J'ai de fantasmes avec les flics

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J'ai de fantasmes avec les flics
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ATTENTATS - J'ai commandĂ© un Uber, qui est arrivĂ© en quelques minutes. ÉchaudĂ© par certains petits malins, spĂ©cialistes des dĂ©tours, j'ai insistĂ© pour que mon chauffeur allume son GPS. "Comme vous voulez", m'a-t-il rĂ©pondu dans un grand sourire, en tapotant l'Ă©cran. "Parce que les GPS, c'est bien beau mais ça manque de bon sens. Il y a des fois oĂč suis sidĂ©rĂ© par ce qu'ils me proposent."
ATTENTATS - La nuit derniĂšre, Ă  Sydney, j'Ă©tais tellement absorbĂ© par un article que j'ai complĂštement ratĂ© mon arrĂȘt de bus. Comme je ne reconnaissais pas le quartier, j'ai appuyĂ© sur le bouton et je me suis retrouvĂ© devant un concessionnaire Ferrari bien Ă©clairĂ©.
J'ai commandĂ© un Uber, qui est arrivĂ© en quelques minutes. ÉchaudĂ© par certains petits malins, spĂ©cialistes des dĂ©tours, j'ai insistĂ© pour que mon chauffeur allume son GPS.
"Comme vous voulez", m'a-t-il rĂ©pondu dans un grand sourire, en tapotant l'Ă©cran. "Parce que les GPS, c'est bien beau mais ça manque de bon sens. Il y a des fois oĂč suis sidĂ©rĂ© par ce qu'ils me proposent."
Je me suis enfoncĂ© dans le siĂšge, et on a bavardĂ© des choses habituelles: ses horaires et sa charge de travail. J'ai fait un commentaire sur quelques bĂątiments neufs, Ă©rigĂ©s lĂ  oĂč se tenait ma sociĂ©tĂ© de vente aux enchĂšres prĂ©fĂ©rĂ©e. Il m'a dit que Sydney Ă©tait en train de changer, et trĂšs vite. "C'est un peu la mĂȘme chose partout", lui ai-je rĂ©pondu, en mode vieux croĂ»ton. Il m'a dit qu'il Ă©tait Indien et qu'il connaissait bien le quartier. Je l'ai regardĂ©. MĂȘme assis, on voyait qu'il Ă©tait frĂȘle. Son menton dĂ©passait Ă  peine du volant.
"Et puisqu'on parle de bon sens..." a-t-il ajouté, en revenant au GPS. "Je n'arrive pas à comprendre comment ces types peuvent tuer des gens de sang-froid."
Bien que le sujet soit dans tous les esprits, j'ai Ă©tĂ© pris de court. Il semblait avoir saisi la premiĂšre occasion de glisser ça dans la conversation. J'ai reconnu un de ces instants entre chauffeur et passager oĂč l'on se sent libre de passer du banal Ă  l'intime, parce qu'on sait que la coexistence sera de courte durĂ©e. Je me suis redressĂ© sur mon siĂšge.
"Je suis musulman", a-t-il expliqué, presque comme un aveu. "Tout ça n'a rien à voir avec ce qu'on m'a appris quand j'étais enfant."
Je l'ai écouté en silence. Il semblait avoir besoin de parler. Quand il avait reçu ma commande, il était en train de prier dans une mosquée à Zetland. Il avait passé presque toute la journée à prier.
"Ces types disent agir au nom de l'islam. Moi, j'ai Ă©tudiĂ© la religion, la thĂ©ologie. Étymologiquement, le mot Ê»islam' est dĂ©rivĂ© d'un mot qui signifie Ê»paix'."
Il m'a parlé d'un de ses professeurs, qui lui avait expliqué comment les gens interprétaient le Coran pour l'adapter à leurs propres besoins. Un homme d'affaires choisit certaines citations pour justifier ses actions, un djihadiste aussi. Nous avons évoqué le nombre de religions pareillement détournées. Je l'ai vu s'essuyer les yeux.
J'ai demandĂ©: "Il n'y a pas un commandement dans le Coran... comme dans la Bible... qui dit: Ê»Tu ne tueras point'?"
"Bien sûr que si!" s'est-il exclamé. "La deuxiÚme plus grande loi déclare que tuer une seule ùme, c'est tuer l'ùme de toute l'humanité. Et que sauver une seule ùme, c'est sauver toute l'humanité."
Nous Ă©tions arrivĂ©s Ă  destination - juste devant King Street - mais nous avons continuĂ© Ă  discuter dans la voiture (il avait coupĂ© le compteur!). Une pluie fine Ă©claboussait le pare-brise tandis que nous regardions, au carrefour, le flux des fĂȘtards du samedi soir. Nous nous faisions l'effet de deux flics en planque dans un film, venus d'horizons trĂšs Ă©loignĂ©s.
Il a cité les versets du Coran que brandissaient souvent les fondamentalistes, en les sortant complÚtement de leur contexte historique. Nous avons pleuré sur les victimes de Paris, sur les jeunes martyrs endoctrinés à force de lavage de cerveau. "La propagande tire parti de leurs fantasmes d'enfants", disait-il. Nous avons cherché un mot sur lequel nous séparer.
Ma pauvre tentative: "J'ai l'impression qu'il faut se faire à cette idée. Ca fait maintenant partie de nos vies."
"Qu'est-ce que vous avez pensé en premier, ce matin, en apprenant la nouvelle?" m'a-t-il demandé.
Faute de mieux, j'ai rĂ©pondu: "A vrai dire, mĂȘme si je savais qu'ils ne risquaient rien, j'ai d'abord pensĂ© Ă  ma famille et Ă  mes amis. J'Ă©tais bouleversĂ© pour toutes les victimes de Paris. Mais dans une tragĂ©die pareille, je me prĂ©occupe toujours un peu de ceux qui me sont proches."
"C'est quelque chose de fondamental!" a-t-il dit. "L'amour est notre seule défense!"
C'était une conclusion idéale. J'ai refermé la portiÚre, et j'ai filé vers le dßner qui m'attendait, avec certains de ces amis si chers. "Je viens de passer un moment vraiment émouvant avec un chauffeur Uber", leur ai-je dit. Et, pendant toute la soirée, je n'ai cessé d'y repenser. Aujourd'hui, en écrivant ceci, je n'ai pas envie d'en faire tout un plat. J'ai juste envie de vous raconter cette petite conversation impromptue avec un chauffeur Uber de Sydney, un musulman qui se désolait qu'on lui ait volé sa religion.
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La liste des fantasmes sexuels les plus fous

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Si vous ne deviez aller voir qu’un seul film au cinĂ©ma cette semaine, on vous conseille vivement « Les Fantasmes », de David et StĂ©phane Foenkinos. Les frĂšres-rĂ©alisateurs ont rĂ©uni un casting royal (Monica Bellucci, Nicolas Bedos, Jean-Paul Rouve, entre autres) pour nous dresser la liste des 6 fantasmes sexuels les plus fous.



AdaptĂ© d’un film australien, « Les Fantasmes » raconte les histoires, complĂštement distinctes, de six couples qui tentent d’explorer les faces cachĂ©es de leur vie intime. Sans jamais tomber dans la vulgaritĂ©, et toujours avec beaucoup de finesse et de tendresse, David et StĂ©phane Foenkinos ont imaginĂ© des personnages qui se questionnent sur leur dĂ©sir et sur ce qui leur permet d’accĂ©der au plaisir dans leurs rapports intimes.


Ainsi, le personnage campĂ© par CĂ©line Sallette est dacryphile . Ce qui l’excite, ce sont les larmes et elle est donc prĂȘte Ă  tout pour rendre son mari, jouĂ© par Nicolas Bedos, extrĂȘmement malheureux.

Carole Bouquet et Monica Bellucci, quant à elles, sont fascinées par la mort. Elles sont thanatophiles.


Mais, pas la mort dont on parle Ă  la tĂ©lĂ©vision ou dans les journaux! Ce n’est que lorsqu’un ĂȘtre qu’elles connaissent personnellement perd la vie qu’elles ont envie de faire des folies sous la couette. Et, quoi de mieux que de travailler bĂ©nĂ©volement dans une maison de repos pour donner un coup de boost Ă  leur vie intime?
Ramzy Bedia joue un personnage aux antipodes des rĂŽles qu’il a pu interprĂ©ter jusqu’ici: un homme trĂšs sĂ©rieux
 et sorophile . S’il aime sa fiancĂ©e, c’est sa sƓur qui fait monter le dĂ©sir en lui.



Notre duo prĂ©fĂ©rĂ© est interprĂ©tĂ© par Karin Viard et Jean-Paul Rouve, qui aime ĂȘtre regardĂ© en train de faire l’amour (autagonistophilie, Ndlr). « Le rapport que nous entretenons Ă  notre sexualitĂ© est sĂ»rement le plus grand rĂ©vĂ©lateur d’une personnalitĂ© « , expliquent David et StĂ©phane Foenkinos. Et, on ne peut pas leur donner tort! D’ailleurs, c’est ce qu’on a particuliĂšrement aimĂ© dans ce long-mĂ©trage. Plus que de sexualitĂ©, il est question de passions refoulĂ©es, d’occasions ratĂ©es, de culpabilitĂ©, d’amour, de rĂ©vĂ©lations, de tout ce qui fait la beautĂ© et la diversitĂ© de l’humanitĂ©. « Certains personnages gĂšrent trĂšs bien leur dĂ©sir, tentent parfois de le partager, tandis que d’autres le dĂ©couvrent avec stupĂ©faction, ou essayent en vain de le repousser « , ajoutent-ils encore.



Et, aussi surprenant soit-il, tous les fantasmes Ă©voquĂ©s dans le film, comme la ludophilie, le fait d’ĂȘtre excitĂ© par l’idĂ©e de jouer un rĂŽle, ou l’hypophilie, ĂȘtre excitĂ© de ne plus faire l’amour , existent vraiment. « Nous avons quasiment agi en sociologues en nous renseignant auprĂšs de praticiens, en Ă©pluchant Internet « , prĂ©cisent les rĂ©alisateurs. « Il en a rĂ©sultĂ© une impressionnante liste de prĂšs de 250 fantasmes, qu
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