Intime avec deux sœurs
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Intime avec deux sœurs
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Histoires d'Amour Animées. Histoires de Relations d'Ados
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Pourquoi est-il impossible d’oublier l’amour que vous avez ressenti pour votre âme sœur ? Voici pourquoi vous ne pouvez pas tomber en désamour avec votre âme sœur, une fois que vous avez ressenti des sentiments forts pour lui/elle.
Une âme sœur est ce rare humain avec lequel vous avez un lien inexplicablement profond et magique. Dès votre première rencontre, vous ressentez quelque chose de différent. Cela commence par une étincelle de reconnaissance dans les yeux et une agitation de l’âme….
Vous avez peut-être eu d’autres relations où il y avait une forte alchimie mais vous savez que cette fois-ci il y a une grande différence car vous avez l’impression de connaître cette personne depuis toujours.
D’ailleurs, vous pouvez avoir des flashs de vos vies précédentes ou de vos vies dans un univers parallèle. Vous avez l’impression que cet homme est votre amant et, d’une certaine manière, bizarrement et merveilleusement, votre famille aussi.
Et lorsque vous vous connectez à la plénitude de votre être, vous ne voulez peut-être plus jamais lâcher prise.
En fait, il se peut que vous ne soyez pas capable de les laisser partir complètement….
Lorsque vous vous séparez de votre âme sœur, le résultat est émotionnellement dévastateur. D’ailleurs, cela vous transforme en une personne complètement différente.
Pourquoi deux âmes sœurs peuvent finir par se séparer ? Votre amour pour cette personne peut se bloquer lorsque votre cœur se ferme pour ne plus être blessé par elle ou à cause de votre propre résistance qui vient du fait que vous avez été blessée dans le passé.
Ou votre âme sœur peut avoir vécu des traumatismes dans son passé et il ne peut pas s’ouvrir à l’amour. Du moins, pas encore…
Cependant, la plupart des âmes sœurs, tant que les circonstances le permettent, se retrouvent. Et, quand cela se produit, vous avez l’impression de ne jamais avoir été séparés.
Les âmes sœurs se retrouvent car elles ont encore du travail à faire ensemble ! Elles ont des leçons à apprendre ensemble et elles doivent mutuellement se soutenir afin de devenir des personnes meilleures.
Bref, tant que vous aurez un travail profond à faire ensemble, vous aurez du mal à rester longtemps séparée de votre âme sœur.
Mais il ne s’agit pas d’un comportement émotionnel codépendant dans lequel une personne s’accroche à sa relation, même si celle-ci est abusive ou incompatible.
Lorsque votre âme sœur et vous êtes ensemble, vous êtes à l’aise et votre cœur peut enfin se reposer. Dans ses bras, c’est comme si rien d’autre ne comptait (jusqu’à ce que votre esprit et votre égo se mettent en travers et créent des problèmes).
Mais, même quand vous êtes séparés, votre âme sœur est toujours là, avec vous, sous la surface. Vous pouvez commencer à voir presque toute la vie à travers la lentille de votre expérience commune, votre compréhension de qui il est réellement et de sa vision du monde.
Vous pouvez également ressentir des énergies et des impulsions profondes que vous n’avez jamais ressenties auparavant avec une autre personne. Cette relation peut modifier fondamentalement votre façon de voir et votre expérience, voire vos intérêts et vos tendances.
Ce genre d’amour est rare, profond et merveilleux… et oui, il peut être super intense aussi ! Donc si vous n’arrivez pas à surmonter les inévitables tempêtes qui découlent de ce genre de lien d’âme à âme, vous risquez de devoir vous séparer à nouveau.
Mais la rupture n’est pas forcément causée par un événement tragique ou cataclysmique. Par exemple, vos chemins peuvent se séparer parce que vos visions du futur sont trop différentes, vous vivez une relation à longue distance ou vous n’êtes pas prêts à vous engager sérieusement.
Après tout, nous nous sommes humains et nos cœurs ne laissent pas beaucoup de place à l’amour, à la douleur et aux difficultés….
Votre homme sera peut-être seulement présent dans votre cœur mais, au moins, il ne vous quittera jamais complètement. Donc votre essence personnelle va être profondément touchée par l’aura de cette personne.
Votre homme fera toujours partie de vous. D’une façon ou d’une autre. Voilà pourquoi vous ne pouvez jamais arrêter d’aimer une âme sœur.
Vous ne pouvez pas tomber en désamour avec votre âme sœur, une fois que vous avez ressenti des sentiments forts pour lui.
Cela ne veut pas dire qu’il n’y a pas d’espoir ! Au contraire, vous avez simplement un peu de travail d’âme à faire. Ce que cela exige n’est rien de moins qu’un recadrage total de votre perspective ; un virage à 180 degrés si vous voulez de la façon dont vous avez opéré et vu la perte ou la séparation.
Quelle que soit la manière dont vous y arrivez, vous devez d’une manière ou d’une autre comprendre que votre séparation était tout aussi importante que votre rapprochement !
C’est tellement évident lorsque vous l’envisagez dans une perspective plus large – parce qu’il suffit de regarder la croissance qui a dû se produire pour que vous vous remettiez de cette perte apparente.
Cela ne veut pas dire qu’il n’y a pas de douleur, ou qu’il n’y avait pas de douleur ou que vous devriez contourner la douleur. Au contraire, il se peut que vous deviez replonger à fond dans cette souffrance pour intégrer les parties fracturées de votre âme et libérer la douleur.
En vous. Vous devez retrouver l’amour pour cette personne et tout ce que vous avez partagé ensemble. C’est ainsi que vous redeviendrez entière et que vous accepterez pleinement les enseignements et la croissance de la relation.
Dans le processus de guérison des blessures et d’intégration des grandes leçons, vous retrouverez les parties de vous-même que vous avez peut-être perdues et vous serez plus forte et plus brillante que vous ne l’étiez auparavant.
Soyez reconnaissante d’avoir connu ce genre d’amour et d’avoir rencontré l’âme sœur dans cette vie. Mais n’oubliez pas que votre âme est vaste et que vos vies sont nombreuses, donc il n’y a pas qu’une seule âme sœur pour chaque personne !
Vous pourriez bien trouver un autre amour aussi grand, vaste et vrai que celui-ci.
En fait, si vous faites ce travail, vous pourriez les trouver plus tôt que vous ne l’imaginiez !
N’oubliez pas d’honorer toutes vos âmes sœurs, même les hommes qui sont partis depuis longtemps ou qui vous ont brisé le cœur.
Aussi difficile que cela puisse être, souvenez-vous d’eux et aimez-les comme si vous étiez à nouveau amoureuse, honorez-les et récupérez les parties de vous qui ont été laissées derrière vous lorsque vous vous êtes séparés.
Et souvenez-vous : une partie de ces personnes sera toujours avec vous. Au lieu de la combattre ou de vous tourmenter à son sujet, chérissez-la !
Posted on Last updated: février 19, 2021
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Accueil » Dans le train et avec ma cousine
Aujourd’hui, j’ai 20 ans. Assez grande et très mince, j’ai de longs cheveux châtains clairs qui ondulent jusqu’au milieu du dos, des yeux bleu ciel, un visage qui mélange douceur et volonté. J’ai de mignons petits seins bien ronds dont je suis très fière et une peau satinée, légèrement bronzée naturellement. Sportive et active, j’ai toujours aimé être habillée assez sexy mais classe. Coquine, je le suis depuis longtemps et c’est ce que je me propose de vous raconter.
À dix-huit ans, j’ai commencé à goûter les plaisirs d’être une femme. Depuis, mes aventures n’ont cessé de s’accumuler et j’avoue que mon expertise, dans le domaine aujourd’hui, vaut celle de plusieurs femmes mûres. Voici donc le récit d’une de mes premières aventures sexuelles.
Cet été là, je viens tout juste d’avoir dix-huit ans et je vais passer deux bonnes semaines chez ma cousine Nathalie en Suisse. Je ne la connais qu’en photo, mais bigre ! Qu’elle est jolie ! On m’a toujours parlé de cette cousine en tant qu’informaticienne travaillant pour une grosse boîte suisse, mais elle ne semble pas avoir la grosse tête. Après les adieux à mes parents, on monte dans le train de nuit pour Genève. Nathalie est avec moi car elle est venue me chercher à Paris. Nous partageons notre compartiment avec une dame et ses deux fils. Le plus âgé, probablement 18 ans, est beau gosse. Blond aux yeux gris-bleu, il porte un chouette T-shirt et un pantalon sport avec des Doc Martens, mais le plus important, c’est qu’il me fait immédiatement un gentil sourire sans rien oser me dire. Moi je fais petite fille bien sage avec ma robe d’été en coton bleu à bretelles sur un chemisier blanc à courtes manches. Je suis assise en face lui, il fait semblant de lire mais je sens bien qu’il ne me quitte pas des yeux. Il a l’air sportif et ses jambes couvertes de petits poils blonds montrent une peau douce. Après avoir mangé, on met les couchettes en place et je prends une des couchettes supérieures. Je sens son regard sous ma jupe quand je grimpe à l’échelle. Comme par hasard il grimpe aussi ! Je m’endors immédiatement en pensant à ce garçon. Plus tard dans la nuit, lors d’un arrêt dans une gare, une main me caresse doucement les cheveux. En me retournant, je le vois se glissant à nouveau sur sa couchette mais il a enlevé son T-shirt et dans la pénombre son torse me semble superbe.
Il me lance de nouveau un merveilleux sourire auquel je réponds. Il me tend sa main et en regardant si tout le monde dort, je lui tends la mienne. En me la caressant doucement, il essaie de remonter le plus haut possible le long de mon bras. J’en frissonne de partout. Il me fait alors signe de le rejoindre sur sa couchette. C’est impossible pour moi, j’ai peur de ma cousine, mais je lui fais comprendre de me rejoindre, ce qu’il fait sans tarder. Je suis brûlante. Il se glisse alors entre moi et la paroi et, en chien de fusil, je me blottis contre lui, mon dos contre son ventre. Je sens son souffle dans mes cheveux, sur ma nuque et la chaleur de son corps. Sa main me serre contre lui et bien vite elle prend place sur un de mes petits seins pointés pendant qu’il inonde mon cou de baisers. Je ne sais que faire mais un sentiment de bien-être m’envahit. On reste d’abord un bon moment ainsi l’un contre l’autre. Puis, se redressant sur son coude sans doute pour mieux me voir, il me fait pivoter sur le dos et doucement comme dans un rêve, il me caresse le ventre au travers de ma robe et de mon chemisier pour revenir régulièrement sur mes nénés. N’y tenant plus, je fais glisser les bretelles de ma robe et guide sa main sous mon chemisier en abaissant le haut de ma robe. C’est alors que se penchant sur moi, il m’offre un merveilleux baiser. Je sens vite une envie de toucher sa langue avec la mienne. Je ne sais plus combien de temps on reste ainsi, mais c’est si doux. Ses bras m’enlacent et mon chemisier, maintenant largement ouvert, laisse libre cours à ses caresses. Je lui laisse enlever mon soutien. Je n’ai plus que ma robe repliée sur mes hanches et ma culotte sur moi. À mon tour, je caresse son torse musclé, pendant que sa main me doigte ma chatte…
L’appartement de ma cousine est superbe. Il donne sur le lac, le long de la rue du Mont-Blanc. Après ce voyage, elle me propose de prendre une douche.
– On la prend ensemble, me dit-elle ?
– Si tu veux, bien sûr !
Elle a à peine vingt-cinq ans et quand je la vois nue, faisant couler la douche, je ne peux m’empêcher de lui dire qu’elle a un corps superbe. Elle sourit, mais avant que je ne puisse réagir, elle fait glisser les bretelles de ma robe.
– Petite coquine, me dit-elle en voyant que je n’ai pas de slip.
Puis avant que je ne me justifie, elle me caresse la peau en me disant :
– C’est un rêve de voir comme on peut être jolie à ton âge.
Dans la douche elle me passe un délicieux bain mousse sur le corps et ça sent si bon. Puis elle me demande d’en faire de même sur elle. Quand nous sommes bien couvertes chacune de mousse, elle me dit :
– Viens, je vais l’étendre parfaitement.
Et me retournant, elle plaque son ventre contre mon dos, m’enveloppant de ses bras. Ses mains caressent d’abord mon ventre puis l’une s’attaque à mes seins tandis que l’autre se glisse sur mon pubis.
Je réponds affirmatif de la tête. C’est vrai que c’est très agréable et ce contact avec un corps adulte est bien plus voluptueux que ceux que j’avais eu avec mes copines plus jeunes. On inverse les rôles et elle me dit très douée. Après la douche, elle me sèche consciencieusement. Comme nous restons nues en séchant nos cheveux, elle me prend par la main et m’attire dans sa chambre. Dans l’obscurité et sur son grand lit, je me blottis contre elle. Après un moment, elle m’embrasse d’abord sur le bord des lèvres, pour voir ma réaction sans doute, puis profondément et d’une infinie douceur. Puis lentement, elle descend le long de mon corps, suçant le bout de mes seins puis mon nombril et mon clitoris. Je replis mes jambes en les ouvrant, elle sourit et puis rentre goulûment sa longue langue dans mon vagin. Déjà fort excitée, je mouille à souhait. Elle épouse complètement mes lèvres vaginales puis, me soulevant lentement, elle continue jusqu’à mon anus, un doigt dans mon vagin pour continuer à m’exciter. Mes petits cris de jouissance l’encouragent sans doute, puis se retournant tête bêche, corps contre corps, couchées sur le côté, elle offre son sexe aux caresses de ma langue. Son odeur intime est plus forte que ce que je connaissais déjà mais je ne peux résister à la lécher à mon tour. Après plus d’une demi-heure, nous jouissons presque ensemble avant de nous endormir dans les bras l’une de l’autre. À notre réveil, de faim probablement, après un dernier câlin, on se lève pour s’habiller.
– Comme tu es assez coquine, mais c’est un secret entre nous, je te propose qu’on ne mette pas de sous-vêtements pendant ton séjour.
Rien que cette idée m’excitait à nouveau, je réponds :
Un jean et un T-shirt moulant et nous sommes habillées, comme deux sœurs. Au resto puis au Makro, les hommes n’arrêtent pas de nous regarder sous toutes les coutures. Quelle drague en perspective ! La nuit, on la passe ensemble comme presque toutes les autres, mais ça c’est une autre histoire. Et dans son appart, on est plus souvent nues ou presque, il faut dire qu’il y fait très chaud. Puis une nuit, c’est la catastrophe ! J’ai mes règles et je salis les draps. Je suis très ennuyée vis-à-vis de ma cousine mais elle ne m’en veut pas du tout.
– Ce n’est pas grave, tu sais, ça arrive. On va vite tout changer, prendre une douche et tout sera oublié.
Elle me prête des tampons et je dois enfiler une culotte, je crois que c’est plus prudent. Au petit déjeuner, elle me demande :
– Dis, Isa, tu prends la pilule ?
– Non, ma mère ne m’en a jamais parlé et j’ai un peu peur de lui demander, elle me croit si sage encore.
– Et tu n’es plus sage ?
Je deviens toute rouge, puis comme un aveu de soulagement, je lui raconte mes galipettes dans le train.
– Et bien je crois que tu dois penser à prendre la pilule, sinon tu vas rater bien des occasions ou avoir des ennuis, ce serait quand même idiot d’être enceinte à ton âge non ?
Bien sûr elle a raison et depuis je prends la pilule.
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