Ils sont plusieurs dans sa bouche

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Ils sont plusieurs dans sa bouche
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Il pleuvait carrément des cordes et malgré mon grand parapluie j'étais trempé jusqu'à mi-cuisses. Mon pantalon collait tellement que j'avais du mal à marcher. Mes souliers noyés par l'averse faisaient flic floc à chaque pas et je pataugeais dans la boue. Avec le poids de mon cartable s'ajoutant à l'intempérie, je n'étais pas près d'arriver. Il me restait deux kilomètres et j'étais près de fondre en larmes, mais on ne pleure pas à 15 ans.

Je n'étais pas un fort gaillard. J'étais sorti de puberté avec un corps dégingandé, mais assez joli de visage quand je né portais pas mes lunettes. Les filles me tournaient autour mais je ne m'intéressais guère à elles, j'avais deux sœurs, ça suffisait. Les gloussements, les messes basses, les coquetteries, très peu pour moi. Elles avaient 16 et 17 ans et déjà des allures de femmes. Pour elles je n'étais qu'un gamin légèrement efféminé mais il y avait entre mes jambes un joli gourdin bien épais.

Le gars Marcel m'interpellait, planté sur le pas de sa porte. C'était un garçon
avenant, travaillant comme valet de ferme. Un homme d'environ 35 ans, bien bâti, solide comme un roc, et qui n'avait pas fait d'études. Un enfant issu de la DDAS, au boulot dès ses 14 ans, sachant à peine lire et écrire.

— Allons, reste pas sous la pluie, rentre au sec devant un bon feu."

On était à la mi-décembre et la pluie mouillait et glaçait. J'étais encore loin de chez moi, à environ vingt bonnes minutes. Au début des années 50, les cars scolaires n'existaient pas entre les fermes et les écoles Je circulais à bicyclette mais quand la bourrasque était là, il fallait bien aller à pied. C'était le lot de tout le monde.

— Les vaches sont rentrées à l'étable et avec l'eau qui tombe du ciel, je vais rester à la maison. Tes parents vont pas s'inquiéter ?

— Non, ils sont partis au chef-lieu, ils ne rentreront que demain.

— Ça veut dire que tu es tout seul ?

— Oh ! ce n'est pas la première fois. J'ai mon souper dans la marmite.

— Chez la mère Sageot, la vieille qui s'est cassé la jambe.

Il faisait bon chez le Marcel. La grosse cuisinière de fonte dispensait une douce chaleur dans la seule et unique pièce qui faisait office de cuisine, de salle, et de chambre à coucher. Dans une alcôve le grand lit arrondissait son édredon. En fait de mobilier trois chaises autour d'une table en bois de chêne, et deux armoires face à face, l'une pour les vêtements et les draps, l'autre pour ranger la vaisselle et les ustensiles de cuisine. Au plafond, des chapelets d'ails couraient entre des poutres sombres où une ampoule sous abat-jour donnait une chiche clarté.

— Tu es trempé, déshabille-toi, je vais te donner une culotte.

Marcel ouvrit l'une des armoires et en sortit un pantalon. Il était fraîchement repassé et le velours paraissait neuf.

— Donne-moi ton froc que je le sèche !

C'était un ordre et j'obéis, gêné toutefois
de me montrer en caleçon devant quelqu'un. À la maison j'avais ma chambre où personne ne pénétrait. Mon caleçon n'était pas frais, plutôt jaunâtre entre les jambes. Je dormais chaque nuit dedans. Comme je me branlais tous les soirs, j'y déchargeais pas mal de foutre. Il faut préciser qu'à l'époque on ne changeait son linge de corps que tous les huit jours et pas plus.

Le pantalon était trop grand comme vous pouvez bien le penser. Il était taillé pour un homme, pas pour un chétif comme moi. Or, de savoir que d'ordinaire il moulait un cul et une bite que j'imaginais monstrueux, il me vint une grosse érection. Dans mes fréquentes masturbations je fantasmais sur la Redoute, magazine de prêt-à-porter, où des modèles masculins exhibaient des formes viriles et des petits slips bien garnis. J'avais une impression confuse que je bandais pour des raisons qui n'étaient pas très catholiques, mais n'étais pas idiot au point d'aller m'en vanter à confesse.

— Tu vas boire un verre de vin chaud. Allons, viens t'asseoir, mon garçon.

Marcel tira une chaise vers moi et j'y posai mes petites fesses. Je le regardai s'affairer, Il mit à chauffer une casserole où il avait versé le vin, y ajouta de la cannelle, tout en parlant de choses et d'autres. Comme j'avais le nez qui coulait, je voulus sortir mon mouchoir et glissai ma main dans ma poche. Elle rencontra ma cuisse nue car le fond en était percé. J'eus un moment de confusion. Mon pantalon à moi séchait, suspendu au-dessus du poêle. J'avais simplement oublié que je portais celui d'un autre.

— Je ne mets jamais rien dans mes poches, sauf ma main droite pour me branler. C'est
mon pantalon du dimanche que je mets pour aller à la messe, et je me branle pendant l'office en matant le nouveau curé. Tu sais ce que l'on dit sur moi !

Je le savais naturellement. Marcel avait la réputation de ne pas être un homme à femmes et de préférer les garçons. 0n racontait que certaines fois, il allait traîner au chef-lieu et fréquentait les pissotières, repaire connu des péderastes. Cependant j'avais accepté de pénétrer dans sa tanière et me trouvais à sa merci. L'excitation et la terreur me firent frissonner l'échine. J'avais là, planté à deux pas d'un magnifique échantillon, semblable à ces beaux mannequins dans les pages de la Redoute, mais ici en chair et en os.

—Tu sais ce que l'on dit àmon sujet ?

Marcel répétait sa question, dardant un lourd regard sur moi. Il exigeait une réponse.

— Et ça te fait quelle impression ?

Je ne savais trop quoi répondre. Les rumeurs
allaient et venaient comme toujours à la campagne mais on ne s'y attardait pas. Chacun sa vie, chacun ses merdes, telle était la philosophie. Pour la rémission des péchés il y avait le confessionnal, le sacrement de pénitence. La seule chose grave en ce temps là, c'était qu'une fille tombe enceinte et que l'enfant soit un bâtard, le déshonneur la famille. Que Marcel soit un péderaste, cela ne concernait que lui. C'est pourquoi je lui répondis :

— En tout cas, ça ne me dérange pas.

Voilà, les mots étaient lâchés. Marcel apporta le vin chaud et s'assit à côté de moi.

— Tu sais, c'est pas une maladie, c'est juste que je suis né comme ça. Du plus loin que je me souvienne, j'ai toujours aimé les garçons. J'en ai eu des beaux et des moches mais j'ai toujours eu du plaisir. Et les gens qui sont comme moi, je sais toujours les reconnaître.

Il glissa une main dans ma poche et arriva jusqu'à ma queue. À cause de la conversation je bandais comme un âne en rut, mon prépuce retroussé tellement que j'en avais mal à la bite. Son pouce m'effleura le frein et je gémis sous la caresse.

— Ben mon Ñoé, t'es bien monté. À 15 ans t'as une sacree bite. Plu grosse que la mienne en tout cas.

Il déboutonna sa braguette et jaillit une petite queue pointant sur un gros sac de couilles. J'en croyais à peine mes yeux. J'avais imaginé un monstre et apparaissait une quéquette. Je croyais naïvement alors que plus un homme était costaud plus sa bite devait être grosse. Une première désillusion.

— Baisse ta culotte que je te la suce !

Comme j'hésitais à le faire, Marcel me posa devant lui et me mit nu jusqu'aux chevilles. Puis il s'empara de ma queue, la considéra un moment et l'engouffra jusqu'à la garde. Mettre des mots sur l'événement demande un riche vocabulaire qu'à 15 ans je ne connaissais pas. Depuis j'ai connu des suceurs qui m'ont donné bien du plaisir, mais aucun ne m'a restitué la pure extase de cet instant, l'extase de la révélation. Je découvrais, au fur et à mesure que sa langue travaillait sur moi, tout l'infini des sensations qu'une bouche peut offrit à un chibre.

J'inondai Marcel de mon sperme et il avala goûlument cinq jets puissants et abondants. Et pourtant ma queue restait raide comme chez beaucoup d'adolescents, privilège qui s'enfuit trop vite.

Il avait baissé son falzar et je voyais ses jolies fesses ombrées de poils autour du trou. Au-dessus du cul épanoui la taille mince se resserrait puis s'évasait jusqu'aux épaules. Debout, de dos, il était beau, mais quand il se pencha en avant, je vis son anus élargi par plusieurs années d'enculade. Je n'avais pas envie de ça, une nouvelle révélation. Je me reculai en disant :


Quand je rentrai à la maison, je trouvai mes deux sœurs ainées attablées devant leur souper. Elle me regardèrent par en-dessous et pouffèrent, à leur habitude, mais je ne baissai pas les yeux.

— Allez vous faire baiser, salopes !

C'était fort et inattendu. Elles ouvrirent une bouche immense mais elles n'eurent pas le loisir de me cracher leur sale venin, ma main devenant menaçante.

— Foutez-moi le camp, et en vitesse !

Elles s'enfuirent, épouvantées. Finalement, j'avais ma revanche après ces années de mépris où elles me traitaient comme une merde. J'avais beau être efféminé, un très beau mec m'avait sucé et je me sentais reconnu dans ma virilité naissante. Ce jour marqua ma conversion à une identité nouvelle : j'avais un partenaire sexuel qui m'avait fait jouir dans sa bouche.


Depuis ce jour, régulièrement, je retournais voir Marcel et je le gavais de mon foutre à sa grande satisfaction, mais nous n'allions jamais plus loin. Un jour il me dit : "Tu veux plus, Je veux dire tu veux autre chose !" Je le regardai sans comprendre.

— Je ne suis pas idiot, tu sais, je vois bien que je ne t'inspire pas ! Tu ne me suces pas, tu ne m'encules pas, c'est donc que tu veux autre chose. Ça te dirait un truc à trois ?

Je n'y aurais jamais pensé, mais l'idée était séduisante. Qu'est-ce qu'il pouvait bien advenir d'une rencontre entre trois personnes ?

— À quelqu'un qui t'a remarqué et qui possède une très grosse bite.

— Tu l'as sans doute déjà vu mais tu ne le connais pas vraiment. Il est nouveau dans le pays.

— Mais oui, et pas plus tard qu'hier. Il m'a baisé toute la nuit.

Alors là, j'étais intrigué. Qui cela pouvait-il bien être ? Un hommes absent toute une nuit sans avoir à rendre des comptes ? À coup sûr un célibataire, mais je n'étais pas plus avancé parce que, dans ce canton rural, il y en avait une bonne trentaine. Je me limitais au canton, n'en franchissant guère les limites et ne pouvant imaginer que l'homme ait pu me voir ailleurs.

— Pas la peine, il va arriver. Soit tu restes, soit tu te sauves. Si tu restes, Eh bien tu sauras.

— Non, je ne tends pas de pièges aux gens, et encore moins à mes amants. Alors, tu pars ou bien tu restes ?

Je mourais d'envie de rester. Je voulais voir au moins la tête de l'homme qui m'avait remarqué, capable d'enculer un autre homme toute une nuit sans interruption. Je prenais tout au pied de la lettre, Marcel ayant dit : "toute la nuit."

— Je reste, mais s'il ne me plaît pas, je n'entre pas dans la combine.


Je ne reconnus pas d'abord l'homme qui entra dans la maison et qui sourit en me voyant, dévoilant des dents carnassières. Un loup, telle fut mon impression, d'une virilité agressive, le menton carré et l'œil noir. De taille moyenne et très râblé, il se tenait droit devant moi, plus petit mais plus imposant que Marcel le valet de ferme. On sentait en lui une force, une volonté implacable. Il pouvait avoir 28 ans.

— Effectivement, il est très beau, dit-il d'une voix de velours qui tranchait sur son apparence.

Je compris qu'il parlait de moi et je rougis jusqu'aux oreilles. Cette voix, je l'avais entendue, mais où et quand, je l'ignorais.

— Et tu dis qu'il est bien pourvu ?

Là, il s'adressait à Marcel qui opina d'un signe de tête. Ça ressemblait à un traquenard et j'eus un moment de colère. Or Marcel m'avait averti et il m'avait laissé le choix. Mais l'homme qui parlait si crûment, où et quand l'avais-je rencontré ? Ma mémoire me faisait défaut, j'avais beau me creuser la tête mais j'étais tellement myope aussi ! Surtout que par coquetterie d'ado je portais rarement mes lunettes.

— Le Juste sauvé du Déluge, le sauveur de toutes les espèces, l'illustre ancêtre d'une lignée qui perdure encore aujourd'hui. Que Dieu l'ait en sa protection !

— Amen, lui répondit Marcel en faisant son signe de croix.

Je crus alors halluciner. Cet homme, je le reconnaissais. C'était le curé du chef-lieu, un jeune abbé qui remplaçait, depuis à peine quelques mois, l'ancien, parti à la retraite. Comme j'allais rarement à la messe, ne portais que peu mes lunettes et que lui était en civil, il était somme toute naturel que je ne l'aie pas reconnu. D'une voix étranglée par la crainte et par la stupeur, je balbutiai ces quelques mots :

— Je suis l'abbé Henri Martin, nouveau curé de ce canton. Je t'ai repéré à l'église quand tu es venu communier. Tu n'es pas fidèle paroissien, me dit-il d'un ton de reproche, mais j'espère que dorénavant tu deviendras plus assidu.

Il appuya sur mes épaules et me fit tomber à genoux. Il déboutonna sa braguette et son gros gourdin apparut, qu'il me cala entre les lèvres.

— Christ a dit : "Paissez mes agneaux ", alors tu vas téter ma queue et t'abreuver de son lait tiède.

Ses mains pesaient sur mes épaules et je me sentais impuissant à résister à l'injonction. Après tout, cet homme était prêtre, voué au service
homme au service du Seigneur dont les voies sont impénétrables. Et pourquoi le dissimuler ? Ce jeune loup, ce beau curé, je voulais l'avoir dans ma bouche, boire son sperme et l'avaler. J'étais triste pour mon Marcel, réduit à se branler tout seul en regardant avec envie ses deux amants s'aimer sans lui. Mais mon seul problème pour l'instant, c'était de garder dans ma bouche un braquemard si volumineux qu'il me distendait les mâchoires. Il avait un gland fabuleux qui suintait comme une fontaine. Son goût en était délicieux et me réjouissait les papilles.

Le va-et-vient que j'entrepris n'était sûrement pas orthodoxe, mais empreint de bonne volonté. Mes lèvres serrées sur la tige allaient aussi loin qu'elles pouvaient, mais ma luette bloquait le gland aux trois-quarts de l'intromission. Henri poussa sa queue en moi et alors s'entrouvrit ma gorge. Je pris ses 22 centimètres et là, je crus bien défaillir.

Ben, je n'avais pas d'autre choix à moins de mourir étouffé.
— Arrête ! À mon tour, maintenant.

Henri retira son gros chibre et se retourna vers celui qui venait de l'interpeller. Mon Marcel, ployé en avant, écartait ses deux demi-lunes pour accueillir l'objet magique, cet intense objet du désir qui nous avait rendus accros. L'engin pénétra lentement et s'enfonça jusqu'à la garde. Je regardais, halluciné, vibrer un beau valet de ferme et me masturbais, frénétique. Nous déchargeâmes presque en même temps, Henri dans le cul de Marcel, Marcel à 40 centimètres et moi pratiquement au plafond, tellement j'étais excité.

Mon exaltation se calma pendant mon retour à la ferme. En fait j'avais été floué. Le sperme promis par Henri était dans le cul de Marcel, et moi, j'avais fini tout seul à regarder leur enculade. Certes j'avais joui haut et fort, mais on m'avait utilisé pour pimenter un jeu de couple. Je fus taciturne au souper, au point que ma mère s'inquiéta et me demanda tendrement :

— Quelque chose ne va pas, mon grand ?

Elle pouffa sur son assiette. Hier encore j'aurais hurlé, l'aurais menacée d'une baffe, mais je ne sus que ricaner, haussant simplement les épaules.


Six moix passèrent sans que j'éprouve le désir de revoir Marcel. Je retrouvai mes habitudes de jeune garçon solitaire. Ma libido me taraudait, je me branlais plus que jamais sans le secours de la Redoute dont les mannequins m'indifféraient. Quand ma main étreignait ma queue, me revenait toujours l'image de ces deux hommes qui s'enculaient et dont j'étais le spectateur. Je ne pouvais pas me résigner à demeurer toujours en marge de mes désirs les plus profonds, même s'ils me semblaient inavouables. Peu à peu s'installa en moi la réalité de mon être : j'aimais les hommes de tout mon cœur, de toute ma bite d'adoles Étais-je prêt à l'assumer ? Ce serait un choix capital, mais si je refusais l'obstacle, j'aurais une vie misérable, pleine de mensonges, de frustrations. Je sautai sur ma bicyclette et je me rendis chez Marcel.


— J'ai traversé la même galère, me dit Marcel en allumant sa quatrième cigarette. J'avais un peu plus de 16 ans, j'étais amoureux d'un garçon qui travaillait dans la même ferme, un gars de la DDAS comme moi. On était tout seuls dans la vie et on manquait tellement d'amour, peut-être seulement de tendresse, mais comment faire la différence ? On partageait la même mansardé, on couchait chacun dans son lit mais on a vite pris l'habitude de dormir tous les deux ensemble. Un soir il m'a murmuré à l'oreille qu'il voulait que je sois sa femme et j'ai ouvert mon cul pour lui. De ce jour je n'ai jamais pu préférer une femme à un homme, et pourtant j'ai bien essayé. J'ai beau avoir un corps d'athlète, j'ai l'esprit d'une midinette et mon sexe est au bas du dos. Mes jouissances me viennent par derrière, ma queue ne me sert presque à rien, j'éjacule de moins en moins. Je suis une femelle, je crois. Il me sourit d'un air penaud et je le pris entre mes bras.

— Tu es un garçon magnifique. Et le curé, qu'est-il pour toi ? Après tout, c'est lui que tu aimes !

— Henri ne pense qu'à son plaisir, il est gentil mais égoïste.

— Mais comment ce jeune curé a-t-il pu entrer dans ta vie ?

— Il fallait que je me confesse, j'étais perdu, désemparé. Avec le curé précédent, ça n'aurait pas été possible, il était trop vieux pour comprendre. Au pire il m'aurait sermonné, au mieux il aurait compati. J'avais besoin d'y voir plus clair. Je me suis dit qu'avec un jeune, quelqu'un de ma génération, j'aurais peut-être plus de chances d'avoir une oreille attentive.

— Au-delà de toute espérance. Il m'a donné l'absolution et prononcé ma pénitence, emmené dans la sacristie, Il a relevé sa soutane et il m'a enculé debout.

— Une pénitence particulière. Il est moderne, Henri Martin.

— Oui. Il paraît qu'au séminaire on zappe le vœu de chasteté. Si on exigeait l'abstinence, les vocations se tariraient. Et on manque cruellement de prêtres. Il t'intéresse, Henri Martin ?

Je restai un temps silencieux. Je m'étais posé la question, maintenant j'avais la réponse. Je voulais être pris en main, boire du sperme, me faire enculer par un mâle, par un homme, un vrai. Qu'il soit curé n'y changeait rien, c'était encore plus excitant. Je dis à Marcel carrément :

— Si tu pouvais juste lui dire que je le voudrais comme amant ? Lui seul peut me dépuceler puisque toi tu n'es que femelle. Tu peux me le prêter une fois ? Je t'en serais reconnaissant.

— Je ferai ça pour toi, Noé. Tu m'as souvent donné ton sperme. Entendu, je te tiens au courant.

Je n'eus pas longtemps à attendre. Deux jours plus tard, à bicyclette, comme je revenais du collège, Marcel me barra le chemin.

— Rendez-vous dimanche à l'église. Henri Martin veut te parler. A priori il n'est pas contre, mais il veut quelques précisions.

— Il ne m'en a pas dit plus, il te l'expliquer lui-même. En tout cas, rendez-vous dimanche.


Le dimanche je retrouvai Marcel à l'église Saint-Antoine où officiait le jeune curé. Nous étions assis tout devant et je pus voir Henri Martin dans ses habits sacerdotaux qui conférant à sa silhouette une autorité indéniable. Son sermon avait pour objet la luxure, péché capital, et paroissiens et paroissiennes, sauf les vieilles filles du b
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