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Affaires: Jacques Chirac ne convainc pas les Français





Affaires: Jacques Chirac ne convainc pas les Français








Publié lundi 18 décembre 2000 à 01:12








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Une majorité de sondés ne suit pas le président de la République lorsqu'il prétend, lors de son intervention jeudi soir sur TF1, qu'il n'y a ni crise morale ni crise politique.
Sceptiques, les Français, quand Jacques Chirac – lors de l'interview jeudi soir sur TF1 – prétend ne rien savoir d'un accord entre partis sur leur financement illégal: à plus d'un sur deux (58% contre 34%) ils ne sont pas convaincus par leur président. Pas plus qu'ils ne le suivent (56% contre 40) quand il prétend qu'il n'y a ni crise morale ni crise politique dans le pays. Et pourtant, ils ont trouvé bonne son intervention (70%), et ils comprennent, à 54%, son refus de témoigner devant un juge. Mieux, il ne varie guère (à 55%) dans l'image qu'il donne de chef de l'Etat.
Intéressant sondage, en ce qu'il montre nos voisins volontiers désabusés et sceptiques sur la sincérité et l'honnêteté de leur président. Mais conservant cette vénération de la fonction, qui le dispenserait de s'expliquer devant la justice. La personne du roi est intouchable: il en reste quelque chose ici.
Ce n'est pas l'avis d'un homme très respecté, Robert Badinter. L'ancien garde des Sceaux, à la première page du Monde daté de dimanche-lundi, estime que «le président de la République [lui] paraît faire erreur quand il prétend que sa fonction lui interdit d'être entendu comme témoin». Dans une démonstration limpide, l'ancien ministre ne conteste nullement que le président jouisse d'une immunité pénale quasi absolue. Mais rien n'interdit, poursuit-il, que le chef de l'Etat se présente au juge comme simple témoin. Parce que sa déposition peut être utile à cette vérité que les magistrats sont chargés de débusquer. Pour un président, premier magistrat du pays (car il est garant de l'indépendance de la justice et préside le Conseil de la magistrature), c'est même «un devoir de sa charge».
Il reste que – conformément à l'appel de Chirac – la justice, comme la presse, suit son cours. Le lendemain même de son intervention, le Parisien détaillait un dossier sur l'état d'avancement d'une l'enquête, «nouvelle épée de Damoclès» note le quotidien, pour le président: celle des emplois fictifs à la Mairie de Paris. La presse, de surcroît, s'emploie à montrer que, sur le financement des partis politiques, sur les comptes du RPR, sur l'affaire des marchés publics d'Ile-de-France, le chef de l'Etat a joué la dissimulation et les contre-vérités. Dont celle, patente, de ses liens présumés avec le fameux Jean-Claude Méry, auteur de la cassette qui a fait tant de bruit: «Je n'ai jamais eu de relations personnelles avec lui», avait dit Chirac. Malheureusement pour lui, on sait non seulement que les deux hommes se sont côtoyés, à plusieurs reprises. Mais que Jacques Chirac s'était déplacé dans les Pyrénées-Orientales en septembre 1989 pour contempler un projet d'urbanisme monté par Méry. Photos à l'appui!
Il reste à savoir jusqu'à quel point cette stratégie de la dénégation, de plus en plus visible, pourra se poursuivre sans dégâts, pour la démocratie ou pour Chirac. Ou si, tout compte fait, jouer au chat et à la souris avec la vérité fait partie, à leurs yeux, d'un mal nécessaire, inhérent à la politique.
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Darren Criss



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traduction des paroles





I've seen her face, I've heard her name
J'ai vu son visage, j'ai entendu son nom
I've lost my place and she's to blame.
J'ai perdu ma place et elle est à blâmer.
And I can't stand it when I'm staring in her eyes,
Et je ne peux pas le supporter quand je la regarde droit dans les yeux,
J'ai entendu de la musique, j'ai entendu du bruit
I wish that she could hear her voice
Je souhaite qu'elle puisse entendre sa voix
The way that I do, when I go to sleep at night
Le chemin que je fais, quand je m'endors la nuit
Mais elle est partie lorsque je me réveille
The way her hair falls in her eyes, makes me wonder if
La façon dont ses cheveux tombent dans ses yeux, me fait me demander si
She'll ever see through my disguise, I'm under her spell
Elle ne verra jamais à travers mon voile, je suis sous son charme
Everything is fallin', I don't know where to land
Tout s'écroule, je ne sais pas où atterrir
I've see you singin' on that stage,
Je t'ai vu chanter sur cette scène,
Looking like an angel and all I do is pray (that maybe)
Ressemblant à un ange et tout ce que j'ai fais c'est prier
One day you'll hear my song and understand that all along
Un jour tu entendras ma chanson et tu comprendras
There's something more that I'm trying to say, when I say
Qu'il y a quelque chose de plus que j'essaye de dire, quand je dis
What you're doing to me (what you're doing to me)
Ce que tu me fais (ce que tu me fais)
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DEPUIS L'Ã?GE de 8 ans, cette jeune fille aujourd'hui âgée de 18 ans devait se soumettre aux fantasmes de son beau-père, qui se livrait sur elle à des attouchements sexuels. Mercredi, la jeune femme a été libérée de ce lourd fardeau. Son beau-père, un homme âgé de 43 ans, a été déféré au parquet de Versailles. L'homme, un ancien chauffeur routier devenu menuisier, a été placé sous contrôle judiciaire avec interdiction de retourner au sein de la famille. C'est derrière les murs d'un tranquille pavillon de Chanteloup-les-Vignes, à l'heure où elle faisait ses devoirs, que la petite fille de l'époque devait se plier aux exigences de son beau-père, à l'écart de ses trois frères et soeurs. Faire ses devoirs sous la surveillance intéressée de son beau-père était alors devenu un calvaire pour la petite fille. A chacune de ses fautes, elle devait quitter un vêtement jusqu'à se retrouver nue devant cet homme. Plus tard, au moment de son adolescence, la jeune fille devait alors visiter régulièrement la cabine du camion de son beau-père Murée dans un monde effrayant, la jeune fille n'a jamais pu se libérer des griffes de son beau-père. Ce n'est qu'en juin 2000, après qu'il lui a fait visionner un film pornographique pour « lui faire son éducation », a-t-il déclaré lors de sa garde à vue, qu'elle a craqué. Elle en a d'abord parlé à sa tante. Puis, au début de l'année dernière, à son médecin scolaire, qui a immédiatement alerté le procureur de la République. Au terme de plusieurs mois d'investigations, les enquêteurs du commissariat de Conflans-Sainte-Honorine ont interpellé le beau-père, lundi. Lors de sa garde à vue de quarante-huit heures, l'homme a reconnu l'avoir « peut-être regardée sous la douche ».
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