Inès de Nantes elle m’a donné du rêve

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Inès de Nantes elle m’a donné du rêve

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Au jardin des plantes, le long de l’Erdre et de la Loire, les Nantais d’un jour ou de toujours, chantent des chansons qui ont marqué leur vie.
Reportage : Inès Léraud
Réalisation : Annabelle Brouard
Chanson de fin Titre : « Intro » par Alt J – Album « An awesome wave » (Label : Infectious Records)
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Inès en 2e année de Médecine : « Un gagnant est un rêveur qui n’abandonne jamais ! Si vous pouvez le rêvez, vous pouvez le faire ! »

Dimanche 19h en direct : Pré-rentrée PACES on vous dit tout !
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2018 – 2019, 340 places en médecine.
Bac S, spécialité maths, mention très bien
Juste médecine, et j’ai terminé 149ème.
J’étais bonne élève, bosseuse mais pas « intello » non plus ! Par contre, depuis le lycée, où je suis rentrée en sport-études, je suis très très disciplinée. Ce qui, évidemment, m’a bien servi en PACES.
Je suis restée chez mes parents et je ne le regrette vraiment pas. Le soir, manger un bon repas, discuter avec sa famille et dormir dans son lit, c’est la meilleure chose du monde !
Le matin, je partais tôt donc ça allait encore : 30 minutes. Mais le soir, avec les embouteillages, ça montait à 50′-1h. Mais c’est mon père qui conduisait, alors je pouvais travailler !
Franchement, on prend vite le pli. Les deux premières semaines, il faut s’habituer aux cours en amphi, se « mettre dans le rythme », repérer le RU, la BU, les salles d’ED… Mais on s’y fait très rapidement ! On découvre le fonctionnement de l’université, et, comme c’est tout nouveau, on s’y plaît (presque !).
Personnellement, cela ne m’a pas perturbée plus que ça. En plus, c’est une année où on doit être très autonome car on est livré à soi-même. Cette « liberté » m’a beaucoup plu d’entrée de jeu car je préfère me cadrer plutôt qu’on me cadre.
Et, cerise sur le gâteau, comme j’étais au tutorat, j’ai pu profiter de l’expérience de mes tuteurs, qui m’ont donné plein de conseils, de tuyaux, et qui m’ont « boosté » dès le début de l’année. Avec tout ça, impossible de se sentir perdue !
Rien du tout du tout ! Tout simplement parce que je n’avais jamais travaillé pendant l’été auparavant et que je ne comptais pas changer mes habitudes !
Avec le recul, je me rends compte que si je n’ai pas souhaité prendre d’avance, c’est parce qu’en réalité, je ne savais pas trop à quoi m’attendre. Je me suis fait tous les scénarios possibles dans ma tête, et au final j’ai profité de mon été comme je l’ai toujours fait.
Alors un conseil : vivez vos vacances à 100% si vous voulez être à 100% de vos capacités à la rentrée ! La coupure, c’est trèèèès important. Que ce soit après le bac ou après une première PACES. L’été, c’est pour s’amuser, alors profitez au max ! La PACES est un marathon, ce qui signifie qu’il faut « durer » pour pouvoir aller jusqu’au bout !
Oui, oui et encore oui ! Je n’ai pas peur de le dire, le sport, c’est aussi important que les études pour moi. Je suis sportive de haut niveau depuis 3/4 ans. Je pratique l’athlétisme, plus précisément le demi-fond, c’est à dire cross-country, 10km, 3000m… J’ai commencé à avoir de bons résultats quand j’étais au lycée, et comme en plus c’est vraiment une passion pour moi, j’étais bien décidée à continuer après le bac. Mais bon, continuer, oui, mais continuer à « performer », ce n’est pas la même chose ! Et comme je voulais continuer à performer… j’ai arrêté d’écouter tous ceux qui disaient que c’était impossible de « faire les deux » et je me suis lancée, à fond, comme je l’ai toujours fait. Et ça s’est SUPER bien passé. 5-6 entraînements/semaine, ça prend du temps, ça fatigue, c’est sûr. Mais c’était ma joie de vivre, un gros souffle de bonheur dans ma journée. Je ne le regrette absolument pas !!
Avis à tous : le sport, ça fait du bien, c’est tout votre corps qui vous dira merci ! « Mens sana in corpore sano » pour les latinistes… Donc je conseille vraiment, même aux « anti-sport », d’inclure une activité physique dans leur emploi du temps. Même une fois par semaine, c’est déjà très bien ! Testez, et vous verrez, vous trouverez du temps pour en faire une deuxième !
Oui et non ! Oui si l’on considère que le sport était un loisir pour moi. Un gros loisir même ! Parce qu’au temps de l’entraînement s’ajoute le temps pour se rendre puis revenir de l’entraînement, les étirements, les compétitions, les stages (j’ai manqué une semaine de cours pour pouvoir participer à mon premier stage national !)… Donc j’estimais que c’était déjà pas mal ! C’était la routine pour moi, mais une routine qui ne me laissait pas le temps de m’ennuyer : cours-boulot-entraînement-manger-dodo !
Après, je n’ai jamais été fan des « grosses soirées » et autres divertissements de ce genre, donc je n’ai pas été frustrée sur ce point. Mes amis, je les voyais surtout à l’entraînement. OK, je ne passais pas mon samedi après-midi avec eux, mais bon, j’avais fait le choix du double projet, alors il fallait assumer.
En revanche, je recommande tout à fait, si vous adorez lire, écouter de la musique, dessiner, voir vos amis, aller au ciné… de programmer ces moments « plaisir » ! Peut-être pas 3 heures par jour, d’accord, mais pas non plus une fois dans le semestre ! Gardez ça dans un coin de votre tête : bien souvent, c’est la qualité de votre travail qui prime face à la quantité. Alors on ne boude pas les « temps morts », on les utilise à bon escient.
Personne, vraiment ! Ma mère est professeur des écoles et mon père est marbrier. J’ai mon oncle et ma tante qui sont psychologues, mais c’est quand même assez éloigné du médecin, du pharmacien ou du dentiste :).
Pas assez ! Je faisais 23h-6h, donc 7h par nuit. Je n’ai jamais été une grosse dormeuse, je déteste les grasses matinées, mais j’aurais vraiment aimé pouvoir m’accorder une heure ou deux en plus. La PACES, c’est beaucoup de fatigue, fatique doublée avec le sport me concernant.
Donc c’est à vous de voir. Ca dépend des personnes mais s’il vous plaît, si vous avez besoin de 7h, 8h, 9h, 10h, d’un tour d’horloge, prenez-les ! C’est vraiment très très important et pourtant c’est très, trop négligé ! Moi la première, j’en ai souffert. Si ça vous fait culpabiliser, dites-vous « une heure de sommeil en plus, une heure d’efficacité gagnée demain » ! C’est bien beau de rester au bureau pendant 12h, mais si c’est pour dormir sur son ordi, vous vous faites du mal pour rien !
La question qui fâche… Enfin, ça, c’est ce qu’on entend. Personnellement, ça ne m’a jamais complexé plus que cela. Et pourtant, il y avait de quoi ! J’allais en cours de 8h30 à 12h45. Le temps de manger, j’étais à la BU vers 13h45 à peu près. Et je devais partir à l’entraînement vers 16h30, parfois plus tôt pour pouvoir être de retour à la fac à 19h pour le tutorat. Donc 2h30 à 3h max pour l’après-midi ! Le soir, si j’avais tutorat, je rentrais chez moi vers 23h et je n’avais même pas encore mangé, donc ces soirs-là, pas de boulot qui tienne. Si je rentrais chez moi, je pouvais ré-attaquer vers 21h à peu près, et j’arrêtais vers 22h15 environ pour préparer mes affaires pour le lendemain. Donc en moyenne, 3h30-4h par jour, pas plus ! Et je n’ai jamais eu de retard dans mon année ! Elles sont loin les 12-13h qu’on vous rabâche !!
Je vous le redis, la qualité, c’est plus important que la quantité. Le bon nombre d’heures, c’est celui qui vous permet de rester efficace, sans être écœuré d’entrée de jeu, ni prendre 5 cours de retard chaque semaine. C’est propre à chacun. Alors n’écoutez pas les « on dit », écoutez votre corps, votre cerveau, soyez lucide et réaliste et vous trouverez le rythme de travail qui vous permettra de réussir.
Ma méthode de travail a changé entre le premier et le deuxième semestre. Au premier, pour apprendre un cours, je prenais le diaporama du prof, et je répétais dans ma tête, diapo après diapo. Je devais être capable de réciter ce qu’il y avait d’écrit sans lire, sauf le début de la phrase si besoin. Je n’apprenais pas forcément tout ce qu’il y avait dessus, je faisais mon « choix » en fonction de la façon dont le prof était passé dessus (c’est du feeling, c’est aussi pour ça que c’est important d’aller en cours ;). Généralement, il me fallait une deuxième couche 1 à 3 jours après pour fixer, parce que ça ne rentrait pas bien du premier coup ! En revanche, après la deuxième couche, qui était déjà plus rapide, c’était presque gagné. La troisième fois, c’était plus une formalité. J’essayais de revoir le cours avant chaque colle de l’UE concernée, mais ce n’était pas évident, donc heureusement qu’il y avait les révisions avant le concours. En revanche, au deuxième semestre, j’ai changé ma méthode en mieux, ce qui fait que je me suis payée le luxe d’en avoir assez, mais vraiment assez, de réviser !
Oui, j’en ai fait, et c’est même ça qui a fait que j’ai vraiment bien vécu mon deuxième semestre ! En fait, au lieu d’apprendre directement sur le diapo du prof, je commençais par faire une fiche (format numérique). Je réécrivais ce qu’il y avait sur le diapo mais non seulement je sélectionnais les informations (quantité diminuée) et surtout, je réagençais selon mon envie (qualité augmentée) ! Par exemple, j’adorais faire des tableaux pour un oui ou pour un non (facile et rapide avec le traitement de texte), je retenais super bien avec ça ! Je mettais beaucoup de couleur, je me faisais mes petits « codes », je trouvais des astuces pour retenir telle ou telle notion… ce qui fait que quand j’apprenais ma fiche, j’apprenais vite et bien ! Donc c’était un gain de temps énorme à la longue ! Surtout quand sont arrivées les révisions, je me régalais ! Il m’arrivait de revoir certains cours en 5 minutes chrono… et quand je voyais des étudiants qui galéraient pour réviser un cours de 30 pages, j’avais de la peine pour eux, mais j’étais surtout contente d’avoir pris le temps de faire ces fiches, parce que j’en ai vraiment gagné beaucoup en échange !
Seule, pour deux raisons. D’une part, je n’avais sympathisé avec personne à la fac, sauf une copine au tutorat, mais on n’a jamais réussi à trouver un moment où on était toutes les deux dispo et OK pour bosser une même matière… Et de toute façon, je préférais travailler seule. Quand on faisait des travaux de groupe au lycée, j’avais toujours l’impression que les autres me retardaient plus qu’autre chose. Bref, j’étais très bien toute seule.
Après, c’est une question d’habitude. Si vous avez une bonne dynamique de groupe et que c’est bénéfique pour vous, foncez ! En revanche, ne vous laissez pas distraire, c’est cool de bavarder mais il y a un concours au bout !
Au premier semestre, à la BU pour des questions de praticité. Je partais le matin, je rentrais le soir. Mais je n’étais pas vraiment adepte de ce lieu de travail, je me sentais presque asphyxiée tant l’atmosphère était pesante (c’était la BU de notre fac alors il n’y avait presque que des PACES dedans !).
Au deuxième semestre, comme l’emploi du temps était beaucoup moins chargé, je travaillais en majorité dans ma chambre. Je préférais, j’étais bien dans mon cocon, et si j’avais besoin de quelque chose, c’était pratique vu que j’étais chez moi.
Après, je sais qu’il y a des personnes qui n’arrivent pas à travailler chez elles et qui ont besoin de l’ambiance BU pour s’y mettre vraiment. Encore une fois, question de goût (et d’efficacité !) ! Testez, vous verrez bien. BU, appartement, domicile familial, tout est possible, c’est à vous de choisir.
Je me suis inscrite au tutorat sur les conseils de plusieurs personnes qui sont passées par la PACES et qui ne m’en ont dit que du bien. La prépa, c’était hors de question rien que pour le prix, je savais que c’était largement possible de réussir sans et je ne voulais pas demander à mes parents de payer une telle somme, surtout en tant que primante !
Dans tous les cas, je recommande le tutorat ++++ ! Les tuteurs, ce sont des étudiants adorables qui ne demandent qu’à vous aider. En ED, vous travaillez, vous comprenez, le tout dans la joie et la bonne humeur. Les colles sont représentatives, tant au niveau de la difficulté des QCMs qu’au niveau du nombre de participants : on était quand même près de 1800 au concours blanc du premier semestre, pour 2900 personnes qui ont passé le vrai concours !
En plus, c’est une super expérience humaine. J’étais très attachée à mes tuteurs, surtout ma tutrice d’UE1. Je n’oublierai jamais ces vieux tubes que les tuteurs nous passaient avant et après les colles… J’ai tellement de souvenirs comme ça ! Inscrivez-vous, c’est vraiment tout bénéf’ pour votre année et votre moral !
Au premier semestre, je dirais que j’étais assez bien classée. A part en anatomie, qui était ma bête noire, je me suis rapprochée du numérus progressivement (340). Je dirais que j’étais dedans à 30-40% du temps. Au concours blanc, en revanche, j’ai terminé 170ème, grosse surprise, et ça s’est confirmé 10 jours plus tard au vrai concours où je boucle… 172ème !
Au deuxième semestre, j’étais plutôt bien classée, en tout cas bien mieux ! Dans le numérus à 95% du temps ! Au concours blanc, énorme surprise : 13ème, avec mon meilleur résultat en spé médecine où je termine 6ème (et la spé médecine c’est de l’anat’ ;)).
Je précise quand même qu’il ne faut pas non plus exclusivement se baser sur ces résultats, qu’ils soient bons ou mauvais. Si vous êtes 2000ème, le numérus n’est pas accessible, on s’en doute, mais ne désespérez pas si vous êtes à quelques dizaines/centaines de places (ça dépend de la taille du numérus :)), surtout que vous allez en gagnez au deuxième semestre si vous continuez à bosser comme il faut ! En résumé, c’est une bonne indication, mais ce n’est pas la science exacte.
Je n’avais pas de retard. A vrai dire, mon objectif était même d’avoir de l’avance « au cas où ». Grâce à la pré-rentrée du tutorat, j’ai démarré l’année avec 2 semaines d’avances (concernant les cours « appris »). J’ai perdu une de ces semaines en début d’année, le temps de trouver mon rythme. Et après, ça n’a plus bougé. Ce qui fait que j’attaquais chaque semaine en ayant déjà vu les cours. Je consolidais avec des QCMs et en parallèle, je m’avançais pour la semaine d’après, c’était rassurant ! En plus, si j’arrivais à finir les cours de la semaine à venir le samedi, je savais que le dimanche, c’était 100% QCMs, j’adorais ça, c’était un peu la journée « repos » !
Évidemment, inutile de s’affoler si vous avez du retard, ce n’est pas interdit ni synonyme d’échec ! Surtout que vous pouvez comptez sur les révisions pour remettre les pendules à l’heure. Le tout, c’est de le gérer, c’est à dire qu’il ne doit pas augmenter démesurément chaque semaine. Si vous avez un nombre de cours en retard stable de semaine en semaine à quelque chose près, tout va bien. Et dites-vous surtout que vous êtes loin d’être les seuls dans ce cas !
Comme je vous l’ai dit, j’allais en cours le matin, j’avais 2h30-3h pour bosser l’après-midi, plus 1h15 environ le soir si je n’allais pas au tutorat. Pas énorme, mais suffisant, la preuve ! Pendant les révisions, c’était différent bien sûr, j’étais chez moi et j’avais juste mon entraînement à programmer dans la journée. J’aimais bien y aller le matin, donc j’étais au bureau aux alentours de 11h, je travaillais un peu avant d’aller manger, je prenais au moins 1h à table, voire plus (car il y avait presque toujours mes parents et mon frère, donc je n’avais plus envie de retourner bosser :)). En gros, je reprenais vers 14h, je faisais une petite pause goûter vers 17h, et je reprenais, jusqu’à 19h30-20h. Le temps de dîner, il était facilement 21h, à ce moment-là il me restait environ une heure de travail car plus on avançait dans l’année, plus j’avais du mal à dépasser la barre des 22h.
Du coup, je faisais ce qui me semblait le plus lourd (apprendre/revoir des cours) en premier, et je gardais les QCMs en alternance ainsi que pour la fin de journée pour conserver un minimum d’efficacité. Au deuxième semestre, comme j’étais vraiment bien en avance, j’alternais carrément 1/2 fiche(s) de révision / 1/2 QCM(s). C’était redoutablement rapide, et ce de plus en plus : il m’arrivait de faire un peu de chaque UE en une journée, en insistant 2 ou 3 fois plus sur la spé médecine (car c’était de l’anat) !
Ah, l’esprit de compétition, en tant que sportive, bien sûr que je l’avais ! Mais, à la fac, je ne calculais vraiment pas les autres. Je faisais mon petit bonhomme de chemin, et je cherchais plutôt à avoir la meilleure note possible, pas forcément à être la meilleure… mais bien sûr, les 2 sont liés ! Ce qui fait que je n’étais pas vraiment en « mode concours » ! J’en ris, mais c’est mon tempérament. Même dans le sport, je ne suis pas assez « hargneuse » contre mes adversaires, ce que me reproche ma coach !
Dans tous les cas, il faut rester soi-même ! Quel que soit votre caractère, il suffit de savoir l’utiliser à bon escient pour réussir. Être teigneux, c’est bien, être « peace and love », c’est bien aussi !
Vous allez rire… En sport, je suis une grande stressée. Mais parallèlement, dans les études, je suis zen ! Donc, même si je pense que j’avais la pression inconsciemment, comme tout le monde, j’étais plutôt décontractée ! Même pour le concours : je n’étais pas complètement détendue mais c’était du bon stress !
Si je dois faire passer un message, c’est que le stress peut vous être bénéfique, mais il peut aussi devenir votre pire ennemi. Je sais de quoi je parle car, comme je vous l’ai dit, en sport, sa gestion est un problème pour moi. Alors contrôlez-vous ! Je sais combien c’est difficile de garder son calme lorsqu’on coince et que le temps défile, mais si vous cédez, vous allez dans le mur ! Avoir la petite boule au ventre quand on distribue les sujets, c’est bien, être à la limite des larmes en plein milieu de l’épreuve, c’est pathogène ! Fermez les yeux un instant, respirez profondément plusieurs fois, pensez « positif », remobilisez-vous puis rouvrez les yeux et reprenez votre travail en passant le QCM où vous avez buté. Et encore, il m’est parfois arrivé de directement trouver la réponse à mon problème après une petit instant de relaxation ! Zen attitude ;) !
Globalement, j’étais concentrée, mais bon, comme en général j’avais déjà vu le cours, j’avoue qu’il m’arrivait, et pas qu’une fois par cours, de décrocher une minute ou deux quand je saturais ! Mais je restais sérieuse bien sûr, je ne bavardais jamais, je complétais ma fiche, je rajoutais des petites notes… et surtout, j’écoutais pour repérer les points importants et ceux, au contraire, presque inutiles ! Surtout quand vous avez un prof qui donne des indices, ça serait dommage de ne pas en profiter !
Et puis, il ne faut pas se faire d’illusions, si vous écoutez en cours, vous serez certainement déjà meilleur(e) en sortant de l’amphi que celui qui a passé son temps sur son portable ! On vous le dit depuis la maternelle, on apprend en écoutant. Sur 4 heures de cours, c’est normal d’avoir des petits temps morts mais il ne faut pas en abuser. C’est long mais si vous vous intéressez à ce qui se dit, vous verrez que le temps passera plus vite !
J’ai tout fait sur ordinateur, et j’ai dû me servir une fois ou deux du dictaphone seulement, qui est surtout utile quand vous avez un prof qui ne fait que dicter, et vite, ce qui est assez rare (j’en ai eu un seul). A Bordeaux en tout cas, la majorité des informations se trouvent déjà sur le diaporama, donc on a largement le temps d’annoter si nécessaire.
De plus en plus quand le concours approchait ! En début de semestre, je ne faisais quasiment que les QCMs du tutorat et, à l’inverse, les derniers jours avant le concours, c’était 100% annales !
Il faut vraiment les éplucher, ces annales, car ce sont vos profs qui les ont faites
Bixexuel
Kelly Starr
Il Exhibe Sa Femme En Voiture

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