Initiation de ma belle-sœur
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Initiation de ma belle-sœur
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Avant toutes chose, je voulais me présenter en trois mots puisque ce n'est pas la priorité absolue. Moi c'est olivier, j'ai 26 ans et je suis marié. Je suis ravi de mon mariage à l'exception de l'aspect sexuel car de ce coté c'est inexistant. Je travail en foret ce qui me donne la possibilité de rester en forme et de parfois rencontrer du monde en position surprenante ! ! L'histoire que je vais vous raconter est sur un fond véridique.
Un matin, alors que nous étions chez ma belle famille, ma belle sour, est descendu de sa chambre pour prendre son petit déjeuné. Une légende familiale prétend qu'elle dors nue sans qu'il soit possible de vérifier l'information, ce détail provoque chez moi un sentiment de curiosité et d'excitation. Ce matin là, donc elle descendit en peignoir de bain et s'installa en face de moi pour prendre son café. Une seul question trottait en ma tête : la légende était elle véridique ? ?
Son peignoir était légèrement entre ouvert ce qui me permettait de voir le haut de sa poitrine sans pour autant répondre avec certitude à ma réponse. Prétextant un manque de sucre, je me suis levé pour voir si la vision s'améliorait. tout en me levant je fixais cette ouverture de peignoir. Ma surprise fut grande lorsque je me suis aperçu qu'elle me regardait dans les yeux avec un large sourire amusé. Passant derrière elle pour le sucre je décida de mieux regarder au retour étant de dos elle ne pourra pas me surprendre.
En revenant a ma place je découvris qu'elle avait étirer son peignoir et m'offrais une vu plongeante sur ses seins claires et magnifiques. La légende était vraie. Elle avait un sourire des plus radieux avec une pointe de malice. Puis nous avons débuter une discussion sur nos programmes respectifs. Puis soudain, elle sourit à nouveau et croisa les jambes m'offrant probablement un spectacle torride. Je sentais en moi le désir durcir sans pour autant trouver le courage de tenter quoi que ce soit. Et je resta de longues minutes immobile. Son café finit elle se leva et un passant près de moi regarda avec insistance mon membre en érection. Puis passa un coup d'éponge sur la table. Ce faisant elle éfflora mon membre de sa main, je cru mourir tant mon pénis me faisait mal a force de bander de la sorte.
En sortant de la cuisine elle glissa une petite phrase anodine qui mit le feu en moi : je vais prendre une douche. Apres quelques minutes d'hésitation je suis aller pour me laver les dents, en passant devant la douche j'entendit l'eau coulé et la porte entrebâillé. Poussé par un élan de voyeurisme, je pousse la porte doucement esperant ainsi la surprendre a son insu. Qu'elle surprise lorsque je la vie nue face a moi et me regardant. Au bout de quelques secondes qui me parût interminable elle ouvrit la bouche et dit : si tu viens te laver les dents viens, cela ne me dérange pas..
A ce moment, mon corps s'est mit a réagir sans que je le veuille, je rentre, je ferme la porte et je rentre habillé dans la douche. Nous nous sommes embrassé pendant de long instant avec une intensité quasi bestiale. En même temps elle réussit a me déshabillé intégralement en un temps records.
Nous sommes nus, elle passe délicatement ses mains dans mon dos puis descends vers mes reins. Sa main gauche contourne ma hanche et me malaxe la bourse. D'une main hésitante, je lui caresse les fesses et descends autant que possible. Je m'attarde quelque instant sur son petit trou. Ma main droite caresse sa poitrine, lentement je commence par le dessous de la poitrine comme pour la soupesé elle est lourde et douce. Je la retourne délicatement pour appuyer son dos cotre moi et ainsi m'ouvrir tous les chemin vers sa chatte, je fais des va-et-vient sur son ventre entre ces nichons et son intimité.
Je me consacre maintenant à son minou. Il est doux, je glisse un doigt dans sa fente, je la sent réagir, bouger se tortiller, je presse de l'autre main sa fesse. Que c'est bon. Elle glisse alors s'est deux mains dans le dos, me carresse et commence a me branler. Mes doigt s'enerve et ouvre sa chatte, je n'en peux plus. Elle se retourne vers moi, se met a genoux et s'amuse avec albert (c'est le petit surnom de ma bite). Elle commence par faire des longueur sur albert, puis joue avec mes couilles. Maintenant elle me titille le tour du gland et finit par le prendre entièrement dans la bouche. Elle me suce, j'ai l'impression de rêver, et elle fait cela si bien.. La prenant par les épaules je la redresse et à mon tour je descends vers sa chatte en léchant son cou, ses seins puis son ventre pour finir entre ses cuisses. Je lui titille son clito du bout de la langue, allant de la plus simple caresse à la fouille minutieuse de son corps. je sentait sa jouissance se mélanger a l'eau, un délicat parfum. Elle souffle, écarte davantage les jambes.
Elle me demande de me relever, ce que je fait. Empoignant c'est seins et elle albert elle écarte les cuisses et plonge albert dans son intimité. Je commence alors des petits va et vient parsemer de coup de rein plus franc lui décrochant des petits râles magnifiques. Puis elle me demande de la prendre de dos mais pas de la sodomisé, je m'exécute. je la plaque coutre les carreaux de la douches. Le contact froid la fait sursauter, elle se dandine, ses siens se durcis. Alors que je sentait en moi l'explosion de sperme arrivé je suis sortie elle se précipite sur ma bite pour achever le travail. En un instant, ma bite se contracte, mon gland augmente, je sent une boule parcourir albert et la délivrance jaillit sur ces seins. Ce fut un pur moment de plaisir. Elle me propose de me laver, pendant qu'elle me frotte le dos, elle voit albert, toujours présent, toujours droit comme un i, elle me sourit et me confesse : - Des bites comme celles là je les mate et les masturbe.
La seconde giclé arrive, je n'en peux plus, mes jambes flageolent et elle sourit. Cette fois albert est vaincu.
Il n'est plus question de se laver, la longue douche peut être suspect nous nous depechons et sourtons de la douche. Depuis nous n'avons plus jamais fait l'amour ensemble mais je suis sure qu'elle y pense encore.
Posté par Olivier sur l'ancienne version du site (http://histoires.intimes.free.fr)
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Accueil » Initiation et premiers émois
Je devais avoir entre 13 et 14 ans. Mais un des mes camarades de classe était plus âgé de 2 années, suite à un redoublement puis d’un accident de mobylette qui l’avait immobilisé pendant de longs mois. C’est pourquoi il marchait encore à l’aide de béquilles et que je m’accompagnais chez lui, après la classe, en portant son sac.
Un jour, profitant d’une pause sur un banc public dans le parc que nous traversions pour rentrer, il me montra une revue naturiste piquée à ses parents, soigneusement dissimulée dans son bouquin de géo. A l’époque ( années 60 ), la censure était sévère et tous les sexes et systèmes pileux étaient soigneusement gommés lors du tirage. Mais nous nous régalions de la vue des belles ondines : les petits tétons gros comme des abricots des jeunes adolescentes, les seins en poire bien galbés des jeunes filles, les beaux seins ronds et pleins des jeunes mères de famille et ceux en forme de gants de toilette des vieilles mémés. Pour moi, c’était une découverte d’un monde inconnu. Il me proposa de passer chez lui le jeudi suivant pour me faire voir d’autres numéros de cette publication.
Je m’en souviens parfaitement. Il faisait chaud car nous étions fin juin, l’école finissait dans quelques jours. C’est donc en chemisette légère et en short que je me présentai chez lui à l’heure convenue. Ses parents étaient absents et il avait baissé les persiennes pour éviter la chaleur. Cela donnait un petit air intime à notre réunion.
Il trônait dans son fauteuil et avait préparé toute une pile de revues que nous feuilletâmes avec gourmandise, rigolant à qui mieux mieux au vu des nénettes à poils. Puis soudain, il entrouvrit sa braguette et en sortit son sexe dardé. Pas bien grand, environ 13 à 15 cm mais bien droit comme un poignard, joliment couronné d’un gland conique, le fût de son membre décoré d’une série de petites veines gonflées et planté dans un joli buisson de poils noirs et très bouclés. J’étais médusé et en admiration devant ce magnifique membre. Il se caressa et me demanda de le prendre en main. D’abord je refusai mais il insista tant et si bien que je finis par prendre sa queue en main : elle était terriblement chaude et très douce au toucher.
Puis il me demanda de sortir la mienne. Je refusai, le rouge au front. Il me menaça d’en parler aux autres élèves et de faire de moi la risée de la classe. La mort dans l’âme, je me résignai et sortis laborieusement ma banane gonflé de mon slip kangourou. Elle était bien plus longue que la sienne, courbe, et dénuée de pilosité, mis à part un petit duvet qui pointait sur mon bas-ventre. mais il ne se moqua pas et lorsqu’il posa sa main sur ma queue pour l’emprisonner, je fus pris d’un vertige et dus me retenir à son fauteuil tant mes jambes tremblotaient de gêne.
J’aurais volontiers échangé mon sexe contre le sien, tant je le trouvai esthétique et sexy, bien plus que ma banane encombrante.
Il posa son pouce et son index le long de son membre et toujours en me tenant la queue de sa main gauche, il s’activait de bas en haut, de façon de plus en plus rapide. Pour ma part, j’avais déjà des érections mais je n’avais pas encore découvert la masturbation. Je fus donc interloqué en le voyant s’activer et au bout de 1 ou 2 minutes, de petites coulées de liquide épais surgirent de son gland, se répandant sur son membre et se perdant dans les boucles de sa toison noire. Il avait fermé les yeux à cet instant et sa pression sur ma verge s’était accentuée dans un spasme de plaisir. Je venais de découvrir l’éjaculation.
Je remballai mon matériel, un peu honteux et décontenancé, pendant qu’il s’épongeait la touffe avec des mouchoirs en papier. Mon cœur battait la chamade.
Quelques jours plus tard, l’année scolaire prenait fin et je changeai d’établissement, perdant tout contact avec LUI, mon initiateur. D’ailleurs j’oubliai cet épisode ou du moins, je l’enfouis dans le plus profond de mon subconscient.
Des années plus tard, je dormais d’un sommeil agité à côté de mon épouse légitime. Et soudain je me revis, dans un rêve, debout à côté de mon camarade de classe assis dans son fauteuil, mon short et mon slip sur les chevilles, mon sexe dressé. Mais cette fois ci, il me caressa d’abord puis se pendant vers mon bas-ventre, il couvrit mon membre de baisers, lécha mon gland, titilla mon trou de bite avec sa langue puis soudain me prit dans sa bouche chaude et humide, commençant un doux va et vient, d’abord « soft » avec ses lèvres, puis un peu plus virilement avec ses dents en se retirant puis à nouveau en mode soft puis à nouveau avec ses dents…alternance de sensations avec une agréable douleur de matérialisant sur mon sexe. J’étais pris d’un vertige de bonheur, j’avais envie de fondre de plaisir. La scène dura de longue minutes, ma température montait en flèche. Éperdu de plaisir et de reconnaissance envers mon maître des plaisirs, mon doux initiateur, je reculai d’un pas pour me dégager de sa bouche et me précipitai entre ses jambes écartées pour saisir son petit glaive. Je commençai par l’astiquer copieusement puis l’engloutit dans ma bouche, faisant tourbillonner ma langue autour de son gland, suçant avec avidité et gourmandise à grand renfort de bruit de succion. Je l’avais EN MOI, je le possédai, il était ma chose, mon amant, mon maître, je suis son esclave, je me livre à lui, je lui offrirai ma virginité anale, il pourra défoncer ma petite rondelle s’il le souhaite, je me livrerai à toutes ses demandes, je serais sa chose, sa chienne, son serviteur …je fis tant et si bien, avec application et excitation, que soudain un liquide chaud et épais envahit ma bouche, une vague de miel se répandant en moi par petite saccades témoignant du plaisir que je lui avais donné…
Et soudain je me réveillai, les joues humectées de ma propre bave, les cuisses inondées de mon propre sperme car j’avais éjaculé de plaisir tant mon rêve était réaliste ! J’étais réveillé, presque triste et déçu, écoutant la respiration régulière de ma femme endormie, elle qui n’avait jamais accepté de me sucer car cela était contraire à sa conception des relations intimes. Je gardai donc mon rêve au plus profond et n’en parlai à quiconque avant cet instant.
A, si tu te reconnais, fais mois signe, j’ai des choses à rattraper…et des regrets à effacer !
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