J Ai Enculé Ma Tante

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J Ai Enculé Ma Tante

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Folie ? Sensibilité exacerbée ? Ou quelque chose de plus ?...


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C’était en août 2013, j’étais en Tunisie pour rendre visite à ma famille. Lors de mes derniers jours de vacances je devais passer voir ma tante (la sœur de mon père) durant un week-end.
Depuis mon plus jeune âge, on me racontait que sa maison était habitée par des djinns (créatures « démoniaques » dans l’islam) et qu’ils étaient très actifs sans forcément être méchants. N’étant pas téméraire, je n’étais pas très chaud pour dormir là-bas mais mon sens du devoir familial étant plus fort que ma peur, j’ai pris mon courage à deux mains et j’ai franchi la porte de ma tante Beya.
Dès la première seconde, j’ai tout de suite senti une odeur assez désagréable. Je ne dirais pas que l’odeur était nauséabonde, mais extrêmement âcre et l’atmosphère était très lourde. Ma famille (du côté de mon père) est connue dans mon village pour baigner dans le mystique. Ma tante pouvait passer des nuits entières à vous raconter des histoires étranges.
Dès le premier soir, j’ai demandé à ma tante de me parler de ces djinns, pensant que ses paroles me rassureraient peut-être. Elle m’a dit que les djinns qui habitaient sa maison étaient musulmans, qu’ils étaient très croyants et qu’ils ne voulaient pas que l’on fasse de mauvaises choses entre ses murs. Elle m’a raconté qu’un jour mes cousins avaient bu de l’alcool, ce qui n’avait pas été apprécié par les entités. S’en étaient suivi des attaques violentes contre ma tante et mes cousins, qui s’étaient fait mordre et harceler durant toute la nuit. Ne buvant pas d’alcool, je me suis dit que c’était déjà bien pour ne pas me faire embêter…
Il était à peu près minuit quand toute la famille a décidé d’aller se coucher. Étant naturellement insomniaque, j’ai mis près de 4 heures pour trouver le sommeil ! J’ai fini par m’endormir, mais aussitôt l’appel à la prière s’est fait entendre ! Il était 5 h du matin. N’étant pas habitué, cela m’a réveillé mais ce n’était pas du tout désagréable, bien au contraire. J’avais l’impression que l’appel du Muezzin me détendait… Les autres membres de la famille étaient toujours en plein sommeil malgré le bruit (l’habitude peut être).
J’aurais dû me douter qu’à ce moment-là il allait se passer quelque chose. La pièce où j’étais donnait sur une petite cour, elle avait une petite fenêtre à gauche et une petite fenêtre à droite. Entre elles, il y avait une porte en bois mal fixée. J’ai alors vu une ombre très sombre à travers la fenêtre de gauche se diriger vers la porte. J’étais paralysé… Impossible de parler, de bouger etc…
L’ombre était devant la porte et elle la frappait violemment, comme si elle voulait l’ouvrir sans pouvoir le faire. Elle a tenté deux fois d’ouvrir ou de frapper à la porte (je ne sais pas trop). J’étais effrayé ! Après deux tentatives, l’ombre s’est dirigée vers la droite et elle est passée devant la petite fenêtre. Je l’ai vue traverser la cour pour aller vers le jardin. Avec tout ce raffut, je me suis dit que mes cousin(e)s allaient peut-être se réveiller ! Mais non… Il n’y a que moi qui ai vu et entendu cela !
Je n’ai pas dormi de la nuit, je n’ai pas pu fermer l’œil. J’étais terrifié et je serrais fort un Coran contre ma poitrine tout en récitant des versets coraniques. Pour me rassurer je me disais que cette ombre (djinn) était sûrement musulmane et que l’appel à la prière l’avait réveillée ! Je ne savais plus quoi penser !
Le lendemain matin, j’ai questionné tout le monde, leur demandant s’ils avaient entendu quelque chose, mais ils m’ont répondu que non. J’ai demandé à ma tante si elle me croyait, elle m’a répondu que oui. Elle a rajouté qu’il n’y avait rien à craindre, que le djinn que j’avais vu allait sûrement​ prier. Comme vous pouvez vous l’imaginer, je suis resté stupéfait de sa réponse et de la normalité de la situation (pour eux).
Quelques heures plus tard je suis parti car je devais rentrer en France. Dans l’avion, je n’ai pas arrêté de penser à ce qui c’était passé cette nuit-la ! À mon retour en France, mes parents m’ont confirmé que cette maison était très bizarre et que des évènements s’y déroulaient quotidiennement, à la vue de tous.
Quelques mois après, ma tante Beya s’est éteinte… Je suis de nouveau rentré en Tunisie pour son enterrement. Durant la mise en terre, je me suis dit que vu le temps qu’ils avaient passé ensemble dans la maison (près de 40 ans), les djinns étaient sûrement là près de nous pour assister à l’enterrement de leur colocataire Beya… Paix à son âme.
Hello! Perso je te crois: quand tu disais que le djiin voulait ouvrir la porte bon y avait le choix: toi tu es restée paralysée mais au pire fallait prendre son courage à deux mains et lui ouvrir la porte! XD
Enfin j’aurais tenté de bouger mais je pense que j’aurais pas eu le courage de le faire. Bref paix à l’âme de ta tante….
Tout le monde connait la paralysie du sommeil… Elle est la réponse préférée des sceptiques. Ils la sortent dès qu’ils le peuvent. Dès qu’un phénomène se passe la nuit, paf, paralysie du sommeil. Boring.
Une étrange bien étrange !
Je ne m’y connais pas beaucoup en Djinns, je serais fort intéressé par ce « type » d’entité, un peu de connaissance élargirai mon savoir.
Que ta Feue tante repose en paix.
Bonjour ! Les djinns sont des êtres qui ont été créés avec un libre-arbitre et qui vivent sur terre, dans un monde parallèle à celui des hommes. Le mot « djinn », en arabe, est dérivé du verbe « janna », qui signifie cacher ou dissimuler. Ils sont donc physiquement invisibles aux yeux des hommes, comme leur nom le suggère. Toutefois, l’influence qu’a le monde des djinns sur les hommes suffit pour réfuter les arguments de ceux qui nient l’existence de ces créatures de Dieu. Les djinns peuvent avoir une religion ou pas, ils peuvent avoir des enfants, une famille, … Read more »

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Rentrée scolaire


L'histoire du conte Ma tante, ma mère... ou le contraire?

Mis à jour le 4 mars 2020
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Une histoire proposée par Marie-Hélène, 13 ans.

   Prologue   Hier j'ai eu treize ans. Enfin, ma mère commence à me traiter un peu plus en adolescente et elle m'a laissé faire un super party. Tous mes amis étaient là; on était au moins vingt-cinq au sous-sol. Tous les gars, ou presque, voulaient danser avec moi... pour une fois que je suis le moindrement populaire! Bien sûr, il y avait Esther, ma meilleure amie, qui dansait avec son beau Julien. Je crois les avoir aperçus s'embrasser, mais je dois demander à Esther la confirmation de mon doute!   Tout était parfait, j'ai reçu de supers cadeaux de tout le monde... mon préféré fut celui de ma meilleure amie, elle avait demandé la permission de ma mère pour le cadeau et m'avait offert... une chatte! Elle est toute mignonne, toute grise et je l'aie appelée Edza.   Ce soir, je suis super heureuse, je repense à hier, couchée sur mon lit avec Edza. J'écoute de la musique avec mon nouveau lecteur de c.d., cadeau de ma tante (et marraine) Hélène. Sans m'en apercevoir, je me dois m'être endormie car je me réveilla le lendemain toute endolorie.   Chapitre 1   Nous sommes lundi.   J'enfile un jeans et un t-shirt propre et descends à la cuisine. J'y trouve ma mère, les cheveux en bataille, les yeux cernés et en pyjamas, qui boit un café.   - Bonjour Éli, tu te prépares pour l'école ?   - Ouais, répondais-je en me servant un bol de céréales. Je mange vite en écoutant ma mère raconter le plan de sa journée. Je n'écoute que d'une oreille distraite, je pense à autre chose. Quand maman termina de parler, je monta à ma chambre pour m'y préparer.   Je monte dans l'autobus et, comme depuis le début de l'année, vais m'asseoir auprès d'Esther. La discussion se porta, bien sûr, sur mon anniversaire. Je ne pus m'empêcher de lui demander, d'une façon trop directe à son goût:   - Es-tu amoureuse de Julien Martineau ?   Mon amie me regarda avec de grands yeux, mais je savais bien qu'elle s'amusait comme une folle en entendant ça. Mais je la vis bien rougir et je ne pus m'empêcher d'éclater de rire. Ça s'arrêta là.   En descendant de l'autobus, nous nous dirigeons toutes deux vers les portes avant de l'école secondaire. Nous marchons aussi vers le même casier puisque nous le partageons. Esther et moi sommes toujours ensemble, partout: dans les cours de peinture, d'improvisation... tout!   Esther me chuchote:   - Oh non Éli, Julien s'en vient par ici... m...!   - Ben voyons ! répondais-je. Je te laisse avec ton... amoureux.   Je laissai quelques secondes d'espace entre "ton" et "amoureux".   En marchant vers le local de mathématique, je me demandai bien ce qu'ils pouvaient se raconter, et me dis aussi qu'il serait bien temps que j'en ai un amoureux, moi aussi.   Je m'assis à mon bureau et sortis mes cahiers. Pour une fois, monsieur Gauthier ne me regarde pas avec ses gros yeux, car aujourd'hui je ne suis pas en retard. C'est plutôt Esther qu'il fixa de cette façon quand celle-ci entra! Elle rougit un peu en stoppant sa marche, et puis vint s'asseoir à côté de moi. Le cours commença.   Je déchire un bout de mon cahier et écrivis: «Raconte-moi», simplement.   Mon amie me le repassa, il était écrit:   «Il me donne rendez-vous après l'école.»   «Chanceuse !»   C'est ce qui est écrit sur la feuille que je lui tend. Malheureusement pour nous deux, le prof remarqua notre petit manège et vint m'arracher le bout de papier des mains. Résultat: une copie de cent mots. La journée fut longue.   Ce soir là fut un soir bien ennuyant. Ma mère ne cessait de me demander si j'allais bien, car j'était supposément toute blanche. J'avais aussi cette foutue copie de monsieur Gauthier, ce professeur sévère surnommé «Macaroni» dont j'avais oublié la cause de son surnom. Bref, je n'avais pas le coeur à écouter les propos d'Esther quand celle-ci me téléphona, mais j'écoutai tout de même, par gentillesse peut-être. Son après-midi avec Julien avait été super, romantique et tout et tout... re-bref, mon amie était la plus heureuse de toutes et, non pas que je sois jalouse, mais ça me désespérait un peu. Je suis montée me coucher, avec Edza sur les talons. Je me suis endormie en rêvant.   Ce matin je me suis réveillée avec un terrible mal dans le dos et un effrayant mal de coeur. En me voyant, ma mère a tout de suite décidée que je manquerais l'école. J'étais toute blanche, toute cernée, finalement, pas très jolie à voir !   La journée fut deux fois pire qu'hier, couchée dans mon lit à ne rien faire. Heureusement qu'Esther m'appela en fin de soirée ! Contrairement à la veille, je ne fut pas désespérée de son appel, plutôt
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