Ils forniquent sur un banc du jardin

Ils forniquent sur un banc du jardin




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Ils forniquent sur un banc du jardin
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AllongĂ© sur un banc comme l’aurait Ă©tĂ© un simple clochard, Vaia les yeux ouverts contemplait le ciel. Elle portait un pantalon noir de coupe droite Calvin Klein, des Converses bleu claires aux pieds et un T-shirt Diesel. L’ensemble d’un style dĂ©tendu tranchait avec sa veste stricte Dolce Gabana, comme si elle s’était habillĂ©e normalement mais avait piquĂ©e une veste de tailleur Ă  sa mĂšre. Elle avait donc un air Ă©trange, presque rapiĂ©cĂ©e
 Mais finalement elle se sentait comme un caneton au milieu des poussins ou simplement cette veste par rapport au reste de ses vĂȘtements : complĂštement Ă  cĂŽtĂ© de la plaque ! Elle repĂ©ra enfin un nuage dans le ciel dĂ©sagrĂ©ablement si bleu azur ce matin lĂ . Enfin une belle tache dans l’uniformitĂ© de ce ciel ! Enfin une irrĂ©gularitĂ© qui perturberait peut ĂȘtre un ou deux de ces biens pensants qui pourrissaient la sociĂ©tĂ© ! Ils n’avaient rien compris
 Rien compris du tout avec leur fichue volontĂ© de perfection et de soit disant pureté  De l’uniformitĂ© oui ! Des montons
 Tous que des montons stupides et obĂ©issants. C’est ainsi qu’en suivant la simple course d’un nuage la jeune femme de 17 ans ruminait sa haine. Elle les dĂ©testait
 Et particuliĂšrement eux qui avaient toujours fait comme si elle n’avait pas d’importance. Qui Ă©taient ils pour choisir Ă  sa place qu’elle n’était rien ? « Un jour
 Un jour vos tord ne seront plus visible qu’aux yeux des autres mais aussi Ă  vos propres yeux bande d’ordures ! » Elle avait murmurer cela sur un ton mauvais, comme un avertissement divin impliquant Ă  tĂ©moin le ciel et surtout ce nuage gris qui venait en perturbĂ© la soit disante perfection ! Il n’y avait Ă  cette instant personne Ă  cĂŽtĂ© d’elle, personne d’assez proche dans le jardin public pour l’avoir entendu. Un peu plus loin des enfants jouaient en riant. Ils Ă©taient heureux sous les regards bienveillants de leurs mĂšres ou pĂšres aimants
 De quoi faire enrager un peu plus la sauvageonne. *Pourquoi eux y ont t’il droit ? Qu’est ce qu’ils ont fait de plus que moi Ă  la naissance pour que leur famille leur montre un intĂ©rĂȘt rĂ©el ?* Elle ferma les yeux pour ne pas pleurer. Cette petite faiblesse se laissa submerger par une rage folle. Si elle avait Ă©tĂ© victime d’un lĂ©ger picotement d’yeux et d’un serrage de gorge significatif maintenant, en seulement quelques secondes, elle se sentait d’humeur Ă  boxer le premier venu
 ParticuliĂšrement l’un de ces mouflets brailleurs s’il lui venait dans l’idĂ©e d’approcher.
Legan venait d'apparaitre dans le jardin public, son mortel venait d'ĂȘtre dĂ©signĂ© moins d'une heure auparavant; et il se retrouvait dans le lieu oĂč il devait logiquement trouver une dĂ©nomĂ©e Vaia. Legan joua un peu avec ses ailes, ces deux nouveaux membres de son corps l'amusaient beaucoups, lui qu'on prenait pour un dragon avait vraiment des ailes maintenant, pas de dragon certe mais des ailes quant mĂšme, lĂ©gĂšrement grises alors qu'on lui avait toujours dis que les ailes des anges Ă©taient blanches. Tant pis, c'Ă©tait jolis quant mĂšme. Plusieurs personnes passĂšrent Ă  cotĂ©s de lui sans le voir. Il savais que cela Ă©tait normal et il avait l'habitude de cette rĂ©action de son vivant, alors maintenant qu'il Ă©tait mort, cela le gĂ©nais encore moins. Il laissa son regard courir sur le jardin Ă  la recherche de Vaia, il l'aperçut rapidement allongĂ©e sur un banc tout prĂšs de lui. Il resta sans bouger quelques minutes, Ă  l'observer regarder le ciel. Visiblement la jeune fille Ă©tait de mauvaise humeur et ne cessait de marmonner des paroles inaudibles mais surement peu agrĂ©ables. Puis, avec un peu d'aprehension tout de mĂšme, il ouvrit enfin la bouche. Tu vas rester Ă  faire la tronche toute la journĂ©e sur ce banc? Legan s'approcha, un sourire aimable aux lĂšvres. La jeune fille Ă©tait jolie bien qu'habillĂ©e un peu bisarrement. Lui mĂšme portait les vĂ©tements qu'il avait au moment de son dĂ©cĂ©s, une chemise noire et un pantalon un peu classe, puisqu'il avait passĂ© la soirĂ©e dans un restaurant avant....l'accident. Il fit un signe de la main Ă  la jeune fille maintenant juste devant lui, il se pencha un peu au dessus d'elle, lui cachant la vision du celle, remplacĂ©e par celle du visage du gardien. Salut, tu dois ĂȘtre Vaia non? Il avait peu de chances de se tromper, on lui avait montrĂ© l'image de la jeune fille avant de la lui confier.
Les mioches
 toujours Ă  crier et brailler
 Ils donnaient Ă  l’univers actuel de Vaia un fond sonore de dĂ©cibels trĂšs variables. Pour ne rien arranger elle continuait de ruminer dans son coin sa haine. Autant dire qu’elle passa complĂštement Ă  cĂŽtĂ© de la premiĂšre remarque de son ange. Par contre la suite n’eut aucune chance de lui Ă©chapper
 Cela commença par une sorte d’ombre s’approchant. Quelqu’un qui en peu de temps plaça son visage juste au dessus de celui de la jeune polynĂ©sienne. En quelques secondes Vaia dĂ©tailla l’homme : jeune, des traits fins et agrĂ©ables, des yeux bleus sages mais dans lesquelles se lisait une sorte d’inexplicable tristesse
 Comme si cette tristesse n’était pas un sentiment passager mais une chose encrĂ©e en lui. Lorsqu’il la salua tout ne souriant l’individu montra qu’il la connaissait en prononçant son nom. *Mais comment Diable connaĂźt t’il mon nom ?* Ce n’était pas chose si rare avec la rĂ©putation que se traĂźnait la polynĂ©sienne, mais gĂ©nĂ©ralement les gens sachant qui elle Ă©tait, l’évitaient ! Vaia se releva, passant d’une position couchĂ©e Ă  une position assise. Ses longs cheveux noirs jusque ici Ă©parpillĂ© follement sur le banc tombĂšrent dans son dos avec un mouvement lĂ©ger et aĂ©rien, devenant bien lisse et disciplinĂ©. En se relevant elle pu voir qu’il Ă©tait grand, plus qu’elle ce qui n’était pas des plus courants, mais plus que tout deux Ă©tranges appendices reposaient sur son dos avec une grĂące trĂšs naturelle
 Des ailes ! Elle qui venait de penser, au sens figurĂ© certes, mais penser quand mĂȘme au Diable, voila qu’elle avait ce qui ressemblait Ă  un ange sous les yeux ! « Je
 Je
 » Totalement dĂ©stabilisĂ©e Vaia en perdait ses moyens. Pourtant elle n’avait rien fumĂ© d’illicite ni toucher Ă  un de ses champignons magiques qui vous plonge parfois dans d’étranges hallucinations. Elle se frotta les yeux
 Tenta de vĂ©rifier qu’elle n’avait pas de fiĂšvre
 Se pinça fortement, laissant Ă©chapper un petit cri de douleur
 « Aie ! » Et tout en se frottant le bras elle demanda. « DrĂŽlement rĂ©alistes tes bidules
 » Elle avait omis le mot ailes presque volontairement, comme pour se cacher de la possible rĂ©alitĂ© de cet ĂȘtre irrĂ©aliste. « T’es quoi au juste ? Un mystique de JĂ©sus ou un acteur ? » Pourtant malgrĂ© ses allusions elle avait la certitude de ce qu’était cet ĂȘtre !
Legan fut rassuré par la réaction de Vaia, elle ne partais pas en courant et n'essayais pas non plus de lui tapper dessus, il savait qu'elle n'était pas du genre facile. Ses ailes lui faisaient visiblement de l'effet. Mes bidules? Ce sont des ailes. La question de la jeune fille le fit éclater de rire. Non, je ne suis pas acteur et encore moins un mystique de Jésus. Ce sont de vraies ailes, regarde. Il se tourna et fit bouger les deux ailes qui ornaient son dos. Les vetements qu'il portait étaient trop léger pour cacher quelque mécanisme que ce soit. Sa voie était calme et il était sur de lui, forcement puisqu'il disait la vérité. Esperant avoir convaincue la jeune femme, il se replaca face à elle. Je m'apel Legan, gardien de...heu..et bien gardien de toi, mademoiselle Vaia Jackman. Pour faire simple, disons que je suis en quelques sorte ton ange gardien, certains là haut trouve que tu vas pas bien et que tu as besoin d'aide, alors l'aide, bin la voici, avec ses elles, c'est moi, Legan kelops. Ravis de te connaitre. Amusé d'avoir été pris pour un acteur, il avait déclamé ces phrases comme au théatre et finis par un léger salut. Je sais que ca doit surprendre, honnetement je serais à ta place je me demanderais si j'ai pas picolé mais pourtant, tu viens de le vérifier par toi mÚme c'est bien réel.
Si quelqu’un d’autre avait Ă©clatĂ© de rire Vaia l’aurait probablement agressĂ© verbalement au minimum
 Mais lĂ  elle n’eut pas le temps de commencer Ă  s’enflammer de colĂšre qu’il se tourna. Le tissu fluide Ă©tait trop fin pour cacher quoi que ce soit et ses ailes semblaient bien rĂ©elles. Les ailes Ă©taient grandes et d’un gris trĂšs doux. Elles dĂ©gageaient une grande force et robustesse bien qu’elles fussent aussi fines et graciles. Etrange image entre la force et la prĂ©ciosité  Mais image au combien rĂ©elle ! Lui Ă©tait calme et presque complĂštement Ă  l’aise
 Vaia se sentait
 ComplĂštement sous le choc : quand la vĂ©ritĂ© vous explose Ă  la figure il faut parfois un peu de temps pour l’accepter ! Aussi resta t’elle silencieuse, les sourcils arquĂ©s d’étonnement, ses yeux verts grands ouverts et miroirs de son trouble. Il se prĂ©senta thĂ©Ăątralement ! Vaia prit note des informations qu’il lui fournissait
 Il se nommait Legan Kelops, il Ă©tait son ange gardien et quelqu’un lĂ  haut avait jugĂ© qu’elle allait mal. Bien sur qu’elle allait mal. Elle avait toujours Ă©tĂ© mal. Forte, dĂ©vastatrice parfois mais jamais Ă©quilibrĂ© et heureuse comme ses mioches et leurs familles qui continuaient Ă  jouer tranquillement un peu plus loin
 *Jouer
 Tranquille ? Un truc avec de grandes ailes se balade dans le parc alors que ce n’est pas carnaval et personne ne lui louche dessus avec curiositĂ© ?* « J’ai pas picolĂ© hier, quand je picole trop j’ai mal Ă  la tĂȘte le lendemain, si j’avait picolĂ© je le saurait
 » Vaia parlait avec calme mais son ton dĂ©concertait trahissait l’incrĂ©dulitĂ©. « J’ai rien prit que ce soit Space cake ou fumette et impossible que ce soit Ă  mon insu j’ai manger seule chez moi hier ! » Elle dĂ©signa de la main la partie du parc avec les enfants et leurs parents qui jouaient dans une totale insouciance. « Alors pourquoi je suis seule Ă  te regarder lĂ  ? » Bien entendu la rĂ©ponse semblait Ă©vidente mais elle avait besoin qu’on lui dise !
Vaia semblait assez troublĂ©e par l'apparition de Legan, on le serait Ă  moins il fallait bien le reconnaitre. A sa rĂ©action Legan eut un nouveau sourire amusĂ©, ce boulot de gardien pourrait se rĂ©vĂ©ler bien plus passionnant qu'il ne l'avait imaginĂ©.. Peut ĂȘtre parce que tu es la seule Ă  ĂȘtre Ă©tonnĂ©e de voir un mec avec des ailes dĂ©barquer de nul part en connaissant ton prĂ©nom, peut ĂȘtre parce que tout le monde s'en fout, ou peut ĂȘtre aussi parce que... Legan se placa devant un homme qui marchait vers la sortie du jardin, il s'amusa Ă  passer devant lui, Ă  lui faire quelques grimaces, puis il revint devant Vaia. Parce que tu es la seule Ă  me voir. Je suis TON gardien, je ne suis pas lĂ  pour eux mais pour toi uniquement. Les autres ne peuvent ni me voir, ni m'entendre ou me toucher, tu es la seule Ă  le pouvoir ou presque. Par conrtre, ils te voient toi, et je crois que certains commencent Ă  se demander si t'as pas pĂ©tĂ© les plombs lĂ  car ils te voient parler toute seule depuis cinq minutes. Legan dĂ©signa d'un mouvement de tĂȘte plusieurs mĂšres de famille un peu plus loin qui regardaient d'un oeil inquiet la jeune femme, faisant des efforts surhumains pour que leurs marmots ne s'en approche pas trop tout en restant discretes, essayant tout du moins. On devrait aller dans un endroit avec moins de monde, je veux bien rĂ©pondre Ă  toutes tes questions mais si tu te fais embarquer par les psy et qu'on te fous dans une chambre avec des matelas aux murs, primo çà risque de pas te plaire et deuxio, çà me ferais vachement plus de boulot. Viens avec moi. Il entraina Vaia, sous les yeux exhorbitĂ©s des mĂšres qui voyaient une jeune fille partir comme si quelqu'un lui tirait le bras mais sans voir qui que ce soit qui tienne le bras. Legan conduisit Vaia dans une partie boisĂ©e du jardin public, un peu plus Ă  l'abris des regards. VoilĂ , on sera mieu ici. Il s'adossa contre un arbre, les bras croisĂ©s sur le torse, attendant les questions qui allaient certainement ne pas tarder Ă  affluer dans la tĂȘte de la jeune femme.
L’explication commença, et lors de la dĂ©monstration Vaia murmura. « Oh mon Dieu
 » Elle n’était pas croyante, plutĂŽt agnostique en rĂ©alitĂ©, genre saint Thomas qui ne croit que ce qu’il voit. Et justement elle voyait quelque chose auquel elle n’aurait jamais cru finir par croire
 Sous les yeux d’un passant l’ange s’évertuait en un spectacle de grimaces, assez rĂ©ussites il fallait le dire. Et le passant justement ne voyait rien du tout
 Bien entendu la rĂ©vĂ©lation avait une vĂ©ritable logique
 A moins bien entendu qu’il n’eut s’agis d’une camĂ©ra cachĂ©e mais gĂ©nĂ©ralement Ă  ce jeu lĂ  les mioches vendaient toujours la mĂšche. Tout Ă©tait trop rĂ©elle, bien trop pour n’ĂȘtre qu’une vaste blague ! L’allusion Ă  l’hĂŽpital psychiatrique n’était pas de trop
 Et en regardant les mĂšres de famille partiellement affolĂ©es Vaia se rendit compte que Legan avait visĂ© juste. *D’un autre cĂŽtĂ© l’hĂŽpital Ă  un possible avantage : Russel ne pourra pas le cacher et Rachelle devra rĂ©agir
 Mais l’enfermement est une solution de dernier recours, c’est encore trop risquĂ© pour moi.* Legan entraĂźna Ă  sa suite Vaia. Il avait une force Ă©tonnante et un poignet ferme, mais Vaia cumulait toutes les possibilitĂ©s de dĂ©monter la situation, de se prouver que tout ceci n’était pas vrai
 Peine perdu rien ne marchait
 Il la lĂącha, il Ă©tait contre un arbre protĂ©ger par un bosquet des regards indiscrets. Ici Vaia ne risquaient plus de passer pour une illuminĂ©e ou une dĂ©mente. « Pourquoi ? » Le ton se faisait plus dur. Vaia semblait retrouver son assurance. « Pourquoi moi et pourquoi maintenant ? Et aussi comment cela se fait il qu’on m’octroie un ange gardien ? » Vaia Ă©tait trĂšs intelligente et en quelques secondes les hypothĂšses fusĂšrent. « Je vais bientĂŽt mourir ? OĂč alors un tueur en sĂ©rie va m’attaquer ? A moins que ce ne soit un accident qui me guette ? » N’importe qui aurait Ă©tĂ© flattĂ© d’avoir un ange gardien. Un ange visible qui plus est
 Mais Vaia prenait cela comme une chose anormale et presque punitive. Elle leva un doigt inquisiteur devant le nez de l’ange et accusa. « Chaque jour des milliers de personnes bien plus innocentes que moi meurt
 » Au moins faisait elle preuve d’un esprit assez critique pour savoir qu’elle n’avait rien d’innocent. « Alors pourquoi moi j’aurais plus d’importance qu’eux pour qu’on me fournisse un ange ? » DĂ©signant la direction du parc elle continua. « Il y a peut ĂȘtre lĂ  bas une petite fille qui s’appel aussi Vaia et c’est pour elle qu’on t’envoie. C’est vrai quoi j’ai rien d’un futur prix nobel de la paix. »
Legan laissa a Vaia le temps de poser toutes ses questions, il se doutait qu'elle en aurait pleins et il avais eu raison, aprĂšs une pĂ©riode d'hĂ©sitation les interrogations avaient dĂ©ferlĂ©es comme une vague. Il n'y a pas d'erreur sur la personne Vaia, je connais ton prĂ©nom ET ton nom, je te l'ai montrĂ© tout Ă  l'heure, il est possible qu'une autre vaia se promene par ici mais dĂ©ja j'en doute et en plus, que ce soit une autre Vaia Jacman, c'est presque impossible, si on rajoute Ă  çà le fait que tu puisses me voir, il n'y a plus aucun doute. Je suis lĂ  pour toi. Il reprit un peu son soufle, le temps aussi de rĂ©flechir aux autres questions sur lesquelles il n'avait pas de rĂ©ponse toute prete. Ca fait beacoups de questions çà....je vais essayer de rĂ©pondre dans l'ordre. Alors, non, tu ne vas pas mourirn t'as pas de tueur aux fesses ni de maladie grave Ă  ma connaissance, et si une voiture essaie de te rouler dessus, mon boulot c'est justement de l'eviter. Pourquoi toi? Parce que certains, me demande pas qui j'en ai pas la moindre idĂ©e, on dĂ©cidĂ©s que tu avais besoin d'aide, qu'il fallais te remettre sur les rails, pourquoi maintenant? Parce que c'est le moment, tout simplement... Un sourire un peu gĂ©nĂ© apparau sur son visage Ou alors ils avaient personne pour ce job jusque lĂ ... Il repris son sĂ©rieux, difficilement. Il y aeffectivement des gens innocents qui meurent mais ce n'est pas moi qui dĂ©cide hein, je sais pas ce qu'ils ont en tĂȘte ceux qui dĂ©cident, peut etre qu'ils ont un plan, peut etre pas. Mais le fait est que je suis lĂ  pour toi, et tout le monde Ă  de l'importance, toi autant que les autres. Je suis pas lĂ  pour te punir ou je ne sais quoi, je suis lĂ  pour t'aider uniquement. Legan se dĂ©tendit un peu, il avait rĂ©ussit Ă  trouver une rĂ©ponses Ă  toutes les questions et pour la plupart il avait du rĂ©flechir Ă  la rĂ©ponse tout en rĂ©pondant Ă  une autre question. Voila, je pense avoir rĂ©pondut Ă  toutes tes questions, j'suis pas sur de l'avoir fait dans l'ordre par contre.. Il se dĂ©colla de l'arbre et se pencha vers Vaia, mettant son visage au niveau de celui de la jeune femme. Un sourire amusĂ© et protecteur aux lĂšvres. Dit, c'est qu'il y en Ă  dans cette ptite tĂšte. Toi qui ralais contre tout le monde y a Ă  peine dix minutes, voila maintenant que tu veux que tous le monde ait un ange gardien, t'es pas si mĂ©chante que tu veux le laisser croire en fait.
Legan affirmait qu’elle Ă©tait la bonne personne mais c’était lĂ  une chose assez Ă©trange Ă  entendre. Bien entendu il y avait de quoi s’en sentir mis en valeur et flattĂ©e mais Vaia cela l’agaçait presque. Cela faisait naĂźtre en elle une idĂ©e horriblement infaillible. *Ca va pas ĂȘtre facile de m’en dĂ©barrasser !* La suite des rĂ©ponses n’avança pas beaucoup Vaia
 Son ange gardien ne savait pas pourquoi elle et sa rĂ©ponse quand Ă  pourquoi maintenant ne valait guĂšre mieux. ! En gros cela n’avançait pas vraiment Vaia mais au moins savait-elle dĂšs lors que Legan n’en savait pas plus. Finalement elle doutait qu’il soit rassurant qu’une crĂ©ature tel un ange en sache si peu. « L’ordre on s’en fout
 » Oui peu importait qu’il ai rĂ©pondue Ă  l’une avant l’autre car l’important Ă©tait qu’il ai rĂ©pondu. Mais voila qu’il faisait des allusions Ă  une certaine prĂ©venance de Vaia. Legan se pencha vers elle. Vaia sentit le rouge lui monter aux joues. Non un rouge due Ă  la position, le genre de rouge gĂȘnĂ©e et fĂ©brile
 Mais plutĂŽt un rouge de colĂšre Ă  l’allusion d’une soit disant gentillesse. « J’en ai rien Ă  foutre que les autres ai des anges ou pas. » Elle avait lĂąchĂ© cela d’un ton cassant et froid. Avec une telle force dans la voix qu’aucune objection n’aurait Ă©tĂ© tolĂ©rĂ©e. « J’essaye juste de comprendre ! Je suis curieuse... » Avec un regard mauvais elle ajouta. « Ils peuvent bien crever que j’en ai rien Ă  foutre ! De toute façon on crĂšve tous un jour et moi aussi un jour je finirais entre quatre planches ! » Puis souriant d’une façon malsaine car pleine de haine elle continua. « Et si je me suicide ce sera pour toi un Ă©chec ? » Elle se mit Ă  rire doucement mais sans aucun humour. « T’en fait pas c’est pas demain la veille car j’ai une mission plus importante Ă  remplir
 » Elle termina en pensĂ©e
 *Leur pourrir la vie !* Et elle avait dĂ©jĂ  bien avancĂ© sur cette voix, salissant l’impeccable rĂ©putation familiale, forçant Rachelle Ă  voir John sous son pire jour aux yeux d’une mĂšre, celui non d’un fils mais d’un homme prĂȘt Ă  tout pour une partie de jambe en l’air et empoisonnant et tuant ce sale cabot de Jocker ! Mais ce n’était pas encore assez !
La petite Vaia devenait agressive, état habituel chez elle pour ce qu'en savait Legan. Mais il n'etait pas gardien depuis longtemps, aussi les paroles de la jeune fille le touchÚre comme un humain. Tu crois que c'est drole d'etre entre quatres planches?? Moi j'y ai été! Cà n'a rien de sympa! Un jour tu iras toi aussi, mais le plus tard possible! Il reussit à reprendre son calme. tu peux bien essayer de te suicider, je t'en empecherais. Ta mission je sais pas ce que c'est mais la mienne, c'est de t'aider. Legan prefera se réadosser contre son arbre, pour empecher qu'une baffe ne parte, déja que le premier contact virait au drame, il se dit que terminer par une bagarre n'arrangerait surement pas les choses. Faut que tu piges un truc, on va passer pas mal de temps ensemble toi et moi, je peux pas m'éloigner trop de toi. Alors pas la peine d'essayer de filer pendant que je dors ou que j'ai le dos tourné, je réapparaitrai
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