Ils baisent dans un ghetto

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Photo 2536/73 des Archives de Yad Vashem
Les différentes cases du jeu portent les noms des rues et des bâtiments importants du ghetto. Au centre du plateau, se trouve une image représentant le ghetto de Theresienstadt vu du ciel.
Collection d'objets de Yad Vashem. Don de Dan et Micha Glass, Givatayim/ Jérusalem, Israël
La poupée lui avait été offerte par sa mère, Natalia, qui participait aux efforts destinés à faire sortir clandestinement des enfants du ghetto et fut sa seule amie durant ces longs mois de solitude dans sa cachette. Blessée au cours de ses activités de convoyage clandestin, Natalia dépêcha dans la cave un jeune homme qui expliqua à Zosia qu'elle devait venir avec lui. Le jeune homme installa Zosia dans un sac de charbon qu’il mit sur son dos. Alors qu'ils avaient déjà quitté le ghetto, Zosia réalisa qu'elle avait oublié sa poupée et demanda à revenir dans le ghetto, car « une maman n'abandonne pas son enfant… ». Ils retournèrent donc dans le ghetto dont ils s'enfuirent une nouvelle fois après avoir récupéré la poupée.
La pochette fut fabriquée avec des restes de tissus divers assemblés par Evgenia Yelinkova, une amie de la famille.
Musée d'art de la Shoah, Yad Vashem, Jerusalem
Musée d'art de la Shoah, Yad Vashem, Jerusalem
Musée d'art de la Shoah, Yad Vashem, Jerusalem
Les rations alimentaires ne suffisent pas à assurer la survie des habitants du ghetto et les Allemands recourent à des mesures punitives brutales et notamment à des exécutions, pour certaines publiques, afin d’enrayer la contrebande. La famine fait rage et s’aggrave et beaucoup tombent malades ou périssent dans les ghettos.
En dépit des conditions inhumaines qui règnent dans les ghettos, des institutions communautaires et des associations bénévoles s'efforcent de redonner un sens à la vie et de subvenir aux besoins de la population.
Ils sont nombreux à risquer leurs vies pour défendre leurs valeurs : l'éducation de leurs enfants, la préservation des traditions religieuses ou la poursuite d'activités culturelles. Littérature, travail intellectuel, musique et théâtre servent d’échappatoire à la dure réalité du ghetto et rappellent à ses habitants leur vie antérieure. A travers l’écriture et le dessin, artistes et intellectuels, enfants et adultes expriment la peur et l'angoisse qui accablent la communauté juive. Ces activités permettent à de nombreux habitants de s’élever au-delà de la déchéance et des humiliations subies. En dépit de la réalité meurtrière à laquelle les Juifs sont exposés, ils sont nombreux à s’engager au service des plus faibles et à mettre en place des comités d’assistance et d’entraide. Un grand nombre d'entre eux s’exposeront à de graves dangers pour sauver la vie d'autres Juifs – certains enfants mettront même leur vie en péril pour faire rentrer clandestinement de la nourriture dans le ghetto.
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Dans le manifeste des 44, des écrivains s’attaquent à l’étiquette “francophonie” et dénoncent le nombrilisme de l’édition parisienne. Un combat à double lame.








La photo entrera peut-être dans l’histoire : une quinzaine de romanciers serrés sous leurs parapluies, sur le pont du navire-école Belem à Saint-Malo. On reconnaît Michel Le Bris et Jean Rouaud, Muriel Barbery et Jacques Godbout, Jean-Luc Raharimanana et Michel Tremblay… Tous ont signé le fameux Manifeste des 44, « Pour une littérature-monde en français », publié dans Le Monde du 16 mars 2007. Un manifeste à double lame. La première annonce la mort de la francophonie dans sa forme actuelle et la naissance d’une littérature-monde riche de toutes les littératures en langue française animées par « l’envie de goûter à la poussière des routes, au frisson du dehors, au regard croisé d’inconnus ». La seconde s’en prend aux « maîtres-penseurs » de la littérature et de l’édition, ces « inventeurs d’une littérature sans autre objet qu’elle-même », qui « se regarde écrire ». Traduisez : les héritiers du nouveau roman, du structuralisme ou de la déconstruction, qui s’égareraient aujourd’hui dans le formalisme et l’autofiction. 
A l’étranger, les journaux se régalent de cette nouvelle bataille d’Hernani dont la France a le secret. A Saint-Malo, Michel Le Bris, fondateur du festival Etonnants Voyageurs et initiateur du recueil collectif Pour une littérature-monde, publié le mois dernier chez Gallimard, a nourri le débat (et la polémique) à travers une série de rencontres. Et à Paris ? Le « milieu » de l’édition française – un terme que Le Bris emploie dans sa double acception – sort enfin du silence… passablement agacé. 
Alors, ce débat, vrai combat ou chanson de geste ? Du côté des signataires, il semble que l’on soit plus motivé par la critique de la francophonie que par celle de la littérature intimiste. Qu’ils soient africains (comme Alain Mabanckou), belges (comme Benoît Peeters) ou québecois (Jacques Godbout), beaucoup d’auteurs souffrent en effet de cette étiquette de « francophones » qui les enferme dans un ghetto en prétendant les rallier à la « culture française » : « Non seulement elle nous transforme en espèce “exotique” aux yeux du public, remarque Abdourahman Waberi, auteur de Aux Etats-Unis d’Afrique, mais elle creuse un fossé symbolique entre les auteurs. Comme s’il existait un “centre pur” – Paris et les écrivains français “de souche” – et une périphérie, une “annexe”, avec les “francophones”. » La critique paraît légitime : dans les librairies, faut-il le rappeler, ces écrivains sont généralement rangés dans le domaine Etranger ; et certaines maisons d’édition continuent de les publier dans des collections « à part », comme Continents noirs chez Gallimard. On dira que cette distinction était nécessaire à une époque, pour mettre en valeur des écrivains mal connus, venus d’horizons lointains et cependant d’expression française. Mais elle semble aberrante aujourd’hui, et elle est vécue comme une véritable discrimination, même si ces auteurs bénéficient de bourses et d’invitations au nom, justement, de cette « francophonie ». Le pire, c’est que cette discrimination est à géométrie variable : « Hector Bianciotti ou Jorge Semprun sont considérés comme des romanciers “français”, souligne Anna Moï, auteure de Violon. Pourtant le français n’est pas leur langue maternelle. En revanche, quantité d’auteurs continuent d’être étiquetés “francophones” alors même que le français est leur langue maternelle. Bianciotti et Semprun sont blancs, les autres sont généralement des hommes et femmes de couleur. Vous ne pensez pas qu’il y a un problème ? » 
Les choses doivent changer. « C’était une catégorie pertinente, et même progressiste, quand publier des écrivains étrangers d’expression française participait de l’émancipation culturelle, analyse Olivier Cohen, patron des éditions de L’Olivier. Mais cette discrimination positive n’est plus nécessaire aujourd’hui. » Et les signataires du manifeste entendent bien la réformer : ils viennent d’annoncer le lancement d’une revue, la création d’un prix littéraire et le passage, en décembre, d’Etonnants Voyageurs en Haïti. 
Reste la seconde question soulevée par le manifeste – celle d’une rupture radicale avec une littérature intimiste, ou théoricienne, héritée des années 50 et du nouveau roman, du structuralisme et de la déconstruction. Quel lien avec la francophonie, demandera-t-on ? Un goût « pour le dialogue constant entre les espaces intimes de chaque auteur et les échos du monde extérieur où se joue une odyssée humaine plus vaste que nos existences individuelles », affirme Anna Moï. Muriel Barbery, auteure de L’Elégance du hérisson, se dit quant à elle « séduite par le concept de littérature-monde », car il colle avec son amour des « romans généreux, ceux qui s’attachent à dire une condition humaine restituée dans le souffle du monde, de Guerre et Paix à Autant en emporte le vent. » Mais elle ajoute aussitôt qu’elle n’a pas l’intention de « donner des leçons à qui que ce soit ». On croise tout de même, parmi les signataires, des auteurs qui ne se sont engagés sur cette question que du bout de la plume, car « la seule distinction valable restera toujours celle entre les bons et les mauvais livres », reconnaît l’un d’eux. Michel Le Bris, lui, est beaucoup plus tranché : « Je n’ai rien contre la littérature intimiste, et d’ailleurs la réflexion sur le moi est une tradition ancienne dans la littérature française. Mais Angot, ce n’est pas Montaigne ! Et quelle catastrophe a bien pu se produire dans notre pays pour que tant d’écrivains se retirent du monde et qu’un auteur comme Nicolas Bouvier ait dû attendre vingt ans avant d’être publié ? Comment expliquez-vous que les romans français n’intéressent personne à l’étranger ? Le délire de linguistes décrétant que la littérature n’avait qu’elle-même comme objet a eu des conséquences désastreuses. » 
Certes, il y a eu des effets de mode. A l’université, l’empire des signes et la mort de l’auteur ont eu leurs zélotes radicaux et fiévreux. Et Etonnants Voyageurs a fait un formidable boulot de défrichage sur un terrain – le roman du voyage et des grands espaces – laissé en jachère par les « théoriciens ». Mais cette « chape de plomb » que dénonce Le Bris n’est-elle pas fendue ? Nombre d’auteurs, parmi les fleurons de la littérature française contemporaine, comme Antoine Volodine, Jean Rolin ou Michel Houellebecq, sont bien peu suspects de « nombrilisme ». Quant à affirmer que l’autofiction, ou la recherche formelle, ne « disent » pas le monde, cela même est discutable : « Tous les dix ou quinze ans, on assiste à une attaque contre la soi-disant “censure” que certaines maisons d’édition feraient subir au roman, soupire Paul Otchakovsky-Laurens, patron des éditions P.O.L. Chaque fois, on célèbre le retour du romanesque contre une littérature supposée nombriliste et desséchée. Cette année, c’est le concept très séduisant de “littérature-monde” qui fait fureur – mais l’ouverture au monde se fait aussi à travers les romans les plus introspectifs ! » 
Même agacement chez Olivier Cohen, des éditions de L’Olivier : « Je n’aime pas cette façon d’opposer les écrivains les uns aux autres. La littérature, c’est une addition, pas une soustraction de talents. Notre métier n’est pas de vendre des catégories d’écrivains, mais de publier des auteurs, tous singuliers. Tracer une “ligne de démarcation” entre les écrivains en fonction de leur “camp”, me paraît très dangereux. » Elle est peut-être là, la faiblesse de ce manifeste. Dans le fait d’avoir cherché à atteindre deux cibles avec une seule pierre. La première – la francophonie – est d’actualité. Mais les contours de la seconde apparaissent trop vagues pour ouvrir sur une véritable critique de la littérature française contemporaine.
Olivier Pascal-Moussellard
 
A lire
Pour une littérature-monde, collectif publié sous la direction de Michel Le Bris et de Jean Rouaud, éd. Gallimard, 352 p., 20 € 




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