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Publié le
08/05/2016 à 07:00







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La levrette offre une stimulation qui permet d'arriver à l'orgasme vaginal ou clitoridien.
Etre face à un mur, ne pas voir son partenaire, oublier son clitoris, se sentir soumise... Certaines femmes n'apprécient pas la levrette. Du moins, pas tout de suite. Sept femmes qui nous ont confié comment, avec le temps, cette position était devenue une de leurs préférées. 

Car Sabrina, 30 ans, n'a pas apprécié la levrette la première fois. Pourtant avec le temps et de nouveaux partenaires, elle le dit désormais haut et fort: "J'adore ça! La pénétration est plus profonde, je sens mieux le pénis de mon compagnon." Jennifer, 32 ans, est d'accord. Pour elle, la levrette offre des orgasmes vaginaux : "J'ai connu grâce à elle mon premier orgasme vaginal, que je différencie bien du clitoridien que je rencontre en missionnaire par exemple." 

En effet, dans cette position, pas de stimulation possible du clitoris lors du frottement des corps. Ce qui fait de la levrette une figure sexuelle jugée trop "phallocentré" pour les femmes, selon l' étude Ifop de 2015 Les Françaises et l'orgasme . On y découvre que 83% d'entre elles pratiquent la pénétration mais seules 28% connaissent ainsi l'orgasme. Si on ajoute une stimulation du clitoris, elles sont en revanche 38% à jouir. Mais seulement 40% des femmes disent faire l'amour avec cette double stimulation. Autrement dit, il est dommage de négliger le clitoris s'il est bon pour notre plaisir! 

"La levrette n'est pas ma position préférée principalement pour une raison physiologique, à savoir que le plaisir pour moi ne peut pas être uniquement vaginal", abonde Sévérine, 40 ans. 

La levrette n'empêche pourtant pas une stimulation du clitoris . Audrey, 27 ans, explique qu'elle se touche elle-même durant le rapport, surtout si elle sent que son compagnon va jouir . "Ou bien il s'en occupe lui-même. Nous connaissons tous les deux l'importance du petit bouton." Pour une levrette moins phallocentrée, on peut donc toucher son clitoris, ou pourquoi pas jouer avec un petit canard vibrant (des fois qu'on ait le bras court). 

Si Audrey aime la levrette, c'est pour son côté surprenant. "Je ne vois rien, je ne sais pas s'il va me mettre une petite fessée , me tirer les cheveux ou pourquoi pas être plus tendre en me caressant les fesses ou le clitoris. Au départ, l'idée de ne rien contrôler me dérangeait, c'est pour ça que je me touche aussi moi-même. Mais à force de pratique, j'ai appris à laisser faire." Ludivine, 29 ans, exprime le même ressenti avec d'autres mots: "J'aime sentir l'autre haleter, comme si je devais le deviner. On est obligée de mettre en alerte nos autres sens, le plaisir monte en flèche." 

Quant à Jennifer, si l'effet surprise ne la gêne pas, elle a tout de même besoin de garder un contact visuel . Alors pour elle, la solution, c'est le miroir: "On se regarde, c'est plus puissant! Et on se voit faire l'amour, je trouve ça excitant ." 

Sabrina aime le côté "bestial" de la levrette: "Parfois, ça fait du bien, entre deux rapports sexuels plus doux. J'ai besoin d'alterner. J'aime être à quatre pattes, ça me ramène à un état plus animal et le rythme est toujours plus soutenu. C'est plus physique , on transpire, c'est sauvage." Jennifer apprécie aussi l'aspect soumission: "Il gère tout, je suis sa chose et il fait comme il veut. C'est une façon pour moi de m'abandonner." 

Ce rapport de forces peut toutefois être envisagée sous un angle plus tendre. Au mot " soumission ", Camille, 25 ans, préfère le terme "rassurant": "Tout le monde dit que c'est bestial -ce qui n'est pas faux- mais le fait que mon homme me tienne par les hanches, que je sente ses mains sur moi, ça me permet de me sentir 'encadrée'. Le fait qu'il m'agrippe, me tienne, c'est très protecteur . Ce n'est pas de la domination au sens 'dominant-dominé sexuel' mais de la domination tendre, rassurante." 

"J'aime proposer cette position à mon partenaire quand il l'apprécie -car les hommes l'apprécient souvent", dit Sandra, 40 ans, elle-même davantage portée sur le plaisir clitoridien . Dans ce cas, la levrette a un côté fun du type 'je fais semblant d'être soumise'. Et puis c'est le mec qui bosse. Dans ce cas-là, je le laisse faire et prendre son plaisir. L'idée qu'il adore cette position fait monter mon excitation ." Dans son cas, le plaisir donné en procure en retour. 

Audrey confie qu'à force de levrettes, elle et son compagnon sont venus à la sodomie naturellement. "On n'en parlait pas mais je pense qu'on voulait essayer. La position de la levrette a préparé le terrain. Installés tous les deux, avant la pénétration, il me caressait les fesses, le dos, et puis très spontanément, nous avons opté pour la sodomie." 

Emilie, elle, refusait la levrette, car elle craignait que son compagnon voie ses fesses en "gros plan". La solution a été le noir total dans la chambre. "J'ai découvert de nouvelles sensations, si bien que j'ai appris à m'abandonner de plus en plus et à allumer la lumière. En somme, cette position a été comme une étape dans ma vie sexuelle. Il a fallu oser -dans mes conditions- pour aujourd'hui le dire: je me sens plus en confiance au lit, j'apprends à me lâcher davantage". 


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De plus en plus de femmes se moquent des différences d’âge et ne le regrettent pas ! Les jeunes mâles ont tout pour faire du bien. La preuve…
Il n'y a que le jeune qui aille ? A voir se multiplier le nombre de semi-cougars – ces femmes de 30 à 40 ans qui aiment des hommes de dix ans de moins qu’elles –, on pourrait le croire. Plus légers, plus respectueux, plus romantiques et même plus chauds… les jeunes mâles enflamment le coeur de leurs aînées. Le phénomène semble bien parti pour s’installer. Attention, vous pourriez bien succomber au petit jeune. Parce que, avec lui…
« C’est simple : dès que je passe la porte de chez moi, je rajeunis de dix ans, se réjouit Laurence, 42 ans et huit de plus que son mari. Vu mon âge, je commence à me poser des questions sur ma carrière, à prendre conscience du temps qui passe, du fait qu’on n’est pas éternel… Mais lui, il a 34 ans, il a encore l’impression qu’on a la vie devant nous, qu’on peut tout faire. Quel bonheur ! » A entendre les semi-cougars, un homme plus jeune, c’est la fraîcheur de vivre. On le suit dans ses soirées de jeunes, on retrouve le plaisir des week-ends un peu arrosés entre gens qui n’ont pas encore d’enfants… « Et c’est un effet qui dure, assure Coralie, 35 ans, mariée à un jeune homme de 27 ans. Au début, ce qui était très drôle, c’était qu’il vivait encore chez sa mère… J’avais à nouveau 18 ans. Moi qui sortais d’un divorce, ça m’a fait un bien fou, j’ai retrouvé l’envie, la confiance, la légèreté. Mais, même maintenant, alors que nous allons avoir un enfant, j’adore son enthousiasme, ses réactions m’étonnent toujours, c’est presque comme sortir avec un étranger : il ne connaît pas Les Forbans ! »
Le désir féminin n’est plus censuré. « Or, avoir un homme plus jeune à son bras, c’est afficher sans complexe son désir, explique le psychanalyste Jacques André (1). Ces femmes sont donc typiques de notre époque : elles osent désirer, l’assument pleinement. » Et quoi de mieux, au moment où l’on se connaît enfin vraiment et où l’on s’épanouit bien plus qu’à 20 ans, que de rencontrer un homme encore fougueux ? « Quand Sylvain s’est déshabillé devant moi pour la première fois, je suis restée bouche bée, raconte Bénédicte, 44 ans et douze de plus que son homme. Ça faisait une éternité que je n’avais pas embrassé un torse pareil. J’étais folle. Et heureuse : moi à qui on avait dit que tous les hommes de mon âge étaient pris, eh bien, j’ai eu mieux ! Quant à lui, je crois qu’il aime le fait que je ne me pose pas de questions dans l’intimité. Je me lâche plus qu’à 20 ans. Je n’ai jamais été autant en osmose avec quelqu’un. » Comme Bénédicte, toutes les semi-cougars le disent : elles se sentent beaucoup plus sexy…
(1) Auteur de « La Sexualité masculine » (Puf).
« Au début ? Je ne le prenais pas au sérieux », assurent-elles toutes. « Les moeurs ont beau avoir changé, l’inconscient, lui, est immuable », souligne Jacques André. Le fantasme de l’homme plus mûr, installé socialement, demeure. Alors, quand elles croisent la route d’un jeunot, ces femmes, souvent très accaparées par leur vie de famille et leur profession, envisagent cette nouvelle histoire comme un jeu. « Pendant un an, je l’ai vu sans y croire, reprend Coralie. Je me disais, il a 24 ans, il n’a pas envie de sérieux, et moi, je sors d’un divorce, alors on va juste s’amuser. Je ne projetais rien, je n’ai jamais surinvesti cette relation, elle ne m’a jamais angoissée. Et résultat : deux ans après, on s’est mariés ! » Même chose pour Laurence : « Comme cette histoire me semblait bizarre, au début, je ne le voyais qu’en cachette de mes amis, c’était drôle… C’est lui qui a insisté pour qu’on vive ensemble, qu’on fasse un enfant. J’ai été la première surprise. »
Paradoxalement, avec un homme plus jeune qu’elles, ces femmes assurent que les rapports de force disparaissent. « Avant, explique Elodie, 38 ans et dix années de plus que le père de sa fille, avec mes ex qui avaient mon âge, il y avait toujours des tensions sociales ou professionnelles. Par exemple, si je parlais de mes problèmes au bureau, ils portaient en général un regard assez paternaliste sur moi. Ce que ne fait jamais mon copain. » Comment l’expliquer ? Peut-être parce que, explique François Lelord, psychanalyste (2), « ces hommes qui se mettent en couple avec des femmes plus âgées qu’eux ont été élevés par des mères autonomes. Ça a rendu les enfants sensibles à un idéal de femme forte. La relation amoureuse s’apprend avec les parents, ils ont donc cherché une femme qui s’assume. Et cette femme se trouve dans une tranche d’âge supérieure ». Coralie, déjà mère d’un petit garçon quand elle a rencontré son mari, est certaine que c’est cela qui lui a plu : « Il avait envie d’une famille, d’une femme stable, qui travaille, qui assure pour son enfant… Et il aime s’impliquer avec moi, m’encourage dans tous les domaines. Du coup, nous avons une relation très douce. » Idem pour Bénédicte : « On ne se compare pas puisqu’on n’est pas comparables ! Curieusement, notre différence d’âge nous rend plus égaux… Chacun a son rôle. Moi, je suis un peu celle qui travaille beaucoup, qui est ambitieuse. Lui est moins investi professionnellement mais il est viril, apaisant, protecteur. » « Quand on choisit un homme plus âgé, reprend François Lelord, on s’inscrit dans un schéma plus classique, où le couple joue un rôle social. Tandis que, dans ces couples-là, c’est l’intime qui est développé. » Chacun y rassure l’autre.
(2) Auteur de « La Petite Marchande de souvenirs » (JC Lattès).
Amis réticents, angoisse des rides, de l’horloge biologique... les écueils pourraient être nombreux. « La première fois que j’ai vu les amis de Cyril, nous confi e Delphine, sept ans de plus que son homme, ils n’y ont vu que du feu. Mais, quand je me suis trahie en parlant de Depeche Mode, j’ai dû dire mon âge. Les garçons s’en moquaient, mais les filles ont très mal réagi. Elles ont dit à Cyril que je lui ferais un enfant dans le dos. Ça aurait pu nous séparer. Au contraire, non seulement on s’est sentis “seuls contre tous”, mais c’est ce jour-là qu’il m’a dit que, justement, il voulait un enfant ! » Le déséquilibre serait-il romantique ? « Autrefois, analyse François Lelord, on dissuadait les femmes de fréquenter un homme plus jeune qu’elles en leur disant : il va te quitter. Mais, aujourd’hui, on sait que toute relation est périssable… Alors, les femmes acceptent de prendre ce risque. » Un sentiment de fragilité qui peut parfois nourrir les sentiments, comme le dit Bénédicte : « Bien sûr, j’ai peur du moment où j’aurai 50 ans et lui 38, mais, du coup, j’ai encore plus envie de profiter du présent. » « Il y a un sentiment ambivalent dans ces histoires, pense Jacques André : les femmes sont angoissées à l’idée de vieillir, donc attachées à cet homme plus jeune, qui leur rappelle aussi qu’elles sont plus vieilles… » Il n’empêche : il suffit de regarder le génial Zlatan Ibrahimovic au bras de son Helena (de onze ans son aînée) pour s’en assurer : l’amour ne compte pas le nombre des années.
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