Je laisse pas mon neveu finir son essaie

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Je laisse pas mon neveu finir son essaie
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La sonnerie d'une maison retentit, l'homme ne peut pas ouvrir, car il est aux toilettes, la femme qui sort de la douche s'enroule une serviette de bain autour de la taille pour ouvrir la porte.
C'est Marco, un copain. Il lui propose 200 EUR immédiatement si elle laisse tomber sa serviette.
Elle réfléchit à toute vitesse et décide de laisser choir la serviette. Il l'admire à loisir, puis lui tend 200 EUR.
Un peu éberluée, mais contente de la petite fortune qu'elle vient de se faire en un clin d'oeil, elle rentre chez elle.
Son mari lui demande qui c'était. Elle répond que c'était Marco. Et le mari dit « Ah il est venu rapporter les 200 EUR qu'il me devait »



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Elle réfléchit à toute vitesse et décide de laisser choir la serviette. Il l'admire à loisir, puis lui tend 200 EUR.
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Série : Mon neveu axel

Premier texte : Mon neveu axel (01)
Texte précédent : Mon neveu axel (09)
Épisode final de la sĂ©rie

Mr Galland avait terminĂ© la maintenance de ma chaudiĂšre. Rappelez-vous, son passage m’avait permis de faire la connaissance de son jeune apprenti, Billal, d’origine Marocaine et dont mon neveu Axel ne s’était pas gĂȘnĂ© pour le baisant dans ma buanderie, sous prĂ©texte qu’il lui avait tournĂ© autour. Mais je soupçonne mon neveu qui a de gros besoins sexuels du haut de ses 19 ans, avait tout fait pour se le taper et n’avait pas mis longtemps pour succomber Ă  charmes de jeune rebeu. A cet Ăąge-lĂ , on a la gaule facile et il a hĂ©ritĂ© de mes gĂšnes. En clair, rien ne peut arrĂȘter ses instincts de queutard. Si un gosse est dans son champs de vision et qu’il est plus que baisable, pourquoi s’en priver ! On ne saura jamais le fin mot de cette histoire. Peu importe !

J’étais tombĂ© par hasard sur leur fornication et j’avais eu le temps de mater Billal et croyez-moi, c’est le boy parfait
 Exactement le profil idĂ©al pour les mecs qui bavent devant une belle bouille, un corps fin et sec, un petit derche haut perchĂ©, une peau halĂ©e et imberbe. Un rĂȘve pour moi qui a toujours eu un net penchant pour la baise avec les jeunes maghrĂ©bins.
J’ai toujours craquĂ© pour les ados d’origine maghrĂ©bine. Je sais, ça fait clichĂ© pour un gay mais on rĂ©siste difficilement Ă  leurs beautĂ© sombre et envoutante et Ă  leur peau douce, sans compter leurs libido prĂ©coce !

DĂ©jĂ  au lycĂ©e, j’étais tombĂ© sur Kader, un pote de 15 ans en train de se palucher dans les chiottes. Ce con s’avait bien que j’avais repĂ©rĂ© son manĂšge car il faisait exprĂšs de ne pas bloquer la porte. Il faisait celui qui ne voyait rien mais il m’allumait ! Sans oublier ses petits clins d’Ɠil en le croisant dans les couloirs. Cette racaille se touchait discrĂštement le paquet en cour avec les cuisses bien Ă©cartĂ©es tout en passant sa langue sur ses lĂšvres. J’oublie pas non plus son cĂŽtĂ© aguicheur dans les vestiaires aprĂšs nos matchs de hand, Ă  se balader la queue Ă  l’air en revenant des douches ! Je ne sais pas ce qu’il est devenu. Mais je suis sĂ»r qu’il doit avoir le cul en chou-fleur Ă  force de se faire ramoner
 Bref. Kader ou Billal c’est pareil
. De vrais chiennasses Ă  se faire pĂ©ter le cul !

Dimanche matin. Un temps de chiotte ! J’ai mal dormi en me rĂ©veillant plusieurs fois. Le temps est Ă  l’orage avec une sensation de lourdeur. 25° Ă  5 h du matin. Finalement, j’ai rĂ©ussi Ă  m’assoupir, crevĂ© par cette chaleur moite. C’est Axel qui me rĂ©veilla vers 11 h en me secouant


Comme il faisait chaud, j’avais dormi Ă  poil avec juste un drap. Et bien surs, comme tout mĂąle au soleil levant, j’affiche ma trique habituelle. J’ouvre les yeux pour capter une belle toile de tente ! Axel est au pied de mon pieu, le regard scotchĂ© sur ce que vous savez
 Je n’aime pas ĂȘtre matĂ© quand je me rĂ©veille. Je suis plutĂŽt maussade et je peux avoir des rĂ©actions de bulldog avant d’avoir avalĂ© au moins 2 expressos bien tassĂ©s. Bref, faut pas me parler !

- Dit donc tonton, c’est la grande forme ce matin !

- Fous moi la paix tu veux ? Tu sais bien que le matin, il faut me laisser du temps pour Ă©merger 


- Pourtant, ta bite, elle dort plus ! Rigola Axel !

- Ho ça va ! Tu bandes jamais toi ? Qu’est-ce que tu veux


- C’est Dim. Il fait une gueule pas possible.

- Vous m’emmerdez dùs le matin
 bordel. Va m’le chercher.

Je laissai mon neveu aller chercher son frangin et en profitai pour me lever. Il est temps et je suis limite Ă  la bourre. Ce matin, j’ai prĂ©vu d’aller inscrire les mĂŽmes Ă  leurs nouveau club de foot. Va falloir faire fissa !

Enfin mon kawa du matin ! Je sirote tranquille, toujours Ă  poil dans la cuisine. Ma gaule est toujours aussi arrogante. Je suis fier de ma bite. J’accuse un bon 22 cm, bien veinĂ© et dure comme du bois. Sans elle, pas de boy Ă  sauter. Pas de minou Ă  dĂ©niaiser. Pas de petite pute Ă  faire valser. Pas de tapette Ă  me sucer jusqu’à la glotte. Bref. Sans ma bite, je suis mort ! J’allais vers la salle de bain quand (enfin) je vis mes deux loupiots arriver. Axel avait mis son vieux jeans. Va falloir lui en acheter un nouveau. Celui-ci lui rentre tellement dans le cul
 Dimitri par contre est devant moi, complĂ©tement Ă  poil. Je ne peux m’empĂȘcher de le mater. C’est fou comme ce minet est bandant. A maintenant 18 ans, du haut de ses 1m80, on ne peut pas l’éviter. Un ventre plat qu’on a envie de caresser, des abdos bien visibles, des pecs harmonieux, des bras minces, des jambes finement musclĂ©es et filiformes. J’oblige mes neveux Ă  se raser la barbe et Ă  s’épiler Ă  part une petite touffe au-dessus de la queue et une petite moustache qu’ils entretient avec sĂ©rieux car ils savent qu’elles me font craquer.. Je veux qu’ils gardent un corps lisse, fin et sans aucunes imperfections. Comme son tonton chĂ©ri, le chibre de Dim pointe vers l’avant Ă  l’horizontal. Que c’est beau un ado qui bande ! Je me retient de ne pas lui sauter dessus
 Mais on n’a pas le temps pour s’amuser mĂȘme si ça me dĂ©mange.

- Alors Dim. Tu fais déjà le kakou dÚs le matin ? Tu peux pas écouter ton frÚre non ?

- J’en ai marre. Tous les matins, il veut que je le suce. Aujourd‘hui, j’ai pas envie !

- Dimitri, je te le rĂ©pĂšte une derniĂšre fois, obĂ©is Ă  Axel. Il est l’ainĂ©. C’est pas en refusant que tu vas arranger ton cas ! Quand tu le voit bander, n’attend pas qu’il te demande une pipe, tu le suce
 OK ?

Je voyais Axel avec son petit sourire de vainqueur. Je le connais bien son petit sourire ! Il tient de moi avec sa grosse libido. Et vous le savez, il a des gros besoins cĂŽtĂ© cul. Quand ça le dĂ©mange, il n’aime pas attendre. Il a dĂ©cidĂ©, avec mon accord, que son mignon petit frĂšre devait ĂȘtre dispo en cas de grosse chaleur. Et ce PD a souvent chaud !

- File à la cuisine prendre ton déj. On est en retard


- Axel, n’oublie-pas ton attestation mĂ©dical pour le club. Le docteur Legrand te l’a bien donnĂ©e hein ?

- Tu m’étonnes ! Et pas que ça. Ton toubib, c’est un vrai pervers. Il a pas arrĂȘtĂ© de me reluquer et de me peloter. Je me suis pas laisser faire !

- Quoi ? Il a voulu en profiter ? Le salaud ! Il perd rien pour attendre. Je sais bien que des fois tu peux gigoter comme un pute et ĂȘtre provoc avec les mecs mais c’est pas une raison. Jure-moi qu’il ne s’est rien passĂ©. Je pourrais le faire radier de l’ordre.

- T’inquiĂšte tonton, Ă  part me filer une belle gaule avec ses mains baladeuses, y a rien eu d’autre ! Mais au fait, c’est pas aujourd’hui l’inscription au club. C’est mardi. Tu dĂ©railles tonton !

- Mais non, c’est ce matin. Regarde sur le frigo, là, le post-it bleu


- Bingo ! J’ai raison. C’est mardi le 26 à 14h. Un mercredi.

Merde alors. Voilà que je perds la boule
 Au moins, on sera pas en retard pour y aller !

Une fois lavĂ© et aprĂšs une petite branlette vite fait sous la douche, je pris le temps de ranger le mĂ©ga bordel sur mon bureau. Si j’assure et j’assume mes activitĂ© perverses haut la main avec grand soin, pour l’ordre des papiers, le Nico, il est nul ! Mais pour une fois, ma fĂącheuse habitude Ă  la procrastination n’était pas au rendez-vous et aprĂšs avoir soigneusement classĂ© et archivĂ© mes dossiers, je fis une trouvaille : un bout de papier sur lequel Ă©tait griffonnĂ© un 06. Le 06 de Billal, l’apprenti de Mr Galland, mon chauffagiste (voir chapitre prĂ©cĂ©dant). J’avais bien cherchĂ© ce foutu bout de papier depuis une quinzaine main en vain.
Tout a dĂ©marrĂ© ce fameux jour oĂč j’étais tombĂ© sur Billal en train de se faire pĂ©ter le cul par Axel. Coup de bol pour lui, son patron ne l’a jamais su. Mais moi, hors de question d’en rester là ! Le pauvre gosse, pris en flagrant dĂ©lit de coup de bite dans son petit derche ne s’avait plus ou se mettre et j’en avais profitĂ© pour imaginer une petite suite Ă  cet Ă©vĂ©nement bien gĂȘnant pour lui mais tellement excitant pour moi
 Vous voyez ou je veux en venir hein ? Mettez-vous Ă  ma place (oui je sais, vous en crevez d’envie
), apprĂšs avoir menacĂ© le mignon de le dĂ©noncer Ă  sa mĂšre, il ne pouvait rien me refuser. Rien du tout ! Être tombĂ© sur mon cher neveu dans des occupations des plus libidineuses m’avais mis en rogne mais il fallait laver l’audace du jeune exhibe. J’avais une sourde envie de me le faire !

Je pris mon phone et composai le 06 du gosse. Il fallait maintenant passer aux choses sĂ©rieuses et mettre mon plan en branle ! Et peu importe qu’il rechigne ou qu’il impose un quelconque refus. Il avait eu le marchĂ© en main et je n’allais pas me gĂȘner pour le lui rappeler !

- C’est qui ? Je reconnais sa voix, un peu Ă©raillĂ©e, typique chez un ado Ă  peine sortie de sa mue.

- Tu te souviens pas ? Tu es venu avec ton patron pour ma chaudiÚre, rue des Glycines. Tu me remets maintenant ?

- RĂ©flĂ©chi un peu. Tu es le jeune Billal que j’ai surpris en train de 
 (je ne veux pas le brusquer ni l’effrayer.)

- Avec mon neveu. Il m’as dit que tu l’avais menacĂ© s’il refusait tes avances.

Bon, ça suffit ! Je lñche le morceau


- Je vais ĂȘtre clair Billal. Tu as chauffĂ© mon neveu et tu as tout fais pour te faire sauter. Et n’essaye pas de m’embrouiller. Se prendre des coups de queue dans le cul, ça ne s’oublie pas


- Heu. A oui ! Ça y est. RĂ©pond-il d’une voix tremblante.

- Eh ben voilà
. Tu vois quand tu veux !

- Je vais passer chez toi pour te faire payer ta dette. Ta mÚre est là demain aprÚs-midi ?

- Non, elle fait des ménages dans des bureaux. Je suis tout seul.

- C’est tout bon. Je serai lĂ  vers 15h. Et t’as pas intĂ©rĂȘt Ă  me berner. Donne-moi ton adresse et ton nom.

- Bengazi. On est dans la grande tour Renard, rue des graviers. Au numĂ©ro 247. C’est au 12Ăšme.

- Ne dit rien Ă  ta mĂšre ni Ă  personne. Si j’apprends que tu as fuitĂ©, tu vas prendre cher. Tu l’as boucle. Compris ?

Billal a raccrocher sans rĂ©pondre. D’avoir entendu sa voix me donne des envies de le bousculer. Il ne sait pas ce qu’il attend !
Ce gosse est en partie responsable de la situation. Moi, je n’avais rien voulu. Mais d’imaginer son cĂŽtĂ© aguicheur, je ne pouvais pas passer Ă  cĂŽtĂ©. Dois-je vous rĂ©pĂ©ter qu’un pervers doit rĂ©guliĂšrement renouveler ses proies pour ne pas tomber dans la monotonie ?

Vous me connaissez, J’aime partager mes conquĂȘtes et mes plans. Mais pas avec n’importe qui. Et en prioritĂ© avec FrĂ©do. Lui aussi n’est pas le dernier Ă  se taper des boys. Contrairement Ă  moi qui par le passĂ© baisais plutĂŽt avec des mecs de mon Ăąge et rarement avec des jeunes, FrĂ©do est un vrai radar devant un minou Ă  peine sorti de l’adolescence. Il ne bande que pour des ados sauf pour un partie de cul oĂč un voir plusieurs adultes sont conviĂ©s. Une bonne partouze ou il trouve 2 ados et un adulte, c’est pour lui le top !
Je chope mon portable


- Tiens, un fantÎme ! Dis-donc, tu te fais rare Nico !

- Oh, m’agresse pas tu veux ? T’as pas envie de te faire un petit beur d’à peine 16 ans ? Tu verrais le boy !

- Demande à un aveugle s’il veut voir, du con. Bien surs que je veux. C’est quoi le plan ?

- C’est simple. J’en ai choppĂ© un entrain de baiser avec Axel et je veux lui faire payer son audace. Si t’est open, on sera pas trop d’ĂȘtre Ă  deux


- Tu peux pas mieux tomber ! VoilĂ  un mois que j’ai pas tirĂ© de gosse et j’ai des crampes Ă  la main Ă  force de mater mes DVD. Alors, tu peux compter sur ton pote. No blĂȘme ! Comment on se rencard ?

- Je vais commencer tout seul. M’en veut pas. Je t’appellerai depuis là-bas. C’est dans la grande tour Renard.

- Sois en forme ! (Demande inutile, FrĂ©do est toujours prĂȘt s’il renifle un ado dans le coin !)

- T’inquiĂšte. J’y serai. Au fait, t’impose un truc spĂ©cial ? Y a un dress-code ? Des accessoires Ă  amener ?

- On verra sur place. A tout hasard, prend des cordelettes, tes menottes et un bĂąillon. Au cas oĂč le gosse serait rĂ©sistant. Y faut rien louper. Si non, amĂšne ta queue et tes boules . C’est tout !

- J’en bande dĂ©jà ! Pas de branlette avant. Je dois assurer ma jute.

- T’as raison. Ce soir, pas de baise avec mes neveux. Il vont faire la gueule mais lĂ , on a des prioritĂ©s.

Il faisait encore chaud cet aprĂšs-midi-lĂ  et j’avais proposĂ© aux neveux de nous caler au bord de la piscine et ne pas bouger. L’eau est Ă  plus de 25° et les transats son confortables. LĂ©zarder Ă  son charme ! Je m’était allongĂ©, les yeux mi-clos et regardais les gosses chahuter. Ils seront bientĂŽt des hommes mais n’en reste pas moins des ados joueurs. J’admirais leurs corps souples comme des lianes et pour seul vĂȘtement, un speedo bien moulant. Fine Ă©toffe de tissus composĂ© de nylon et de lycra du plus bel effet. Cela a son importance car le tissus Ă©pouse les formes Ă  la perfection. Mes neveux Ă©tant bien dotĂ©s par dame nature, on devine parfaitement leurs mandrins. Le speedo d’Axel est blanc, presque transparent sous l’effet de l’eau et celui de Dimitri est jaune fluo. Leurs bronzages sont mis en valeurs. Je me dĂ©lecte de les mater.

AprĂšs une bonne heure de sieste, j’émergeai et devinez-quoi ? Mes neveux en train de baiser dans la piscine ! Quel affront... Laisser leur tonton dormir et en profiter pour s’envoyer en l’air !

Dimitri s’accrochait Ă  l’escalier du bassin en gĂ©missant les yeux rĂ©vulsĂ©s sous les coups de queue d’Axel et on peut dire qu’il y allait franco. Il peut avoir un cĂŽtĂ© bestial
. Il s’en foutait de bousculer son frangin, surtout que le baisĂ© en redemandait !

- Vas-y ! Plus fort
. Encore
. C’est bon putain !

- Hummmmm ce cul Dim, quel pied. Tu me fais bander à mort. Tu la sens ma pine ? T’en veut encore ?

- Ouiiiiii, je suis une bonne pute. Encule-moi plus fort. C’est bon, hum




Cher lecteur, tu penses Ă  moi et tu te poses la question : J’y vais ou pas
. Oui, j’avais promis de ne pas sturber avant d’aller faire morfler Billal chez lui mais mater ces 2 tapettes roucouler, difficile de rĂ©sister ! Mettez-vous Ă  ma place (Ce que vous aimeriez faire, c’est surs !)

Bref. Je n’allais pas laisser les jeunes tous seuls, Ă  se donner du plaisir dans MA piscine, alors que je leur ai tout appris cĂŽtĂ© cul ! Pas question de rester Ă  contempler deux ados en pleine action sans intervenir ! Il fallait y aller, ce spectacle dĂ©pravant me foutait une telle gaule
 Je me suis assis sur le haut de l’escalier de façon Ă  foutre ma bite devant la petite gueule d’ange de Dim. D’un cĂŽtĂ©, il se prenait le zob d’Axel, de l’autre, le mien. J’ai envie de le malmener, de le faire crier. Cette salope ne rĂ©sista pas et se pris mon pieu Ă  fond. Dieu que c’est bon une bouche d’ado. Et Dim est une suceuse de premiĂšre. Je fais naviguer ma bite de tous les cĂŽtĂ©, dĂ©formant ses joues dĂ©licates. Il grogne de plaisir, pris comme un malheureux sandwich. Je lui lime la gueule par des vas et viens solides, autoritaires et rapides. Quel bonheur !

- Génial tonton. Regarde un peu ce que je lui met dans sa petite chatte au Dim ! Haletait Axel.

- Tu peux y allez Ă  fond. Elle aime ça cette gazelle ! Profite-en, baise-lĂ  profond cette pute ! Faut-lui sentir que c’est toi l’ainĂ©, le boss !

Moi, je continuais Ă  perforer sa petite bouche sans le mĂ©nager. C’était limite un viol buccal, manquant de l’étouffer sous mes coups de bite. Ce qui devait arriver arriva ! Je ressorti vite fait avant de lĂącher toute ma sauce ! Ma jouissance Ă©tait Ă  la hauteur de cette baise intrafamiliale : magistrale ! Et comme si j’avais sifflĂ© la fin de la rĂ©crĂ©ation, Axel ne put se retenir en balançant toute sa crĂšme Ă  la verticale. Un vrai geyser retombant sur le dos de son petit frĂšre. Pour finir, il lĂ©cha sa propre semence et l’avala. Dernier acte, le petit Dim (Quand-mĂȘme ! 1.80
) se palucha vitesse grand V, avant de pousser le cri de sa jouissance.
Tout ce petit monde se dĂ©tendit en barbotant dans l’eau de la piscine. Il le mĂ©ritait bien !
La journée se terminait doucement et on partit faire quelques courses. La baise a tendance à creuser et mes ados ont un coup de fourchette solide.

Le lendemain j’allais rendre une visite de courtoisie Ă  Billal. Courtoisie si l’on veut car je n’y allais pas pour boire le thé ! Rappelez-vous. Ce gosse de 15 ans avait osĂ© draguĂ© Axel et Ă©tait arrivĂ© Ă  ses fin en se faisant limer son ptit cul. J’avais eu le temps d’intervenir pour mettre un terme Ă  cette gymnastique, mĂȘme si je n’aurais pas dit non pour participer. S’en Ă©tait suivi l’opĂ©ration chantag
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