J Aime La Bite Gay

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Par
Florian Ques
le 30/08/2022

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Conception by CosaVostra
2021

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Après avoir annoncé leurs fiançailles au printemps 2021, Simon Porte Jacquemus, créateur de la marque de prêt-à-porter à son nom, et son partenaire Marco Maestri, communicant de profession, se sont enfin passé la bague au doigt. Les vœux ont été échangés ce samedi 27 août à Charleval, une petite commune des Bouches-du-Rhône qui a vu grandir le styliste trentenaire, avant une belle cérémonie dont plusieurs images ont été postées par le principal intéressé sur son compte Instagram.
S'ils se sont dit oui devant leurs proches à la mairie, c'est au château de Bonneval que Jacquemus et son époux ont célébré comme il se doit leur union. Parmi les convives, un florilège de personnalités publiques : l'humoriste Fary et sa compagne Amina Muaddi, la créatrice de mode Jeanne Damas, le rappeur belge Damso, la mannequin Mica Argañaraz, et enfin la popstar britannique Dua Lipa qui portait pour l'occasion une robe Jacquemus.
Dans le carrousel des images mises en ligne par Jacquemus , on retiendra le sens de la mise en scène du couple qui s'est placé au sommet de son immense pièce montée, tellement over the top . On trouve aussi un extrait du discours amoureux et gentiment kinky délivré par le créateur à son mari : "J'aime tes 'je t'aime', très réguliers, j'aime comment tu es avec tes amis, j'aime ta famille, j'aime tes valeurs, j'aime ta manière de racler tes yaourts (…), j'aime tes soudaines obsessions, j'aime ta bite." So gay !
En amont de la cérémonie, Jacquemus avait par ailleurs annoncé une initiative louable . "À 17h30, au même moment où on était en train de se marier, un tee-shirt en partenariat avec Urgence Homophobie comportant un dessin de Pepo Moreno a été mis en ligne, a expliqué le créateur dont le cœur n'est plus à prendre. Toutes les recettes seront reversées à l'association."
Crédit photo : Jacquemus via Instagram

Archivé de: Gay Relations – Numéro 75
Date de parution originale: inconnue

Date de publication/archivage: 2017-09-26

Auteur: Marco
Titre: J'aime me branler
Rubrique:
Note: Le magazine Gay Relations ayant disparu, nous vous présentons alors sur l'archive des textes y ayant paru au fil des ans, à titre d'archive, le but premier de l'archive étant que la littérature homo-érotique se préserve au fil du temps. Si vous êtes l'auteur de ce texte, ou si vous détenez des droits légaux sur ce texte, veuillez communiquer avec nous sans délais.
Ce texte a été lu 4375 fois depuis sa publication (* ou depuis juin 2013 si le texte a été publié antérieurement)


Je suis un fana de la branlette. C’est une passion, une obsession. Je m’astique la queue en moyenne deux à trois fois par jour, seul ou avec un autre mec. La plupart du temps je suis satisfait de me laisser traire, mais il arrive aussi quelquefois que j’ouvre mes petites fesses pour accueillir un gros membre qui me ramonera le cul. J’apprécie beaucoup, dès le lever, de constater que mon chibre est en parfait état de marche, un puits à foutre qui donnera encore des centaines de barils avant d’être tari. Le matin, je ne peux pas me lever avant d’avoir joui entre mes draps. Je laisse généralement une cassette de cul dans mon magnétoscope, juste en face de mon lit avec la télé, ce qui me permet d’avoir un accompagnement avec son et image quand je fais monter la sauce.

Je commence toujours par laisser courir mes mains sur mes tétons, puis je me caresse les cuisses et les couilles. Après quelques minutes, je prends mon sexe en main et je regarde le film. Ce matin c’était un film bi. J’aime bien voir aussi quelques nanas se gougnoter entre elles, et c’est encore mieux quand elles regardent leurs partenaires masculins se sucer la bite mutuellement. Ça me fait tellement bander de vous l’écrire qu’il faut absolument que je baisse mon slip pour faire reluire ma bite... Ah comme c’est bon d’avoir la queue bien raide. J’aime m’exhiber quand je me branle, ou raconter par le menu comment j’arrive à l’orgasme. En ce moment par exemple, je titille le bout de mon gland avec mon ongle, et je fais monter et descendre le prépuce de ma tige, raide comme du bois. J’espère que ça vous excite aussi, hein, tas de cochons ? D’ailleurs, si vous jouissez à la fin de votre lecture, n’hésitez pas à me contacter par l’intermédiaire du magazine qui me retransmettra vos lettres enflammées. J’en trique à l’avance. Vous la voyez, devant vos yeux ? oui, là ! Ma queue...

Aujourd’hui je dois rencontrer un type qui s’appelle Armand. Armand porte l’uniforme, mais je ne vous dirai pas lequel... Je l’ai contacté par l’intermédiaire des petites annonces. Son texte était assez classique, mais très explicite quant à sa recherche. J’ai répondu, en joignant une photo de moi, en train de me branler, naturellement. C’est une photo assez marrante, prise par une copine tandis que je me soulageais entre ses seins. À côté de mon visage, on aperçoit la queue de son ami, et on pourrait croire que je vais le sucer. En réalité je ne l’ai pas fait, car ils sont hétéros tous les deux et on voulait juste se marrer en prenant quelques clichés osés. Enfin bref, toujours est-il que j’ai rendez-vous avec ce mec à trois heures tapantes. Quand il arrive, il me serre la main et je le fais entrer dans le couloir. Il se dirige vers la cuisine, mais je le prends par le bras pour le remettre dans le droit chemin, c’est à dire vers la chambre à coucher. J’ai enclenché un film avant son arrivée, pour créer une atmosphère érotique. Ce n’est pas si facile de se mettre dans le bain, surtout avec un inconnu. On n’est pas des bêtes, non ? Bon je vous accorde que quelquefois... ça pourrait se discuter, mais dans le cas présent, il y a nécessité de faire ami-ami avant de se lancer dans la débauche la plus éhontée.

Armand se débarrasse de son manteau et de ses pompes pour se retrouver en chaussettes sur mon pieu. Ça m’ennuie un peu parce que je préférerais le voir à poil. Alors au bout de quelques minutes à regarder le film, pendant que l’on compare les mérites des acteurs, je me déloque petit à petit. D’abord la chemise, dont je défais les boutons un par un, assez lentement. Armand me mate discrètement pendant l’opération puis commence lui aussi à enlever ses vêtements. Il suit le même rythme que moi, aussi baisse-t-on ensemble ou presque nos slips pour nous exhiber l’un à l’autre, nus et déjà bandants. Je m’approche de lui et je me frotte contre sa jambe. Je prends son sexe dans ma main et je le branle lentement. Il ne mouille pas encore mais je sens que ça va venir. Pour ma part, la proximité de son corps m’excite tellement que ma liqueur suinte déjà un max. Je sens que je vais l’inonder, et pas dans cinquante ans ! Lui par contre, il ne mouille toujours pas. Au bout d’un quart d’heure, il se lève et part chercher du gel dans son sac. Apparemment il a un petit problème de ce côté là.

Lors de son retour, il passe tout près de moi et sa queue, bien qu’à demi bandante m’attire irrésistiblement. Je me précipite sur lui pour la fourrer dans ma bouche. Je le suce avec frénésie car je sens que mes couilles débordent et que je vais gicler, ce qui se produit deux ou trois secondes après. Je lâche de longs jets de sperme sur ses jambes, ce qui paraît enfin l’intéresser. Du coup il se rallonge pour se branler avec le jus qu’il a récupéré de mes burnes. Moi je m’astique de nouveau le dard et bientôt nous ahanons de concert. Je sens que je vais jouir encore une fois. Je me retiens le plus longtemps possible, d’une part en arrêtant de me branler, et d’autre part en essayant de penser à autre chose. Mais le spectacle de la bite en rut qui s’offre à mes yeux m’excite assez pour que le plaisir me laisse au garde-à-vous, prêt à faire feu. Armand me caresse le ventre et les couilles, ce qui n’arrange rien. Je lui dis que je suis à deux doigts de faire jaillir mon jus. Il approche à ce moment sa bouche de mon pieu et il passe sa langue sur mon méat lustré. Il a visiblement envie d’avaler du jus de bite. Je n’en peux plus de me retenir ; quand il engloutit mon engin jusqu’au fond de sa gorge, mon sperme jaillit des profondeurs comme un torrent en furie qui dévale les pans d’une montagne, à la fonte des neiges... Il enserre mon membre de ses lèvres pour ne pas en laisser perdre une goutte. Je suis obligé de lui tirer les cheveux pour qu’il me lâche. Il finissait par me faire mal, le bougre.

C’est à son tour de ne plus pouvoir se retenir. Je le branle de mes deux mains car je suis impatient de le voir exhaler sa passion. Il jouit très fort. Son liquide est chaud et abondant ; il s’élève très haut en l’air avant de retomber en pluie sur nos corps, nus et pressés l’un contre l’autre. Dès qu’il a fini, je me précipite sur sa bouche pour l’embrasser. Mes mains étalent le sperme tout en le caressant. Je reprends ma queue ne main. Bien qu’ayant juté deux fois, la situation est trop bandante pour laisser mon arme vidée. Armand est lessivé et c’est avec stupeur qu’il me regarde me masturber au-dessus de son visage. Mon sexe turgescent est de nouveau raide, prêt à l’asperger...


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