Ils ne sont pas excitants ces deux lolos

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Ils ne sont pas excitants ces deux lolos


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Rédigé par Gérard Fai | Le



13 septembre 2020


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Rédigé par Daniel Bougnoux | Le



13 septembre 2020


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14 septembre 2020


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16 septembre 2020


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29 septembre 2020


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Rédigé par Gérard Fai | Le



30 septembre 2020


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Rédigé par Country boy | Le



14 décembre 2020


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Je reçois quelquefois parmi mes mails des invitation Ă  devenir « amis » sur Facebook, Ă©manant de femmes aux formes avantageuses et dont la photo cache, en fait, un site de rencontres payantes Ă  caractĂšre pornographique. J’isole de ce trafic (que j’observe sans y participer) cette rĂ©cente image, assez frappante par la proportion extravagante de cet attribut par excellence de toute fĂ©minitĂ©, les seins.
Et je dois reconnaĂźtre l’attirance que ces protubĂ©rances exercent gĂ©nĂ©ralement sur moi (comme sur, j’imagine, beaucoup de mes semblables). J’ai conservĂ© ou je partage, Ă  l’égard des poitrines XXL, la fascination des collĂ©giens de Fellini dans le film Amarcord. À condition toutefois de ne pas dĂ©passer une mesure qui demeure mystĂ©rieuse. Le trop , quand il est comme ici orgueilleusement, inconcevablement affichĂ©, a vite fait de basculer dans la monstruositĂ©, tuant du mĂȘme coup le dĂ©sir qu’on voulait inspirer.
Quelle est la juste mesure des seins ? Il n’y a pas de norme, pas de rĂ©ponse Ă  cette question qui renvoie au fantasme, aux fantaisies de chacun. Dans le cas de cette image, dont je ne sais si elle relĂšve d’une prothĂšse, d’un montage de photoshop ou d’une anomalie gĂ©nĂ©tique, la rĂ©pulsion l’emporte sur l’attirance, trop c’est trop ! Que faire d’un pareil amas de chair, et comment sa porteuse (si elle existe) se dĂ©brouille-t-elle pour trimbaler un tel fardeau ?
Il est excitant, il est troublant que les seins avancent au-devant de la femme, comme la triomphante armoire dont parle quelque part Baudelaire ; quand ce trophĂ©e semble faire Ă©clater un corsage qui peine Ă  le contenir, et sous leur poids se dĂ©fait. Quelle est cette chose qui attise tellement la vue dans le passage du ruban Ă  la chair, lĂ  oĂč le tissu lutte avec ce qu’il recouvre, et qu’il protĂšge si mal des regards ? Un petit drame se joue quand on devine que toute la raison d’ĂȘtre de cette barriĂšre, provisoire autant que dĂ©risoire, est de cĂ©der au moment sublime du dĂ©shabillage. Les seins ne se laissent pas contenir, ils se cachent pour mieux s’exhiber mais, curieusement, leur pouvoir d’attraction dĂ©pend de ce retard imposĂ© Ă  leur dĂ©voilement : une poitrine nue, telle qu’on en voit dorĂ©navant sur les plages, a tellement moins d’empire sur nos regards que l’ancien bikini ! La sĂ©duction exige le tissu gaĂźnant la chair, un drapĂ© ou quelque falbalas. Etrange, paradoxale Ă©conomie du dĂ©sir.
Les poupĂ©es gonflables et toutes ces demoiselles air-bag promises par les accroches de Facebook ne peuvent donc durablement retenir ce dĂ©sir, le fixer. Les seins peuvent constituer l’ornement le plus visible d’un corps de femme, ils ne doivent pas Ă©craser celui-ci, supplanter les promesses d’une chair oĂč brillent aussi des yeux, un visage, une chevelure, des mains, deux jambes, une taille ou l’arrondi non moins dĂ©licieux des fesses qui tous conspirent Ă  nous attirer. La totalitĂ© organique d’un corps rĂ©alise une harmonie, peu compatible avec d’excessives excroissances. Quelles que soient les vantardises de la chirurgie esthĂ©tique, une silhouette ne doit pas ainsi basculer, ni se laisser Ă  ce point tyranniser. Une sĂ©duction vraie ne supporte pas l’inflation, ne gagne rien Ă  la dĂ©mesure.
Je songe que cette image rejoint, pour moi, la problĂ©matique de l’ hubris souvent Ă©voquĂ©e sur ce blog : comment ne pas aller trop loin ? OĂč est la juste mesure ? La photo (dĂ©jĂ  postĂ©e ici, https://media.blogs.la-croix.com/ combattre-la-demesure /2019/08/26/ ‎) du paquebot de croisiĂšre Ă©crasant, par son gigantisme, la dĂ©licate architecture de Venise relĂšve un peu du mĂȘme effet : Ă  voir certaines poitrines de femmes fendre la foule avec l’autoritĂ© d’un vaisseau amiral parmi les flotilles de pĂȘche, je me dis que ces nefs, pour que le charme opĂšre, doivent respecter entre elles une certaine Ă©chelle, qui conditionne aussi l’échange et favorise la conversation. Nos corps par leurs proportions, leurs comportements, entretiennent une secrĂšte civilitĂ© que fracasse sans retour la monstruositĂ© digne des foires de mon enfance, oĂč l’on exhibait celle-ci à grand renfort d’affiches racoleuses et de rideaux crasseux.
L’ĂȘtre humain, Ă  moins de basculer dans l’ hubris, ne peut se rĂ©duire Ă  la quantitĂ© de son avoir : celui ou celle qui n’a rien de mieux Ă  faire valoir qu’une excroissance quelconque, de biens comme de seins, nous rĂ©pugne assez vite, comment peut-on durablement s’identifier Ă  de tels fĂ©tiches, les brandir avec cette fierté ? Dans Le Banquet de Platon, dialogue consacrĂ© on le sait aux dĂ©finitions de l’amour, Socrate avoue plaisamment le charme sur lui des appĂąts d’Alcibiade, assis en bout de table, qu’il ne peut dĂ©tailler ni nommer autrement que comme des agalmata , des saillances ou brillances dans l’apparence de ce jeune homme qui mobilise tous ses regards. Entre eux les traits de la sĂ©duction voltigent, mais se laissent mal isoler. Et c’est cela aimer ou dĂ©sirer : ne pas savoir pourquoi, en quoi tel corps nous engage, nous entraĂźne dans de longues rĂȘveries

Je ne connais pas beaucoup de littĂ©rature sur les seins, un sujet digne pourtant d’inspirer les Ă©drivains capables de se risquer sur les rivages de leurs fantasmes. Deux livres, de Ramon Gomez de la Serna et de Philippe Roth, me sont rapidement tombĂ©s des mains ; une chanson en revanche m’a frappĂ©, celle oĂč Jacques Brel (« Le gaz ») compare les seins de la gĂ©nĂ©reuse hĂŽtesse Ă  des soleils puis, la voix enflant comme souvent chez lui jusqu’au tonitruant vertige, Ă  des trottoirs 
 Magnifiques emballements de l’oralitĂ©, que le magicien du Plat pays savait si bien dĂ©chaĂźner – et dont par la cigarette (substitut du sein perdu ?) il mourra.
Carmen, prĂ©nom immortalisĂ© par le plus beau des opĂ©ras, c’est en latin un charme oĂč l’on entend un poids de chair : la cantatrice qui tiendrait ce rĂŽle sans en avoir les formes sensuelles, les appĂąts, Ă©chouerait Ă  nous entraĂźner.
Mais quelle est l’alchimie du vrai charme ? Une image brutalement Ă©rotique en regorge, il serait hypocrite de le nier, mais elle opĂšre Ă  court terme, ou sur le mode du chien de Pavlov ; et le goĂ»t qu’elle suscite, ou excite, peut tourner assez vite au dĂ©goĂ»t. Tel est peut-ĂȘtre le message que vĂ©hicule l’icone, assez ironique au fond, au dĂ©part de ce billet : la fille y prend l’homme (ou le collĂ©gien que celui-ci n’a cessĂ© d’ĂȘtre) au mot de son dĂ©sir, tu en veux toujours plus eh bien voilĂ , de quoi enfin te satisfaire ! La matronne d’ Amarcord sait bien que le gamin n’a pas l’emploi de cette chair tant convoitĂ©e et que, Ă©crasĂ© par les seins, il va vite abandonner une partie qui le dĂ©passe.
Amarcord , la « Gradisca » se marie
Le rire de Fellini n’en finit pas de rouler, de s’écheveler en farandole sur la plage.
Par saint Daniel, mon bon seigneur, quelle histoire!
Une affaire de sein Ă  faire rebondir le lecteur Ă  qui l’on donne un blanc-seing pour dĂ©crocher son corsage.
DussĂ©-je faire souffrir quelques bonnes Ăąmes, incontinent, je m’exĂ©cute!
Souvenez-vous, c’était le trente janvier mi neuf cent quatre-vingt-huit, Ă  l’émission 7 sur 7 d’Anne Sinclair, sur la chaĂźne de tĂ©lĂ©vision TF1,
la présentatrice posa la question à Monsieur Lajoignie, candidat à la Présidence de la république, en ces termes :
« Que pensez-vous de DaniÚle Gilbert dans « Lui »?
« Je ne vois pas bien oĂč elle place son Ăąme, mais enfin! »
Je suis de ceux – nombreux, je pense! – qui ont aimĂ© regardĂ© l’émission de l’animatrice de « Midi premiĂšre » et sans courir aprĂšs pour lui demander un autographe, j’apprĂ©cie sa simplicitĂ© que des arrogants instruits considĂ©raient comme de la niaiserie.
La dame, loin d’ĂȘtre nice, est une personne intelligente, universitaire qui a Ă©tudiĂ© et travaillĂ© dans ses « humanitĂ©s » l’influence de Rainer Maria Rilke en Angleterre. Populaire au sens noble du terme.
J’ai eu la chance d’échanger avec le professeur de piano de son enfance et avec la fille de son professeur de littĂ©rature comparĂ©e oĂč Alice au pays de merveilles Ă©tait Ă  la page. Jusque lĂ  tout va bien, rien Ă  redire, bien Ă©videmment!
Et pourtant, un jour, la belle animatrice a décidé de se déshabiller dans le magazine « Lui ». Et le bon peuple de crier au scandale :
« On n’aurait jamais cru ça d’elle! » Et les mĂąles de se prĂ©cipiter chez le marchand de journaux « pour voir DaniĂšle Gilbert Ă  poil! »
TrĂšs belles photographies artistiques oĂč l’on ressent de la pudeur dans le dĂ©voilement haut en couleur de son intimitĂ© physique.
Son sein nu exposĂ© comme pour donner quelque chose
Sort le voyeur. Entre le voyant. Dans « Lui », elle est lĂ .
On m’objectera que tout ça ne mĂšne nulle part, si ce n’est se retrouver en « cabane » avec Heidegger et Rilke. De la chair Ă  la chaire, chĂ©rir le mot sein qui signifie incontestablement « ĂȘtre ».
J’ai conservĂ© dans un bonheur-du-jour, au grenier, l’image du sein, envoyĂ© de son universitĂ© de Strasbourg, par Abraham A.Moles, qui Ă©crit ces mots d’une saveur exceptionnelle :
« Celui qui ne connaĂźt le sein qu’au microscope pourrait-il prĂ©tendre qu’il a une connaissance satisfaisante de cet organe? aurait dit Ă  peu prĂšs PoincarĂ©. Serait-ce lĂ  l’une des leçons nouvelles d’une science qui dans la restriction Ă©pistĂ©mologique de son objet, dĂ©couvre Ă  travers l’exigence de voir cet objet sous ses multiples aspects, l’infini profondeur de la seule vĂ©ritable question posĂ©e Ă  la science, l’existence de la fĂ©minitĂ©. » (Fin de citation)
Allons voir « ça » de plus prĂšs en chaussant nos bĂ©sicles pour relire avec attention des mots qui ont une sonoritĂ© d’ĂȘtre :
« La vraie rĂ©volution culturelle passe par la reconnaissance du caractĂšre sacrĂ© de la sexualitĂ©. J’appelle de mes vƓux l’hĂ©rogamie, l’amour sacralisĂ©, l’amour considĂ©rĂ© comme la chose la plus grave, la plus digne d’admiration, le contraire de la gaudriole et de la grivoiserie. Non par conformisme bourgeois, mais par respect de la rĂ©alitĂ© il faut admettre qu’un tel amour ne peut-ĂȘtre qu’exclusif (Jacques de Bourbon Busset, « Bien plus heureux qu’aux premiers jours », Journal X, page 29)
Et pourquoi le peuple bien assis (Lisez dans « LibĂ©ration », ce jour, l’article formidable de Pascal Dibie, pages 18 et 19) qui prend sa douche chaque soir et va chez le mĂ©decin tous les quatre matins, ne serait-il pas apte Ă  entrer dans le saint des saints de la connaissance vraie, celle qui libĂšre, panse et guĂ©rit?
J’espĂšre que vous trouverez digeste ce petit lait nocturne et ne m’en voudrez pas trop de ce dĂ©boutonnage matutinal que Monsieur Daniel, Ă  mon avis, ne saurait censurer.
Ce n’est certes pas le « Margaux » cher Ă  Monsieur M dans son dernier commentaire mais bon, loin des la la des gars du village mĂ©tamorphosĂ©, on peut toujours rĂȘver de si si dans une fine bouche buvant ces notes incertaines

Le rĂȘve n’est-il pas une force de la nature?
Magnifiques citations cher GĂ©rard, vous enrichissez indubitablement la corbeille des questions que soulĂšvent ces admirables globes, dont je m’avise un peu tard que blog est l’anagramme – invitation Ă  poursuivre sur ce (dĂ©licat) sujet ?
En ce jour d’exaltation de la sainte croix, est-il aisĂ© de rĂ©pondre Ă  la question du maĂźtre randonneur? Je n’en suis pas sĂ»r

Le lecteur doit-il se reposer sur le sein de la princesse nommĂ©e science et attendre sur son « Patmos » une tranquille apocalypse? Je n’en sais rien.
Aprùs le banquet, une mise en Cùne
Pourquoi pas?
Un sein peut en cacher un autre  »Art de la comĂ©die »qui tient d’une anagramme en quatorze lettres , celle
« de la démocratie ».
Bonne journée
M
De la sainte croix exaltĂ©e Ă  F. Fellini qui rigole dans ses limbes, les gros lolos du randonneur laissent le public de glace. Tout est torpeur et platitude, plus personne ne rĂ©agit et ce mal qui rĂ©pand la terreur en laisse mourir plus d’un sur l’asphalte de ce monde devenu stone.
Et ce ne sont pas les savants propos d’un huron d’une contrĂ©e du diable vauvert qui va changer la situation, que je sache! Banquet par ci, CĂšne par là
Alcibiade et son agalma, Jean et sa rĂ©vĂ©lation. Tous Ă  table. Tous assis.
« Tables »avec Michel Serres, oĂč l’on peut lire :
« Vous cherchez ici le langage, il rĂšgne ailleurs, dans un autre monde, oĂč il a pris un corps glorieux »
Faut-il un « cas d’évasion galante » pour sortir de cet enfer moderne oĂč l’on voit la foule « marivauder dans le monde »? Est-ce par hasard, si les deux groupes de mots entre guillemets de cette question, contiennent respectivement deux Ă©tonnantes anagrammes :
« Casanova de Seingalt » et « Salon de Madame Verdurin »?
Quitter la randonnée, comme les autres, et prendre au petit bonheur la chance, un sentier qui bifurque
Pour y rencontrer qui? Un professeur, un physicien, un artiste?
Ou tout simplement soi-mĂȘme, plus quelque chose qui passe
Un ange peut-ĂȘtre!
Yeux clairs ou sombres qui pĂ©tillent dans des visages dorĂ©s et de si longues jambes bronzĂ©es, gorge offerte au soleil de fin d’étĂ©. Ah 
 que les filles sont belles et insouciantes dans ces derniĂšres semaine de septembre.
« Lolos » avantageux ou pas ! Qui ne rĂȘve de la douceur fĂ©minine Ă  l’image des seins et des fantasmes qu’ils procurent ?
Et que faire de tant de soleil ? Coupable de transformer la beautĂ© en visages burinĂ©s et fripĂ©s et en chairs molles .. Belle jeunesse si vite enfuie ! Plus durs seront les regrets de la belle, si le goĂ»t du compliment lui a fait oublier que le dard de l’astre du jour est toujours ruineux prĂ©cocement.
Vanter les charmes de celle-ci ? Bien trop facile, n’est-ce pas. Qui ou quoi pour accompagner l’ñge dit mature, ou la fragilitĂ© commençante d’une vieillesse qui s’approche.
A l’écoute des bruits de la vie, je viens d’entendre Margherita ( 4 ans) dire Ă  sa Nonna : « Che bella, ti ammo ».
Heureuse grand-mĂšre, heureuse enfant. Un matin ordinaire, un vieux mari s’extasie devant les cheveux de l’épouse que l’humiditĂ© de la nuit a fait boucler.
Quelques Ă©clats de bonheur : une vraie force oĂč puiser.
Cependant 
 prudence vis à vis des faux-amis. Les causeurs et les autres 

Le commentaire précédent nous donne une leçon de vie, toute simple, vraie.
Tout Ă  l’heure, au jardin, je lisais « Cantique des cantiques », une piĂšce de Jean Giraudoux.
Une leçon de vie aussi

Reste une terrible interrogation, à la margelle du puits
de vie.
Dans le temps retrouvĂ© , Marcel a dit son mot sur cette complexitĂ© de la vie et mĂȘme des circonstances.
Et dans le temps fabuleux des enfants rĂȘveurs, on ne cause pas, Madame, on vit.
A mĂ©diter, peut-ĂȘtre, entre gens sĂ©rieux!
On peut trouver le texte complet de la piĂšce de Giraudoux sur Internet. Et, Ă©galement des commentaires sur le rapprochement avec celui du Cantique des Cantiques de la Bible.
Échos de l’u
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