. Pour lui les inondations et le manque de soleil sont un signe de notre fin imminente à tous... ray:
Il faut leur donner de la nourriture de leurs pays, les recouvrir de couvertures ou... ça aide!

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Ah, les sudistes qui ont quittĂ© leurs arides contrĂ©es, sont-ils donc impossibles ! Et qu’il fait trop froid pour garder la fenĂȘtre ouverte, et que oui non mais 25° moi je garde la petite laine, bouhouhou je n’ai pas vu un rayon de soleil depuis 5 minutes
 In-sup-por-tables. Je vais t’en coller des courants d’air, moi !
Et alors, voilĂ , vous en avez rĂ©cupĂ©rĂ© un-e, vous ne savez guĂšre comment — avec Internet, de nos jours, on se fait vraiment des amis partout dans le monde, mĂȘme dans le Sud, et comme ça commence Ă  faire trois bonnes heures qu’il/elle chante Nino Ferrer le nez collĂ© Ă  la fenĂȘtre (mais pas trop quand mĂȘme parce qu’elle est froide)
 DĂ©jĂ , vous vous demandez ce qu’ils fument, dans le Sud (de l’huile d’olive, sans doute, ou de l’origan). Mais vous vous dites aussi que rien ne vous a jamais prĂ©parĂ©-e Ă  ce genre de situation.
Tout va bien, car je suis lĂ  pour ça ! Reprenons ensemble les quelques caractĂ©ristiques inquiĂ©tantes du sudiste qui hurle au fond des bois sous un ciel d’acier, et vous devriez ensuite vous retrouver moins dĂ©muni-e-s face Ă  ce genre de situation. Mais ne commencez pas Ă  vous la jouer pragmatiques, en demandant « ouiii, d’accord, le Sud, mais le Sud par rapport Ă  oĂč, parce que le Sud, selon oĂč on se place, c’est pas la mĂȘme chooose
 » . Le Sud, c’est un concept .
Et je ne dis pas ça parce que je suis une sudiste Ă©chouĂ©e Ă  Paris. ( « Et toujours en Ă©tééééé  » )
Les sudistes, c’est un peu des junkies : s’ils n’ont pas leur dose journaliĂšre de soleil, ils se laissent dĂ©crĂ©pir Ă  l’ombre. La vie, soudain, perd de son sens et gagne en humiditĂ©, et tout autour manque de lumiĂšre et de couleur. Vous pouvez essayer de leur faire remarquer une Ă©claircie, mais pour le/la sudiste, la notion de « soleil » est inhĂ©rente Ă  celle de « chaleur », et tout ce que vous gagnerez sera de vous faire dire que ce n’est pas du soleil, mais de la lumiĂšre. Faiblarde, en plus.
Sortir dans « le froid et l’adversitĂ© », pour « braver les Ă©lĂ©ments dĂ©chaĂźnĂ©s » (comprendre : il bruine) va constituer pour votre sudiste le comble de l’absurditĂ©. Alors mĂȘme s’il ou elle n’est venu-e que quelques jours pour visiter, inutile d’essayer de le/la convaincre de mettre son petit nez fragile dehors. Tout sudiste sera heureux mĂȘme s’il passe son week-end touristique cloĂźtrĂ© Ă  l’intĂ©rieur dans le meilleur des cas, et noyĂ© sous trois tonnes de couvertures dans le pire.
« Laisse-moi, le froid m’emporte, je me sens partir »
Que trouvera-t-il Ă  raconter de son voyage Ă  son retour ? Bah, qu’il fait un temps pas possible dans le Nord et qu’on est bien lĂ  oĂč on est ! Ne vous inquiĂ©tez pas, le sudiste qui se retrouve dans son Ă©lĂ©ment est plein de ressources et de mauvaise foi. Un peu comme un poisson d’eau douce qui dit enfin adieu Ă  l’eau salĂ©e et en fait des petites crottes partout d’aise.
Mais vous vous agitez, et je comprends pourquoi : non content de se mettre en hibernation dans un coin, votre sudiste alterne entre le mode « mollusque neurasthĂ©nique » et « drama queen qui a mangĂ© trop de sucre » ? C’est normal, il/elle a besoin de faire connaĂźtre sa souffrance au monde, et surtout de l’exagĂ©rer d’une maniĂšre qui pourrait vous toucher imperceptiblement, au point de vous dire en regardant par la fenĂȘtre que, effectivement, ça fait un moment qu’il pleut — c’était combien de jours, le dĂ©luge, dĂ©jĂ  ?
Ne vous laissez pas gagner par l’hystĂ©rie du sudiste, qui a dĂ©clarĂ© faire la guerre aux courants d’air et la grĂšve de l’hiver. S’il passe de

« le monde est terne et il pleure dans mon coeur comme mes yeux sont gris qui envahissent la ville d’une langueur monotone
 ah
 grisaille ennemie ! N’ai-je donc tant vĂ©cu que pour cacher cette pluie que je ne saurais voir ? Être
 ou ne pas avoir froid ? Telle est la question. »
« mais tu ne coMPRENDS PAS, il fAIT FROID, commENT TU FAIS pour vivrE DANS CE PAYS on est en MARS PUTAIN aaaaAAHH » (tourne en rond les bras en l’air)

ne le/la frappez pas ni ne le/la gavez de Lexomil. Allez vivre votre vie, et laissez-le/la dĂ©cider que la vie, prrrt, les gens, prrrt, l’activitĂ©, prrrt, et la marche, prout (carrĂ©ment). Au bout du 15Ăšme visionnage de la mĂȘme sĂ©rie dĂ©jĂ  vue 54 fois depuis la mĂȘme couette, il finira par vous rejoindre. Les sudistes sont vos ami-e-s, il faut les aimer aussi.
Notez bien tout de suite qu’une fois dehors, votre sudiste n’a pas fini de vous laisser perplexe. Oui, il vient bien de passer 3 heures à faire une scùne avant de poser un orteil dehors parce qu’il avait peur de se le congeler. Et oui, il est bien en train de se promener en petit t-shirt à manches courtes.
Beh oui. Votre sudiste, il a dĂ©cidĂ© qu’on Ă©tait en mars, et qu’en mars, il fait CHAUD. MĂȘme si ce n’est pas le cas. Comprenez bien qu’il reste assez inconcevable pour l’individu sudiste de continuer Ă  mettre des manches longues une fois passĂ© le terrible mois de fĂ©vrier (celui oĂč il peut faire jusqu’à moins de 20°). Je sais, ça n’a aucun sens, surtout aprĂšs avoir passĂ© son temps Ă  pleurer que le froid le pĂ©nĂ©trait jusqu’aux os comme une morsure de glace.
Mais Ă©videmment, qu’il/elle va choper la crĂšve ! Sauf que lĂ  tout de suite, il/elle crĂšve de froid, certes, mais en appelant le printemps : « printeeeemps, priiiiinteeemps, prrriinnteeeeeeeeemps je crie ton nom » . Le point positif, c’est qu’il/elle augmente ainsi les chances d’ĂȘtre aphone le lendemain (et m’a l’air bien parti pour maĂźtriser l’art d’ĂȘtre un-e malade chiant-e , mais bon).
Ah. Il a arrĂȘtĂ© de bouger. Ne vous inquiĂ©tez pas, je sais que ça a l’air impressionnant comme ça, qu’il soit soudain complĂštement paralysĂ© et reste bloquĂ© dans la mĂȘme position sans que vous puissiez affirmer qu’il respire ou pas, mais vraiment, ce n’est rien : il a juste senti un rayon de soleil sur ses fesses et la douce et Ă©phĂ©mĂšre sensation de chaleur l’a fait bugger. Ça arrive aux meilleurs d’entre nous.
Il n’y a rien Ă  faire dans ce cas non plus, si ce n’est prendre son mal en patience et attendre qu’il se remette de ses Ă©motions (et de son angine). En revanche, une fois votre sudiste exposĂ©-e aux rĂ©alitĂ©s climatiques, NE LE PROVOQUEZ PAS. S’il trouve qu’il fait froid, il fait froid, voilĂ , c’est tout, et on ne relĂšve pas pour le dĂ©bardeur. S’il demande comment vous faites pour ne pas finir en dĂ©pression dans un pays pareil, rĂ©pondez-lui que c’est trĂšs dur. S’il chante qu’il « cherche le soleil au milieu de la nuit », laissez-le faire peur aux gens dans la rue.
Vous bannirez Ă©galement toute remarque Ă  base de « qu’est-ce qu’il fait beau/bon/chaud aujourd’hui ! » , mĂȘme s’il fait 20° Ă  Paris en mars et que c’est ouf, si vous ne voulez pas vous prendre dix minutes d’invectives insurgĂ©es en guise de rĂ©ponse.
ASTUCE : si vous avez la possibilitĂ© de rĂ©cupĂ©rer d’autres sudistes de rĂ©gions diffĂ©rentes, mettez-les ensemble et lancez innocemment « ah, voici Chose, elle vient du Sud aussi, elle est de Marseille/Toulouse/n’importe quelle ville de lĂ -bas » . En poussant un peu la discussion, vous avez toutes vos chances pour que ça dĂ©gĂ©nĂšre en concours de « qui est plus du Sud ».
« Non mais Marseille c’est le Nord » , « n’importe quoi, c’est plus au sud que Leucates » , « vous ĂȘtes ouf, le Sud c’est Toulouse » , « arrĂȘte il fait froid Ă  Toulouse ! » 
 Et voilĂ , vous pouvez aller faire un to
Elle Se Fait Sodomise
Teen blonde pour une premiĂšre baise anale
Luxure Rv

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