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Au Japon, les agressions sexuelles quotidiennes se multiplient dans les trains bondés


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Publié le 25 novembre 2017 à 11h54 Mis à jour
le 25 novembre 2017 à 11h54

Des usagers du métro à Tokyo, le 24 juillet 2017 © Toru Yamanaka / AFP
On les appelle les “tchikan”. Noyés parmi les usagers des lignes de trains japonaises, ces prédateurs sexuels agressent les jeunes filles, en particulier les collégiennes. Ils seraient aujourd’hui plus de 10 000 à agir. L’une de leurs victimes, Kumi Sasaki, a décidé de témoigner dans un livre.
Entre 8h30 et 9h30, la Yamanote, la ligne de train circulaire qui relie les principaux points névralgiques de Tokyo, est bondée. Les employés se rendent au travail, les enfants à l’école. C’est pour entrer dans ce même train que, sur ce créneau horaire, des préposés de la compagnie ferroviaire tassent les passagers dans les wagons pour que les portes de la rame puissent fermer. C’est cette même ligne que Kumi Sasaki* emprunta quotidiennement, pendant six ans, pour se rendre au collège. Fraîchement débarquée à Tokyo, elle avait 12 ans lorsqu’elle a rencontré son premier tchikan , l’un de ces prédateurs sexuels qui sévissent surtout dans les trains bondés.
“Au Japon, beaucoup d’hommes fantasment sur les uniformes des écolières”
Ces hommes “agressent en particulier les collégiennes, symboles d’innocence, de virginité. Au Japon, beaucoup d’hommes fantasment sur les uniformes des écolières” , explique-t-elle. Cette première agression, elle s’en souvient parfaitement. “Ça a duré sept minutes. Il a touché ma poitrine avec son pouce, j’ai d’abord cru à un accident. Il y avait tant de promiscuité dans le wagon, mais il n’a pas retiré son doigt. Il a ensuite passé sa main sous ma jupe. J’étais terrorisée.” Les genoux qui tremblent, elle arrive à l’école et prévient son institutrice “qui ne réagit pas vraiment” , puis le soir venu, sa mère “qui n’a pas compris ce que je venais de vivre” .
Un jour, Kumi Sasaki a pensé au pire. Pour que tout s’arrête. Un matin, elle s’est sentie prête à se jeter sur les rails de ce fameux train.
Les années scolaires défilent, les prédateurs sexuels se multiplient. Kumi Sasaki les subit presque quotidiennement, en silence, jusque ses 18 ans. Essentiellement dans le train, mais aussi dans la rue. “Une fois, un homme m’a suivi lorsque je suis descendue. J’avais peur qu’il voit où j’habite. Je n’arrivais pas à m’en débarrasser.” L’homme finit par la laisser tranquille, mais la jeune fille est encore un peu plus brisée. Plus tard, alors qu’un nouveau tchikan l’a agressée dans le train, l’homme lui “dit merci en descendant du wagon. J’avais envie de hurler. Merci de quoi ? Je n’étais pas consentante” . Un jour, Kumi Sasaki a pensé au pire. Pour que tout s’arrête. Un matin, elle s’est sentie prête à se jeter sur les rails de ce fameux train, théâtre de tous ses tourments. “Une amie de l’école m’a aperçue. Elle est venue me parler. Je n’ai jamais su si elle avait compris ce que je m’apprêtais à faire…”
Père idéal, mari attentionné… et harceleur sexuel
Aujourd’hui, Kumi Sasaki est trentenaire, elle partage sa vie entre Tokyo et Paris, où elle réside depuis une dizaine d’années. Il lui aura fallu vingt ans pour mettre des mots sur son histoire et en faire un livre témoignage , coécrit avec Emmanuel Arnaud et publié aux éditions Thierry Marchaisse. “Aujourd’hui, j’ai envie d’essayer de changer les mentalités.” Car pour elle, c’est un fait : “Rien n’a changé dans la Yamanote.” Une réalité que confirme Akiyoshi Saito qui a publié, l’été dernier, un ouvrage intitulé Les raisons pour lesquelles les hommes deviennent des tchikan . Dans la clinique où il officie, à Tokyo, il propose un programme aux hommes qui souhaitent se soigner de cette addiction. Depuis douze ans, il a reçu 3 200 patients.
“C’est un phénomène qui a explosé depuis les années 1960, explique-t-il. Le profil du tchikan est le cadre, marié avec des enfants, instruit et ayant fait des études universitaires. Il est souvent le père idéal, le mari attentionné, le parfait employé. Dans le train, il se transforme.” Frustré par un quotidien trop fatigant, trop contraignant, trop stressant, “le tchikan se sent chanceux d’avoir pu toucher la main d’une femme. Et c’est le début, pour certains, de toute une série d’agressions. Les cas les plus extrêmes peuvent passer la journée à prendre le train pour s’en prendre à une vingtaine de femmes. Ils s’attaquent surtout aux plus jeunes, plus fragiles, plus vulnérables” .
“Une jeune fille qui s’exprime publiquement sur une affaire de ce genre est humiliée et salie aux yeux de la société japonaise”
Ce problème a pris aujourd’hui une ampleur sans précédent. “Notre clinique s’est spécialisée dans les addictions présentes dans l’archipel, comme le sexe, le jeu, l’alcool, le travail, l’anorexie, la boulimie, etc. Le tchikan est la plus représentée, et de loin, avec plus de 10 000 individus à l’échelle du pays. Ils sont surtout présents dans les grandes villes comme Tokyo, Osaka, Nagoya, Fukuoka et Sapporo, qui possèdent des trains bondés. Autrefois, ils agissaient dans la rue, c’était moins discret.”
Du côté des femmes, la parole reste bloquée. “On a honte, confirme Kumi Sasaki. Une jeune fille qui s’exprime publiquement sur une affaire de ce genre est humiliée et salie aux yeux de la société japonaise : on dit qu’elle est perdue, qu’elle ne trouvera jamais de mari.” Kumi Sasaki insiste sur un autre point. “Au Japon, les écoles privées, contrairement aux publiques, ne sont pas mixtes. Beaucoup d’adolescents grandissent en se posant beaucoup de questions sur l’autre sexe sans jamais avoir de réponses.” A contrario, ils sont exposés très tôt aux contenus pornographiques par le manga, le film ou internet en accès libre. “Quand j’étais petite, je ne comprenais rien à la sexualité mais je connaissais le tarif horaire d’une escort girl.” Aujourd’hui encore, lorsque Kumi Sasaki emprunte la Yamanote, il lui arrive de “revivre la terreur de [ses] 12 ans” .
Tchikan, de Emmanuel Arnaud & Kumi Sasaki, éd. Thierry Marchaisse, 128 p., 14,90 €
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