Jasmine une trans aimant vraiment la sodo

Jasmine une trans aimant vraiment la sodo




⚡ TOUTES LES INFORMATIONS CLIQUEZ ICI 👈🏻👈🏻👈🏻

































Jasmine une trans aimant vraiment la sodo
Vous ne pouvez visionner ce contenu car vous avez refusé les cookies associés aux contenus issus de tiers. Si vous souhaitez visionner ce contenu, vous pouvez modifier vos choix .
Vous ne pouvez visionner ce contenu car vous avez refusé les cookies associés aux contenus issus de tiers. Si vous souhaitez visionner ce contenu, vous pouvez modifier vos choix .
Brigitte Lahaie retourne au porno à 64 ans "une dernière fois"
3 femmes disent pourquoi elles ont franchi le pas de l'infidélité
Sexe dans une smart, cierge au Sacré-Cœur ou chambre uniquement tapissée de miroirs en Argentine: neuf femmes nous livrent leur session cul la plus étrange.
SEXUALITÉ - Les coups d’un soir, c’est un peu la loterie. Parfois on tombe sur une perle, d’autres sur un·e partenaire qu’on aimerait bien oublier à jamais. Et puis il y a aussi toutes ces anecdotes dont on se souvient en souriant, tant le contexte nous étonne encore. Le genre de plans qu’on se raconte après deux verres pour faire marrer l’assemblée.
On a demandé à neuf jeunes femmes de nous confier leurs histoires éphémères les plus insolites, et le cru est juteux. Une chose est sûre, on ne pensera plus jamais au Quatorze Juillet comme avant.
“C’était en première année d’étude, via Tinder ou une plateforme du genre. Je parlais pas mal avec un mec et on a décidé d’aller boire un verre. En arrivant, déjà, il ne me plaisait pas du tout physiquement! Je me suis même demandé si je n’allais pas faire demi-tour. Et puis finalement je me suis dit ‘allez, vas-y!’.
Pendant tout le rendez-vous, j’étais persuadée que ça ne le ferait pas du tout. Mais au moment de partir, je ne sais pas... Il a un peu insisté pour qu’on poursuive la soirée et moi comme ça faisait longtemps que je n’avais pas couché avec quelqu’un, j’étais partante. Je savais que je ne le reverrai pas alors pourquoi ne pas en profiter!
Sauf qu’en fait, il habitait loin, et moi je devais commencer les cours tôt le lendemain. Du coup, on l’a fait dans sa Smart, la voiture. C’était complètement improbable. On a essayé de trouver une rue pas trop passante dans Paris et on a fait notre affaire. Ensuite, je suis rentrée en RER. Mes collants étaient troués : une vraie Walk of Shame. On ne s’est plus jamais parlé après: emballé, c’est pesé!”
“C’était à une soirée de boulot, où on buvait beaucoup. C’était sympa, on rigolait bien. Et comme toutes les soirées de boulot, part une première personne, puis une deuxième personne... Restent toujours ceux qui sont célibataires et qui aiment picoler. Donc je me suis retrouvée seule avec - on va l’appeler ‘Monsieur X’ - à boire des coups. Quand, patatras!, il m’a embrassée. Pendant la soirée, j’avais dû dire que je n’étais jamais allée à la basilique de Montmartre, et que j’aimerais beaucoup la visiter.
Bonne pioche, lui avait été y faire du bénévolat et adorait cet endroit. Nous nous y sommes rendus en moto (pas bien, je sais). Il devait être sept heures du matin. Je crois même qu’on a posé un cierge et fait un signe de croix. Et puis on est allés prendre un café et on est rentrés chez moi. Absurde”.
“J’étais en voyage post-études à Buenos Aires avec ma meilleure amie. Dans l’avion, on s’était promis de ne jamais se séparer ni de rentrer avec des inconnus. Le premier soir, on s’est séparées et on est rentrées chacune avec un inconnu. Le sien était un Jamaïcain en vacances dans la même auberge que nous, le mien l’un des employés de ladite auberge.
Le deuxième soir, je suis sortie en boîte avec lui, et au moment de rentrer dans son appartement, il me dit que c’est impossible car sa sœur et son neveu y dorment, mais qu’on peut aller à l’hôtel. Pleine de confiance, je le suis. On arrive dans un hall éclairé au néon rose avec capotes sur le comptoir. Il demande une chambre pour deux heures: ça annonce la couleur.
On y entre et à la place du papier peint, sur les murs, il n’y avait que des miroirs. Partout, même au plafond. On a fait l’amour en levrette et je l’ai vu se mater sur la porte (aussi miroir) de la salle de bain. Je me suis endormie une demi-heure, et quand je me suis réveillée, il était en train de renifler ma culotte. Je crois qu’on n’a pas recouché ensemble après ça.”
“C’était une soirée sur la plage, lorsque je voyageais à Mancora, au Pérou. J’avais bu du Pisco dans une noix de coco. J’étais saoule, forcément. Avec mes copines on avait rencontré une bande de surfeurs du coin, dont un, qui s’appelait Luis, il me semble. On a sympathisé, et on a fini par coucher ensemble sur la plage. On est allés se baigner à poil après, mais rien de très romantique: je devais rester au sec au-dessus de la taille à cause d’un eczéma attrapé sur place.
Bref, je suis rentrée complètement saoule à l’auberge de jeunesse où je logeais, j’ai dormi en me disant que je n’en entendrai plus parler. Sauf que le lendemain, il a débarqué au petit-déj’ en venant me chercher pour le cours de surf que j’avais apparemment accepté qu’il me donne la veille. Il m’a appelée ‘bébé’ devant tout le monde et j’ai cru mourir de honte”.
“J’avais rencontré ce mec à une soirée d’échange linguistique et culturel - le genre d’événement où tu vas pour choper. Je le vois, il est brun, ténébreux, il a la mèche, les tatouages. Il est beau, on a l’impression qu’il sort d’une scène de film. Je le croise en partant alors que j’allais au vestiaire, on commence à se parler, à flirter. On s’écrit pendant plusieurs jours... Et je me rends compte que je ne sais pas quel âge il a. J’avais 33 ans à l’époque, il finit par me dire qu’il en a 23. Je me dis que c’est une trop grande différence d’âge, je suis prête à tout arrêter; c’est un bébé. Mais il me lance ‘tu vas voir à quel point je ne suis pas un bébé’. J’ai des frissons d’excitation de partout, alors je lui laisse une chance.
On finit par se voir et par prendre un verre. Il me fait bien comprendre qu’il est fauché, donc je paye toutes les boissons. On boit, il est hyper tactile. Moi je n’en peux plus, j’ai envie de lui et qu’on aille chez moi. Je lui propose, comme il n’a plus de sous, qu’on poursuive la soirée dans mon appartement car j’ai de quoi boire à la maison. On y va.
C’était très caliente. Il sentait bon, il avait mis du parfum, une chemise blanche : j’étais hyper motivée. On s’embrasse, et là je me dis: mauvais signe. Il m’embrasse... comment expliquer : comme une poule qui picore du maïs. C’était atroce, je n’ai jamais eu pire baiser de ma vie. On dirait qu’il allait me péter les dents, c’était juste pas possible.
On se retrouve dans mon lit, à poil, et là je découvre qu’il s’est rasé de partout. Ça piquait sur le torse. Je commence à l’embrasser un peu partout et à lui tailler une pipe. Et là, l’horreur: ça sent pas bon, une odeur de toilettes. J’essaie vraiment de l’occulter, mais je n’arrive pas à me mettre dedans. Pour couronner le tout, il n’avait pas de préservatif, et le sexe était nul. Il ne pensait pas du tout à mon plaisir. Il a commencé à grogner, ça a duré cinq minutes et c’était fini. C’était vraiment zéro.
Forcément, j’avais envie qu’il parte, mais il voulait rester dormir, alors j’ai un peu cédé. Grave erreur: il a pété toute la nuit j’ai mis 24 heures à me débarrasser de l’odeur. Et en plus de ça, il n’a pas décampé avant que je le dirige vers la porte à 13 heures le lendemain. Je ne l’ai évidemment jamais revu, malgré ses relances”.
À voir également sur Le HuffPost: Découvrir le sexe tantrique en trois étapes
Inscrivez-vous aux newsletters du HuffPost et recevez par email les infos les plus importantes et une sélection de nos meilleurs articles
En vous inscrivant à ce service, vous acceptez que votre adresse mail soit utilisée par le Huffington Post, responsable de traitement, pour la gestion de votre inscription à la newsletter. Conformément à la loi du 06/01/1978 modifiée et au Règlement européen n°2016/679/UE du 27/04/2016, vous bénéficiez d’un droit d’accès, de modification, de portabilité, de suppression et d’opposition au traitement des informations vous concernant, que vous pouvez exercer auprès de dpo@groupelemonde.fr . Pour toute information complémentaire ou réclamation: CNIL

Envoyer un message Offrir un cadeau










Suivre

Bloquer Choisir cet habillage

Infos

Création : 22/05/2007 à 22:36
Mise à jour : 07/06/2007 à 20:04
31 articles
478 commentaires
14 amis
14 favoris



Lorenzo : Cool, je vais enfin pouvoir rencontrer cette fille, et qui sais la faire tomber à mes pieds ...




0

| 4

| ​ 0
|
Partager



Le 29 mai, Jasmine se demande quelle tenue elle va mettre, pour faire bonne impression à Lorenzo ...

Jasmine (parlant à son reflet dans le mirroir) : Oh, j'aimerais faire bonne impression sur lui ce soir ... Je peux mettre ça ? Nan, trop ... bleu !!!




0



| ​ 0
|
Partager



Jasmine : Ca alors ? Nan, trop ... fille modèle !!!




0



| ​ 0
|
Partager



Après avoir cherché pendant 45 minutes une tenue, Jasmine a enfin trouvé la perle rare ...

Jasmine : Ah, ça c'est beau !! Oh, il est déja 15h42 !!! Il faut que je me dépêche !!!




0

| 1

| ​ 0
|
Partager



Sur la route de la Simsplace, Jasmine se demande si Lorenzo est bien celui qu'il prétend être ... Mais, quand elle le voit, elle tombe sous son charme ...

Jasmine (en bredouillant) : Euh ... Salut, c'est moi Jasmine ... Toi, t'es ... Lorenzo je suppose ?
Lorenzo : Oui oui ! Alors, on va discuter autour d'un café, pour apprendre à se connaître ...
Jasmine (en pensant) : Oh oui !

Ils discutèrent, puis, Lorenzo proposa à Jasmine de s'asseoir sur un banc ...




0



| ​ 0
|
Partager




Entrez dans le monde de Jasmine Tyrau, une jeune adolescente orpheline de 16 ans vivant à Paris avec ses grand-parents, dans le quartier Belle Vie .
Ses parents sont morts lorsqu'elle avait 10 ans, des suites d'un accident de voiture ...
Mais, lorsque 4 ans plus tard, elle va au commissariat pour une affaire de vol, elle entend des policiers parler d'un "éventuel suspect pour l'affaire Tyrau" ...
Depuis, ses doutes commencent :
- Est-ce-que ses parents sont-ils vraiment morts par un ACCIDENT ?
- Qui est cet "éventuel suspect pour l'affaire Tyrau" ?
Jasmine dois trouver toutes ces réponses, et vite !!!
En plus, elle entre en seconde, avec sa meilleure amie Alyssa .
Elle va devoir concilier ses recherches pour retrouver le coupable, et ses études ...

Suivez cette époustouflante histoire sur Jasmine-story !!!

Maëlle, rédactrice



Design by lequipe-skyrock Choisir cet habillage

# Posté le mercredi 30 mai 2007 17:38
# Posté le mercredi 30 mai 2007 17:39
# Posté le mercredi 30 mai 2007 17:41
# Posté le mercredi 30 mai 2007 17:46
Sélectionne une page : Page n°1 sur 7 Page n°2 sur 7 Page n°3 sur 7 Page n°4 sur 7 Page n°5 sur 7 Page n°6 sur 7 Page n°7 sur 7

Envoyer un message Offrir un cadeau










Suivre

Bloquer Choisir cet habillage

Infos

Création : 22/05/2007 à 22:36
Mise à jour : 07/06/2007 à 20:04
31 articles
478 commentaires
14 amis
14 favoris




Entrez dans le monde de Jasmine Tyrau, une jeune adolescente orpheline de 16 ans vivant à Paris avec ses grand-parents, dans le quartier Belle Vie .
Ses parents sont morts lorsqu'elle avait 10 ans, des suites d'un accident de voiture ...
Mais, lorsque 4 ans plus tard, elle va au commissariat pour une affaire de vol, elle entend des policiers parler d'un "éventuel suspect pour l'affaire Tyrau" ...
Depuis, ses doutes commencent :
- Est-ce-que ses parents sont-ils vraiment morts par un ACCIDENT ?
- Qui est cet "éventuel suspect pour l'affaire Tyrau" ?
Jasmine dois trouver toutes ces réponses, et vite !!!
En plus, elle entre en seconde, avec sa meilleure amie Alyssa .
Elle va devoir concilier ses recherches pour retrouver le coupable, et ses études ...

Suivez cette époustouflante histoire sur Jasmine-story !!!

Maëlle, rédactrice



Design by lequipe-skyrock Choisir cet habillage




INFOS Coronavirus

Autotest covid
Omicron
Pass vaccinal
Vaccination enfant
Vaccin covid


Trans aimant encore leur penis et ne voulant pas s'en separer?
est ce qu'il existe des filles qui ont fait un traitement hormonal et qui ont fait le choix de jamais se separer de leurs penis ? Et meme qui cajole leurs penis et prendre jusqu'il faut de traitement pour avoir encore la possibilité d'avoir des éjaculations ? merci pour vos reponses !
lol merdissimo arrete tes conneries sinon je t'ecris ncore un poeme d'amour , et un peu plus fieleux et pimenté pauvre SM déparvé ! Oui tu a raison c'est pas pas question "d'aimer son penis" ou pas mais de bien se dire que l'usage en vaut la chandelle et que ca n'empeche pas de vivre femme socialement et de baiser avec des femmes ou des hommes et d'avoir des orgasme de source sure , je peux t'affirmer que la majorité des trans ne se font pas operer on gagne rienn que le droit au marriage tout le reste c'est que des emmerdes On se fait operé juste si on veux vraiment une chatte de zob et c'est risqué et pas tres efficasse
Edité le 25/05/2008 à 4:24 PM par pat02kud
ohhhhhhhhhhhhhhhhhhhhhh!! quel language ! j'attends de voir si tout le monde partage ton avis la dessus!
chatte en peau de zob ... bin oui en peau de quoi veux tu ?
Mon intention n'est pas de me mettre tout le monde à dos, simplement de dévoiler mon opinion. Il est indubitable que la population appellé trans' souffre de son corps, peu importe le corps. Ces complexes se retrouvent bien évidemment sur les caractères sexuels, en première. Aussi l'on peut observer un déni total face à l'identité génitale biologique de la personne. Souvent, ce mal-être se manifeste violemment, pour la personne qui en souffre déjà, qui est bien évidemment dans une 'phase' auto-aversive et pour l'entourage, qui peut avoir du mal à comprendre le mal-être de cette personne et qui continue aggraver ses blessures en préservant son identité apparente, sous prétexte que l'identité basique, de naissance a été dévoilée. Bon, outre le pseudo jargon, il est bien évident que si la personne souffre de son corps en tant que corps sexué d'une manière ou d'une autre, il y aura forcèment une extrême honte des attributs, comme un 'fardeau' ou comme Jasus qui porte sa croix, maintenant, peut-être que la comparaison est mal trouvée. Une impression d'attribution de corps qui n'est pas le nôtre, dans lequel on se sent mal-à-l'aide, en totale inadéquation... Et ça, ça se répercute jusque dans la vie quotidienne, à chaque instant... Ce à quoi j'arrive à la conclusion suivante : quand on est mal en point, quand l'esprit et le corps on ne sait où, la personne déteste au plus haut point ses organes sexués et aussi la considération des autres dans son sexe d'origine... En d'autres termes, il est insupportable d'être considéré comme homme pire mâle pour une 'MtF' ou 'HvF' tout comme il aussi insupportable d'être vu comme femme voire pire femelle pour un 'FtM' ou 'FvH'. Est-ce que je réponds à votre question? Ou n'est-ce pas encore assez clair? CDT, oniisan.
Pour avoir côtoyé une personne qui se prétendait trans' mais qui n'avait pas précisé dès le début qu'elle vivait très bien en tant que 'femme à bite' comme elle le prétend et qui est en soit une déclaration révoltante, insultante pour les tous et toutes... Donc, oui, hormones ou pas hormones, ça reste fonctionnel pour ce qui est du sens 'homme vers femme' ou 'male to female'... Je comprends le désir de transition et le mal-être corporel, ce que je ne comprends pas c'est ça : c'est dire et penser je suis une femme et je supporte très bien. Le constat est très clair, si tu es une femme, tu ne peux pas accepter un caratère sexuel masculin. Donc, de deux choses l'une, soit t'es effectivement un homme, soit tu prétends être qqnE d'autre. Perso', je n'ai jamais supporté mon corps pour le dire donc forcèment, je refuse tous mes caractères sexuels présents, poitrine, vagin et autre qui sont un calvaire... Désolé si j'ai été clair dans mes paroles, voire choquant. CDT, oniisan.
Kikou ! Foutaise ! J'ai vu et on en voit depuis 2,3 ans sur les forum des trans opérées qui ressemblent plus à des travesti qu'à des femmes désolée. Mais sont-elles des travestis opérées (de part leur physique très masculin) ou des femmes trans ? Ton expérience et ta souffrance sont les tiennent, pas ceux que les autres doivent aussi subir. Si une "femme à bite" (pour reprendre ton expression) est heureuse ainsi et alors ! Faut quand même arrêter avec "ces
Petite blonde se commande une belle bite noire
Mia Lelani un bonbon asiatique
Emy Russo prend une sacrée leçon

Report Page