Je cherche un homme qui baise ma femme pendant que je regarde

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J’ai regardĂ© ma femme avec un homme plus Ăągé c’était incroyable !

femme-offerte /
31 décembre 2016 / Histoires candauliste
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Accueil / J’ai regardĂ© ma femme avec un homme plus Ăągé c’était incroyable !
MariĂ©s depuis plus de dix ans, nous nous sommes rencontrĂ©s, ma femme et moi, Ă  l’universitĂ©. A l’époque, je me considĂ©rais comme Don Juan, mais rien que le fait d’aborder et d’avoir pu sortir avec Anna m’a beaucoup flattĂ©. Notre vie amoureuse Ă©tait, durant plusieurs annĂ©es, fabuleuse et je sais qu’elle ne m’a jamais trompĂ©. Anna est une fille du Texas qui a grandi dans un petit ranch aux alentours de Dallas, ce qui fait d’Anna une vraie cowgirl “typique”.
Physiquement, elle est presque aussi grande que moi, mince, les jambes longues et a les cheveux longs et foncĂ©s. A vingt-neuf ans, c’est une beautĂ© et j’en suis fier !
AprĂšs un passage dans l’armĂ©e de l’air, j’ai dĂ©cidĂ© d’exploiter mes compĂ©tences en informatique pour accĂ©der Ă  un poste de direction dans une startup. Un de mes emplois consiste Ă  rencontrer des clients de l’extĂ©rieur de la ville, de les inviter Ă  dĂźner et les mettre Ă  l’aise. J’ai parfois permis Ă  certains d’entre eux, hommes et femmes, de passer la nuit dans notre grande maison spacieuse. C’était le cas de Walt, un vieux monsieur qui Ă©tait un vieil ami de l’un de mes boss. Walt avait entre cinquante et soixante ans, un grand homme d’apparence sportive, mais qui dĂ©veloppait un peu de ventre. Il s’habillait avec goĂ»t et portait une Rolex ce qui nous a laissĂ© penser, Anna et moi, qu’il devait ĂȘtre fortunĂ©.
AprĂšs qu’il nous ait conviĂ©s Ă  un dĂźner gastronomique somptueux au cours duquel nous avons consommĂ© plusieurs bouteilles de bon vin, nous sommes rentrĂ©s ensemble Ă  la maison pour un dernier verre avant le coucher. Ce petit verre a durĂ© environ deux heures, au cours desquelles Anna a servi des craquelins et du fromage. AprĂšs la premiĂšre heure, la conversation s’est, surtout, faite entre Anna et Walt car le vin a dĂ©jĂ  fait son effet sur moi. Mes yeux s’affaissĂšrent, mais je pouvais encore voir ce bon vieux Walt se rapprocher de plus en plus d’Anna qui ne le repoussait pas et commencer Ă  la taquiner avec les mains quand il en avait l’occasion.
En manque de boissons, Anna se leva pour apporter plus de vin du bar qui Ă©tait dans le salon, et Walt la suivit, glissa ses mains autour de sa taille et embrassa lentement son cou. Croyant, au dĂ©but, que c’était juste l’effet du vin, elle en ria mais il se montra, ensuite, plus audacieux. Il la tourna et passa ses mains sur ses hanches. Anna le repoussa, secoua le doigt avec colĂšre et dit : «Non !». Walt se contenta d’en rire, mais quand elle se retourna vers le bar, il se mit derriĂšre elle. Glissant ses bras autour de sa taille, il essaya de l’embrasser. AppuyĂ©e contre le bar, elle tourna la tĂȘte vers le cĂŽtĂ© pour esquiver sa bouche, mais je pouvais voir ses mains se mettre sur son petit cul qu’il colla Ă  son pĂ©nis. AprĂšs une courte lutte, ils retournĂšrent dans le salon, mais je pus voir par le visage rouge d’Anna qu’elle Ă©tait assez bouleversĂ©e.
Bien qu’elle m’ait appelĂ© plusieurs fois, j’ai dĂ©cidĂ©, par volontĂ© de voir jusqu’oĂč pouvaient aller les choses et un peu par Ă©puisement sous l’effet de l’alcool, de rester immobile, les regardant entre mes paupiĂšres entrefermĂ©es. Elle a finalement dit : «Walt, vous ĂȘtes un invitĂ© chez nous et un ami de l’employeur de Pat, mais cela ne vous donne pas le droit de dĂ©passer certaines limites. Donnez-moi votre parole que vous ne recommencerez plus !
– Bien sĂ»r. Au fait, Pat a l’air d’ĂȘtre dans les vapes. », rĂ©pondit Walt.
« Oui, nous devrions tous aller nous coucher. Pourriez-vous me donner un coup de main pour l’emmener jusqu’à sa chambre ? », lui demanda-elle.
J’étais mou comme un chiffon quand ils m’ont portĂ© et m’ont mis sur le lit. J’ai attendu un instant avant de me glisser en silence pour les regarder Ă  travers la fissure de la porte entre ouverte de la chambre. Ils Ă©taient assis sur le canapĂ© et Walt essayait encore de l’embrasser alors qu’elle le repoussait en secouant la tĂȘte. Il la força finalement Ă  reculer et mis son visage contre son cou. Je pouvais entendre ses doux murmures de protestation, mais Walt semblait les ignorer totalement. Soudain, j’ai remarquĂ© que ses mains Ă©taient sur ses seins, les pĂ©trissant, pinçant ses mamelons Ă  travers sa chemise blanche. Il dĂ©boutonna, ensuite, sa chemise alors qu’elle le regardait. «Attention, je vais crier !», l’entendis-je lui dire. « Pat est dans la piĂšce voisine. Il m’entendra et viendra. »
Walt se mit à rire. « Un train de marchandises ne le réveillera pas. Détends-toi un peu ! »
Elle commença Ă  dire quelque chose, mais Walt Ă©crasa sa bouche sur la sienne. Je pouvais voir qu’elle faisait un effort honnĂȘte pour rĂ©sister, mais il Ă©tait juste trop fort pour elle, l’immobilisant complĂ©tement. Ses seins, dĂ©sormais, nus, il jouait avec ses mamelons en l’embrassant sauvagement. Ensuite, il glissa sa main sur son ventre et jusqu’à sous sa jupe, l’obligeant Ă  Ă©carter les jambes.
J’étais, soudain, conscient que j’étais passĂ© d’un homme curieux de savoir si sa femme serait fidĂšle mĂȘme en compagnie d’un autre homme, Ă  un mari candauliste qui est tout excitĂ© en regardant sa femme se faire prendre par un autre homme. Terriblement excitĂ©, j’avais l’impression que ma queue voulait dĂ©chirer mon pantalon pour sortir.
La jupe d’Anna Ă©tait Ă  sa taille, et le genou de Walt Ă©tait entre ses longues jambes alors qu’il luttait pour enlever sa culotte. Je l’entendis dire : «Non, mon Dieu, Walt. ArrĂȘtez maintenant ! ».
Mais Walt n’était pas prĂȘt de s’arrĂȘter. Enfin, dĂ©barrassĂ© de sa culotte, Walt s’est glissĂ© entre ses cuisses, lui Ă©cartant les deux jambes avec ses bras et a littĂ©ralement plaquĂ© sa bouche contre la chatte de ma femme. Je l’ai entendue, alors, pousser un petit gĂ©missement de plaisir et lĂ  je ne pouvais m’empĂȘcher de saisir ma bite dĂ©chaĂźnĂ©e.
Au dĂ©but, elle Ă©tait simplement allongĂ©e sur le canapĂ©, mais aprĂšs un certain temps, je l’ai vu serrer ses cuisses, ses orteils nus commençant Ă  se crisper lentement. Walt se rapprochait de plus en plus d’elle. Tout en donnant son cunnilingus, j’ai vu qu’il a ouvert son pantalon, l’a baissĂ© et sorti sa grosse bite bien raide. Mon excitation Ă©tait inimaginable, mais j’essayais, Ă  contrecƓur, de forcer mes mains Ă  s’éloigner de ma bite.
Ma belle Anna Ă©tait, aussi, toute excitĂ©e, caressant ses seins et crispant le visage. Et tout Ă  coup, elle serra tellement ses cuisses contre sa tĂȘte que Walt s’arrĂȘta et remonta vers elle. J’ai vu son pĂ©nis commencer Ă  s’approcher et caresser la chatte d’Anna. Il Ă©tait plus grand que le mien, plus Ă©pais aussi. Il n’hĂ©sita pas et colla sa bite et ses couilles bien lourdes contre la chatte humide d’Anna alors qu’elle gĂ©missait doucement. Puis il entra dans le vif du sujet. Il enfonça violemment sa bite dans le vagin de ma femme et commença Ă  la baiser.
Au dĂ©but, elle a essayĂ© de rĂ©sister, de le repousser doucement, mais finalement elle gĂ©mit et enveloppa ses bras autour de son dos, tenant vigoureusement ses fesses dans ses mains. Ça n’a pas durĂ© trop longtemps. J’ai tout Ă©coutĂ©, tout vu, au point de ne plus pouvoir me retenir. J’ai, pour la premiĂšre fois, Ă©jaculĂ© sans les mains ! Walt s’est Ă©tendu sur elle pendant quelques instants et je pouvais mĂȘme voir son foutre dĂ©goulinant entre les fesses d’Anna et jusque sur le sol. Heureusement qu’il ne l’a pas fait dans sa chatte !
AprĂšs un moment, Walt s’est levĂ© et je suis retournĂ© dans mon lit. Un instant plus tard, Anna ouvrit la porte et jeta un coup d’Ɠil, surement pour s’assurer que j’étais bien endormi, et s’en alla.
J’ai attendu quelques secondes avant de retourner pour les observer. Walt Ă©tat Ă©tendu sur un canapĂ©, extĂ©nuĂ©, alors qu’Anna Ă©tait en train de lui lĂ©cher et sucer sa queue bien molle. Mon sexe remuait encore, mais j’étais totalement fatiguĂ©, alors je suis allĂ© me coucher. Je n’ai pas su quand est-ce qu’ils se sont endormis.
Le lendemain, j’ai fait mine de ne rien savoir et je n’en ai pas encore discutĂ© avec ma femme, mais je suis ravi de mon nouveau statut de mari cocu !
Les hommes trĂšs ĂągĂ©s sont les amants que ma femme prĂ©fĂšre. Elles les aime ĂągĂ©s, mais Ă©galement bien portant. Pourquoi ? Ce n’est pas original mais ça remonte Ă  ses premiĂšres expĂ©riences dans son adolescence avec des membres de sa famille au dĂ©but.
Moi ça m’arrange pour 2 raisons:
1) j’aime la regarder sous les caresses d’autres hommes
2) aucun risque qu’elle tombe amoureuse vu la grande diffĂ©rence (souvent plus de 35 ans d’écart) d’ñge.
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