J'ai l'impression qu'ils aiment la fellation

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Le sexe oral serait l'un des incontournables des prĂ©liminaires selon le Kamasutra... Mais tous et toutes ne s’adonnent pas avec la mĂȘme allĂ©gresse au baiser le plus intime. EnquĂȘte.
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En 2016, les filles n ont plus le droit derefuser la fellation.de nos jours , les femmes sont considerees comme des putes.ils attendent d elles des pratiques sexueelles de plus en plus deviantes.tout refus est considere comme un crime de lese majeste.ou vous cedez, ou on vous jette pour passer a la suivante.en 2016, si on ne sefait pas b par les 3 trous, on est un mauvais coup.on est loin, tres loin de l egalite homme femme.la pipe est devenue un passage oblige.ne me parlez pas d amour..c est plutot un tue l amour

80 % fellationnent.combien dont elles comme marie, qui le font contraintes et forcees, et qui se sentent carrement mal une fois la fellation terminee.d apres marie, les hommes ne s en apercoivent pas, et ensuite on ose affirmer que la pipe c est le partage, une preuve d amour.certainement pas, en 2016, pour esperere faire bouger les chosed, il faudrait que chaque fille que la fellation, degoute, derange ou met mal a l aise la refuse categoriquement a son copain.ce n est pas le cas, en 2016, les filles se forcent, non seulement, la pipe est obligatoire, mais en plus il faut aimer ca , ou faire semblant de l aimer pour satisfaire l ego demesure de ces messieurs.je plain sincerement les filles de 20 ans qui doivent en 2016 faire les p pour choper un mec.je n ose imaginer leurs vies de soumission, d humiliation.quelle horreur.on est revenu au moyen.la femme a le droit de vote mais n est pas libre de ses choix.en rentrant ra t a la maison.elle sait ce qu elle va faire.se mettre a genoux, se demonter la machoire, se faire cracher a la gueule du foutre bien gluant.avaler ce jus nauseabond.quelle belle soiree en perspective.franchement, une corvee de plus en rentrant, non merci, sans facon, je passe mon tour.

Pas question de prendre ca en bouche, pas question de se mettre a genoux devant un mec, pas question de se demonter la machoire pendant 20 mn, pas questionqu on me tienne la tete et les cheveux, pas question qu on me crache ce jus nauseabond dans la bouche, pas question d avaler, pas question d avoir du foutre sur mon visage.je n aime pas , je fais pas .surtout que maintenant, les hommes reclament des pipes completes.s ils sont frustres, qu ils aillent au sauna, ils se suceront a tour de role.ils feront la pute a tour de role.decplus ils auront le pouvoir, oui parait il que les femmes qui sucent ont le pouvoir.si si et en plus on les prend pour des connes.a mourir de rire

Toutes les filles pratiquent meme avec degout, pour des hommes qui ne les respectent pas.le temoignage de marie est edifiant.elle aime pas mais elle fait.comment peut on dire qu en 2016 les femmes sont libres, liberres et epanouies.de qui se moque t on?c est pas ca l amour.un homme qui force, qui contraind, qui fait du chantage a sa copine pour la fellation et ensuite on dit que c est la fille qui a le pouvoir.nln seulement, on les prend pour des putes, mais aussi pour des connes




bonjour avec mon compagnon,on pratique le sexe oral,je me débrouille assez bien dans se domaine,mais je sent que mon compagnon aimerait faire des gorges profondes,es.qu il y a des personnes qui la pratique est pourrait me donné des conseils?merci
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De moins en moins tabou, le sexe oral reste une pratique intime. D’abord il y a les mots... fellation et cunnilingus . Si le premier a une sonoritĂ© feutrĂ©e et gouleyante, le second est carrĂ©ment anguleux, plein d’aspĂ©ritĂ©s et de voyelles fermĂ©es. Cunnilingus... On le prononce la bouche en cul de poule, ce qui est tout de mĂȘme un comble pour un geste Ă©rotique exquis, pour ce baiser qui unit lĂšvres et sexe.
Et au-delĂ  des mots, les chiffres montrent Ă  quel point ces pratiques sont courantes. Si l’on Ă©pluche les statistiques qui mettent en Ă©quations les comportements sexuels des Français, on dĂ©couvre qu’environ 20% des adultes ne "fellationnent" et ne "cunnilinguent" pas, que seuls 3% le font encore aprĂšs quinze ans de mariage, que l’on s’adonne d’autant plus aux joies de la sexualitĂ© orale que l’on est diplĂŽmĂ©. Des donnĂ©es qui ne font pas vraiment transparaĂźtre ce qu'il se joue ou non, dans la pratique du sexe oral, qui pour beaucoup reprĂ©sente l'aboutissement de l'intime. Toutes et tous s'y livrent-ils par envie et inspiration, pur conformisme ou alors avec dĂ©goĂ»t ? 
La fellation semble remportĂ© tous les suffrages du cĂŽtĂ© des hommes. Dans Le Nouveau Rapport Hite , publiĂ© en 2000 (Ă©d. J’ai Lu), 95% des rĂ©pondants privilĂ©giaient la pipe, plus que n'importe quoi d'autre. Et depuis la sortie, en 1972, du film culte "Gorge profonde", la fellation est devenue une figure incontournable du vocabulaire sexuel. L’hĂ©roĂŻne, qui dĂ©couvre inopinĂ©ment que son clitoris est placĂ© au fond de sa gorge, y avale goulĂ»ment des membres aux dimensions impressionnantes.
A partir de lĂ , l’engobage vorace de pĂ©nis devient un clichĂ© porno affligeant. Tous les films X comportent plusieurs scĂšnes oĂč des actrices au bord de la nausĂ©e siphonnent ardemment le sexe de leurs partenaires avant de se prendre en pleine figure le produit de leur jouissance. La fellation est mise en scĂšne non pas d’une maniĂšre voluptueuse, mais dans un contexte de domination. Or, si l’on en croit les hommes que l'on a interrogĂ©s, les films porno ont tout faux. D’aprĂšs Guillaume, "95% des filles sucent mal, prĂ©cisĂ©ment parce qu’au lieu de traiter avec une douceur fondante le sexe de leur partenaire, elles imitent avec une vigueur besogneuse l’appĂ©tit fĂ©roce des actrices de films X".
Dans son livre "Écrit sur la bouche" (Ă©d. Odile Jacob), le docteur Claude Olievenstein explique que "la fellation rend la dĂ©charge orgastique proche de la tĂ©tĂ©e, de la dĂ©couverte de la vie, de la continuitĂ© du nourrisson avec l’homme, une continuitĂ© Ă  l’intĂ©rieur de l’interdit". PlutĂŽt que de pompages furieux, les hommes rĂȘvent en rĂ©alitĂ© d’une paresse rĂ©gressive. Sabine, 36 ans, Ă©crivaine fait partie de celles qui adorent la fellation. "Quand je dĂ©sire un homme, il faut que je le prenne dans ma bouche. C’est instinctif. Quand je sens le sexe d’un homme frĂ©mir et gonfler entre mes lĂšvres, ça me bouleverse. C’est Ă  la fois violemment sexuel et profondĂ©ment amoureux, comme un baiser . Avec la bouche et la langue, on est au plus prĂšs du corps de l’autre, encore plus qu’avec les doigts ou le sexe. On devine les plus infimes palpitations, les changements de consistance, la duretĂ© trĂšs spĂ©ciale qui prĂ©cĂšde la jouissance. On est Ă  la fois dans la fusion et la maĂźtrise, la rĂ©ceptivitĂ© totale et la virtuositĂ©", confie-t-elle, enflammĂ©e.
Avant de poursuivre, "quand je vois que j’ai amenĂ© mon homme Ă  des sommets de jouissance, ça me rend Ă  la fois fiĂšre et comblĂ©e. Je n’ai pas besoin de rĂ©ciprocitĂ© automatique. Je ne suis d’ailleurs pas une adepte du 69. Il y a trop Ă  faire et Ă  sentir en mĂȘme temps, du coup, on n’est pas Ă  ce que l’on fait, on perd sur tous les tableaux. Je m’endors parfois en tenant le sexe de mon compagnon dans la bouche, comme une tĂ©tine de chair. LĂ , il n’est pas question de jouissance. Juste d’une tendresse absolue".
CĂŽtĂ© cunnilingus, les avis divergent un peu plus. D'abord, parce qu'il est Ă©trangement plus tabou que son homologue fellation. Toujours dans le rapport Hite, on peut lire Ă  quel point certaines femmes dĂ©robent leur sexe aux lĂšvres de leur amant, Ă  quel point elles ont peur d’ĂȘtre "sales, dĂ©goĂ»tantes". Par contre, pour celles qui entretiennent une relation harmonieuse avec leur propre corps, la sexualitĂ© orale a infiniment plus de sens que la pĂ©nĂ©tration . La facultĂ© qu’a l’homme de dĂ©guster jusqu’à l’ivresse le sexe de sa compagne est le signe absolu de son amour des femmes, de sa santĂ© sexuelle.
Plus que la pĂ©nĂ©tration, elle permet de reconnaĂźtre et de sentir intimement le corps de l’autre. Sans elle, Ă©crit Guido Ceronetti dans "Le Silence du corps" (Ă©d. Albin Michel), "il n’est pas de connaissance complĂšte de la fĂ©minitĂ©. C’est comme un enseignement murmurĂ© dans une grotte humide." James, 51 ans, producteur tĂ©lĂ©, est un adepte du cunnilingus. "Je prĂ©fĂšre ĂȘtre au service du plaisir des femmes que l’inverse. Je me rends compte d’ailleurs que je raisonne en termes de rapport de forces. Pour moi, embrasser le sexe d’une femme ne relĂšve pas d’un asservissement mais d’une attirance profonde. Je suis aimantĂ© par cet endroit-lĂ  d’une maniĂšre instinctive, archaĂŻque. C’est comme retourner vers la matrice originelle, c’est un refuge primordial, la source de tout", confie-t-il. 
Et malgrĂ© les chiffres dithyrambiques, il existe aussi des personnes - femmes et hommes - qui n'aiment pas ça. "Je n’aime pas sucer. J’ai l’impression que les hommes aiment ça plus que n’importe quoi d’autre et, du coup, ça me dĂ©valorise, ça me fait penser que le fait que j’aie un corps de femme n’est pas important", lĂąche Ma rie, 25 ans. L'Ă©tudiante insiste aussi sur le fait que "il n’y a pas de diffĂ©renciation sexuelle dans la fellation. Tu n’es plus qu’une bouche qui pourrait ĂȘtre n’importe quelle bouche ou une machine perfectionnĂ©e. Quand ça dure, ça fait mal aux mĂąchoires, ça Ă©touffe". 
Faustine, une ergothĂ©rapeute de 28 ans, partage plus ou moins cette vision. "Pour ĂȘtre honnĂȘte, je ne suis pas trĂšs branchĂ©e sexe", dĂ©bute-t-elle. Et de continuer, "j’aimerais que l’on m’explique... D’aprĂšs les bouquins de psycho et de mythologie, les hommes sont censĂ©s avoir une sainte trouille du sexe fĂ©minin, le percevoir inconsciemment comme un endroit obscur, menaçant et castrateur. Selon la fameuse lĂ©gende du vagin dentĂ©, le sexe fĂ©minin serait muni de dents imaginaires prĂȘtes Ă  dĂ©vorer le membre masculin. Si ce fantasme est vraiment aussi rĂ©pandu, comment se fait-il que les hommes n’aient pas peur de mettre leur zizi entre de vĂ©ritables dents qui pourraient le mordre ? Il y a lĂ  une contradiction qui m’échappe! C’est vrai que les hommes sont toujours partants pour une fellation. Je n’ai pas une expĂ©rience monstrueuse, mais je n’en ai pas rencontrĂ© un seul qui refuse". De son cĂŽtĂ©, elle n'aime pas vraiment ça. Elle avoue mĂȘme "s'en servir, pour avoir la paix". "Je vois ça comme une gentillesse, mais le truc en lui-mĂȘme ne me transporte pas. Ce qui est loin d’ĂȘtre rĂ©ciproque. Car j’ai remarquĂ© que certains, qui pourtant adorent se faire "gĂąter", ne pensent mĂȘme pas Ă  rendre la pareille, ils semblent mĂȘme Ă©viter. Pour moi, c’est rĂ©dhibitoire", ajoute-t-elle. 
MĂȘme chose pour Guillaume, qui rĂ©pĂšte donc que les fellations "mĂ©caniques" ce n'est vraiment pas son truc. "Si la fille ne prend pas son pied en taillant une pipe, si elle ne le fait pas spontanĂ©ment, c’est qu’elle n’a pas vraiment de dĂ©sir, et rien n’est plus dĂ©sagrĂ©able que de recevoir une caresse forcĂ©e". Et le cunnilingus, c'est encore autre chose. "Moi, j’adore sucer. J’adore le sexe en gĂ©nĂ©ral. Curieusement, j’ai Ă©tĂ© mariĂ© pendant cinq ans avec une fille hyper-coincĂ©e, Ă©levĂ©e dans un milieu catho intĂ©griste. Elle refusait les cunnis ! Elle trouvait ça immoral, dĂ©gĂ©nĂ©rĂ©. Quand j’y suis finalement arrivĂ©, sa jouissance a Ă©tĂ© tellement intense que ça m’a fait peur", confie-t-il alors. 
Et enfin, mĂȘme si nos tĂ©moins n'en parlent pas, il y a aussi des personnes - hommes et femmes - qui n'aiment simplement pas la sensation d'une langue sur leur sexe, et vice versa, leur langue sur un sexe. Parce qu'en terme de sexualitĂ© plus que tout ailleurs peut-ĂȘtre, tous les goĂ»ts sont dans la nature. 
Le docteur Jacques Waynberg vient de participer Ă  l’élaboration du Dictionnaire de la pornographie*.
"C’est dans la sexualitĂ© orale que s’exprime la qualitĂ© de la fonction Ă©rotique. Une sexualitĂ© orale harmonieuse suppose d’avoir franchi les barriĂšres de la pudeur, d’un dĂ©goĂ»t de soi et de l’autre. C’est le lieu de l’intime. LĂ , une charge Ă©motionnelle et affective est beaucoup plus importante que lors de la pĂ©nĂ©tration. C’est par l’oralitĂ© que passe une acceptation de son propre sexe et de celui de l’autre. Si les hommes et les femmes Ă©taient mieux sucĂ©s, il n’y aurait pas de complexe sur l’apparence et la conformitĂ© des organes gĂ©nitaux. Le marchĂ© de la chirurgie esthĂ©tique gĂ©nitale ne prendrait pas cette dimension, que je trouve catastrophique."
(*) Sous la direction de Philippe Di Folco (Ă©d. puf).
Article publié initialement dans le magazine Marie Claire, en juin 2008 - réédité en juin 2019 
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La fellation serait-elle le ciment du couple ? Paroles de femmes et d'hommes sur une pratique qui n'a aujourd'hui plus rien de taboue. Pipe, pipe hourra ?
« Je veux bien m’agenouiller, mais pas sans retour. Pas de cunni, pas de pipe ! Un jour, je suis tombĂ©e sur un maniaque de la turlutte. La seconde fois, j’ai rĂ©clamĂ© la rĂ©ciprocitĂ©, il m’a rĂ©pondu qu’il n’aimait pas ça. Ni une ni deux, je l’ai zappĂ©. DĂ©solĂ©e, mais on est en 2012 ! »
Bruno, 37 ans, en couple depuis deux ans
« La pipe est ma pratique favorite, je la prĂ©fĂšre Ă  la pĂ©nĂ©tration, les sensations sont plus variĂ©es. J’ai parfois du mal Ă  obtenir gain de cause. Je crois que les femmes ont peur qu’on ne les force Ă  aller au bout, alors je fais gaffe Ă  ça, et j’offre la rĂ©ciproque bien volontiers. »
Daphné, 36 ans, en couple depuis cinq ans
« Je pratique la fellation spontanĂ©ment. MoitiĂ© en prĂ©liminaires, moitiĂ© en plat de rĂ©sistance ! Quand j’ai vraiment envie de “ça”, j’utilise de la chantilly ou du chardonnay, je m’amuse avec son pĂ©nis, que j’aime renifler et voir de prĂšs. Je n’ai jamais eu d’orgasme en suçant, mais ça m’excite beaucoup. Un mec m’a dit, un jour, que j’étais la meilleure pipeuse qu’il ait connue, ça m’a beaucoup flattĂ©e. J’ai souvent fait hurler mes partenaires de plaisir, ça me donne un sentiment de toute-puissance, c’est jouissif mentalement ! Un psy m’a expliquĂ© : “Pour rendre un homme heureux, aimez son sexe.” Je crois que si toutes les femmes comprenaient ça, elles seraient plus heureuses avec leur mec. »
Julie, 35 ans, en couple depuis sept ans
« La pipe, ça doit toujours venir de moi : ça ne se demande pas, ça s’accueille ! Je ne supporte pas qu’on m’appuie sur la tĂȘte. Cela dit, je le fais avec plaisir, c’est rigolo, comme une expĂ©rience de chimie Ă  l’école : on observe de prĂšs le tube Ă  essai ! Et puis c’est amusant Ă  pratiquer. Je ne demande jamais la rĂ©ciprocitĂ©, ça non, je suis une femme de gauche, je suis pour le gratuit, trĂšs 2.0, quoi. Je donne, et comme il est bien Ă©levĂ©, il donne en retour, pas forcĂ©ment illico, mais la fois suivante. La fellation, c’est une reprĂ©sentation de la bonne entente entre les sexes et, oui, j’
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