Israelienne soumise mais souriante

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Israelienne soumise mais souriante
Doctorant Ă  l’universitĂ© Jean-Moulin-Lyon-3 et juriste en droit des affaires
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Une presse israélienne toujours soumise à la censure
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Souvent pugnace, adepte de titres chocs qui ont forcĂ© plus d'un ministre Ă  la dĂ©mission, la presse israĂ©lienne doit passer sous les fourches Caudines de la censure dĂšs lors qu'elle aborde un sujet touchant Ă  « la sĂ©curitĂ© de l'Etat ». Durant la guerre contre le Hezbollah, Ă  l'Ă©tĂ© 2006, les reporters n'avaient pas le droit de faire Ă©tat de l'endroit oĂč atterrissaient les roquettes de la milice chiite. En 2010, les autoritĂ©s interdirent toute publication relative Ă  l'arrestation d'une jeune conscrite, soupçonnĂ©e d'avoir transmis des informations classĂ©es secret-dĂ©fense Ă  un journaliste. Comme dans le cas du « prisonnier X », l'ordre de censure fut levĂ© lorsque l'affaire commença Ă  fuiter Ă  l'Ă©tranger et sur des sites Internet. « L'armĂ©e et le gouvernement doivent se rendre compte que nous vivons au XXIe siĂšcle et qu'il n'est plus possible de tout garder secret » , estime Yossi Melman, un spĂ©cialiste du renseignement, qui appelle Ă  une rĂ©forme de ce systĂšme.
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Photo diffusée sur Facebook par une ex-soldate israélienne, posant souriante à cÎté d'un prisonnier palestinien (AFP)
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Les réseaux sociaux représentent un nouveau défi pour Tsahal dans son contrÎle des informations diffusées par les soldats, aprÚs le scandale des photos d'une jeune soldate souriante à cÎté de prisonniers palestiniens attachés.
Dans sa lutte pour la sécurité, l'armée israélienne fait face à un nouveau défi : tenter de contrÎler ce que ses propres soldats diffusent sur Internet. Facebook, YouTube et d'autres sites populaires, sont désormais une véritable source de nuisance pour l'armée, alors que les jeunes recrues y diffusent des données sensibles , voire confidentielles.
Cette question est au coeur des débats en Israël, aprÚs la récente mise en ligne sur Facebook de photos montrant une ex-soldate souriante à cÎté de prisonniers palestiniens attachés et ayant les yeux bandés. Cette publication est venue s'ajouter à d'autres affaires récentes.
Ainsi, le mois dernier, une vidĂ©o de soldats israĂ©liens dansant sur le tube de Kesha "TiK ToK" pendant une patrouille en Cisjordanie a Ă©tĂ© diffusĂ©e sur YouTube , ce qui leur a valu un blĂąme. Au mĂȘme moment, une unitĂ© des services secrets a lancĂ© un groupe Facebook pour ses membres qui dĂ©voilait des dĂ©tails de la base secrĂšte oĂč ils Ă©taient affectĂ©s. La page a Ă©tĂ© retirĂ©e quelques jours plus tard.
Plus grave encore, un raid militaire en Cisjordanie a dĂ» ĂȘtre reportĂ© cette annĂ©e, aprĂšs qu'un soldat ait diffusĂ© sur Facebook des dĂ©tails de l'opĂ©ration Ă  venir.
De tels incidents illustrent " la difficultĂ© pour l'armĂ©e d'agir, de s'en tenir au rĂšglement et d'empĂȘcher tout incident dans un contexte oĂč les nouvelles communications sont une rĂ©alitĂ©", note Sheizaf Rafaeli, directeur du Centre de recherche sur Internet et de l'Ă©tude des sociĂ©tĂ©s d'information Ă  l'UniversitĂ© de HaĂŻfa.
Ce phénomÚne contraste avec les médias traditionnels, soumis à la censure militaire . Ainsi, médias israéliens et internationaux doivent soumettre à l'armée les articles contenant des informations potentiellement sensibles. L'accÚs au personnel militaire est trÚs limité et les entretiens, obtenus de haute lutte, se déroulent dans des conditions trÚs strictes.
Les derniers clichés ont dominé l'actualité israélienne mardi, suscitant les condamnations de l'armée. Les médias arabes y ont consacré une grande part de leur couverture. Selon les Palestiniens et les organisations israéliennes de défense des droits de l'Homme, ces photos sont un symbole cruel de l'occupation.
La jeune femme à l'origine du scandale, Eden Aberjil, a reconnu mardi avoir agi de façon " irréfléchie ", mais a affirmé n'avoir voulu en aucune façon humilier les détenus. Elle s'est étonnée de l'ampleur de la polémique. "Je n'ai pas humilié ces détenus. Je ne les ai pas frappés, je n'ai pas agi à leur encontre de façon déplaisante", a-t-elle expliqué. Elle a retiré les photos aprÚs avoir reçu des commentaires les jugeant inappropriés.
A la question de savoir si ces clichĂ©s violaient son code de conduite, la compagnie Facebook a rĂ©pondu ne pas ĂȘtre intervenu pour obtenir leur retrait, se refusant Ă  tout autre commentaire sur cette affaire.
L'armée israélienne permet à ses soldats d'utiliser les réseaux sociaux , mais seulement pour y diffuser des données non classifiées. Tous les soldats sont informés du rÚglement. Un officier, s'exprimant sous couvert d'anonymat, a expliqué que le service de censure avait les moyens de s'assurer qu'aucune information sensible n'est publiée sur Internet.
Mais dans les cas jugés embarrassants mais ne constituant pas une menace pour la sécurité, comme les photos d'Eden Aberjil, "nous ne pouvons rien faire ", a-t-il commenté.
Le capitaine Barak Raz, un porte-parole de l'armĂ©e, a ajoutĂ© qu'il s'agissait lĂ  d'une question de morale, et non de sĂ©curitĂ©. Il s'est surtout dit prĂ©occupĂ© par le fait que de telles photos aient pu ĂȘtre prises, "ce qui constitue une violation flagrante de notre code Ă©thique" . La jeune femme n'Ă©tant plus dans l'armĂ©e, on ignore si elle pourra ĂȘtre sanctionnĂ©e.
Dans le passĂ©, les lettres envoyĂ©es par les soldats Ă  leurs familles pouvaient ĂȘtre censurĂ©es. Ce n'est "plus possible" aujourd'hui, observe Sheizaf Rafaeli.

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